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Le dessin est bon.
Le scénario est lamentable : Jason part à la recherche de sa véritable mère et comme par hasard, le destin, quel coquin celui-là alors, fait que le Joker va se trouver aux mêmes endroits que les 3 mamans putatives de Jason. Je veux bien que le monde soit petit mais là il est carrément minuscule.
Le scénario et les rebondissements sont très mal amenés. Cependant la scène du "bastonnage" et de la mort de Jason est touchante malgré tout mais une scène de quelques pages ne peut en aucun cas rattraper un scénario trop mal ficelé.
Pour couronner le tout, le ressort dramatique "immunité diplomatique" et la propagande anti-iranienne avec cette scène de rencontre (dont on ne verra que les conséquences) entre l'ex ayatollah Khomeini et le Joker est consternante de médiocrité.
Tout est cousu de fil blanc. C'est une purge que de lire cette histoire.
J'ai découvert cette série par le plus grand des hasards au détour des allées du Livre sur la Place à Nancy. Séduit le trait rehaussé de sépia de Seuriac, je me suis laissé entraîné dans cette histoire simple à valeur universelle qui décrit avec attention mais sans ostentation le quotidien peu banal d'un tailleur de pierre à Arles.
Le découpage est très dynamique, le sépia donne le ton et le scénario est fluide.
Mon seul regret est de n'avoir pas acheté les autres tomes disponibles.
Bon Dieu, avec cet album ou ce roman graphique comme certains pédants aiment à le dire je vais enfin pouvoir clouer le bec de tous ces idiots qui pensent que la bande-dessinée est réservées aux enfants et aux illettrés ( si si il en existe encore).
Le dessin est véritablement somptueux et bien en place puisqu'il s'agit du deuxième volume. Le travail sur les masses de noir est imposant et donne beaucoup de relief, de profondeur aux personnages et aux lieux dans lesquels ils se meuvent.
Le scénario est très intelligemment construit, il développe des thématiques et très certainement une critique sociale et politique aussi de l'époque de la création de la série mais qui pourrait tout aussi bien s'adapter à n'importe quelle époque et dans n'importe quel pays...bref, c'est universel.
Les dialogues et les mots argotiques sont déconcertants au début puis on s'y fait peu à peu.
A l'heure où j'écris cette critique le tome 2 est paru depuis longtemps et j'espère que la politique d'édition et de traduction de ce chef-d’œuvre se continuera.
Enfin!!! Après le tome 52 je ne m'attendais à rien, aucun espoir et je n'ai pas été déçu puisque j'ai eu droit à tout.
Le dessin de Yoann à repris du "poil de la bête" tandis que Spirou perdait le sien et le scénario "anti-trust" de Vehlmann, bourré de rebondissements est sans aucun doute pour moi le meilleur des trois albums.
Les multiples références brisant le "quatrième mur" étaient bien placées et l'hommage à Tintin de la première case était rudement sympa quoiqu'un peu narquois me semble-t-il puisque le journal du même nom, grand concurrent de celui de notre héros rouquin à bel et bien disparu.
Un petit bémol cependant : je trouve que la résolution de la cavale et de la cabale est un peu précipitée mais peut-être n'est-ce qu'un problème lié aux fameuses 46 planches.
Encore une fin en semi-cliffhanger mais si l'album suivant tient ses promesses en matière d'annonce alors vivement le 54.
Un premier tome très captivant. Si le scénario n'est pas aussi touffu et complexe qu'on aurait pu l'espérer, c'est néanmoins une excellent mise en bouche qui donne de l'appétit pour déguster les autres albums.
L'idée de créer un personnage "donneur de vie" antithétiquement appelé "thanatis" est tout à fait dans l'esprit gothique de la série.
Les dessins sont magnifiques, les traits sont d'une fluidité remarquable même si ça et là on peut remarquer un manque de souci du détail.
La mise en page, le travail sur la dynamique des cases et leur enchaînement donnent un rythme effréné à cet album.
Cette édition grand format et en couleur a fait couler d'encre avant même sa sortie : en bien comme en mal.
Force est de constater que cet album est magnifique.
Les histoires dessinées pas Gottfredson sont tout simplement somptueuses. Les scénarii et les découpages sont très efficaces, tellement même que l'on a l'impression de voir Mickey et ses comparses prendre vie devant nos yeux ébahis.
J'avais eu l'occasion de lire ces histoires en vo et en noir et blanc : je trouve que la mise en couleur rend encore plus hommage au trait du dessinateur.
Un album à posséder absolument ou tout du moins à lire et à relire.
Autant j'avais été séduit par les traits de De Vita dans le premier album, autant j'ai trouvé dans cette suite que son dessin se relâchait quelque peu. Les traits sont plus nerveux et moins précis hormis une double planche du plus bel effet qui ne sauve pas l'album malgré tout.
Le scénario de Yves Sente est une véritable escroquerie : la fin me fait penser à la sage du clone ou n'importe quelle autre histoire de chez Marvel ou D.C. où le héros mort revient à la vie par une pirouette scénaristique digne de Dallas (cf Bobby[sic]).
Si toutes les séquelles de l'univers thorgalien continue à être de cet acabit m'est avis que les éditions du Lombard vont vite déchanter.