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Je ne connaissais pas cette nouvelle série et j’étais un peu dubitatif lors de l’achat de celui-ci. Et bien je dois dire que j’ai été agréablement surpris. Le concept est vraiment intéressant, Ici des quidams, engagés par la Navy, car ceux-ci ont le pouvoir de contrôler des dragons. Chaque dragon ayant une particularité différente. Dans ce tome, direction Pearl Harbor, comme le titre l’indique. Des dessins / planches magnifiquement dessinées, j’ai vraiment trouvé cet album magnifique.
Je me laisserai certainement tenter par les autres albums, en espérant qu’ils soient du même niveau.
Bon, et bien ce dernier opus se termine par… rien en fait. Il n’y a pas de fin. Déjà précédemment, ça tournait un peu dans tous les sens mais ce dernier album nous laisse complètement sur notre faim.
Il est particulièrement axé sur le personnage de Schultz, qui pour l’occasion sera bien entendu le fameux Dottore Serpenti. Un perso qui se montre franchement odieux, le méchant parfait, qui n’a aucune limite dans sa cruauté.
Mais encore une fois, ça s’arrête finalement à ce personnage. Le héros étant, quand à lui, passé au second plan.
Bref, c’est oui pour Schultz et sa malfaisance. Également oui pour le dessin (comme souvent). Pour le reste, c’est brouillon. Et comme dit précédemment, on ne connaîtra jamais la fin. Et c’est bien dommage.
C’est un album encore bien barré et qui part dans tous les sens. Peut-être un peu de trop même. Ça fourmille d’idées mais ça en devient parfois un peu brouillon. Ce tome n’est pas pour autant à jeter, le côté humour absurde est bien présent et plaira à bon nombre.
Série que, comme beaucoup de monde, j’apprécie particulièrement.
Par contre, cet album composé de plusieurs histoires courtes m’a quelque peu déçu. Je n’ai malheureusement pas été emporté par la magie des premiers albums. Ça n’enlève cependant rien au talent et au travail de Dany.
Avant les Psy, Bedu avait quelques bonnes petites séries, passées un peu dans l’oubli. Ali Beber fait partie de celles-ci (tout comme Hugo par exemple). Et c’est assez réjouissant de relire les aventures (un peu courtes) d’Ali et de son frère.
C’est très classique et ça se relit toujours avec plaisir.
Dessin sympa mais gags plus que moyens, limite nuls pour la plupart.
De plus, la visibilité des planches est très réduite tant il y a des dialogues inutiles pour ce type de bd d’humour. A croire que le scénariste est payé au nombre de phylactères.
Moui, bof, pas convaincu de cette aventure de nos deux comparses, en Amérique du Sud. À nouveau, nos reporters vont faire face à d’étranges phénomènes.
Lecture passe-temps, sans plus.
Je me suis lancé dans la lecture de cet album sans avoir lu le premier. Il y a un préface qui relate les événements du premier tome et permet de situer un peu les personnages et leur histoire.
Cette suite est plutôt intéressante et plaisante, une aventure bien construite. Le duo Dany-Van Hamme fonctionne toujours très bien et l’on a plaisir à suivre les péripéties de tout ce petit monde.
4 histoires courtes, et le souci c’est que, au moins la première méritait d’être un peu mieux exploitée au niveau du scénario. C’est du vite fait bien fait, mais au final on est un peu déçu que la pâtée explosive ait seulement tenu sur une quinzaine de planches.
Les trois autres histoires sont quand à elles vite oubliées. Malheureusement, même chez les grands auteurs, il y a parfois des lacunes. Manque d’inspiration? De temps? Ça arrive, même aux meilleurs.
Cet album est juste excellent. J’ai rigolé tout du long.
Composé de 5 histoires courtes, aucune n’est à jeter ou mettre de coté, l’humour est omniprésent. Jeux de mots et calembours à gogo, un Goscinny au sommet de son art.
À lire sans modération.
Content de l’avoir trouvé celui-ci, je n’étais jamais tombé dessus auparavant.
Bonne histoire avec un scénario plutôt simple. On suit avec plaisir les aventures de notre trio (Bob, Bill et Sophia) réuni, toujours sympa.
Excellent opus mêlant avec brio aventure, humour et un scénario bien réussi. C’est propre et on ne s’ennuie pas du tout à la lecture de cet album.
Du très bon Peyo.
Le tout début des aventures de Johan. Histoire avec un scénario très simpliste, ça se laisse lire mais on sent que c’est d’une autre époque.
Les personnages sont toutefois intéressants, les dessins passent plutôt bien pour ce démarrage de la série. Mais le tout reste un peu faiblard. La série se bonifie par la suite, notamment avec l’arrivée de Pirlouit et des albums plus distrayant et amusant.
Bon, je ne connaissais pas et j’ai un lu ce tome un peu par curiosité mais force est de constater que j’étais un peu perdu dans la lecture, ne connaissant rien sur les différents personnages, ni le monde dans lequel ceux-ci évoluent.
Bref, difficile de juger sur cette unique lecture. J’espérais par ailleurs un peu plus d’humour. A relire si j’achète un jour les premiers tomes.
On parle beaucoup ici du format de l’album et je peux tout à fait comprendre la frustration de certains.
Toutefois, l’important ici pour moi c’est de tout de même juger cet album et franchement, j’ai trouvé l’idée plutôt intéressante et originale malgré que le scénario soit assez simple. Les dessins, il faut s’y faire un peu mais au final, ça colle plutôt bien à l’ambiance générale de l’histoire.
Un moment de lecture agréable et relativement amusant.
Un petit village, situé en montagne, fait face à une chute de météorite. Luc et Lora y sont envoyés pour mener l’enquête alors que le village est confiné et ses habitants en proie à d’étranges phénomènes.
Le scénario est super intéressant et bien construit, on peut considérer cette aventure comme un petit thriller, quelque peu angoissant. Un album rondement mené et original.
Après, il faut se mettre dans les conditions de l’époque, où le téléphone était très peu présent. Et donc, appeler des secours à l’instant T, devenait chose compliquée. Ici, c’est un des points notables qui joue beaucoup sur l’histoire.
Lecture indispensable pour les fans du genre.
Encore un bon album, histoire sympa, les personnages sont toujours aussi attachants et le côté humour est encore bien présent.
Dommage que cette série soit un peu tombée dans l’oubli finalement, elle mérite d’être plus connue.
Une tribu perdue sur une petite île en plein milieu du Pacifique. Des hommes en attente du Dieu-Cargo, synonyme d’espoir pour eux. Espoir qui finalement devient leur raison de vivre.
L’arrivée inopinée de Martin va-t-elle changer le cours des choses?
C’est encore une fois une histoire pleine d’émotions et d’humour que nous concocte Godard, comme lui seul sait le faire. Indispensable dans toute bonne bibliothèque.
L’histoire est bonne mais le scénario est un peu léger, il n’y a pas de gros suspense.
En tout cas, Vernes a du donner des idées à Michael Crichton, avec sa création de mammouths.
Lecture plaisante, avec des excellents dessins de Coria, encore une fois.
Honnêtement, je l’ai acheté un peu au hasard en vide grenier, sans vraiment savoir de quoi il s’agissait. Mais en voyant Trondheim, je me suis dit que ça devait être pas mal.
Alors, oui, c’est plutôt sympa et gentillet. Ça fait clairement penser à la série Dad, on y retrouve un côté un peu « mignon » et bien entendu le côté gags. Niveau humour, tout n’est pas toujours du même niveau, mais j’ai esquissé plusieurs sourires à la lecture.
Par rapport au thème, c’est un bon album, une lecture agréable et facile. On attend un éventuel tome 2, pourquoi pas…? Ça semble tout de même compromis.
J’ai trouvé cet album pas si mal, il y a une intrigue intéressante et ce n’est pas confus par rapport au nombre de protagonistes.
Par ailleurs, l’auteur a l’air de plutôt bien maitrisé son sujet. Ici l’Himalaya et nombreux termes associés à certains rituels népalais, religion,… ceci sans pour autant étouffer l’histoire.
Ce n’est pas de la grande bd certes, mais ça a le mérite d’être lu.
De Coyote, je ne connaissais que Litteul Kevin. Je suis tombé sur celle-ci par hasard et, honnêtement j’ai trouvé ça excellent.
Tous ces personnages différents et bien caricaturés, qui cohabitent dans ce même immeuble. Et chacun son univers et ses délires.
C’est drôle, fort bien dessiné, et il y a une belle mise en couleur. Bref, une agréable bd d’humour.
Tout est ici en place pour faire un excellent western. On y retrouve tous les codes du genre qui font de cet album une référence en la matière.
Hermann maîtrise parfaitement son sujet et nous fait vivre une très bonne histoire de vengeance, le dessin est très beau et la palette de couleurs également. À recommander vivement pour tous les fans du style.
Duchateau nous ressort le mythe du monstre du Loch Ness, raison pour laquelle Yalek se retrouve en Écosse. Mais l’histoire tourne vite en chasse au trésor et notre Nessy passe au second plan.
Yalek va venir en aide à Lord Malcolm Buchanan, qui recherche un trésor familial. Sauf que, bien entendu, il y a du monde sur le coup.
C’est un bon album, ça reste du Yalek dans le style. Étonnamment, on retrouve moins ce côté un peu farfelu/loufoque de certains autres albums, et ce n’est pas plus mal pour une fois.
Des courses poursuites dans une chasse aux trésors au Portugal et à Madère. Marc Franval et le Professeur De Sousa vont avoir fort à faire pour retrouver les tableaux d’un célèbre peintre.
Un scénario assez classique pour une histoire qui ne l’est pas moins. Le style a un peu vieilli quand même mais la lecture reste agréable.
Au fil des albums, on en découvre de plus en plus sur le passé des personnages, il y a des choses intéressantes à tirer de cette série. Après, il faut savoir apprécier le style. Mais encore une fois, la lecture est plutôt plaisante et mérite que l’on s’y attarde.
J’ai relu les deux premiers tomes il n’y a pas longtemps et là, je me suis plongé dans ce cinquième album (à défaut d’avoir les 3-4).
Heureusement, il y a quelques références/rappels qui permettent de suivre sans trop s’y perdre.
Les aventures de Ian restent agréables à lire, bon souvenir du magazine Tintin dans les 80’s. Le scénario est parfois un peu décousu, il faut réussir à suivre, les dessins restent très bons. Dans l’ensemble, cela reste une bonne série qui se laisse lire.
A mon avis, Leloup s’est lui-même perdu dans cet album.
C’est juste du grand n’importe quoi entre les personnages, les échanges d’ames sans queue ni tête, tout se mélange et on ne voit pas où ça mène, un scénario complètement foireux. Cet album n’est que confusion, c’est loin d’être une réussite.
Les nouvelles d’Alphonse Daudet mises en bd avec beaucoup de plaisir et un brin d’humour par l’excellent et regretté Mittei. On se réjouit de (re)découvrir quelques classiques comme le non moins connu La chèvre de monsieur Seguin.
Petit plaisir de lecture pour tous les âges, on ne peut que recommander.
Scénario un peu farfelu, l’histoire démarre assez lentement je trouve. Toujours agréable de retrouver toute la troupe pour une nouvelle enquête mais un final qui est assez perturbant, je ne m’y attendais vraiment pas - je ne vais pas spoiler.
Pas le meilleur de la série mais pour moi, une grosse surprise dans cet opus. Passage obligé pour tous les fans de la série. Et c’est la raison pour laquelle il faut absolument le lire, même si globalement, l’album n’atteint pas le niveau de certains autres tomes.
Suite aux derniers événements en Thaïlande et à la mort de leur collègue et ami, l’équipe de Brazil est mise à parti avec d’autres services.
Afin de redorer leur image, les caïmans sont envoyés aux Aléoutiennes pour arrêter un trafic d’immigrants vers les States. Mais Brazil flaire rapidement qu’autre chose se trame derrière ce trafic d’êtres humains.
L’histoire est vite lancée, avec entre autre l’arrivée d’un nouveau caïman, Nomade. Le scénario est aux petits oignons et on se prend d’emblée dans l’aventure avec notre commando. Cette fois encore, de l’excellent travail, avec de magnifiques dessins de Vance.
Bien malgré elle, Natacha et l’équipage de la compagnie sont affectés à un vol pour le compte d’un milliardaire quelque peu excentrique. Exception faite de Walter, qui lui est mis de côté pour continuer sur le vol Bardaf.
L’histoire est assez dynamique, avec pas mal de personnages. Celle-ci aurait pu se focaliser uniquement sur le vol de Natacha, celui de son collègue Walter étant totalement anecdotique et sans intérêt par rapport à l’intrigue principale.
Dans l’ensemble, un bon album, relativement bien réalisé, avec des passages plutôt amusants.
On sent que l’auteur a envie de faire un truc bien foutu, en essayant de mêler une intrigue, de partir dans plusieurs directions niveau scénario. Malheureusement, cela reste trop statique et ça manque toujours d’action pure et dure. On n’est pas entraîné dans l’histoire, il manque quelque chose..
Les dessins restent néanmoins sympas et rehaussent le niveau. Suite aux prochains épisodes. En espérant encore une fois, un peu plus de pêche.
Un album qui se réfère à pas mal d’autres, le feu des souvenirs remettant les personnages dans leurs passés respectifs. On notera beaucoup de références aux autres tomes.
Cela n’empêche en rien la lecture et une compréhension de l’histoire. Histoire que j’ai trouvée un peu simple, sans trop de recherches.
On peut tirer notre chapeau au super travail de Bonhomme sur ce Lucky Luke vu par… Un scénario original pour une histoire très bien dessinée.
Notre cowboy a un côté plus dur, plus froid que celui qu’on a l’habitude de voir. Mais il reste parfaitement droit dans ses bottes pour mener son enquête avec brio.
Cet album est vraiment une réussite dans le genre, et il ne ternit en rien l’image de notre héros créé par Morris. Bravo à l’auteur pour cet excellent boulot.
Mais qui est donc Tsi-na-pah, dit Nez cassé? C’est notre héros, renégat malgré lui, qui a été recueilli par Cochise et sa tribu Apache, après l’accident de train qui a faillit lui coûter la vie.
S’il s’est habitué à sa nouvelle vie et famille, certaines tensions sont présentes, principalement avec Vittorio, prétendant de Chini, la fille de Cochise, et en concurrence avec notre cow-boy reconverti.
Une bonne histoire, où il est agréable de retrouver un peu tout ce qui fait un bon western: les cowboys, tribus indiennes, tuniques bleues, Wild bill Hicock… le tout dans un bon scénario dont on se languit de découvrir la suite dans le tome suivant.
Ce n’est certainement pas le meilleur de la série mais ça reste un bon album. Bon, il y a un petit pompage sur le Seigneur des anneaux pour le scénario mais l’histoire a un bon rythme et les dessins sont toujours très bons.
Quoiqu’on en pense, on passe un bon petit moment dans ce monde imaginaire. Mais pour les suivants, il va falloir penser à relever d’un cran le niveau.
Petite série créée par Peyo au début des années soixante. Il y a eu plusieurs dessinateurs mais ici c’est Walthéry, à l’époque assistant de Peyo, qui s’est vu confier le dessin.
C’est gentillet et cela vise un public jeune. L’histoire des deux jeunes ados tient sur une moitié d’album. Le reste est composé de deux autres histoires ainsi que de gags en une page, qui n’ont rien à voir avec nos deux personnages initiaux.
Alors là, on est dans une aventure qui va à du cent à l’heure, avec un Blueberry qui est en proie à un sinistre complot, dans lequel le président Grant est sur le point de se faire assassiner. Son bourreau, le jeune Angel Face - un sniper redoutable.
Ça part dans tous les sens, les victimes se suivent et notre héros passe son temps à fuir tout le joli monde à ses trousses.
Un scénario très bien fichu, des dessins parfaits, pour une histoire proche du policier/thriller, façon western.
Il n’est pas trop mal cet album. Certes, c’est toujours aussi barré et on se demande encore si Duchateau savait où il voulait en venir, mais c’est plutôt correct dans l’ensemble. La seconde histoire également.
Ne pouvant mettre juste la moyenne, je rehausse une nouvelle fois un peu le niveau et mon estime pour cette série quelque peu atypique.
Une bonne surprise que cet album, les derniers tomes souffrant souvent de créativité, manque d’idées et d’imagination.
On y découvre un Ledru sous une autre forme, dévoilant son côté paternel, alors que son fils s’est mis dans de sales draps.
L’opus est étonnamment violent par moments, un côté un peu plus sombre de ce que les auteurs ont l’habitude de nous montrer.
Ce tome 64, plutôt entraînant, se termine sur une énigme. Bien qu’une partie de l’affaire soit déjà éclaircie, la suite de l’histoire est à suivre dans l’album suivant.
En espérant qu’il soit du même niveau que celui-ci.
Encore une série ratée chez Bamboo. Ça se veut drôle mais ça ne l’est pas.
La preuve, un seul tome. Et puis, basta. Bref, complètement évitable.
Cet album, premier du nom (et on espère des suites) est un réel hommage à certains grands noms de la bd franco-belge.
Les personnages, l’ambiance, l’époque, nous font bien entendu penser à du Gil Jourdan ou du Marc Jaguar. Petits clins d’œil bien placés des auteurs à Tillieux et Jidéhem.
Le dessin est super et colle tellement bien aux personnages et aux années 60. C’est super bien détaillé pour plein de choses.
Il y a un gros travail de recherches des auteurs et on peut s’en rendre compte en feuilletant le très bon making-of en fin d’album.
Bref, beaucoup de fraîcheur dans ce premier tome, ça fait du bien de retrouver ce type de bd, on en redemande.
Bon album, lecture plaisante, avec une histoire plutôt bien ficelée.
Les interactions entre les différents personnages sont intéressantes. Borg est à nouveau de retour dans cet opus et est un peu de toutes les parties, tel une girouette.
Dessins toujours bien aboutis également, avec de jolis décors, bien détaillés. Un ensemble agréable, que je recommande.
Un bon album dans l’ensemble, avec cette petite aventure dans les rizières thaïlandaises.
Les auteurs nous ont déjà offert de meilleurs scénarios, la ligne de conduite est bien mais certains points sont un peu discutables, comme cités précédemment.
On a été habitué à du plus haut niveau mais ça n’enlève rien au fait que cela reste une très bonne série.
Excellent album que voilà.
Une histoire avec des héros un peu atypiques, où chacun choisit son propre chemin dans cette aventure. Le suivi est super intéressant, avec des dessins en long sur deux planches, où se croise le chemin de chacun des personnages.
C’est vraiment du bon boulot, avec un scénario original et un beau final.
Quelques petits défauts mais globalement un bon moment de lecture. L’apparition de nouveaux personnages n’est à mon sens pas une nécessité, l’histoire aurait pu se construire sans, tout en gardant son intérêt.
De retour chez les siens, Tounga apprend que sa compagne Ohama a disparu. Le ghmour décide de partir à sa recherche. Celle-ci est sous l’emprise de Mo-whoul, une sorte de guerrier-sorcier, maître des mammouths.
Histoire assez classique et simple, mais n’en est pas moins un bon moment de lecture.
C’est un cran au-dessus du dernier tome de la série. Probablement grâce aux dessins de Stedo. Ça reste totalement passable.
Voilà un excellent album où on ne s’ennuie pas une seule seconde. C’est tonique, humoristique, avec un scénario qui tient plutôt bien la route.
Les dessins de Munuera sont franchement bons, avec toutes les caricatures des différents personnages, jusqu’à la dernière scène de l’album. Vraiment un plaisir à lire et observer les scènes avec les détails.
L’aventure d’un skipper, engagé par un riche homme d’affaires pour conduire son immense bateau vers une île isolée dans l’océan Pacifique. Bien évidemment, la joie de Jody sera de courte durée et il va être amené dans des situations difficiles.
C’est assez basique niveau scénario mais dans l’ensemble ça fait le job. Peut-être aurait-il fallu 2-3 tomes supplémentaires, histoire de se faire une meilleure opinion.
Les aventures d’un jeune tambour de l’armée impériale et de son camarade grognard Bobèche.
De la bd jeunesse parue dans les années 60 dans le journal Tintin. Avec Berck au dessin, à ses débuts, avant sa célèbre série Sammy.
Une partie de l’enfance de notre héros, avec notamment la rencontre avec son fidèle compagnon Jolly Jumper.
Histoire amusante, avec son lot de personnages en tout genre.
Ce qui est ici un one shot sera ensuite repris par Achdé dans la série du même nom.
Après une escale écourtée sur l’île de Tago-tago, Bernard et ses fidèles compagnons de route, decident d’accompagner El Lobo vers une petite île au nord de laquelle ce dernier a gagné des parts dans une culture d’huîtres perlières.
Bien entendu, tout ne va pas se passer comme prévu et l’histoire va rencontrer de nombreux rebondissements.
Encore une fois, rien a redire sur cet opus. C’est clair, carré, concis. Greg peaufine un bon scénario mis en dessin par le grand Hermann et le résultat est juste parfait. Une aventure comme on les aime, de l’excellent Bernard Prince. Indispensable dans le genre.
Faisant suite à La main de la Mort et au regard de la couverture de l’album, on comprend vite que ce tome va être quelque peu différent. Et de fait, car ici, c’est Nadine qui va mener sa petite enquête. Et non sans une certaine poigne, voir un peu de violence (merci le coup de boule), mais surtout beaucoup de ténacité.
Enquête intéressante et atypique si il en est, un bon album.
Bon, je n’avais pas pris la peine de noter le premier tome, j’ai préféré poursuivre la lecture par curiosité.
Pour être honnête, j’ai tendance à m’y perdre entre tous les protagonistes, moments d’histoire et autres lieux cités jusqu’ici.
Mais ce tome deux est moins lourd de ce point de vue, l’action est bien plus présente et on fini par mieux s’imprégner de tout cela.
A l’occasion je me lance dans le troisième, en espérant qu’il continue sur un bon rythme, comme la fin de celui-ci.
Pour moi, c’est un bon album, l’intrigue tient jusqu’au bout, même si il y a je trouve des petites incohérences. Genre le 4ème film est en tournage et quelques pages plus loin, c’est déjà l’avant-première. Mais bon, ça reste un bon scénario malgré tout.
Petite inspiration de Tibet pour le tueur au masque qui fait grandement penser à ce cher Freddy Krueger.
Fait partie des bons albums de la décennie 90.
Même si je le trouve un poil en-dessous du tome précédent, le scénario reste cohérent et on a toujours envie de connaître la suite quand on tourne la dernière page.
Je me répète un peu mais les dessins restent encore un point très fort de cette saga, on en prend plein les yeux au fil de la lecture.
En rien déçu, toujours hautement recommandé.
Merlin, toujours sous l’emprise d’Haès, a décidé de continuer son combat contre les armées et peuples qui ont la foi du Christ.
De leur côté, Blaise et Maëlle suivent les traces de Brendann, qui a subit la malédiction d’Haès. Celui-ci se dirige vers Avalon afin d’y trouver le Graal.
L’histoire et les protagonistes montent en puissance au fil des tomes.
Les dessins sont toujours aussi sublimes - certaines planches nous donnent des émotions et des frissons tant c’est beau, poétique et superbement réalisé et détaillé.
Le scénario reste cohérent tout du long, pourvu que la suite reste de la même trempe.
Les deux auteurs se mettent en scène dans cette enquête dans le milieu de la bd. L’idée est plutôt originale, même si ce n’est qu’un aparté dans cette histoire.
Après, ça reste du Ric Hochet des dernières années, on aime ou on n’aime pas. Il y a à boire et à manger.
Personnellement, on tombe ici un peu trop dans les clichés de base, et ça rend l’intrigue un peu molle, des impressions de déjà-vu. Un peu comme si il y avait un manque d’inspiration.
À lire et à ranger pour compléter la collection.
Chacun y va de son point de vue et de sa critique.
Personnellement, même si le scénario est assez banal, j’ai trouvé que le décor se prêtait bien à cette histoire.
Les dessins sont par ailleurs assez réussi et ce qui m’a beaucoup plu, c’est d’avoir cette impression d’être plongé dans cette expo au fil de la lecture.
Bref, pour moi, c’est plutôt réussi et cela mérite le détour.
Un album plaisant, avec un bon scénario.
Ca se lit très bien, d’une traite. Un tome très agréable et divertissant.
À recommander à tous.
Alors, pour une bonne surprise, c’est une bonne surprise.
Cet album est particulier alors que Dani n’y apparaît pas. En effet, l’histoire est essentiellement basée sur Iris, qui vient d’hériter de son grand-père la fameuse planète Miroir.
Une histoire qui va à du 100 à l’heure, des décors toujours aussi sympa avec le côté psychédélique qu’on connaît bien dans cette série. Et surtout un scénario un peu dingo avec pleins de personnages différents et délirants. Ça part dans tous les sens mais on ne se lasse a aucun moment, c’est plein d’action.
A découvrir absolument.
Un album qui nous plonge un peu dans le passé, avec la mort du père d’Alain sur circuit, lors d’une course contre son rival Hayward. Et quelques années plus tard, notre pilote qui se retrouve sur ce même circuit où il doit affronter un certain Phil Castel, qui ne le porte pas vraiment dans son cœur.
Bref une nouvelle rivalité est née et tout ne se passera pas toujours comme prévu..
Ce tome est un peu mou. Pour une série sur les courses automobiles, cet album manque de dynamisme. L’intrigue est un peu molle également et au final, c’est assez linéaire dans le scénario.
On sent de la fatigue chez Duchateau pour pondre un scénario un peu cohérent et un tantinet réaliste.
Le début de cette aventure promettait d’être interessante, avec un retour à Vangkor et des personnages connus. Une clé un peu particulière avec des pouvoirs surnaturels. Dommage que la fin parte une nouvelle fois en cacahuètes.
Tout n’est pas à jeter dans cet album mais encore une fois, il y avait certainement moyen de faire mieux.
Quel bonheur que de lire cet album, j’ai adoré. Que de souvenirs avec tous les personnages, le cyberlab, l’univers,… Je suis retombé en enfance.
Un pur régal de lecture, avec des dessins fort réussis et un scénario qui colle bien à la série animée. Nostalgie, quand tu nous tient.
Magouilles dans le milieu de la F1, voilà qui résume ce tome dont l’histoire est quelque peu décevante. Le rythme est plutôt lent, lourd et ça manque d’action.
Beaucoup de blabla pour rien. Heureusement, le dessin vient rehausser le niveau.
Roger, toujours à la recherche de la nouvelle planète qui accueillera et sauvera l’humanité.
Entre deux godets au bar le Rendez-vous des Anneaux, notre héros nous fait vivre ses péripéties particulièrement burlesques et drôles.
C’est toujours aussi bon et marrant, on en redemande.
Un récit illustré qui défile à toute allure.
Un plaisir de retrouver dans cette aventure Gaston, Fantasio, Spirou et bien d’autres personnages.
Ce n’est certes pas une bd à proprement parlé mais cela reste toutefois un must have pour les fans de Franquin & co.
Le fils d’un milliardaire américain, en vacances dans le Sud, échappe à la garde et corvées scolaires de son précepteur. Celui-ci est enlevé par deux malfrats plutôt abrutis devant les yeux de Sophie et ses camarades Starter et Pipette. S’en suit une course poursuite et ses nombreux rebondissements.
Le tout dans une ambiance amusante, avec de nombreux gags. Un très bon album de cette série.
Humour bas de plafond, il n’y a rien à récupérer dans ce qui, par la force des choses, est devenu un One shot. On a compris pourquoi.
Ne perdez pas votre temps avec cet album.
Cette série avec le papa solo qui a la garde de ses 4 filles (toutes de maman différente) est juste incroyablement bien foutue.
On pourrait s’imaginer qu’elle est destinée à un public jeune. Mais pas que. Tout le monde s’y retrouve. Et au-delà de la partie humour, il se dégage de ces albums une forme de poésie et de tendresse. L’auteur a fort bien compris comment faire la part des choses et le résultat est assez convaincant. À recommander pour tous donc.
Si vous aimez la bd d’humour, Cosmik Roger ne devrait pas vous décevoir.
Ou quand un pauvre type est envoyé par le président pour trouver un nouvel endroit habitable afin d’accueillir le trop plein d’une Terre surpeuplée. Toutes des histoires courtes parues dans Fluide glacial, où les gags ne manqueront pas de vous faire marrer.
C’est franchement un bon moment de poilade.
Du Magellan dans toute sa splendeur, avec sa dose de psyché un peu fantasy, toujours plongé dans un décor typique 70’s.
Comme à l’habitude, une histoire principale et deux courtes, chacune avec son petit lot de surprises et d’action.
Distrayant, un album qui se laisse lire.
Un album fort réussi, avec une intrigue qui nous tient en haleine jusqu’au bout.
Un scénario très bien réalisé, laissant imaginer des tas de dénouements, les différents personnages ayant de nombreux points qui les relient.
Franchement, un album à lire sans aucune hésitation.
Bien que la série était éditée dans Tintin à l’époque, je n’en ai que de très vagues souvenirs. Je me suis un peu relancé dedans après avoir dégoté 2-3 tomes en brocante, dont ce Prince Rouge.
J’imagine qu’il eut fallu avoir lu l’un ou l’autre album précédent pour mieux s’imprégner des personnages. Toutefois j’ai assez bien accroché à l’histoire avec une bonne intrigue et de nombreux intervenants.
Le dessin de Franz est plutôt pas mal, les dialogues eux, sont assez simplistes, ce qui dans l’ensemble a permis de redécouvrir sans trop de prise de tête la série. Certainement pas le meilleur des albums mais une lecture somme toute agréable et intéressante.
Ayant laissé sa famille de côté pour la protéger , Thorgal erre en solitaire et se retrouve dans des contrées où règne un dynaste, qui met à mal le pays. Lors de son aventure, il retrouve également cette chère Kriss, avide de bons plans.
Une histoire simple et bien ficelée, que je recommande vivement.
Cette parodie place notre cowboy solitaire sur une selle de vélo plutôt que celle de Jolly Jumper. L’histoire est rythmée, avec un scénario qui tient plutôt bien la route.
Toutefois, l’ensemble est un peu trop décalé par rapport à l’original et l’humour est peu présent malheureusement.
Un album intéressant pour découvrir notre héros différemment mais qui s’oubliera rapidement.
Du réchauffé, sans saveur.
L’exagération dans chaque planche avec les expressions qui reviennent non stop. Des peï, chouke, men et autres termes typiquement bruxellois (et pas belges au sens large).
Bref, c’est complètement foireux et sans réel intérêt.
C’est le troisième album que je relis en peu de temps et c’est un réel plaisir. Cette série paraissait dans Spirou à l’époque.
Aristote, sa bande de copains animaux et le resto végétarien qui longe la voie de chemin de fer. Une chouette suite de gags dans chaque tome, où l’on ne se force pas à rire, c’est simple et efficace.
Dommage que la série se soit terminée après seulement 9 albums et qu’elle soit un peu tombée dans l’oubli.
À lire, relire, et pourquoi pas, faire découvrir.
Les débuts des aventures de Papyrus. De ce fait, je trouve que c’est parfois un peu brouillon mais l’histoire se laisse lire, malgré un scénario quelque peu décousu.
Dans l’ensemble, c’est un bon album.
Mouais… j’ai 2-3 fois sourit mais ça ne casse pas trois pattes à un canard. Niveau humour, il y a mieux dans le style.
A l’époque, ces gags muets étaient présents dans je ne sais plus trop quel magazine. Ça rappelle un peu Max l’explorateur de Bara.
C’est très simpliste mais ça reste amusant.
Un album raté à mon sens.
La première grosse moitié de l’album est statique, on a l’impression de revoir non stop les mêmes cases, avec des pseudos gags à répétition. Le reste se laisse lire mais sans grand intérêt aussi.
Heureusement que les dessins de Tabary sont top car niveau scénario, on est passé à côté.
Dommage, il faut se rattraper sur des albums plus anciens.
L’’ex agent du FBI Red Ketchup qui se bourre de médocs en tout genre et démissionne pour repartir à zéro. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Une histoire complètement barrée.
Humour décalé et absurde au programme.
Ça passe bien les générations, toujours agréable à bouquiner et profiter des dessins de Jidéhem.
Second recueil d’histoires courtes, à lire et faire découvrir aux plus jeunes.
Le début des aventures de notre guerrier où l’on découvre son univers. Un peu simpliste à mon goût, certains albums suivants sont plus intéressants.
Album complèté d’une histoire inédite basée sur Nooun. Interessant car l’on peut voir l’évolution du dessin entre les deux histoires.
La mythologie grecque revue avec humour.
De bons petits gags dans cette série plutôt bien maîtrisée.
Les premiers albums étaient sympa, avec Bercovici au dessin.
Ce huitième et dernier tome est à l’image de la prestation de l’équipe belge au Quatar, nullissime.
Dans Mr Magellan, il y a à boire et à manger mais c’est finalement assez indigeste. Clairement, on sent bien le côté 70s et un peu psyché. À côté de cela c’est un mélange de Science-fiction, humour’ paranormal et autres joyeusetés. Mixer le tout et vous obtenez un album de Magellan.
Une histoire principale et deux courtes pour compléter cet album. C’est toujours un peu tordu dans le scénario en fait, on ne comprend pas toujours vers quoi Duchateau veut aller.
Bref les histoires de l’homme au cigare sont dirons-nous « particulières ». On peut aimer le côté décalé mais cela ne suffit pas à en faire une série indispensable. Ça se lit, c’est intriguant et ça reste correct, sans plus.
Si pour certaines personnes, la reprise de la série a été un peu synonyme de sacrilège, d’autres - dont moi-même - ont continué à savourer les aventures de notre ami rongeur.
Macherot avait placé la barre haute avec ses personnages et tout son petit monde. Je trouve que visuellement, les dessins repris par Walli tiennent bien la route. L’histoire n’est certes, pas extraordinaire, on n’est pas moins heureux de retrouver tout le petit monde.
Personnellement, j’adhère et c’est un bon moment de lecture, dans toute sa simplicité.
Dernier album de la série qui commençait à s’essouffler un peu je trouve. De bonnes idées dans ce tome mais certainement pas dans les meilleurs.
Néanmoins, il se lit tranquillement et reste somme toute assez correct dans l’ensemble.
Un album plutôt réussi, avec une bonne histoire et une petite intrigue intéressante.
Il y a quelques planches qui m’ont bien plu, avec des cases plus grandes, qui donnent vraiment une bonne ambiance à cette aventure.
Bruno Brazil et ses acolytes du commando Caiman vont semer le trouble entre deux gangs mafieux rivaux à Sacramento.
Un scénario bien fignolé et des dessins superbes. On plonge dans cette ambiance mafieuse des années 70. Le décor est bien planté, les détails sont présents, les magnifiques cylindrées américaines.
C’est un album fort bien soigné, je le recommande vivement.
Énième série sur un thème particulier, toujours chez Bamboo. Certaines fonctionnent et passent plutôt bien (Profs, Pompiers,…), d’autres moins.
Celle-ci se lit mais les gags sont très moyen. Ce n’est pas une grande réussite en soit. Mais il y a pire dans le genre.
On retrouve notre reporter dans une affaire assez classique. Kidnappings, filatures et rebondissements divers sont de la partie dans cette nouvelle enquête.
Les avis sont partagés sur cet album.
Les dessins d’Hermann sont toujours très bons mais il est vrai que comparé à ses premiers albums, il y a maintenant quelques imperfections. Cela ne gache pas spécialement l’histoire qui, pour ma part est correcte, sans renouveler le genre.
Bref, on a été habitué à beaucoup mieux pour cette série mais cet opus reste bon, sans être vraiment indispensable.
Il y a du monde qui court derrière les 3 petits singes. Et il n’en restera pas des masses à la fin.
Un scénario simple et efficace pour une aventure assez classique.
Pas mal du tout ce far west à la Vance.
Ringo travaille pour la Wells fargo et est chargé d’escorter une diligence remplie d’or. Aidé de quelques soldats, il va faire face à pas mal d’embûches car le butin est bien évidemment convoité par de nombreuses personnes.
L’histoire, bien qu’assez basique, tient bien la route, les dessins de Vance font leur boulot. Cette série n’a franchement rien n’a envier à Blueberry ou autre Comanche. Je recommande vivement.
Toujours sympa à relire. Trouvé cet album il y a peu, à l’époque c’était dans Fluide Glacial que je suivais les péripéties de Kevin, ses parents et toute la bande de motards du club.
De bonnes petites histoires, mention spéciale pour les dessins de Coyote qui sont juste incroyablement beaux et détaillés.