Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 25/11/2024 à 03:35:28 en 0.0180 sec
Au bout de 8 tomes, on commence à cerner les atouts et les limites de la série. En fait, la limite principale, j'ai l'impression qu'elle est dans un mécanisme narratif dont abuse l'auteur et qui ressemble un peu aux jeux d'enfants dans les cours de récréation. C'est le jeu qui consiste à écraser son adversaire en sortant un truc tellement gros qu'il va pouvoir rebondir, du genre " je te désintègre avec mon laser/ oui mais j'ai un champ de réfraction et tu meurs / oui mais on est dans la zone négative et le champ de réfraction devient champ catalysateur, etc."
Du coup, l'auteur n'a que deux solutions : une fuite en avant dans la surenchère (et là, dans le huitième tome, ça y va, avec des missiles, des détournements d'avion, des menaces nucléaire et le président des états-unis qui s'en mèle, il ne manque que Jack Bauer pour compléter le tableau) et sortir tout le temps des nouvelles règles (un peu comme Calvin et le Calvin Ball, la vrai essence des jeux d'enfant).
Or comme ce mécanisme narratif de base est certes efficace mais un peu idiot quand même, l'auteur a beau le couvrir par des scénarios sophistiqués, un sens du rythme remarquable et un dessin épuré, on a du mal a adhérer totalement.