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Ce gros pavé de 900 pages se lit avec plaisir, très rythmé on ne s'ennuie jamais, ajouté à cela beaucoup d'humour et la réussite n'est pas loin.
Archer et Armstrong c'est la théorie du complot tournée en ridicule, et comme le dit un des auteurs dans la préface "la théorie du complot est la mythologie de l'impuissant" à méditer.
Le seul bémol est le changement de dessin, moins bon sur de trop long passage.
Un bon et long moment de lecture.
Le Testament de William S est un sympathique jeu de piste, ou nos héros on l'air de s'ennuyer autant que nous.
L'aventure, le suspense n'éxistent pas dans cet album, faute à un scénario d'une fainéantise incroyable frôlant la nullité.
Ou est passé l'esprit Jacobs ? On se le demande tout au long de la lecture.
Mis à part le dessin de Juillard ici rien à sauvé, et encore on peut reprocher à la la mise en page un manque de dynamisme, tout ça est très compact sans aération et ne masque nullement le très mauvais scénario.
La sensation d'arnaque n'est pas loin !!!
Après un premier tome proche du comte horrifique, ce second volume change radicalement de ton.
L'enfant est devenue femme et l'émancipation de ce personnage va passer par une confrontation avec le monde extérieur, tout ce que craignait son père d'adoption dans le tome 1.
C'est pour cette raison que ce numéro 2 est encore meilleur, l'amour , les désillusions et enfin la cruauté vont frapper "femme" de plein fouet.
L'excellent scénario et les extraordinaire dessins et couleurs font de cette série un must.
Une merveille comme on en lit rarement.
Malgré un dessin et des couleurs magnifique, Ténèbres souffre d'un scénario assez convenu et ce à partir du tome 3 et de cette longue marche qui fait perdre au récit sa crédibilité; sans parler des personnages stéréotypés, des événements et rebondissements maintes fois vu dans la bd d'heroic fantasy.
Mais le plaisir est bien là et c'est l'essentiel.
Soleil Froid est un survival rafraichissant qui se déroule en france et nous plonge immédiatement au coeur de l'action, sans introduction lourde et inutile.
Graphiquement simple et sans fioritures cet album n'est pas sans rappeler "l'autoroute sauvage" mais le vrai plus ce sont les couleurs extrêmement bien rendues dans ce milieu hostile qu'est la montagne, les rouges et les bleus donne de très belles pages.
Bref un très bon album ou les amoureux du genre s'y retrouveront.
Ce deuxième opus confirme tout le bien que l'on pensait du premier.
Le dessin est magnifique, les couleurs d'une grande justesse, l'action est omniprésente et l'humour désamorce le sérieux de cette histoire . Le scénario formidable dans la première moitié ( ce personnage de Lantier/Hitler est très drôle) retombe et livre une fin plus classique, mais l'ensemble est très réussi et parfaitement maitrisé.
Seul bémol une édition sur papier de moins bonne qualité que le premier album.
Mais le plaisir est au rendez-vous
Vivement le prochain !
Passons les dessins et les couleurs toujours aussi beaux.
Le scénario en revanche à comme un air de déjà vu, il est loin d'être mauvais au contraire, mais cette série semble figé dans un univers très codifié et connu de tous les fans.
Dodier semble protéger son héros du monde extérieur évitant tout sujet d'actualité délicat, Aïna est l'incarnation de ce monde extérieur et viens troubler Bloche et son petit quartier tranquille.
C'est en gardant cet univers dans une bulle que son auteur au risque de se répéter préserve aussi une certaine constance dans son oeuvre.
Critique des 2 tomes.
Blackest night s'impose comme un cross over incontournable de DC. Visuellement époustouflant de bout en bout et ce malgré les différents auteurs ce gigantesque trip sous acide ébloui par sa beauté formelle, certes l'overdose n'est pas loin tant les personnages et les situations se multiplient mais qu'importe le plaisir est intense et l'addiction certaine.
Geoff Johns livre une des histoires les plus sombres de DC comics mais tellement passionnante, complexe et pleine qu'il serait fou de se priver d'une telle merveille.
Essentiel, et démentiel !!!
Critique des 2 premiers tomes.
Malgré des couvertures très informatisées et d'une grande laideur, le contenu lui est très réussi.
Le graphisme du tome 1 est parfois très moyen mais en net amélioration dans le tome suivant, le scénario lui est franchement formidable.
Dans cette histoire il est question d'une vision très différente de la justice au travers des deux plus grands héros DC: Batman et Superman.
Si l'un (Superman) tombe dans l'excès et la radicalisation l'autre (Batman)s'oppose farouchement à cette justice expéditive.
Le tout donne une histoire pleine de rebondissement et l'addiction n'est pas loin.
Une excellente série sans concession et formellement de plus en plus réussie.
Critique des 5 tomes
Metronom aurait pu être une grande série, malheureusement elle ne tiens pas ses promesses.
La faute à un récit très linéaire et sans grande surprise, à des dialogues sur-écrit et pas naturels, et à un dessin trop figé.
La volonté de perfection des auteurs annihile toute chance aux lecteurs de s'approprier le récit et ses personnages, l'empathie pour ces derniers est du coup inexistant.
Un Métronom sans rythme et sans âme.
Après deux arcs de très haut niveaux, l'an zéro est moins bon, la faute à un scénario moins palpitant et surtout à un super vilain sans charisme.
Le scénario met surtout en avant Gotham et sa transformation, mais le tout est un peu long et très bavard.
Mais ne blâmons pas les auteurs pour autant car cela reste du très bon Batman, graphiquement c'est toujours impeccable et les quelques surprises scénaristique sont toujours très bien vu.
Après un premier tome très surprenant ce deuxième opus plus classique nous offre de bon moments entres Holmes et Watson.
En effet la relation des deux hommes se voit bouleverser par les agissements et réaction très "incisives" du grand détective.
Dans la parfaite continuité du premier tome cette histoire se développe formidablement bien en intégrant un autre grand personnage de la littérature anglo-saxonne.
Une très bonne suite et très bon moment de lecture.
Contrairement aux avis précédent le dessin n'est pas exempt de tout reproche, si les décors de campagne sous la neige sont parfaitement réussis, les visages des différents protagonistes eux le sont moins.
La confusion règne un peu dans cet album d'abord dans les scènes d'action et d'une manière plus générale dans le scénario, on s'y perd un peu.
Dommage car l'ambiance est bonne et le sujet intéressant.
Un tome 2 viendra clore cette histoire en effacant on l'espère les défauts du premier, ou pas.
critique du cycle "les chevaliers du pardon"
Avec ce deuxième cycle Dufaux explore à merveille les landes perdues et plus exactement son imaginaire; pour nous livrer une histoire simple sur la transmission et l'héritage.
Le tout est magnifiquement illustré par les dernières planches du regretté Delaby.
La fin du cycle est particulière et chargée d'émotion suite au décès de ce très grand dessinateur.
Un magnifique cycle qui sert de préquel au cycle de Sioban.
Incontournable.
Quel plaisir de retrouver plus de dix ans après cette série créé par jodorowski, c'est toujours aussi cruel, déjanté et fascinant.
Les auteurs impulsent un nouvel élan a cette grande saga de science fiction en incorporant de nouveaux visages et de nouveaux enjeux.
Les superbes dessins et l'excellent scénario ouvrent de belles perspectives pour la suite.
Technojouissif !!!
Certes ce classique de la bande dessinée doit remplir un cahier des charges pour satisfaire les fans de la première heure, mais comment en 2015 peut on écrire un scénario aussi désuet ?
La narration, les rebondissements sont d'un autre âge et provoque parfois le sourire, comment Lefranc peut il être aussi naïf face a son rival de toujours ?
Incompréhensible !!!
Faire du neuf avec du vieux est très casse gueule, la preuve en est.
Les auteurs n'insufflent aucune modernité dans l'univers de ce vieux héros qu'est Lefranc, dommage.
Ca sent le moisi, malgré tout les dessins et les couleurs sont formidables et sauve cet album du naufrage.
critique des trois tomes
Niourk incarne la simplicité là ou de nombreuse série se perdent au fil des albums Niourk condense en trois tomes une très belle histoire de science fiction, juste et efficace.
Les dessins épurés et les magnifiques couleurs agissent immédiatement sur le lecteur pour ne plus le lâchè jusqu'au dénouement.
Une très belle réussite.
En lisant cet album on pense de suite à Stephen King, et c'est bien là le problème.
Jamais Severed ne réinvente le mythe du "croquemitaine" pire il copie fadement ce que le maitre de l'horreur écrivaient avec brio notamment dans "Ca". Snyder a écrit des scénarios beaucoup plus inspiré pour Batman ou American Vampire.
Mais cette histoire n'est pas dénuée d'intérêt, graphiquement ce one shot laisse une drôle d'impression, une sensation de vide, en effet les cases le sont bien souvent, une étrangeté qui donne un ton très particulier a l'ensemble et renforce le cauchemard. Même chose pour les couleurs, c'est vilain mais parfaitement adéquat.
Un comics étrange dans sa forme mais si prévisible dans son fond.
La collection 1800 à livré d'excellents albums mais donne aussi, comme c'est le cas ici, des navets.
Dr Watson explore le Grand Hiatus période mystérieuse et adoré des holmelésiens, mais là cet album vire dans le Grand n'importe quoi.
Watson n'est plus le docteur mais endosse carrément le rôle d'Holmes, les personnages secondaires sont transparents et sans intérêt, et que dire du scénario affligeant ou Moriarty " éxige que son plus grand ennemi vive mille tourments dans la mort" cette phrase résume à elle seule la nullité et l'absurdité de cette histoire.
Album indigne de cette belle collection !!!
Critique des 4 tomes.
Tome après tome Servitude s'impose royalement et durablement dans les classiques de l' héroïque fantasy, en effet la profondeur de cette histoire est juste étourdissante !
Le récit complexe et hyper cohérent est d'une grande limpidité le tout servi par un sublime dessin qui s'affine au file des albums, le choix de la couleur "sépia" ajoute un indéniable plus à l'ensemble.
Un ensemble qui dégage une frustration, frustration de ne pas en apprendre plus sur les différents peuples et provinces tant la richesse de ces derniers est époustouflante et d'une incroyable justesse.
Le cinquiéme album clôturera cette série et c'est presque triste de l'apprendre, car ce Chef-d'oeuvre laissera les lecteurs orphelin.
Mais les grandes oeuvres ne sont elles pas celles qui laissent l'imagination travaillée ?
Autant l'Onde Septimus était audacieux autant le Baton de Plutarque est d'une sobriété ennuyeuse.
Si le dessin de Julliard est toujours impeccable ce préquel est d'une monotonie mortel, rien ne viens bousculer un scénario qui évacue très vite le suspens, alors que reste il dans cet album ?
La première rencontre avec le colonel Olrik ? anecdotique !!!
La mise en place du Secret de l'Espadon ? on s'en moque complètement.
Bref les auteurs peinent à trouver un équilibre qui rassemblerai les fans de la première heure.
Cet album n'est pas un ratage mais un échec de plus .
Centaurus séduit d'emblée par la clarté et la simplicité de son récit, la curiosité et le mystère s'épaissit et nous entraine doucement mais surement. Les dessins très sobre donne à cette aventure une force tranquille qui n'est pas sans rappeler Léo ( qui est ici au scénario). Justement il ne faudrait pas que Léo retombe dans des aventures "déjà vu" sous peine de vite décevoir les lecteurs.
Un bon premier album qui donne une fois la BD refermée envie d'enchainer sans plus attendre
Green Arrow ou comment vous en mettre plein la vue pour pas grand chose.
Le dessin de Sorrentino est novateur et pas désagréable mais le manque de relief et l'incohérence de certaines cases ne font pas mouche, certes il y a de bonnes idées comme les cadres dans le cadre mais l'abondance du procédé est trop lourd et l'indigestion n'est pas loin. Certain passage très découpé, trop ? est illisible et confus.
Pour le récit c'est très convenu et sans grande surprise, cette histoire a déjà été écrite cent fois…
Une grande déception.
Shazam est un récit en deux parties bien distincts, si la deuxiéme moitié est très classique avec toute la mythologie du super- héros la première prend le lecteur à contre-pied. En effet le jeune garçon qui deviendra Shazam est un sale gosse, insolent et en manque de repère, cette première partie est plutôt drôle et inattendue, même sa transformation est très bien vue, Shazam n'est qu'un gamin rêvant de gagner quelques dollars pour s'amuser.
Geoff johns livre une histoire parfaitement construite et très cohérente superbement illustrée.
Ce troisième tome de Sixth gun démarre fort, en effet les deux premiers chapitres nous plongent dans l'action pure puis la suite trouve un rythme moins soutenu en développant les personnages de Becky et surtout de Gord Cantrell, cette partie du récit amene une profondeur touchante jamais atteinte jusqu'ici dans cette série.
Un excellent opus, et définitivement une merveilleuse série.
Critique des 3 tomes.
Est ce que de belles voitures et de belles pin-up font une série réussie ? La réponse est non.
La faute à un dessin médiocre par moment (trop statique), un découpage bordélique et à un scénario très moyen jusqu'au dénouement ridicule et sans intérêt.
Reste l'ambiance à la James Ellroy, et les références aux films noirs.
Comme le titre du n° 3 nous le rappel il ne nous reste que de "très mauvais souvenirs".
Ce second volet confirme largement les attentes du premier tome.
L'environnement, les animaux, les hommes et les femmes tout ici est graphiquement époustouflant; le découpage est dynamique et le scénario après relecture du n°1 est parfaitement clair.
Les extraordinaires couleurs magnifient cet album qui assurément entre dans la liste des "classiques".
Une sublime fresque antique.
Voilà une épopée médiévale historique qui sort des sentiers battus.
Les références sont nombreuses, d'Alien au mythe de Chtulhu mais la série se démarque et impose son univers, c'est parfois déconcertant mais l'impecable trait de Démanez et le scénario d'ange assure un rythme soutenu à l'ensemble.
Sans bouleverser le genre cette histoire est une vrai curiosité.
The sixth gun séduit d'emblée par sa simplicité graphique et scénaristique.
Cette BD est une série B completement assumée.
Le dessin sans être fantastique assure l'essentiel mais le vrai plus est la couleur; vive, chatoyante, elle donne à chaque lieux une identité et une ambiance qui lui est propre.
Une réussite simple, efficace.
Critique des 3 tomes.
Voilà une série qui porte bien son nom, en effet les auteurs s'amusent tant leurs terrains de jeu est vaste et pétrie de référence, le mélange des genres et les uchronies en font une histoire déjantée, violente et mystérieuse, une série B très sympathique ou l'action est reine.
Paradoxes n'est ni plus ni moins qu'une histoire d'amour à travers l'espace temps.
Qui n'a pas rêvé un jour de revenir en arrière pour retrouver un être cher disparu, voilà ce qu'est Paradoxes: un fantasme.
Servi par un dessin sans esbroufe, un scénario intelligent et parfaitement maitrisé cette histoire fascine par la multitude de piste qu'elle ouvre.
De la grande SF simple , profonde, magnifique !!!
Critique des 4 tomes.
Voilà une énième série horrifique ou les Zombies envahissent le monde, et c'est une réussite car si le scénario n'apporte rien de nouveau les dessins et couleurs sont à la hauteur et on passe un agréable moment de lecture. Le meilleur atout de cette série c'est qu'elle ne ménage pas les differents protagonistes de ce survival et les rebondissements sont nombreux. Le seul bémol serait peut être l'écriture bavarde et pas toujours très inspirée.
Après l'exceptionnel saga de "La cour des hiboux" on était en droit de se demander si le récit suivant serait à la hauteur et la réponse est oui, cent fois oui.
Avec "Le deuil de la famille" Snyder et Capullo montre à quel point leurs extraordinaire créativité semble inépuisable, le dessin est remarquable, le scénario fort et sombre, il dépeint ici un Joker plus psychopathe que jamais. Ce duo d'auteurs ne cesse d'étonner et de réinventer avec virtuosité l'histoire de Gotham, de Bruce Wayne et de son alter égo.
Une merveille pour tous les amoureux de batman et de son univers.
Un scénario déjà vu cent fois, des dialogues d'une longueur monotone mais surtout un dessin d'une laideur sans nom !
Comment peut on se moquer à ce point du lecteur, pas une page, pas une case à sauver ici.
Cet album est une boursouflure.
Dés les premières cases l'envoutement est total, grâce à un extraordinaire dessin qui n'est pas sans rappeler Hergé et Jacobs.
En effet tout ici est pétri de référence mais les auteurs en on fait une oeuvre qui s'en démarque totalement grâce à un scénario intelligent ou l'action, humour et suspense sont parfaitement bien dosé.
Ce formidable duo naissant est une merveille.
L'univers de Bloche est toujours un plaisir, graphiquement c'est beau et impeccable mais le scénario ne réinvente jamais cet univers très balisé.
Ici deux histoires nous sont contées sans véritablement se lier l'une à l'autre. Une certaine routine semble s'être installé, Dodier ne prend aucun risque et c'est bien dommage.
Un album agréable mais très "pepére".
Après un début de triptyque intrigant, cette histoire sombre très vite, et devient une bouillie de science fiction indigeste.
Le lecteur est balloté d'un lieu à un autre, d'un personnage à un autre et nous perd en chemin. Le récit "technoscientifique" est incompréhensible !
Le dessin rigide et froid ne laisse aucune place à l'émotion qui pouvait être la seule chose à sauver ici, bref un ratage total.
Un premier album correct et intrigant, mais qui n'évite pas quelques défauts: des personnages présentés à la hâte et qu'on a tendance à confondre, des ellipses brutales, et un dessin qui peine dans les scènes de mouvement.
Malgré tout l'essentiel est sauvé, le scénario est assez prenant pour avoir l'envie de continuer.
C'est la frustration qui domine après la lecture de ces 2 albums.
Malgré une ambiance réussie, un scénario intéressant qui traite du clan Moriarty et un dessin correct ( certains visages sont bancales) il manque l'essentiel: le génie de Sherlock holmes.
En effet à aucun moment dans ces 2 albums notre détective n'use de ses géniales déductions, il est pour la plus part du temps simple spectateur dans cette histoire.
Dommage !!!
Déjà 5 tomes parus de cette excellente série, et ce dernier est sans doute le meilleur !
En effet l'action se resserre sur les personnages principaux contrairement aux tomes précédent, c'est musclé, saignant, l'action est omniprésente et n'empêche pas quelques jolis moments de passion.
American Vampire réinvente sans cesse le vieux mythe poussiéreux vampirique.
Malgré l'indéniable qualité graphique des deux albums, l'Ombre Blanche souffre d'un manque évident d'explication. En effet la multiplicité des personnages empêche d'apprécié pleinement ce récit tant la compréhension s'avère difficile.
Malgré tout ce jeu de massacre dégage une atmosphère qui oscille entre manga et comics. C'est rapide, nerveux, épuré graphiquement.
Dommage que tout cet ensemble ne fasse pas un tout solide et uniforme.
Avis tome 1 et 2 :
Saga Valta est de ces sériés ou le souffle épique vous emporte pour ne plus vous lâcher.
Entre conte et légendes cette géniale série dresse le portrait de personnages déjà vu mais tellement fort.
Le découpage est aéré et limpide et le dessin parfait pour cet univers médiéval fantastique.
Une Grande aventure.
Cette belle série s'étoffe un peu plus avec ce nouvel épisode.
La qualité graphique est toujours au rendez vous et le scénario (sans être génial) reste classique mais efficace.
L'omnipresence de Sherlock Holmes est une première dans cette série, elle nous offre d'ailleurs une scène intéressante avec le Dr Watson qui fait suite au grand Hiatus.
Un très bon moment comme d'habitude.
Une très belle série qui s'achève sur une révélation finale assez surprenante. En effet les auteurs auront tenu leurs promesses jusqu'à la dernière case, jouant la carte du trouble et du suspense.
Un très bon triptyque qui à la relecture aura une saveur bien différente.
Excellente série.
La traque continue dans ce deuxième volume et on se délecte toujours autant de cette magnifique ambiance.
L'intrigue gagne en épaisseur et quelques rebondissements relance un récit assez classique.
Ce deuxième tome se termine sur une note ambiguë à propos de son héros. De quoi sucsiter l'intérêt en vue du tome suivant.
Rare sont les séries qui album après album suscite un intérêt grandissant. Cette série en fait partie.
Le plaisir ne quitte jamais le lecteur durant ces trois tomes, et l'attente du quatrième et dernier opus risque d'être longue.
Définitivement indispensable.
Sur un thème ultra balisé, une histoire de vampire, D gagne le pari de l'ambiance, grâce à un très beau dessin mais surtout à des couleurs extraordinaire.
Un album ou chaque page dégage un romantisme baroque d'une grande beauté.
Un excellent deuxième tome ou tous les personnages s'étoffent grâce des flash-backs inattendus.
Le découpage et les cases plus travaillées servent un scénario très addictif.
Indispensable !!!
Cet album est une très belle surprise, c'est drôle et burlesque, inventif, bien écrit et graphiquement impeccable.
Le personnage principal un avocat dandy est tour à tour attachant et insupportable, un paradoxe qui fait tout le sel de ce scénario.
Un scénario par ailleurs parfaitement maitrisé ou les rebondissements sont nombreux et ou les personnages secondaires sont d'excellente facture.
Un très bon moment de lecture !!!
Après deux très bons tomes le 3 est une catastrophe, le scénario se noie dans des lourdeurs incroyables, et le dessin semble avoir régressé, le contraste entre le tome 1 et 3 est flagrant !!!
Cette série promettait 3 tomes, et bien surprise les mots "à suivre" clos cet album très indigeste.
Une belle arnaque en somme.
Apres le grand ouest, le Las Vegas de 1930 cette saga vampirique nous débarque au milieu du Pacifique durant la deuxième guerre mondiale, toujours aussi mordant et palpitant ce 3e opus se termine sur un incroyable rebondissement.
Petites déceptions tout de même, le conflit n'apporte rien d'interressant au récit et skinner Sweet se fait une fois de plus voler la vedette par les personnages secondaires.
Mais cette histoire pleine d'actions et de bonnes idées est toujours un vrai plaisir.
Toujours servi par l'excellent dessin d' Albuquerque, ce deuxieme volet propose un scénario moins exaltant que son prédécesseur, plus bavard et moins d'action. Le personnage de Skinner Sweet est mis un peu à l'écart au profit des personnages secondaires.
La deuxieme partie de l'album "évasion" est la plus intéressante.
Hattie s'échappe et veux retrouver Pearl pour se venger, cette deuxième partie retrouve la noirceur, l'action et l'évolution pertinente des personnages concernés.
Mais le tout est de de très haute volée pour notre plus grand plaisir.
Le Maitre de l'horreur Stephen King nous livre ici les origines d'un héros ou plutôt d'un antihéros. Sanguinaire, cynique et très rockn'roll, Skinner Sweet est à lui seul l'atout majeur de ce premier opus.
Le scénario tres bien ficelé narre également la vengeance d'une femme qui croise et croisera peut être Skinner par la suite, le tout servi par un dessin puissant et nerveux.
Ca gicle, ça dévore, bref du très lourd !!!
La forme pourra en dérouter plus d'un, en effet les dessins et le découpage sont ultra classique.
Le fond est l'intérêt majeur de cette mini série : comment un groupe de super héros se bâtit sur des faux-semblants, et de sa composition de personnalités aussi diverses que névrosés.
Un bon moment de lecture.
(série des Minutemen)
Apres un premier opus raté, le deuxième volet est bien meilleur.
Malgré un dessin assez laid, le scénario explore plus en profondeur la noirceur de ces personnages, notamment celui de l'épouvantail qui ce trouve être le personnage central de cette histoire.
Un album correcte.
Un Batman sans intérêt !!!
On assiste en effet à un défilé de supervilain complètement vain, l'enquête est inexistante et les personnages sont creux.
Bref un scénario ultra classique qui n'apporte rien de neuf, même les dessins de jenkins ne sauve pas l'ensemble malgré quelques belles planches, mais que dire des ressemblances de Batman et Superman sans parler des personnages féminin qui ont le même visage, grotesque.
A oublier.
Si le scénario n'est pas extraordinaire mais très correct tout de même, le travail de Juillard lui est fabuleux: découpage fluide, dessin d'une grande précision (architecture sublime), couleurs parfaites bref un travail d'orfèvre !!!
C'est donc avec un grand bonheur que l'on retrouve les personnages et l'ambiance de cette magnifique saga.
Malgré un scénario déjà vu cent fois; un idéaliste paumé rattrapé par ses vieux démons, cet album est d'une belle noirceur.
La vraie bonne idée est de l'avoir transposé dans le milieu corrompue de la boxe. Dés la première case le sang coule et les coups pleuvent, le ton est donné.
Notre héros qui refusent tout compromis est un looser magnifique, on pense à Raging Bull de Scorcese et à bien d'autres encore.
Le tout servi par des dessins impeccable ou la violence et le mouvement donne un bel album.
3e et dernier tome pour la conclusion de cette saga, et une petite déception pointe en refermant l'album.
Malgré la beauté des femmes et des avions le scénario peine à convaincre, symbolique un peu lourde, duel entre les as vite expédié et l'histoire familiale est finalement sans grande surprise.
Mais la somme des trois albums est tout de même très agréable, grace au talent graphique d'Hugault.
Ce deuxième volet se concentre plus sur le scénario.
Moins spectaculaire que le tome précédent mais toujours aussi beau ce deuxième opus étoffe la relation des deux frères Castillac, le ton est plus grave et la tragédie familiale prend le dessus.
Un album de transition donc, ou la supercherie organisée par les frères Castillac risque de leurs couper les ailes.
La beauté et la perfection du trait efface un peu le scénario, mais à la relecture cette histoire simple et efficace, intelligemment construite en flasback casse la linéarité et amène du suspense et des interrogations sur le devenir de certains personnages.
Certes la lecture de l'album est rapide mais pages après pages c'est la contemplation qui domine. Certains plans très cinématographique sont hallucinant !!!
Un premier tome simple, juste, et d'une incroyable beauté.
Ou est passé la hargne des auteurs et de notre félin privé ?
3 ans entre deux albums pour nous livrer une histoire insipide et des dessins moins léchés.
Le graphisme moins travaillé passe encore mais quel histoire ridicule ou l'on se fout bien vite des enjeux !
Malgré quelques références à Kerouac (dont le manuscrit en rouleau) l'ambiance vire au cartoon et frise le grotesque.
Manque d'inspiration ? changement de cap volontaire des auteurs ?
voilà les questions que l'on se posent en refermant cet album.
Toujours très attendu et jamais complètement convaincu. Voila le sentiment qui ressort après la lecture de cet album et des autres de l'erre post Jacob.
Malgré un dessin parfait et une formidable ambiance le scénario est un "fourre tout" : une pincée de nostalgie, une once de mystère, et une dose de science fiction.
Mélanger le tout et il en ressort un album très agréable mais au scénario foutraque.
Toute la complexité des rapports entre les duchés éclate dans ce cinquième tome. La clarté du récit qui faisait la force des albums précèdent est ici beaucoup moins évidente, c'est toujours magnifiquement illustré mais plus bavard. Les auteurs proposent une vision de la "création de l'icône" Jeanne d'arc et de ses apparitions qui me laisse assez perplexe.
Une petite déception pour cet album, mais sur l'ensemble c'est une très belle série.
Un quatrième tome ou le jeux du pouvoir et l'action sont plus présent que dans les tomes précédent, mais cet album ne manque pas de rebondissements comme nous le démontre la magnifique couverture.
La petite Jeanne prend ici une place plus importante mais avec finesse.
Les questions sont nombreuses à la fin de ce quatrième opus; comment les auteurs vont conclure cette magnifique série historique?
Sur la forme d'abord, ce troisième volet est superbe, les planches de Theo s'aère et le trait s'affine, et que dire de la splendide couverture symbolique et lourde de sens sinon qu'elle est d'une grande finesse.
Le fond lui est un régal, le drame est à son paroxysme dans ce troisième tome. Qualité de l'écriture, scénario parfaitement rythmé, intérêt historique bref une série qui monte en puissance !
De la grande BD.
Le premier tome installait avec simplicité les personnages, les tenants et les aboutissants.
Ce deuxième volet ne déroge pas à la règle et nous plonge au coeur de l'action avec une incroyable clarté dans le récit.
Le dessin s'affine: protagonistes, architecture malgré un découpage classique.
Le ton est donné pour nous offrir une série sur une page de l'histoire de France passionnante et bien documentée.
Un pur régal !!!
Un premier opus au scénario clair, aux dessins et couleurs très réussies, le tout donne une très bonne ambiance et un bon suspense.
Qu' adviendra t-il du Roi et de son Dauphin, voila les enjeux de ce premier tome.
Pour les amoureux d'histoire mais pas que !!!
La première chose frappante de cet album c'est sa magnifique couverture. Le ton est donné pour cette nouvelle série historique qui évoluera sur quatre albums; en effet le dessin très réaliste est clair et superbe, le tout soutenu par des couleurs vives et chatoyantes.
Graphiquement c'est un régal, le seul bémol c'est un scénario trop académique.
Peu importe, ce premier opus est une réussite.
Apres les étendues arides des 3 premiers tomes ce quatrieme et dernier chapitre se termine dans les glaces du grand nord pour une fin décevante et un peu baclée. la relecture des dernieres pages s' impose vraiment pour une meilleure comprehension mais le plaisir est vraiment là.
Pour tous les amoureux de SF je vous recommande cette série graphiquement reussi mais qui aurait mérité un tome de plus.
Apres les étendues arides des 3 premiers tomes ce quatrieme et dernier chapitre se termine dans les glaces du grand nord pour une fin décevante et un peu baclée. la relecture des dernieres pages s' impose vraiment pour une meilleure comprehension mais le plaisir est vraiment là.
Pour tous les amoureux de SF je vous recommande cette série graphiquement reussi mais qui aurait mérité un tome de plus.
Apres les étendues arides des 3 premiers tomes ce quatrieme et dernier chapitre se termine dans les glaces du grand nord pour une fin décevante et un peu baclée. la relecture des dernieres pages s' impose vraiment pour une meilleure comprehension mais le plaisir est vraiment là.
Pour tous les amoureux de SF je vous recommande cette série graphiquement reussi mais qui aurait mérité un tome de plus.
Apres les étendues arides des 3 premiers tomes ce quatrieme et dernier chapitre se termine dans les glaces du grand nord pour une fin décevante et un peu baclée. la relecture des dernieres pages s' impose vraiment pour une meilleure comprehension mais le plaisir est vraiment là.
Pour tous les amoureux de SF je vous recommande cette série graphiquement reussi mais qui aurait mérité un tome de plus.
Apres les étendues arides des 3 premiers tomes ce quatrieme et dernier chapitre se termine dans les glaces du grand nord pour une fin décevante et un peu baclée. la relecture des dernieres pages s' impose vraiment pour une meilleure comprehension mais le plaisir est vraiment là.
Pour tous les amoureux de SF je vous recommande cette série graphiquement reussi mais qui aurait mérité un tome de plus.
Troisième épisode d' une série qui s' affirme et qui s' affine, en effet le dessin s' améliore pour notre plus grand plaisir ( vraiment superbe ). L 'invasion des glyphas et le voyage en "popularium" sont les grands moments de ce tome, qui nous livre quelques réponses sur Septentryion. Mais tout ça reste bien mysterieux, qui est vraiment chronover quelles sont ses intentions ?
Une formidable aventure qui malheureusement touche a sa fin !!!
Apres un premier tome qui installait les bases d' un univers tres personnel, ce deuxieme opus fait place a l' action sans donner de réponses a nos questions, mais on suit notre heros avec grand plaisir.
C' est assurément le moins interessant des 4 tomes.
A suivre ...
Un premier tome de SF c' est toujours une appréhension; l' immersion serat elle au rendez vous ?
Et bien avec Septentryon c' est réussi, certe les questions sont nombreuses a la fin de ce premier opus mais le plaisir est bien réel, le dessin fin et précis est superbe les couleurs éclatantes et le scénario prenant et intrigant.
Une belle série de caractère qui s'annonce !
Album 1 et 2.
A part un dessin correct, rien à sauver dans ces 2 premiers albums, ceci est du a un scenario totalement incomprehensible, et une présentation du héros stéréotypé,
Les albums suivant seront ils a la hauteur ?