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Holà! Presque une arnaque... Il s'agit seulement d'un carnet graphique en noir et blanc et c'est tout. Intérêt aussi limité que l'édition. Livré sous emballage plastique scellé donc pas de retour possible quand on a simplement feuilleté l'ouvrage. Personnellement, j'en ai assez des "cahiers graphiques" inclus ou non dans les albums, ça me fait le même effet que les "making-off" de films ou le catalogue des pièces détachées de ma moto. J'aurais apprécié de surcroît un avertissement de BDgest à ce sujet.
Un vrai plaisir de noter 5/5 ce très bel ouvrage qui honore par textes, dessins et fabrication, les livres et la connaissance irremplaçable qu'ils nous procurent depuis toujours. Un grand merci à Chemineau et Lupano.
PS : peut-être n'avez-vous pas lu "Un océan d'amour" de ce dernier? Dommage, très dommage.
Eloge de la critique pure, je n'ai ni lu, ni acheté ce truc : Bien dit BD.Yvan! A vendre son âme, on perd sont talent ; qui se souviendra de Ferri quand il dessinait "De Gaulle à la plage". Astérix s'est arrêté chez les Belges, n'en déplaise aux artistes dévoyés, aux ayants-droits cupides, aux éditeurs avides.
Polar-bd-film B&W comme on les aime! Avec de vrais truands, pas de chichis et juste ce qu'il faut de couleur, rouge-à-lèvres sang évidement. De bien belles images comme on a hâte d'en revoir ; à quand le tome 2?
Toujours la plus grande série Western depuis qui vous savez... On a cru à un petit coup de mou sur les albums 3 & 4 mais ce dernier diptyque (5 & 6) est vraiment très riche, bien travaillé. Bien que franc partisan du format "1 album-1 histoire complète", celle-ci supporte bien un développement en deux tomes qui, par ailleurs, complètent et enrichissent la saga globale, à la façon des "Blueberry".
Du grand art. Bravo à Michel Bussi, Fred Duval et Nicolaï Pinheiro pour cette oeuvre totale, complexe, captivante et très achevée. Prévoir de la lire en une fois sans être dérangé.
Encore un magnifique album, profond, intense, émouvant. La postface est très éclairante sur le travail de Jardinet. On y apprend qu'à ses débuts, il écrivait mieux qu'il ne dessinait. On sait maintenant qu'il écrit aussi superbement qu'il dessine.
Quoi dire de cet album sans intérêt, sans histoire, sans force graphique... Rien, comme celui d'avant et celui d'avant encore... Alix, une reprise de plus dont on se passera désormais.
Un livre merveilleux et beau. Après, on peut toujours s'extasier sur le dessin, les scripts et les mises en page qui font honneur à Mc Cay.
Prévoir un encadrement double face (60x90) pour le poster adjoint à l'album. Merci pour tout!
Ho! En vrai, le gars sur la couverture, il a sa femme (régulière) à côté de lui. On la voit pas parce qu'elle est trop grosse et la couverture trop petite et elle est vraiment moche comme lui mais elle lui va bien, c'est d'ailleurs pour ça qu'ils sont mariés et qu'ils vont se faire griller la couenne tout les étés sur une plage du sud de la France. C'est juste que lui, il a perdu ses lunettes de soleil, alors que elle, sa femme, non. Donc forcément il cherche à tâtons. Notez qu'à 20cm près, il pouvait emprunter les raybannes de sa voisine de droite, celle qu'on voit sur la couverture. Et si vous me croyez pas, vous pouvez toujours acheter le livre.
On aurait du mal à décrire mieux que les auteurs les fondements de ce "documentaire dessiné" qui intrique les faits et leur "légende". D'où l'absolue nécessité de lire cette première édition comportant un entretien avec les auteurs dans le cahier ; une "master-classe" qui montre à quel point la réussite de ce livre est rigoureuse et maîtrisée. Une part d'Amérique sur laquelle il faut bien ouvrir les yeux en ces temps dangereux. Une autre dimension du 9ème art à découvrir en attendant le prochain Tyler Cross (viiiite!)
C'est sûr, les bons souvenirs de Pif reviennent mais ils sont à tempérer par une médiocre qualité de la reproduction, basse résolution dirait-on. Je trouve aussi que la couleur nuit gravement à la qualité du dessin. Le prix élevé de cette intégrale n'est pas forcément justifié (30 à 40 fois 13 euros!) et "le cahier de 12 pages exclusives" est sans aucun intérêt.
Une magnifique histoire où les vérités sont en trompe-l'œil, des tours de passe-passe au bonneteau jusqu'à la mise en abyme finale des Ménines. Un vrai régal, un très gros coup.
Une aventure qui n'en est pas une et dont le mérite est de clore les aventures de notre héros. On est bien loin des scenarii et du dessin des premiers tomes, c'est dommage.
Un magnifique album avec des personnages à la psychologie soignée et réaliste, des soldats perdus entre une guerre sauvage et l'Amérique qui ne veut plus en entendre parler. Les dessins sont à la hauteur et le format triptyque est pleinement justifié. On peut préférer "Bomb Road" mais à ce niveau d'excellence mieux vaut lire les deux.
ça démarre lentement, poussivement, pour une intrigue inexistante où même Axel Borg confie s'être répété ; sans oublier le clin d'oeil de circonstance à l'anniversaire de la première marche sur la lune. Bref, on s'ennuie.
On tremble moins pour nos héros après les exactions menées contre eux par différents repreneurs-casseurs. Je regrette cependant que le format "1 histoire=1 album" ne soit plus le standard scénaristique, d'où certaines longueurs et digressions. Enfin, l'histoire de la vente de Mirages à l'étranger manque d'originalité
Une belle histoire bien dessinée, le scénario reprend utilement des faits historiques sans que la qualité du roman en souffre. On en sait plus sur Pacôme et on ne le regrette pas. Vivement le tome 2!
Un régal! Une histoire, pourquoi pas avec un grand H, amplement développée tant sur le plan du scénario que sur celui du dessin. L'humanité des personnages ne fera pas oublier la richesse documentaire et graphique de ce très bel album.
IN-DIS-PEN-SABLE ET POURTANT SCANDALEUX : TIRAGE ULTRA LIMITÉ INDISPONIBLE DÈS LE PREMIER JOUR, LIBRAIRES TRADITIONNELS NON APPROVISIONNÉS. DOMMAGE! GASTON EN UN SEUL VOLUME COMPACT, ENTRE LA BIBLE ET LE PETIT LIVRE ROUGE, Ç'AURAIT ÉTÉ QUELQUE CHOSE!
Très décevant ; l'intrigue est insignifiante et sans surprise : à la fin, Guy Lefranc fait tout pêter et il ne restera aucune trace de l'affreuse machination du milliardaire fou. Dans notre mémoire aussi.
Une belle pièce de boucherie bien découpée et un scénario en béton armé jusqu'au bout du film. Encore!
Un thème déjà visité et qui aurait mérité une meilleure consistance scénaristique. Une fois posé le postulat de l'étoile noire, le développement égrène les fondamentaux du racisme à l'encontre des noirs afro-américains. L'histoire-roman en pâtit malgré un dessin très maîtrisé.
Aïe! Rien que le titre à l'humour épais faisait peur avant lecture et l'on gardait la main sur la poignée d'éjection. Donc éjection! Adieu Michel, Ernest, Buck*, Sonny, Tumb et les autres, nous lirons désormais vers d'autres cieux, d'autres auteurs (un peu) plus originaux, moins bousilleurs (Laverdure, sic).
*Et oui, sans doute à court de clins d'œils, une nouvelle rencontre organisée entre nos héros préférés ; ça meuble et c'est toujours deux ou trois pages de prises.
La série est excellente et renouvelle bien le genre "bd avia". Le scénario est bien inséré historiquement, on apprend en même temps que l'on se délecte. Comme pour "Bomb road" (Koeniguer) , toujours plus de plaisir à chaque relecture.
Un superbe album. Le lecteur se plonge avec délice dans le scénario tout en nuances et ambiguïtés propres à l'œuvre de Jacques Martin. Une base historique très documentée, le plaisir de retrouver Angelo Di Marco pour les moins jeunes d'entre nous et le dessin d'un maître, merci, bravo et encore!
L'œuvre se poursuit, toujours d'excellente facture, tant dans l'intrigue historique que dans ce nouveau dessin. S'il fallait un reproche, ce serait d'avoir mis un "cahier graphique" à la fin de l'album ; c'est "tendance" mais inutile.
Le scénario est faible malgré la multiplication d'anecdotes meublantes mais sans grandes finalités ; l'analogie avec le jeu d'échecs pour simplement illustrer une tactique élémentaire est un exemple. Tout cela ne fait plus rêver même si l'on échappe à la catastrophe que l'on redoutait.
Totalement shingouz! Plus dans l'anecdote que dans la veine "aventures spatio-temporelles" des premiers albums de la série originale, on appréciera néanmoins ce one-shot très typé à la limite du pastiche, Shingouz oblige.
Un très intéressant triptyque qui renouvelle et modernise le genre de la Bd aéronautique. Scénario et dessins soignés, réalistes, impossible de ne pas se coucher tard en relisant (encore) les trois tomes à la suite.
Un bon goût de liberté! Bien écrit et bien dessiné par ailleurs, un livre qui tombe à pic en ce moment.
Un album merveilleux. N'ayant pas les mots pour le dire, je confirme les avis déjà publiés. Bravo et merci aux deux auteurs, revenez quand vous voulez.
Pitié! Plus jamais ça! Halte au feu! Arrêtez le massacre! Veuillez laisser cette BD aussi propre que vous l'avez trouvée! (100 caractères, c'est beaucoup trop pour des reprises nulles)
Après le massacre de Tanguy et Laverdure, celui de Buck Danny! Hélas, mille fois hélas, scénario et dessin sont indigents, comme l'album précédent, comme l'album précédent (2fois). On souhaite que Francis Bergèse mette fin en beauté à la série avec les Oiseaux Noirs et à l'action déplorable des autres "repreneurs". Ceux-là n'ont qu'à se faire la main sur leurs propres séries, à moins que cela ne soit déjà fait.