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Certes, près de 30 ans après la parution, on peut être désorienté par certaines références à des jeux vidéo que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître. Mias ce premier tome inaugure une série qui as évoluer et donner consistance à un héros original, à des gags récurrents renouvelés avec talent. Le Quick et Flupke de notre époque.
Légère déception sur cette lecture commentée qui apporte en définitive assez peu de nouvelles clés de lecture. L'érudition de l'auteur ne fait aucun doute, et l'on découvre bien des références inédites, à moins d'être un tintinologue averti (ce que je ne suis pas). La lecture m'a permis de relire l'album avec plaisir, ce que je n'aurais pas fait autrement. Ce guide de lecture nous force à une lecture détaillée dans un épisode assez lisible. Format A5.
Si la couverture est une réussite graphique, elle ne correspond pas du tout au style du recueil dessiné à la plume à l'encre de Chine et coloré ensuite, et non en couleurs directes!
Le dessin de Jo-El Azara est irrésistible au nombre des allusions à l'univers de Taka Takata! Les compléments sont quant à eux un cran en-dessous.
C'est bien dessiné, scénarisé, dialogué mais cela reste bien trop classique et convenu... faussement moderne. L'évocation du passé par d'émouvants flash back est toutefois assez réussie et aurait mérité un meilleur développement. Un peu daté, comme l'inspecteur Balto.
Quelle imposture! On peut plaider pour une adaptation de Corto mais comment se permettre un tel décalage temporel en affublant un numéro à ce tome? Ce roman graphique aurait pu ouvrir une collection parallèle à celle des Corto. Je ne pense pas que Pratt aurait souscrit à de telles libertés: d'ailleurs pourquoi ne l'aurait-il pas fait lui-même? Chaque amateur de Corto sait à quel point les aventures de Corto s'inscrivent dans un contexte historique soigneusement développé. C'est faire peu de cas de la consruction d'Hugo Pratt. Comment souscrire à ce qui apparaît avant tout comme un gros coup commercial? Le duo aux commandes de ce livre doit être bien attristé au final de devoir sa notoriété au branding de Corto qu'à leur talent même, pourtant réel. Les euros rentrent. Qui publiera Corto sur Mars? A qui le tour, à présent?
Ptliuc, dessinateur du Hainaut belge, nous fait partager l'existence et les doutes existentiels d'une bande de rats intelligents sur un tas d'ordures, le fameux Pacush. Des rats des villes, des rats des champs, des rats de laboratoires... Il y en a pour touts les goûts dans ces fables animalières qui ne sont pas sans rappeler l'univers de Sokal, auteur contemporain. Ce premier tome a l'attrait d'un album de jeunesse; l'évolution des dessins et de l'ambition scénaristique est perceptible au fil des pages.
Bonnes intentions scénaristiques. Jean Dufaux a regretté de ne pas avoir eu un tome de plus pour développer l'ambitieuse poursuite de la Marque jaune. J'ai fort apprécié le travail de coloriste de Laurence Croix. Hélas, le dessin, lui, n'est pas toujours à la hauteur. Mortimer n'est pas réussi : il semble figé dans des attitudes de pose statique: on en viendrait à se demander si c'est bien lui. Une déficience du lettrage: comment peut-on avec des phylactères aussi peu remplis au détriment de l'espace graphique? Des tailles de police aussi différentes d'une case à l'autre: du travail d'amateur. Inexcusable pour une édition "ambitieuse" qui se veut prolonger l'œuvre jacobsienne de manière finalement fort prétentieuse et sans grand respect pour son public d'amateurs. Dommage car le tome était nécessaire pour clore l'épisode de l'Onde Septimus. L'hommage annoncé à Magritte n'est pas très subtil, par ailleurs.
On pense à Jeremiah, dont le premier tome est paru la même année: les décors post-apocalypse étaient décidément fort présents? Dessin très soigné mais scénario inexistant. Dommage.
Le plaisir d'un beau livre en grand format, de superbes planches en noir et blanc qui interpellent sur le parcours de Van Gogh, en évitant d'en reprendre les codes de manière trop évidente.
Premier tome d'une série qui promet d'être longue! Les couleurs sont superbes et variées. Le dessin est recherché. Chaque case est travaillée avec talent. Le scénario n'est pas en reste.
Une BD noire, franco-belge, charpentée par un scénario original de Patrick Delperdange et qui fait penser à une intrigue des meilleurs Boileau-Narcejac. Scénario original, découpage haletant mêlant scènes réelles, fantasmées ou remémorées. La dimension fantastique est soutenue dans ce village isolé en saison hivernale, et dont la majorité des habitants se révèlent inquiétants, au bord de la folie: d'ailleurs, n'y organise-t-on pas la fête des fous au cours de laquelle déambulent des personnages masqués? Un atmosphère très lynchienne (les références abondent!). Le dessin d'André Taymans et le coloriage de Fabien Alquier soutiennent le récit et sont soignés. L'oeuvre a été originellement publiée en noir en blanc: on ne regrettera en rien cette version colorisée qui en accentue encore le côté sombre.
Le récit aurait mérité un meilleur développement. Le format leporello doit bien être agréable (ma lecture a été électronique) et contribuer à manipuler "un beau livre" car la graphisme est superbe.
Il n'y pas pas à strictement parler 54 planches indépendantes.
Excellent moment de divertissement. Assez proche de "Faut pas prendre les cons pour des gens" de Emmanuel Reuzé et Nicolas Rouhaud. Fabcaro s'est ici donné la peine de redessiner chaque case "à l'identique", ce qui donne du réalisme à la scène statique. On peut s'amuser à jouer au jeu des sept erreurs entre celles-ci... une fois le gag passé!
Tout ceci est trop bien formaté: c'est bien dessiné, c'est bien raconté... mais cela ne m'a guère passionné. C'est lisse, convenu: il manque un je ne sais quoi d'original...
Album de transition, qui apporte quelques informations sur XIII lorsqu'il était à l'orphelinat St Andrews.
Hélas, la traque à l'homme dont XIII et sa nouvelle comparse providentielle font l"objet commence à lasser.
XIII paraît plus anguleux que jamais: il commence à être éprouvé par les événements: les lecteurs aussi, par la succession effrénée des poursuites..
La manière dont le suspense est relevé sur les trois dernières cases est assez grossière.
Un album qui reste dans la qualité de renouvellement du précédent avec un cliffhanger d'un niveau peut-être jamais atteint dans la série.
Qualité du dessin et du coloriage se confirment dans l'excellence. Un plaisir de revoir Betty dans l'action.
Une série divertissante qui reste dans la pornographie de bon goût, véhiculant l'image idéale de la Belle Epoque. Originalité du format, une à deux images par planche. Le dessin en noir et blanc de Frollo est superbe et original. A inclure dans votre collection. Numérisation de bonne qualité disponible.
Avec le recul, on peut trouver la mise en abyme de deux tomes précédents assez amusante et originale: cela dépasse tout de même une seule intention d''auto-promotion. Des récits politiques en BD, cela ne s'était tout de même jamais vu jusqu'alors. Cela annonçait la BD politique (Sarkozy-Khadafi chez Delcourt, la Présidente, ...) de ces dernières années.
Tout n'est pas dévoilé à ce stade du cycle et la série Mystery XIII permettra d'autres éclaircissements et surprises.
Il faut plutôt souligner le talent de Jean Van Hamme qui dans un scénario rocambolesque sera parvenu à relancer les intrigues en échappant aux contradictions sur la série. Exercice difficile de trouver une conclusion que l'on aurait sans doute espéré plus "piquante" et moins "happy end". C'est le "dernier round" (malheureusement) pour le duo Vance/Van Hamme., mais pas pour XIII.
Un album de qualité supérieure qui conclut l'épisode de la chasse au trésor. Le découpage du scénario est particulièrement soigné avec une alternance de lieux et personnages et d'intrigues: romance, action, politique, manipulations, négociations alternent au fil des pages.
Le dessin de Vance relevé par le coloriage particulièrement soigné de Petra en font un très bel album.
La géologie du site reste assez peu crédible: un tel endroit attirerait le flux touristique des parcs nationaux américains.
Le dessin de Vance a encore gagné en qualité. Quelle excellence dans la représentation des scènes de pluie.
On voit à quel point Van Hamme peut avoir de la suite dans ses idées: je vous renvoie à l'arrière-plan de la dernière case pour vous en convaincre.
Bonne reprise des opérations avec la qualité graphique originale de William Vance.
Excellent résumé des épisodes précédents sur les deux premières planches.
Le développement de la chasse à l'homme reste palpitant. Je n'échangerais pas une planche de XIII contre l'album complet de Zaroff, étonnamment encensé dans la critique.
Le dessin et le coloriage de Dany sont particulièrement réussis. Le scénario reste assez convenu. Le thème de survivants à un crash ou à un naufrage aura été traité. José Jimenez a des airs de Valerian et l'on croit un moment que l'on va se retrouver dans une faille spatio-temporelle. En un seul album, on ne peut évidemment pas prétendre à atteindre une trame complexe comme celle de Lost, de 27 années postérieure! A se demander si Van Hamme n'avait pas prémédité la suite pour justifier cette première partie.
Amusant de croiser Maria Dos Santos dans ce tome, mais ce n'est pas Maria Isabel de Los Santos de XIII : Azar, vous avez dit hasard?
Toujours un humour aussi décapant narrant les faits de vie d'une famille belge qui évoquera celle des Simpson si ce n'est que les deux fillettes remplacent les moutards américains. L'ouvrage comporte un nombre significatif de pages de jeux.
Nix dépasse sur un nombre de planches le strip en 3 cases, qui reste le format le plus efficace où il fait preuve de son réel génie.
Jubilatoire comme toujours, mais assez décousu quant à l'exploitation de la trame principale : un mariage.
Un essai intéressant, bien documenté et une suite de reproduction de pages de couverture, avec quelques extraits, malheureusement trop rares.
Il s'agit du dernier opus de Maître Schuiten qui nous donne une fois encore l'illustration de son talent dans une mise en scène graphique qui n'appartient qu'à lui. La boucle est bouclée, devant l'évidence de l'assimilation entre Mortimer à la retraite et Robick de la fièvre d'Urbicande. Hélas, le scénario se perd : abondance d'idées et de messages nuisent à un scénario par trop linéaire. On attendait bien plus de ces 85 planches: Van Dormael et Gunzig se sont visiblement amusés entre eux, mais ont oublié la consistance de l'intrigue. La mise en couleurs, superbe est à souligner.
Et bien, je ne regrette pas d'avoir acheté cet ouvrage d'excellente facture: le graphisme et le coloriage de Laura Guglielmo dont cela semble la 1ere oeuvre m'a séduit! Quel talent de graphiste! La qualité du papier est à souligner: on est dans le registre du livre d'art.
Le scénario déroutera: quelques références Lynchiennes... qui vaudront bien des lectures multiples! Le côté espionnage prned le dessus sur le côté polar mais ce livre, par son esthétisme, se suffit déjà à lui-même.
On ne rit pas nécessairement à chacun des strips mais c'est tout de même assez réussi, dans le veine de l'humour belge. Attention, la couverture peut laisser penser qu'il s'agit d'un livre pour enfants, mais ce n'est pas le cas.
Texte érudit mais qui reste très agréable à lire et qui fait apparaître une multitude de liens entre les éléments de l'intrigue: Hergé a-t-il à ce point construit son œuvre? Réponse dans l'interview qu'il donne aux auteurs à la fin de l'ouvrage.