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Une aventure qui doit être la seule sans Olrik, Blake n'est présent que de manière furtive au début et a la fin. Un récit captivant par son dépaysement, la vision du futur, vu avec l'imagination d'un auteur au début des années '60. H. G. Wells n'est pas très loin avec "La Machine à explorer le temps" . Trois étapes, préhistoire, moyen-âge, futur apocalyptique. Et le retour ultime d'un vieil ennemi, c'est le Blake & Mortimer que je préfère pour toutes ces raisons.
Un très bon cru, avec une critique sociale évidente. Preuve qu'il est encore possible de faire un bon Spirou, sans avoir les habituels méchants........Zantafio ou Zorglub
Sans intérêt, une série qui est devenue, petit à petit du répètitif racolage avec l'histoire de la Belgique.
Un opus qui va dans l'ordre des choses, toujours plus décevant, dommage Kathleen restera pour moi cette hôtesse de l'exposition 58 sympathique sans avoir réellement d'autres aventures a raconter.
Coté dessin rien ne change, toujours l'art du copiage, copies conformes avec des photos connues pour les décors,,,,, comme le dit l'adage : On change pas une formule qui marche : (Mouais)
Faut croire que la précision des copies n'est plus une chose si importante vu le résultat final. Meilleur exemple, la couverture brouillon qui offre cette Place de Brouckère (bien connue de tous les belges) avec une approche approximative des perspectives qui obéissent a aucune logique, une fontaine "Anspach" qui est bizarrement tronquée, un message directement pour l'éditeur peut-être dont c'est également le nom ???
Scénario, la aussi pas trop d'inspiration, un mélange des faits historiques entre l'univers de Kathleen et l'histoire bruxelloise sous l'occupation
Cette fois cette 3e aventure de Kathleen va décevoir du monde et pour ma part ce opus sera bien ma dernière tentative pour cette série, je garde un bon souvenir pour "Sourire 58" et j'oublie vite le reste,,,,
Ainsi soit-il
Toujours des bons décors, le recopiage est encore une fois a l'honneur. les personnages, eux ça reste très approximatif pour pas dire brouillon, déjà moins intéressant aussi coté scénario que "Sourire 58', je constate aussi la présence rapide de ce volume dans le rayon la de seconde main. Si le rush pour acquérir "Sourire58" s'explique facilement avec le fait que l'album marquait les 60 ans de l'Exposition de 1958 à Bruxelles,,, Cette fois il y'a plus de "Joker" de la commémoration qui excuse tout, va falloir plus d'inspiration pour l'avenir.
Un Spirou important pour moi puisqu'il s'agit du premier que je découvre intégralement ( a 8 ans) dans le recueil Spirou (Album du journal) -121- sorti en juillet 1971 alors qu'il s'agissait en fait d'une aventure de 1959 déjà parue dans Le Parisien libéré.
Histoire courte d'une trentaine page qui se situe dans la période la plus prolifique de Franquin avec déjà a son actif (puisque paru à l'origine dès '59) Gaston, Modeste & Pompon et encore Spirou ( dans le Journal de ..) Aventure qui se situe en Afrique il sera secondé par Roba au dessin et Greg au scénario pour ce opus africain, comment oublier ce mini-récit très animalier qui regroupe éléphants (rouge pour l'occasion), les terribles fourmis carnivores, l'incontournable Marsupilami (grand absent chez Fournier depuis la reprise) des affreuses plantes carnivores (elles aussi), des personnages toujours plus pittoresques avec l'ignoble Titus ce "jardinier" nabot tout en pansement, la tribu des pygmées, les méchants trafiquants sans scrupules, certainement pas le meilleur épisode mais quelques bons gags pour une histoire bien trop courte a mon goût,,,, Pour la parution de l'album en 1974 le format 46 pages sera complété par une histoire courte de quelques pages du sinistre chasseur de Marsupilami "Bring M. Backalive" et enfin des récits d'une page (façon Gaston) regroupant le Marsupilami, Petit Noel, la Gastomobile, Spirou & Fantasio, une manière de ressortir un album de Spirou du grand Franquin avec de l'ancien et du nouveau alors qu'il a déjà lâché la série du groom roux depuis son abandon définitif avec l'opus "Panade a Champignac" a son successeur Fournier qui lui n'en est encore qu'a ses débuts voila donc le chant du cygne final de l'univers Franquin & son Marsupilami accompagnant le héros une dernière fois avant un retour en 2015 sous la plume de Yoann dans le tomme 55 "La Colère du Marsupilami".
J'ai abandonné les super-héros début 80' avec "Strange" et d'autres revues du genre que je lisais a l'époque ou se mélangeait les Spiderman, Daredevil, Hulk, X-men, les 4 Fantastiques etc.........
Une lassitude face a ces récits très répétitifs en grandissant ces scénarios devenaient débiles a mes yeux, je suis donc passé a coté de Watchmen fin 80', heureusement en bon cinéphile j'ai acheté une revue cinéma en 2009-10 a la recherche d'un bon film a m'offrir au cinoche mon choix s'arrête sur un Mad Movies avec le personnage de Rorcharch en couverture image tiré du film de Snyder. Après lecture de l'article qui m'expliquait la "légende" Watchmen que je m'étonnais de pas connaitre, j'ai été voir ce film............ ce fût une véritable claque, les tabous sont plus de circonstance, des héros sans pouvoirs usant de tous les excès , sans cette morale hypocrite des comics de mon enfance c'était un nouveau départ. Après la vision de ce ovni cinématographique face aux autres super-héros de ma jeunesse toujours présent dans les salles obscures avec des suites en n'en plus finir qui donne juste l'overdose. Il fallait que je trouve ce ouvrage d'Alan Moore ce fût chose faite un dessin qui ne me plaisais pas dans une première lecture mais bien encré dans le style comics 60-70. Encore bien plus riche que le film après lecture j'ai découvert Alan Moore le pape incontesté du comics moderne depuis j'ai tout lu de lui et au passage il m'a redonné goût aux comics mais surtout quand c'est lui l'auteur. Watchmen est INCONTOURNABLE pour les amateurs de "super-héros" justement parce que il met un gros coup de pied a ces héros du genre masqués et en collant multicolore avec des pouvoirs incroyables.
PS: C'est Walter Kovacs dit Rorchach le psychopathe mon personnage prèfèré le plus vrai, le plus honnête.
Il faut reconnaître que Jordi Bernet dessine bien les nanas, elles sont belles et aussi garces tout a la fois, les mecs c'est pas mieux, tronches vils, fourbes, tueurs, lâches, traitres, toujours des récits courts mais qui donne vite le ton..... "pas de pitié".
Tueurs a gages, mafia, arnaques, règlement de compte, Torpèdo notre héros est un touche a tout... pourvu que ça rapporte gros, son acolyte totalement débile et véritable tête a claques ne vaut guère mieux, vengeance, massacre, femmes fatales, balances, employeurs félons, juste un beau cocktail explosif qui ne peut finir que dans une mare de sang, c'est sans une once de morale bien entendu et toujours avec un humour caustique.
Le trait nerveux en noir et blanc ajoute un plus a cette série qui narre les mésaventure de la racaille ambiante des années trente.
Un summum de l'humour noir, sous les traits d'une caricature du célèbre valhardi de Jijé dont Chaland était un grand fan, voici les aventures loufoques d'un détective sans morale car si le privé est un clone du héros de Jijé ça s'arrête au niveau du dessin ligne claire et gestuelle percutante.
Bob Fish n'est pas le "bon" comme on l'entend, il torture, il tue, il vole, rien d'un "héros" ordinaire.
Son intervention dans une affaire de kidnapping ne s'avère profitable que pour lui et tant pis pour les autres, un sale gamin l'aidera un instant pour cette affaire, c'est Bèbert dit Albert personnage jubilatoire par sa méchanceté gratuite.
Autrefois Valhardi privé droit et honnête était lui aussi accompagné d'un jeune acolyte du nom de "Gégène" difficile de pas y voir un rapport direct entre les personnages de Jijé/Chaland.
Chaland offre ce duo tordant d'un privé pourri Bob et cette petite crapule de garnement le jeune Albert.
L'hommage a l'école Belge ne s'arrête pas la en effet des personnages secondaires inoubliables, l'aventure se déroule a Bruxelles et la BD aura même sa version en patois Bruxellois (tordant).
Unique aventure de Bob Fish, Albert lui aura plus de chance avec un opus supplémentaire pour lui tout seul "Le Jeune Albert" dans un format a l'italienne avant la disparition inopiné de son créateur dans un accident de la route.
Il reste cette oeuvre merveilleuse qui ne s'encombre pas de moralité si cher aux BD d'autrefois, un bel hommage aux années cinquante et aussi a ce duo disparus de Jijé .
Bizarrement pas encore de critique pour ce que je considère comme l'épisode de Natacha le plus intéressant. Dépaysement complet pour ce opus Walter et Natacha perdu sur une Île qui semble déserte après un atter..... oups...........amerrissage forcé, pour Natacha sa tenue d'hôtesse ne lui sera donc plus d'une grande utilité et ce que des tas de lecteurs espèrent .....arrive enfin...Natacha déshabillée a longueur de pages se baladant en petite tenue et profitant de cette opportunité de faire bronzette. Walter lui déprime en permanence son train-train ennuyeux lui manque et pourtant une menace veille sur eux tapie dans la luxuriante végétation d'une jungle toute proche. Un pyromane désopilant est responsable de ce naufrage qui sera riche en péripèties. Mon album préféré de Walthèry avec ce parfum de liberté et de vacances malgré des hurlements flippants, ça se précise il y'a bien une menace qui rôde, c'est certain ils ne sont pas seuls sur cette île, mais qui alors............
LES AVENTURES DE TINTIN LE PETIT PROPAGANDISTE
À propos de Tintin au pays des Soviets (édition couleur)
Je comprend que Hergé ne voulait pas voir réédité ce album de propagande Anti-Soviètique primaire, même en étant revu et corrigé comme ce sera le cas pour les autres, l'histoire est d'une stupidité caricaturale, tout serait a refaire de la première a la dernière page de plus on verra pas vraiment grand chose de typique du pays des soviets si ce n'est un uniforme militaire par ci, une chapka par la, de la neige et un ours comme symbole de la Sibérie vision très fade du pays visité par Tintin. L'ancienne couverture offrait a peut près tout ce qui apparaissait réellement dans l'album pour cette grande superficie qu'était l'URSS avec déja pourtant une histoire et culture trés riche.... Hergé n'a fait aucune recherche sérieuse pour ce volet de 137 pages a se farcir, si ce n'est un livre "Moscou sans Voiles: Neuf ans de travail au pays des Soviets" d'un ex-diplomate Belge sur place durant la période d'après la révolution de 1917 il ira même en prison plusieurs mois avant d'être finalement expulsé, il en restera juste les désillusions et une rancœur palpable qui se traduit par ce pamphlet, Anti-Communiste qu'il écrira a son retour ça tourne vite en rond dès les premières pages du livre que des critiques du Parti bolchevique et pour le "Tintin au pays des Soviets" a venir ce sera la seule référence documentaire pour un pays qui avait déja 1000 ans d'histoire. La mise en couleur permettra au moins de faire connaitre a plus de monde ce navet historique de la BD, mais surtout incontournable car c'est les vrais débuts du Tintin qui s'améliorera dans la critique sociale a partir du Lotus Bleu... Sinon ça reste une bd acceptable pour les très petits enfants et même de coloriage pour la version en noir et blanc pourvu que ce soit pas l'originale..
Voila un bon souvenir de jeunesse, début eighties paraissait ce personnage complètement loufoque de Ranxérox dans la revue L'écho des Savanes quelle claque visuelle, meurtre, drogue, sexe, des récits d'une violence inouïe qui renvoyait ces super-héros US en collant multicolore a ce qu'ils étaient vraiment des clowns de Cirque.
Pas vrament de construction scénaristique, Ranx est un robot domestiqué et légèrement psychopathe, juste un beau jouet appartenant a cette sale gamine camée Lubna qui zone avec ses ami(e)s de la petite racaille, des prostituées, des dealers, des toxicos, bref la fine fleur de cette métropole futuriste. Des fringues bien tape a l'œil avec des couleurs criardes ressemblant a un défilé de mode made in Italia des années 80'. Ranx n'est pas vraiment un adepte de la moralité et c'est tant mieux dans cette ville de zonards aux mines patibulaires qu'il croise en permanence. Liberatore sait dessiné les belles nanas mais aussi les faciès des pires crapules généralement démolis par le rouleau compresseur Ranx et souvent a cause de Lubna sa douce moitié toxico-hystèrique. BD pour un public averti il va sans dire. Le second volume est du même tonneau, le troisième sorti plus de 10 ans après ces deux premiers missiles est déjà moins jubilatoire et semble être le chant du cygne définitif des aventures de Ranxerox.
Probablement le meilleur de la série Van Hamme, un récit si simple mais une philosophie qui laisse songeur encore longuement après la lecture.
Un voyage au pays des ombres de Thorgal pour sauvé sa belle ou un simple choix engendre des conséquences irréversibles ou le sens de la vie selon le maître des ténèbres n'a qu'une échappatoire possible.
La BD qui DOIT être vue et lue dans les académies d'art, incomparable avec ce soucis du détail le plus infime, j'ai vu des planches originales en exposition c'est inoubliable....
Quand a l'humour corrosif qui transpire sur chaque cases et pour toutes les pages c'est juste grandiose, a l'époque ou ces strips d'idées noires paraissaient dans Fluide Glaciale, je recherchais toujours la page de Franquin avant de lire le reste de la revue, le plus grand des dessinateurs Belges toujours inégalé a ce jour avec cette BD il est au zénith de sa créativité.
Probablement l'un des meilleurs scénario de la série avec celui de "l'affaire Francis Blake" pour l'ère après EP Jacobs.
Pas d'allusion au genre fantastique ici, si ce n'est le virus venu d'ailleurs au retour d'une sonde spatiale donc plausible vu l'avancé des Soviétique dans ce domaine a cette époque, ça reste dans le plus pur style du récit guerre froide.
Voronov est une véritable ordure le bon méchant donne une bonne histoire disait Sir Alfred, une scène très inattendue aussi, j'ai été plutôt étonné (pour un B/M) quand l'assistante de Voronov subit la colère agressive de celui ci.
Les bonnes idées scénaristiques sont très nombreuses, j'en ai déjà trop dit et a ce jour j'attend toujours un B/M du même niveau.
Un incontournable des aventures de Spirou, bien que Spirou soit présent il semble terriblement secondaire dans ce récit, que retenons nous sinon la scène de torture de l'infâme Docteur Kilikil, la radio miniature et le nez du Marsupilami, Marcelin Switch le radio amateur, le bus a pédales du régime de Bretzelburg, l'évasion après une joute gastronomique au château, le pyjama ridicule que porte Fantasio durant toute l'aventure, Spip qui ferait un bon repas, deux escrocs vendeurs d'armes, Trinitro grand spécialiste du dynamitage, le petit Roi si timide, un vrai chef d'oeuvre de la BD complètement farfelu, certainement l'un des meilleurs Spirou sous la houlette d'André Franquin.
PS: Il existe une version intégrale avec une vingtaine de pages supplémentaires comprenant analyse et contexte lors de la diffusion, pages et strip de l'histoire en plus et plusieurs encarts d'une page des couvertures de l'hebdomadaire.
Le dessin semble être du brouillon a la découverte de ce pavé de plus de 500 pages, toutefois celui ci correspond aux dessins qui parsèment la presse de 1888 donc un choix qui n'est pas du tout anodin.
Un boulot vraiment monstrueux d'exactitude dans l'énumération des faits de cette troublante affaire, une étude minutieuse des us et coutumes de la franc maçonnerie et ses dérapages au nom de la bonne Royauté Britannique.
Bon Alan Moore y va de sa théorie probablement la moins crédible mais aussi la plus riche d'un point de vue romanesque. Une fois entamer difficile de ne pas vouloir finir ce récit qui va de surprise en surprise tout en restant au plus proche des faits historiques, seul invention du roman le parcours psychologique de notre coupable un fou, un visionnaire, difficile a dire, un mélange de fantastique qui expliquerait cette attitude de folie meurtrière........... les questions demeurent le mystère aussi, l'une des plus grandes BD.......oups pardon..... "Roman Graphique" selon moi, avec 10 ans de recherches et de lectures pour Monsieur Moore sur ce curieux fait divers qui durera seulement deux mois et marquera l'histoire du crime a jamais et encore de nos jours avec la multiplication des tueurs en série de par le monde
Un pêché de jeunesse de l'auteur, une trilogie sortie entre 1984-86 du dessinateur Baudoin Deville qui signe ici B.de Ville, bon la trilogie reste un hommage approximatif a la ligne claire du grand EP Jacobs , quand au scénario c'est plutôt nullissime.
Il reste une belle couverture pour ce dernier volet de la trilogie ce qui le sauve de l'oubli contrairement aux deux précédents.
Avec une petite visite très agitée a l'exposition 1958 en fin de volume, mais un épilogue des plus incroyable et surtout trés ridicule au sommet de l'Atomium. Baudoin Deville fera mieux plus de 30 ans plus tard avec "Sourire 58" sorti en 2018 et toujours avec comme cadre de fond l'exposition universelle.
Aventure qui a le mérite d'avoir comme cadre le cœur de l'expo 58, décor bien trop rare dans la BD.
Un scénario qui tangue entre l'espionnage et le parcours d'une hôtesse qui se retrouve malgré elle actrice d'un complot.
Bien que ce soit une BD très agréable a lire, très belle ligne claire, belles couleurs, scénario plausible, petite critique toutefois....les plus belles image (dessins) de l'exposition dans la trame de l'histoire ne sont que des copies conformes des cartes postales souvenirs et photos de presse déjà existantes y compris la très belle couverture certes, mais ce au détail près avec juste une insertion ici et la des personnages principaux, un rajout, un gommage dans une "vue" réelle de Carte Postale , hommage dirons nous ou simple recopiage c'est selon l'interprétation du lecteur.
Baudoin Deville doit ètre un vrai passionné de l'expo 58 car il n'en est pas vraiment a son coup d'essai........
En effet en 1986 sortait le dernier volet d'une trilogie chez l'éditeur RECREABULL "Atomium 58" ( voir: "L'inconnu de la Tamise" 84-86)) BD qu'il signe a l'époque du nom - B. de Ville - offrant une très belle couverture, une intro de deux pages a l'expo et un peu plus d'une dizaine dans l'épilogue du volume toujours sur le site de l'exposition de Bruxelles 1958, mais la c'était un très mauvais scénario a l'inverse de ce "Sourire 58" qu'il fera plus de 30 ans plus tard.