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On est plongé dans la légende du Western dès le départ, mais au fil du récit, l'histoire nous embarque vers un dénouement imprévu pour notre plus grand bonheur, et nous sommes totalement dérouté au final . Ce récit âpre et amer est servi par un dessin magnifique de Paul Gastine que je suis et admire beaucoup. Il est dans la lignée de ces grands dessinateurs réalistes de western qui sont Michel Blanc-Dumont ou Jean Giraud.
Pour moi ce modèle est l'avenir de la BD Franco/Belge, si nous voulons garder des BD dans les rayons face au Manga de plus en plus présent : un One shot efficace et original avec une pagination importante, un scénario original qui nous tiens en haleine jusqu'à la fin et un dessin réaliste aux couleurs sublimes.
Bravo pour ce joli cadeau !
On est plongé dans l'intrigue dès le départ, dont nous découvrons tous les tenants et aboutissants au fil de l'histoire jusqu'au dénouement final sans aucun temps mort. Ce récit palpitant est servi par un dessin magnifique de Corentin Rouge que je suis et admire beaucoup. Il est d"après moi dans la lignée de ses pairs qui sont Jean Giraud, François Boucq et son père bien sûr.
Pour moi ce modèle est l'avenir de la BD Franco/Belge, si nous voulons garder des BD dans les rayons face au Manga de plus en plus présent : un One shot efficace et original avec une pagination importante, un scénario original qui nous tiens en haleine jusqu'à la fin et un dessin réaliste aux couleurs sublimes.
Bravo pour ce joli cadeau !
Un retour de Boucq dans la dérision pure qu'il maitrise toujours autant ! On a droit à un nouveau personnage fraichement arrivé sous le crayon de François Boucq pour notre plus grand plaisir.
Je conseille la version noir et blanc pour retrouver l'encrage comme sur ses planches originales. Et admirer ses coups de pinceaux à l'encre de chine.
Mes zygomatiques vous disent merci et font bravo Monsieur Boucq !
Une très bonne interprétation du mythe du Batman à la sauce Marini.
Les codes du Comics sont respectés et tous les ingrédients sont présents pour nous divertir et passer un bon moment de lecture : aventure, bagarre, course poursuite, humour, sex et happy-end....
Un grand bravo au graphisme des personnages qui sont superbes !
Un bel hommage au polar noir et blanc des années 50. l'histoire se met en place et les codes du genre sont respectés avec ses traditionnels : gangsters, policiers, bad boy et belle effarouché. Et on se laisse transporter facilement dans ce récit à coup de punchs, de flingues et de baisers (voir même une scène très sexy et tant mieux) entre le voyou beau gosse et la belle et dangereuse qui joue au chat et à la souris...
Le grand point fort, est évidemment le graphisme et les couleurs directes des planches du maître des pinceaux, j'ai nommé el maestro Enrico Marini. La tonalité des couleurs grises avec une pointe de rouge est sublime et intelligente pour ce genre Polar. Les dessins de pleines planches et doubles planches sont très bien léchés pour nous plonger dans l'ambiance du récit !
Vite la suite pour le dénouement final !
Merci mille fois !
Un peu d'histoire politique ne fait pas de mal, sauf que là j'en ai mal à mes zygomatiques. Bah oui, quand la réalité dépasse la fiction ça en devient affligeant pour notre plus grand bonheur : à un tel point de bêtise que ça en devient drôle ! Et dire que ces hommes nous ont gouverné ! Pitoyable !
Je conseille la version grand format en noir et blanc qui est top pour profiter au maximum du dessin du talentueux François Boucq, et un grand bravo à Juncker pour son scénario implaquable.
Georges Bess continue ses adaptations de roman gothique du 19ème siècle. Sa nouvelle œuvre, Frankenstein est le pendant de son Dracula, on a là 2 monstres créés dans l'imaginaire de l'époque romantique. Cette fois-ci nous ne sommes plus dans la noirceur du mal absolu, mais au contraire dans la compassion du bien incarné de ce nouveau né créé par un chercheur Victor Frankenstein. Le roman soulève les questions suivantes : est ce qu'un monstre peut se faire accepter des autres et vivre une vie normal ? Et quels sont les rapports complexes entre le créateur et sa création, qui est le monstre finalement ?
.Je découvre ce roman qui finalement est moins connu que le mythe de Dracula, mais qui est tout aussi intéressant.
J'ai bien apprécié son interprétation même si graphiquement cela est moins spectaculaire et envoutant que son Dracula. Il reste quand même des planches magnifiques et un super découpage.
Je le recommande en version grand format noir et blanc qui respecte ses planches originales.
Une adaptation du Mythe de Dracula fidèle à l'histoire globale du livre de Bram Stoker et proche du film de Francis Ford Coppola, même si George Bess s'en détache sur certain points. Car sa ré-interprétation est moins romantique et plus sombre, ainsi que ses dialogues et voix Off devenu plus fluides et modernes. De plus, la partie sur l'origine du prince Vlad Ţepeş, surnommé « l'empaleur » a été supprimé .
Du côté graphique : je suis sous le charme du vampire ! C'est tout simplement ce qui c'est fait de mieux sur ce thème d'après moi. Un encrage noir et blanc époustouflant, vibrant et habité. Le moindre recoin de la page est exploité jusqu'à l'extrême. Bess nous transporte aux confins de la Transylvanie jusqu'aux rues de Londres, à travers ses doubles pages de toutes beautés. Et nous plonge dans l'histoire avec une ambiance angoissante et étouffante jusqu'à la dernière page. Même le livre fermé, toutes ces images vous reste en mémoire un bout de temps.
Si vous voulez apprécier encore mieux le rendu et admirer le travail de l'auteur, vous pouvez acheter le tirage grand format .
Je suis encore envouté et angoissé par ces dessins fabuleux !
Du grand Art Monsieur Bess !
Pari réussi pour Tiburce Oger... Et oui ! Mener à terme un projet aussi monumental était inespéré. Réunir 16 fines gâchettes du western sur papier pour mettre en image son rêve américain, afin de raconter la grande Histoire des Etats-Unis sur 175 ans à travers 14 récits. Ce n'était pas gagné d'avance !
Le récit commence par sa conquête entre les colons Anglais et les Amérindiens, et poursuit avec les pionniers de ce grand ouest américain : les trappeurs, les cowboys, le Pony express, pour finir avec la guerre de sécession, les guerres indiennes, la quête de l'or noir, puis la révolution Mexicaine . Jusqu'à la désillusion de ce fameux rêve américain...
Les grands thèmes qui sont traités : guerre civile, racisme, esclavage, extermination des amérindiens, reflètent les cicatrices profondes de cette Amérique d'aujourd'hui... la vérité n'est pas belle à voir finalement.
Tout cela tient la route grâce à un scénario intelligent; chaque récit peut se lire indépendamment, mais aussi l'ensemble est unis grâce à un fil conducteur qui est une montre. Symbole d'espoir et de ce temps qui passe trop vite pour chaque possesseur, une sorte de porte malheur.
Une belle réussite !
Merci à tous ses grands auteurs d'avoir réalisé le rêve d'un homme, et chapeau bas à ce spécialiste de l'Amérique : Monsieur Tiburce Oger. Bravo à vous !
On suit les aventures du club des 4 (troublions) enquéteurs (superzéros) que sont Pétronille, Félix, Eustache et Evariste plus l'inventeur cabotin Pipolet, toujours avec beaucoup de plaisir et on s'attache à eux de plus en plus. Leur parcours personnel et mystérieux nous est dévoilé à chaque album.
La joyeuse bande de bras cassés continue à nous faire rire bien malgré eux et leur nouveau adversaire est tout autant drôle car il s'agit d'un clown et de sa bande d'acrobates mais cette fois-ci leur intention est bien plus politique que leurs adversaires habituels (ce sont des anarchistes qui remettent en cause les idées bien-pensantes de la petite bourgeoisie Parisienne de cette époque, et revendique déjà le droit des femmes dans la société du début du 20ème siècle).
Les dessins d'Arnaud Poitevin sont truffés de personnages secondaires caricaturaux de célébrités tout comme les albums d'Astérix ou de Lucky Lucke et sont riches en petits détails de situations comiques. On voit bien là un clin d'oeil à ces grands dessinateurs que sont Uderzo, Morris, Maester...
Le nom des personnages est très inspiré aussi : après Arsène Lapin on a maintenant Rouilletabile... un hommage astucieux à notre littérature policière de la part de Régis Hautière.
Bref ça fonctionne bien et le rythme est trépidant. C'est drôle et l'intrigue est bien menée. J'aime ENORMEMENT !
Bravo à la bande des 3 bienfaiteurs : Hautière/Poitevin/Bouchard , et que le spectacle des Spectaculaires continue !
Cette édition met en valeur le travail de Ralph Meyer sur ses planches qui sont absolument magnifiques. Pour ma part je redécouvre la série d'un autre œil avec cette version noir et blanc.
Indispensable pour les amateurs de western qui aime les grands classiques du genre comme Blueberry. Un bien bel hommage côté graphique au grand maître Jijé (lire les Jerry Spring version noir et blanc en intégrale). Pour le scénario, les codes sont toujours là, avec un peu plus de piments de la part de Xavier Dorison.
Très bon nouveau diptyque qui commence. Et le tandem Yann/Vignaux fonctionne à merveille ce qui est très prometteur pour la suite de la série.
Yann développe une nouvelle intrigue très proche de l'époque de Jean Van Hamme : plus vers de l'aventure pure avec une touche de Fantasy. L'essence même de la série est ici retrouvé.
Le talentueux Fred Vignaux apporte une dimension personnelle (plus nerveux et fouillé) au dessin de Thorgal tout en restant assez proche du style de Rosinski, ( fin d'époque noir et blanc ).
Bref très content de retrouver mon héros favori en si bonne compagnie.
Je n'aurais jamais attendu aussi longtemps pour une BD, mais cela valait le coup !
Quel plaisir de retrouver tout l'univers de cette série et quel travail exceptionnel. Le temps fini toujours par payer !
A commencé par un scénario magistral. Juan Diaz Canales dépeint un New-York des années 50, en nous emmenant dans les bas-fonds de la ville jusqu'aux couches élevés du pouvoir. Tous les travers de cette société sont prétextes à forger l'intrigue de ce nouveau diptyque : corruption, mafia, syndicat...
L'ambiance de l'époque est très bien retranscrite et deux mondes se font face et sont mis en opposition : la ville en pleine mutation avec sa course démographique (construction d'autoroute, de pont, tunnel, métro, salon de l'automobile ..), et d'un autre coté, la culture et l'artistique très bien mis à l'honneur et soutenu par une population cultivé (festival Shakespeare in the park dans Central Park, apparition d'un Sammy Davis junior dans le rôle d'un chanteur de Jazz interprétant "The Birth of the Blues", et le mouvement de la beat generation...) sans oublier les Pin-Up.
le niveau d'exigence est le même pour le dessin et les couleurs. Juanjo Guarnido nous régale avec toute cette nouvelle galerie de personnage animalier toujours aussi réaliste.
Chaque planche est un vrai plaisir pour les yeux. Les couleurs sont toujours en harmonies et les dessins très fouillés et détaillés. Du grand ART !
Le cliffhanger final est une grosse surprise et j'attends la fin du dénouement de cette intrigue avec impatience...
Petit conseil perso : si vous aimer le Jazz, allez voir un concert dessiné, j'ai vu celui de Hugh Coltman & Juanjo Guarnido à Vienne et je me suis régalé...
Quel plaisir de retrouver ma BD d'enfance préféré !
Du début à la fin mes zygomatiques se sont entrainés pour les jeux olympiques 2024.
Merci Messieurs Ferri et Conrad de préserver notre patrimoine Français sur le podium !
Le nouveau tandem Giacometti/Francq font entrer la série dans l'ère du 21ème siècle.
Après le ménage financier du diptyque précédent, Largo modernise le groupe W et se lance dans l'investissement de nouvelles technologies (aérospatial, télécommunication, ... ) tout en prenant conscience de l'importance de l'impact écologique sur notre très chére terre, ainsi que les droits de l'enfance qui sont bafoiés dans certains pays.
Cette nouvelle histoire est parfaitement encrée dans l'actualité en nous parlant de la course à l'espace par ces nouveaux riches, du mouvement Metoo, l'enjeu important des minerais rares qui constituent les batteries de nos smartphones et voitures électriques...
Le scénario fonctionne à merveille, et les auteurs prennent plaisir à mettre Largo dans des situations de plus en plus inextricables, et toujours avec cette petite pointe d'humour si caractéristique de cette série. Mais là pour le coup, on ne voit vraiment pas comment il va pouvoir s'en sortir ? Il faudra attendre le tome prochain mais je ne peux déjà plus patienter...
Assurément une grande BD qui m'a procuré beaucoup de plaisir et dont je vais suivre la suite avec impatience :
Depuis plus d'un an que je patientais à baver devant chaque extrait de la chaine Youtube de Jérémy (https://www.youtube.com/c/J%C3%A9r%C3%A9myBD), les pièces du puzzle ont enfin pris leurs places. Et les réponses à toutes mes questions qui m'empêchaient de dormir sont enfin dévoilées...
C'est avec un rythme effréné qu'on est happé par l'histoire dès le début jusqu'au cliffhanger final, sur lequel je ne pourrais encore plus dormir pendant un an (et oui, en attendant la suite). Ce nouvel univers Héroic-fantasy très riche est directement inspiré par sa passion du jeu vidéo et son goût pour les films Dark fantasy. C'est avec beaucoup d'intelligence que l'intrigue se met en place au fur et à mesure que l'on découvre les personnages de cette nouvelle planète Ethéria. Entremêlé de sorcellerie sur fond de guerre, nous suivons l'amour impossible entre deux êtres qui seront contraint à se séparer. Se retrouveront-ils et COMMENT ? Ce ne sera pas sans compromis...
Les deux dragons se reformeront-ils pour une dernière danse éternelle ? Cela pourrait être le pitch du prochain tome.
Ce n'est pas une énième BD de Fantasy bon marché que nous dévoile Jérémy mais bien tout un univers complexe avec ses codes et ses rites qui partent de principes philosophiques et mystiques, dans des décors parsemés de symboles alchimiques.
On reconnait bien là tout l'univers que Jérémy affectionne et son monde Fantasy prône des valeurs en lesquelles on aimerait bien y croire aujourd'hui : l'égalité des espèces, le vivre ensemble, l'éternité du bien...
Et ça fait du bien de lire une BD d'une telle exigence de travail.
Si vous avez aimé la BD vous pouvez continuer l'expérience en écoutant la musique de Soheil Forouhi (que j'adore) spécialement créé pour un jeu vidéo qui devrait sortir en 2022 intitulé "Vesper Ether Saga".
Désormais Jérémy nous prouve qu'il est enfin prêt et mûr pour assumer une série seul à la barre, et oui il sera question de 6 tomes au total ! Et quelle chance, qu'on a de pouvoir admirer ses planches flamboyantes, aux couleurs directes, toujours d'une grande maîtrise que ce soit au dessin, encrage ou dans son découpage digne d'un grand réalisateur de Space opéra !
Alors courez vite vous procurer cette BD qui vous scotchera jusqu'au tome 2...