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Si je n'avais que le dessin à noter, j'aurais donné la note de 5 (au moins).
Quels excellents dessins réalistes ! Les décors sont d'une extraordinaire précision millimétrique. Que de temps consacré à réaliser ces planches.
Le contrecoup de la qualité graphique est que le scénario est bien faible ; de plus je sens que la traduction en français n'est pas au top.
P.S. : merci de soigner les expressions des visages qui sont un peu trop rigolardes, même dans des situations tendues.
La mode des spin-off et autres produits dérivés ? Pourquoi pas, quand au moins l'un des auteurs de la série initiale est présent comme garant d'une cohérence dans le scénario ou le dessin.
C'est bien le cas de cette mini-série "La fortune des Winczlav" avec Van Hamme aux manettes, lequel Van Hamme n'en est pas à son premier essai dans le genre (voir XIII, Histoire sans héros, les maitres de l'orge).
Autant je n'ai pas été déçu par les spin-offs de XIII, autant pour "La fortune des Winczlav" c'est un peu lège ; d'accord, dans le principe, il faut aller vite ; passe encore. Mais le dessin de Berthet est trop "ligne claire de chez ligne claire" : académique, plat, mou ; et les couleurs fades n'arrangent rien ; alors que dans "Le privé d'Hollywood", le dessin avait de la gueule ...
Bref, ça fait un peu "l'album de trop" pour les deux auteurs.
Ca ne m'empêche pas d'attendre la suite avec intérêt, car, bon sang de bois, comment le vieux Nerio avait-il construit son empire ? Hein ? Hein ? Hein ?
Avis pour la totalité du tryptique "Porcelaine".
J'ai été très très bluffé par ces BD.
Elles sont l'oeuvre d'un scénariste et d'un dessinateur anglais ; or, j'étais resté dans l'idée que les anglais (comme les américains) ne réalisaient que ce que nous appelons des "comics", c'est-à-dire selon moi, un ersatz de bande dessinée.
Quelle n'a pas été ma surprise de découvrir de "vraies BD", au sens franco-belge du terme, et pas des moindres : un scénario fort bien construit dans une atmosphère de conte onirique, très prenant et ... quel dessin !! à ne rattacher à aucun style connu, très précis (et précieux), colorisé à merveille.
En creux, le fait que le texte soit traduit de l'anglais au français et, comme chacun sait : traduction -> trahison.
Rigoureusement indispensable pour rêver en BD.
Merci aux éditions Delcourt de publier ce genre d'oeuvre majeure.
Un scénario que se veut original en basant l'action sur un héros, ingénieur en BTP de son état, taciturne, bougon, prétentieux. Le peu de charisme de ce héros me fait douter de la réussite d'une saga autour d'un pareil profil.
Le dessin réalisé avec les techniques d'aujourd'hui, lui non plus, n'est pas convaincant et donne un goût de non inabouti.
Idem pour les couleurs tristounettes.
Une impression générale de BD de débutant, mais avec un potentiel qui mérite d'être revu.
Je ne suis pas fanatique des BD SF ou anticipation dans la mesure où paradoxalement elles sont peu ingénieuses et baties sur le même modèle de type "Star wars".
Mais avec UW1, le scénario de Bajram présente beaucoup d'originalité dans l'exploitation du paradoxal voyage dans l'espace-temps. Evidemment, la fin semble capillo-tractée mais c'est la règle en SF ; donc j'adhère.
D'autre part, le dessin de Bajram est bien travaillé (avec ordinateur) et les personnages sont bien campés.
En résumé, une saga à avoir en bédéthèque.
Puisque c'est un "Bernard Prince", il faut dire que c'est un "bon album".
Sinon, l'album confirme qu'il est difficile de faire durer à toute force une série culte qui avait atteint sa fin.
Bernard Prince est une BD viscéralement attachée au couple Greg, Hermann, un point c'est tout.
Scénario : bien
Dessin et couleurs : adaptés au scénario
Alors pourquoi une note finale de 0 ?
Cette Bd est une biographie du crime et de la violence sous toutes ses formes : assassinats, drogue, prostitution, pédophilie et j'en passe.
Même si, formellement, l'album est correct, sur le fond, il convient de l'oublier très vite, au besoin de le détruire en le brûlant et surtout que cette abomination ne tombe jamais dans des mains d'enfants ou d'ados.
Au mieux la place de cette chose est dans l'Enfer d'une bibliothèque.
Que dire de cette "oeuvre" ? :
- dessin : faible
- scénario : faible
- couleurs : faible
- lettrage : faible
et ils ont trouvé un éditeur ? Bravo.
J'avais été plutôt séduit par la première et la quatrième de couverture : un dessin dans la mouvance de la ligne claire, dans une époque rétro polar des années 50.
En fait coté album, le dessin est bien dans cette veine où officiait le Grand Maitre Tillieux.
Malheureusement, n'est pas Tillieux qui veut ; il ne suffit pas de mettre en scène un détective aux abois financiers, un malabar pour servir de punching-ball, une minette aux formes sexy et un flic à la traine, pour s'approcher du Maitre. Le scénario part en diverses branches inventées pour les besoins de la cause, mais ça le rend peu crédible et peu cohérent (que vient faire la diaspora arménienne dans ce polar ?).
En bref : BD correcte pour le dessin de Schwartz. De nos jours, c'est rare de voir circuler des "4 pattes" dans les BD.
Avis sur la saga (4 tomes).
En général, les thrillers, policiers et grandes sagas ont pour héros un beau et grand garçon, musclé, bronzé, propre sur lui, qui se joue allègrement de tout piège et peau de banane.
Avec Sara Lone, merci aux auteurs de nous sortir de ces codes traditionnels, en introduisant une jeune héroïne, certes mignonne mais avec ses faiblesses et ses coups de malchance.
Le scénario exploite l'une des plus sombres affaires que les USA ont connues (et par effet colatéral, le monde entier), à savoir l'assassinat de JFK en 1963.
Arnoux tisse un scénario original, complexe, de crédibilité acceptable. La série s'achève par des questions en suspend, ce qui n'est pas anormal vu le sujet traité. Il est recommandé de relire la série pour en apprécier les subtilités.
Morancho au dessin et à la couleur nous propose un trait très réaliste; les personnages sont bien identifiés, les décors très précis. La colorisation tend vers le pastel ; un petit manque de lumière.
Au final, une excellente saga bien conçue, bien réalisée et qui laisse même la porte ouverte à une suite (si les auteurs ne sont pas épuisés par leur périple chez Sandawe).
Outre la corde "Le Chat", Geluck en a bien d'autres à son arc pour lancer ses flèches sur le politiquement correct, nos défauts, nos principes intangibles, nos petites vanités, nos méchancetés.
Dans la lignée des Desproges, le trublion Geluck vise juste et bon nombre de bien pensants se verront ciblés.
Texte et dessin : rien que du bon.
Cet album est un mix entre roman graphique et BD. On y trouve une documentation sur la conquête spatiale, particulièrement l'odyssée du programme US Apollo, mais aussi la station internationale ISS sans oublier toutes les nations qui ont apporté et continuent à apporter leur pierre à la construction de cette aventure humaine.
La partie BD est moyenne par ses scénarios peu crédibles ; les dessins sont perfectibles.
L'ensemble devrait plaire aux ados.
Je veux bien féliciter les auteurs pour avoir eu l'énergie d'achever leur projet grace au crowfunding de Sandawe. Rien n'est simple si l'on veut vivre de son art.
Par contre, je ne suis pas du tout fan de cette BD du genre thriller fantastique. Le scénario est confus et malheureusement le dessin ne le soutient pas : les personnages se ressemblent trop et on se perd dans la narration. Enfin, la colorisation par aquarelle, certes artistique, ne facilite en rien la lecture.
Dommage car on ressent un potentiel intéressant chez les auteurs.
Un thriller jubilatoire par le style de dessin pratiqué par Regnault : une sorte de trait acéré, comme un négatif photographique, particulièrement bien adapté à une atmosphère dramatique.
La colorisation est bien adaptée à l'époque vintage du récit.
Le scénario est également bien ficelé, avec des acteurs bêtement méchants et sans avenir sinon la tragédie.
Une bonne BD dans le genre comique superhéroïque délirant, dans les traces du maestro Gotlib.
Le dessin porte bien le héros et ses aventures loufoques. J'ai bien aimé également l'usage d'idiomes aveyronnais dans les dialogues.
La présence de la grand-mère ne me parait guère judicieux ; la femme d'Aimé eut été plus appropriée pour faire jouer d'autres registres comiques ; également j'attendais plus des situations estampillées "érotiques" qui laissent sur notre faim.
En règle générale, je trouve que Ferri aurait avantage à exploiter plus vigoureusement les codes du comique farfelu ; son héros n'en serait que plus attachant (et ma note également maximum).
Avis sur la série de 4 albums.
Incontestablement un bon ouvrage : le scénario est bien construit, avec une linéarité de fond volontairement entrecoupée de flashbacks. Le dessin, bien que je ne sois pas du tout fan du style, est réussi ; il fait bien passer les émotions des personnages et est au service du scénario angoissant et glauque.
Par contre, il faut aimer le genre "thriller psychologique", ce qui n'est pas mon cas (pour moi la BD doit surtout être distrayante).
Avis sur les 6 tomes de 9/11.
Une BD thriller bien sûr romancée mais s’appuyant et référençant de nombreux actes réels apparus fin des années 90, début des années 2000. Le scénario jongle plutôt bien entre la fiction et la réalité ; personnellement j’ai pris quelques leçons géo-politiques instructives car bien documentées.
Il est dommage que le dessin ne serve pas mieux le scénario sur les 6 tomes. Le dessinateur Jef, surtout pour les personnages de la réalité est plutôt moyen ; quelquefois le trait se veut précis puis se relâche et donne un air de bâclé.
La couleur généralement sépia ou grise, certainement appropriée à l’univers traité, apporte malheureusement une chape de grisaille
Dans cet ouvrage, il y avait manifestement l’opportunité de réaliser une saga de référence, mais les auteurs peut-être pressés par le temps sont passés à côté.
Il reste qu’il faut avoir lu cette BD.
Malgré un bon dessin dynamique et la volonté manifeste du scénariste de sortir des codes, je trouve que l'ouvrage ne vole pas son titre : "une désastreuse aventure" de Abe et Lagribouille.
Le principe du héros qui met la grouille en s'invitant dans l'espace-temps d'un processus passé, n'est pas bien exprimé dans cette histoire brouillonne.
Les planches d’origine datent du début des années 50, en N & B. Dans l’Intégrale, qui propose les planches en couleur, nous retrouverons à l’état (très) brut certains personnages qui feront l’énorme réussite de Oumpah-pah et Astérix.
Mais quelle extraordinaire évolution artistique entre ces époques !
Vu d’aujourd’hui, je trouve Belloy très primaire, voire médiocre, tant pour le scénario que pour le dessin, mais c’est une pépite historique pour comprendre de quoi est capable le génie de ces auteurs magistraux.
D'où la note de 5.
Une BD dans le style libre de Louarn qui s'exprime sans contraintes. Dans les confrontations patronat/prolétariat, on pourra retrouver du vécu avec des personnages de diverses époques, et même d'aujourd'hui (manifs gilets jaunes).
Le dessin dynamique est fortement inspiré du style Franquin, Jidéhem, avec des personnages bien campés et truculents ; je regrette que le texte soit envahissant et diminue la lisibilité des images.
BD sympathique en N&B.
Une BD dans le style libre de Louarn. La critique est forte sur les magouilles dans le sport mais on pourra retrouver des situations bien réelles.
Dommage que le dessin dynamique de Louarn soit occulté par les tonnes de phylactères et autres textes qui écrasent l'image et fatiguent la lecture, d'autant que le lettrage n'est pas très lisible.
BD sympathique en N&B.
De nombreuses références (romans ou cinéma : Pont Rivière Kwai, Papillon, Paul-Loup Sulitzer, etc ...) émaillent cette saga intéressante qui pourrait sortir de faits historiques réels.
Le scénario est bien tourné. Les personnages tiennent bien leur rôle ; l'histoire de galipettes avec la femme du commandant et les jumeaux n'est pas indispensable, mais apporte le petit plus romanesque.
Les couleurs avec tendance au sépia sont justifiées dans pas mal de situations (les camps, la jungle, les batailles, les uniformes).
Le dessin réaliste est tout-à-fait correct ; je lui reproche toutefois de n'être pas assez "trash" dans les scènes situées dans les camps ou la jungle où ça ne devait pas être un cadeau de survivre.
Bref que du bon.
Sur le thème intemporel de la confrontation du Bien contre le Mal, du Bon contre le Méchant, du Fort contre le Faible, il est dommage que les auteurs aient produit à ce jour 9 albums pour en arriver à cette faible récolte de morale humaniste.
Comme toujours dans une saga, le premier tome est porteur de devenir intéressant, mais malheureusement, tout se dilue par la suite dans une répétition de clichés banals, vus et revus.
Le personnage principal manque de punch sur la morale (alors qu'il peut être méchant, très alcoolique, voire criminel).
Le dessin est lassant, les couleurs tristounettes, le lettrage moyen.
Bref, un résultat décevant alors qu'il y avait l'espace et la matière pour faire vibrer les ressorts du genre comique, critique, moraliste, déjanté.
Hélas, je ne peux que me joindre à l'opinion générale sur ce tome 36, qui, vraisemblablement sera le dernier de la série (le titre permet de le penser). D'ailleurs j'ai très vite trouvé ce tome en occasion, ce qui est révélateur d'un faible intérêt populaire.
Cependant, fonction de votre grand oeuvre, je vous souhaite de prendre une bonne retraite bien méritée Mr Huppen.
Tome 1 et 2.
Un diptyque dans la mouvance franco-belge et la ligne claire.
On retrouve les codes du polar selon le modèle Gil Jourdan :
le héros, son faire-valoir, un inspecteur benêt, et une mignonne pour l'indispensable touche de féminité.
Les personnages sont bien distingués tant dans le dessin que dans leur jeu.
Le dessin est de grande qualité, précis, bien colorisé, avec mention spéciale aux excellents décors de Paris.
Le scénario est un peu faiblard.
Au final, j'apprécie cette atmosphère de polar vintage et je regrette que la série soit terminée.
Rien que du top niveau : scénario, dessin, coloriage.
Vivement le tome 3 pour lequel je patiente depuis longtemps ; la lecture n'en sera que plus savoureuse.
Tome 2. Combien de temps ...
Grande constance dans la qualité du graphisme et des couleurs bien adaptées à du "noir". Le scénario tient bien la route, s'appuyant sur des traumatismes typiquement américains : l'activité mafieuse, les oppositions chroniques des forces de l'ordre et ... un peu de l'assassinat de JFK.
On en voudrait encore plus tellement cette BD vous accroche, mais la fin proposée est logique pour un tel sujet.
(Au fait, c'était bien un "méchant").
Chapeau aux auteurs.
Mérite bien le détour, ne serait-ce que pour le graphisme, très en dehors des sentiers battus et bien adapté à la "série noire" (noter que quelquefois il n'est pas simple de bien distinguer les intervenants).
Le scénario est également bien construit et on s'attache au personnage central (au fait est-ce un "bon" ou un "méchant").
Commentaire valable pour le premier dyptique.
Je ne suis pas trop fanatique de la BD de SF.
Mais Orbital m'a vraiment séduit.
Tant le scénario que le dessin m'ont transporté dans le monde fictif avec un très grand intérêt : on s'y croirait ; et pourtant c'est ce qui est, pour moi, le plus difficile pour une BD de SF : transporter le lecteur dans cet imaginaire.
Bravo Orbital