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Chef d'oeuvre absolu.
C'est une des oeuvres qui permettent à la BD de prétendre s'élever au rang d'art à part entière.
Chef d'oeuvre absolu.
C'est une des oeuvres qui permettent à la BD de prétendre s'élever au rang d'art à part entière.
(La critique de chuck92130 est un sommet d'incompréhension. Dommage pour lui.)
Chef d'oeuvre absolu ! C'est avec ce genre d'album que la BD peut revendiquer son statut de 9° art. Eprouvant, poignant, virtuose, on en ressort bousculé si, en plus, on est conscient qu'il s'agit du vécu de Carlos/Carlito. Témoignage de l'Histoire franquiste à hauteur d'enfant, même l'adoucissement des 4 derniers tomes est révélateur d'une maturité un peu apaisée mais toujours rebelle. Merci Senor Gimenez, hasta siempre.
Un hommage à la légende, au mythe, au souffle épique. Mais le scénario hésite parfois entre les genres pour en devenir confus. Il installe parfois des longueurs et, à l'inverse, est quelquefois trop rapide, ne répondant pas à tous les thèmes abordés ou à toutes les épreuves proposées. Des couvertures et quelques planches magnifiques !
Impressionnant tant les différents niveaux de lecture, trés nombreux, se croisent sans jamais dégrader le rythme, l'ambiance, l'émotion. Dense, tendre, grave, subtil, c'est du grand art, bravo !
Une chronique socio policière dans le quartier du Jardin des plantes par le duo Tardi Pennac ça semblait être le casting parfait. Hélas (c'est là qu'est l'os) des personnages incohérents ou pas exploités, des situations artificielles, un rythme décousu, générent une impression de travail bâclé. Exemple : le décor du Jardin des plantes qui n'est pas sublimé, un comble quand on se réfère à la production de Tardi. Dommage car l'idée de départ était géniale et la chute trés (trop ?) gonflée.
Un mythe de la bande dessinée des années 80. Une relecture actuelle révèle des défauts de narration, des maladresses graphiques ce qui finit par en altèrer le charme, la poésie et la puissance scénaristique.
Excellente surprise que cette série B qui a tout d'une grande. Un fond de Blade runner, un soupçon de WestWorld, une pincée de Terminator et de Soleil vert, à feux doux pendant dix ans et vous dégustez cette série qui n'a rien à envier à ces illustres références animées. Des rebondissements vraiment surprenants mais cohérents entretiennent la pression jusqu'à l'épilogue. 2020 ?
Une esthétique originale et virtuose pour un univers qui tente de se déployer à partir d'un point d'inflexion ou d'interrogation. Au bout de 2 tomes, peine à y parvenir et à suciter du suspens et de l'intérêt.
Cet épisode souffre de la comparaison avec les 2 précédents qui avaient placé la barre très haut en terme d'innovation , de nervosité et de narration sèche et puissante. Reste lisible mais attention au ronronnement . Tyler Cross doit se reprendre.
Tintin au pays des quantas. Tentative sympathique de vulgarisation du sujet scientifique le moins intuitif. Parvient à relever le défi mais n'intéressera qu'un public intéressé.
Beaucoup d'ambitions et de thèmes abordés dans cette série à la fois cruelle et naïve. S'essouffle et survole, peut être effrayée devant le défi proposé.
Description fidèle d'un épisode historique méconnu. Démarche poignante et légitime de défense des populations indigènes.
La composition de la couverture est exceptionnelle
Proche des personnages de l'autoroute du soleil, ce destin brillant pris dans les remous de l'Histoire décline les mêmes thèmes, si chers à Baru. Réussi
Chants du cygne individuels pour une fin des illusions collectives.
Réservé sur le massacre final qui, pour aussi beau et fascinant symbole soit il, renvoie chacun dos à dos.
Peut être la meilleure réussite du duo Christin Bilal. Christin au scénario qui atténue l'aspect fantastique des précédents albums de la série, Bilal au dessin qui n'était pas encore flemmard.
Comme un Tintin réaliste, Matteo témoigne à travers son destin personnel de l'Histoire du XX° siècle. Mais loin des héroïsmes manichéens, ce sont les doutes, les convictions, les illusions perdues, les amitiés, les trahisons, la vie qui guident le scénario. De l'Histoire incarnée.
Cet opus 4 en est le meilleur exemple. Gibrat en succombant à la mode du cliffhanger devra ne pas nous décevoir avec l'épisode 5 et la barre est placée trés haute. Entre ombres et lumières, magnifique.
Du souffle , des références et du rythme pour cette sociologie de la croyance. Ne tient pas toutes ces belles promesses sur la longueur et bâcle complétement sa conclusion. Une belle évolution dans le dessin et la mise en scène
Chef d'œuvre Comics (ou manga) fut longtemps pour moi un oxymore. Cet épisode , sec , esthétique, truffé de fugurances scénaristiques et de métaphores psychologiques me contredit . Il n'y a pas d'histoire et pourtant , de la narration jusqu'à la fin ouverte, il y a tout .
Plus proche de Montalbano, effectivement puisque ce dernier est ainsi nommé en hommage à Manuel Vazquez Montalban , l'auteur de la série Pépé Carvalho. Cet intellectuel engagé (clin d'oeil, son portrait en bas à gauche de la couv) , disparu en 2004, inventa ce personnage pour faire passer ses idées et critiques de la société des années 70 à 2000. Les enquêtes ne sont que des prétextes et cet esprit se retrouve dans cette adaptation à l'ironie et aux digressions cyniques fugaces et savoureuses. L'ambiance du post franquisme est réussie , ce 1° tome aussi . J'espère que la série est en cours ...
Comme un Tintin réaliste, Matteo témoigne à travers son destin personnel de l'Histoire du XX° siècle. Mais loin des héroïsmes manichéens, ce sont les doutes, les convictions, les illusions perdues, les amitiés, les trahisons, la vie qui guident le scénario. De l'Histoire incarnée.
Cet opus 3, plus léger contexte oblige, reste subtil et contrasté, à l'image du dessin, entre ombres et lumières, magnifique.
Très bien documenté, ce récit historique n'oublie pas émotions, rêves et lyrisme. Quelques longueurs ou manques de souffle n'empêchent pas cette réussite.
Bilal sans Christin, c'est un scénario quasi inexistant, quelques bonnes idées inexploitées, une philo de bazar. Reste l'atmosphère fascinante. De ce dessin à la facture d'imposteur, émane un magnétisme indéniable.
Le dessin de Lepage toujours aussi fort et lyrique illustre parfaitement cet album qui conjugue docuBD, légendes, émotions intimes et Histoire. Le réalisme magique en BD .
Le 1° cycle est indispensable et particulièrement ce tome 4 qui renverse et sublime le sens de toute la série ( de 1 à 4 ) dont l'unité et la double lecture sont dévoilées . Génial .
La suite . Bof