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Interessant, beaucoup de potentiel.
Un contexte neo-retro, des scenarii plutot bien ficelés, des personnages mieux construits que la moyenne, et un dessin tres correct. S'ajoute le 'mystere' des (du ?) personnages principaux, pour donner une lecture agréable.
Ceci dit, les auteurs n'ont pas l'air de vouloir attaquer de front l'identité de Jim/Jenna, ce qui a mon sens affaiblit considerablement le récit. Au final, j'aurai lu avec autant de plaisir une histoire de Jim (ce personnage étant prédominant dans le couple), l'apparition de Jenna n'etant qu'une distraction.
Le lecteur apprenant d'entree la situation des personnages, il serait interessant de laissé transparaitre dans leur quotidien les modalités et peut-etre lo'rigine de la situation. Les informations distillées en 2 volumes sont maigrelettes.
De plus, leur état semble essentiellement avantageux, et la relation Jim/Jenna totalement harmonieuse, alors que de nombreuses contraintes seraient envisageables.
Au final, le personnage le mieux charpenté (et le plus sympathique) est etonnament Beltran.
Au vu des progrès entre les deux premiers volumes, le troisieme pourrait bien etre tres bon.
L'original (Kookaburaa) n'est pas assez fort pour porter ces récits des origines des personnages. Les histoires étant par ailleurs plutot moyennes, le résultats se consomme sans y revenir.
Honnete.
Dessins accrocheurs, scenario pas mal sans plus, rattrapé par une bonne interaction entre les personnages.
Un comic comme il y en a des tonnes.
Moins racoleur, dessin un peu plus travaillé que la moyenne, jolies couleurs, chiant.
Les super-heros ne sont pas missibles dans Sherlock Holmes.
Apres un premier numero accrocheur mais desquilibré, les auteurs de Ruse se décident a eliminer les elements 'super-heros' liés à l'editeur.
Reste une ambiance delicieusement Holmesienne, dans laquelle évoluent Simon Archard, génie déductif et asociable, et Emma Bishop, blonde faire-valoir redoutablement rusée.
Un charme retro indéniable, et une absence quasi totale de raccolage (robe victorienne de rigueur), ce qui merite d'etre signalé dansune production americaine.
Beau mais bizarre.
Alan Moore ne raconte jamais d'histoire : il raconte des fables. Promethea n'a visiblement pas été concu comme une lecture récréative, mais plutot un jeu de l'esprit, une divagation sur l'imaginaire, la portée de sa magie.
C'est visuellement tres beau, même si j'ai honnetement deja vu mieux (rarement), mais incroyablement imaginatif. Promethea casse la structure des cases, mélange le texte et son contexte, entrecroise la réalité et la fiction de la fiction .. Le meilleur exemple étant probablement le numéro 12 'Metaphore' (et metaphore est un anagramme de Promethea, ca n'est pas un hasard), dans lequel s'entrecroisent plusieurs discussions, un jeu d'anagramme, une anectode de Crowley, la vie d'un homme et l'evolution de la planete, sur fond de cartes de tarot divinatoire. Tout ceci a chaque page. S'en suit une longue ascencion de l'arbre de la vie, et un décodage progressif des symboles mystiques qui parsement la narration.
Attention, le discours de l'auteur est touffu, et la lecture necessite une certaine ténacité.
Visuellement fantastique, un scénario un peu en retrait.
Planetary est avant tout un hommage. Chaque volume se lit assez independamment, chacun etant une reference appuyée à un style particulier, les comics evidemment, mais aussi les films de Hong Kong, les films fantastiques des années 60, ou les pulps novels du début du siècle.
Les personnages sont attachants, même si en retrait du theme principal le plus souvent.
Le dessin est fabuleux, les couleurs sont fantastiques, et le style change à chaque volume pour s'adapter au theme. De James Bond (enfin, Jack Stone) à lord Greystoke (enfin, Blackstock), en passant par Godzilla.
Cependant, l'aperiodicité de la version américaine, l'histoire générale plutot diluée, et le besoin important de 'culture' des comics us rendent la lecture moins passionante qu'impressionnante.