Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 23/11/2024 à 09:22:18 en 0.0432 sec
Quelle poignante histoire ! On rentre complètement dans la peau de ces personnages frustes sortis de la nuit des temps. Cet album se démarque nettement de la grande majorité du marché actuel. Et Yves Coppens nous fait une fois de plus partager son amour pour nos ancêtres. Merci !
C'est l'exemple typique de l'album de trop malgré le dessin magnifique de Marini. On s'y perd complètement. Les protagonistes ne sont plus crédibles, au contraire des premiers albums tout simplement excellents. Dommage.
Premier album prometteur, deuxième album décevant. On commence à s'égarer, l'intrigue devient compliquée, "l'azur" se rapproche de la "force", il est peut-être encore temps de s'arrêter ; dernière chance au 3ème album ; et d'ailleurs pourquoi cette pseudo intégrale au 2ème album ?
Désolé mes chers mais je suis d'un avis contraire. On commence à toucher le fonds et le dessin se détériore nettement. Pourquoi toujours exploiter à fonds une bonne voire excellente série à la base ? Il faut laisser au lecteur des espaces de liberté et lui permettre de combler les zones d'ombres - si on ose dire dans cas ; il faut avoir le courage de ne pas continuer une série, le risque de s'égarer est décidément trop grand
On tire toutes les petites ficelles, comme si on avait fait les fonds de tiroirs ou les vieux cartons à chaussures. Le dessin est toujours très beau. En résumé, ça commence à tirer en longueur...
Corto est bien parti, le scénar est plat et incompréhensible, c'est triste... Il ne reste que le dessin, correct disons sans plus.
Les avis sont partagés. Je comprends. J'ai été divinement séduit par la finesse du trait et la subtilité du scénar. C'est très bon, ça surprend et surtout ce n'est pas à rallonge ! Cela mérite donc une bonne note.
Heureusement que cette série s'arrête. Le début était intéressant, voire audacieux mais la fatigue et un embrouillamini ridicule s'installent. Une fin en ... queue de poisson pour ainsi dire.
Un régal. La première fable sur le roi Henri du Portugal est assez convenue mais la deuxième fable sur le rescapé de la Santa Maria est magnifique. Le vrai sens de la vie, dévoilé par un génie qui nous a quitté trop tôt, est ainsi révélé dans la dernière bulle.
Magnifique dessin qui nous ramène plus de 200 ans en arrière dans un Moscou menacé par les troupes napoléoniennes. Je me suis laissé surprendre par l'intrigue, un Moscou post-apocalyptique mais à l'aube de la révolution industrielle sur fond de traque au tueur en série. Très très bien. Ça change de ces machins qui se passent toujours aux USA. Merci
C'est un album qui n'est pas totalement inintéressant. Il trouve la force d'être verbeux sans qu'un seul mot ne soit prononcé... à part le rire de fin mais qui nous laisse sur la nôtre.
H.ELL porte bien son nom. C'est l'enfer... du lecteur ! Quel dommage et quel décalage entre le dessin et le scénar. Pourtant Desberg nous avait habitué à mieux, bien mieux. A éviter
J'ai découvert Toppi alors qu'il s'en était déjà allé, quel auteur et quel dessinateur ! Dessin extraordinaire qui se passerait de texte ! Pourtant, ça et là, entrelacé dans les merveilleuses images une intrigue se découvre, la "morale de l'histoire" se dévoile, implacable, admirable.
C'est très beau. Ça vous ensorcelle. Ca vous rend heureux et ça vous désespère. Bref c'est indispensable !
Avis sur la série
J'ai aussi tenté de relire, honnêtement mais ... en vain. Une intrigue compliquée dans laquelle on essaie, albums après albums, de relancer le suspense mais finalement on ne sort pas d'un très petit mélange entre science-fiction, espionnage et fantastique.
Stan Caïman est épouvantable. C'est l'archétype d'un personnage épouvantablement macho et sexiste. On ne pourrait clairement plus écrire des choses pareilles au XXIème siècle. Mais il est délicieux de le lire !... au 2ème degré surtout, voire même au 69ème degré...
Je mets une bonne note à cet album qui se déroule à un moment crucial de l'histoire russe, mêlant dictature et magie noire.
De façon surprenante, les deux premiers albums étaient disons corrects mais sans plus, ce 3ème opus est vraiment une petite merveille, plein de sensibilité.
Je recommande, c'est très beau.
Un peu meilleur que le premier album, l'histoire est plutôt intéressante mais encore une fois sans casser la baraque.
Pas mal pour un début. Série intéressante avec en toile de fond une "vraie" histoire ra(contée) ensuite par le véritable auteur du conte. Ce Barbe-Bleue n'est pas mal sans casser des briques.
Force est hélas de reconnaître qu'on a massacré un petit bijou avec un beau potentiel pour en faire un enième produit industriel à la série brésilienne...
Je partage totalement les avis ci-dessus. J'ai rarement vu une aussi mauvaise série, complètement ratée et qui ne tient pas ses promesses. Pourtant, l'idée de départ n'était pas mauvaise. Lamentable !
Après deux premiers albums excellents, je n'ai plus rien d'autre à rajouter que : ouf, c'est fini ! C'est vrai qu'il y a bien quelques pistes à exploiter sur le plan du racisme anti-blanc mais c'est plein de clichés plutôt maladroits.
Quant à la révolte des dauphins, baleines et autres orques, c'est vraiment d'une naïveté trop proche de Walt Disney à mon goût. Et là également, on pourrait se fendre de : Cétacé !
Très bon dessin. Mais l'histoire, en revanche, ne correspond hélas que trop bien à la définition du mot "abscons" : très difficile à comprendre ; obscur, inintelligible
Magnifique et troublant, en un mot : indispensable ! Erma Jaguar nous emmène bien plus loin que certaines BD exotiques ou de SF.
Très prometteuse, grâce à un dessin au style énergique et original, cette série use le lecteur et démontre ses incohérences au fur et à mesure des 3 albums. Au final, décevant.
Simple, touchant, authentique, beau... Un genre de Petit Prince quoi ! Magnifique, à ne rater sous aucun prétexte. Les deux auteurs ont visé juste. Une très belle BD.
Un dessin très original, prenant et qui vous plonge instantanément dans l'intrigue, un scénar très intéressant genre fantastico-antique, des personnages attachants mais qu'attendez-vous ?
Affaires de trahison, de pouvoir, de guerre et d'amours contrariées, dit comme ça, rien que de très classique. Pourtant, un décor somptueux a été planté par un dessin magnifique et très original. Comment dire ? du noir blanc en couleur ? serait-on face à un nouveau Comès si tant est que ce soit possible ?
Les paysages, les scènes de bataille, les personnages, tout est très expressif et donne beaucoup de force au scénar. J'ai beaucoup hésité à donner la note maximum, en tous les cas on se réjouit de la suite.
Une trame très intelligente et surprenante, des personnages attachants malgré leur personnalité ambiguë, cet album devrait déboucher sur une suite prometteuse. Tout cela fleure bon les tumbleweeds, la poudre et les répliques à la Jean-Pierre Mocky, sans oublier le crottin de cheval. On va t'en faire bouffer !
On vit la disparition de cet "autre", ce gêneur indésirable, miroir de cet après-guerre glauque et insupportablement dérangeant pour les survivants de la guerre en noir et blanc, à travers les yeux torturés de Brodeck ; Brodeck, c'est vous, c'est moi, ça sent mauvais, ça fait peur, ça fait mal, c'est dramatiquement beau. A lire absolument
Du bon et du moins bon, j'avoue être un peu mal à l'aise avec cette fascination des "Wunderwaffen", qui en fait n'avaient rien de merveilleux ! Sous couvert d'une innocente uchronie, cette fascination est-elle purement esthétique ou cela va-t-il plus loin ?
C'est absolument magnifique. Sokal dépeint admirablement bien ce qu'on peut s'imaginer de la mentalité de l'oiseau sans tomber dans de l'anthropomorphisme primaire...
Le prénom du père de Yuma me fait d'ailleurs penser - est-ce un clin d'œil ? à ce film extraordinaire qui fait l'apologie de la "sobriété heureuse" et qui s'intitule "Derzou Ouzala", de Akira Kurosawa.
Avec Kraa, on est en plein dans ce thème de toute-puissance de la nature et de forces occultes que même l'homme moderne n'arrive pas à dominer.
Un must !!!
J’ai ressorti dernièrement les trois tomes de la collection « A Suivre ». La magie a opéré immédiatement ; plongé dans la Guerre de Cent Ans, on suit les pérégrinations de plusieurs personnages très différents, qui se rencontrent et sont emmenés par le « Chevalier », un homme qui a beaucoup souffert mais aussi beaucoup fait souffrir ; sa quête principale va l’emmener à combattre ses vieux démons et retrouver son passé. Il n’y survivra pas et sa lutte contre la « Force Noire » amènera les protagonistes à la fin d’un monde, comme le relève « la Mariotte ». La reconstitution est minutieuse et précise, l’utilisation du Vieux-Français ne gêne pas la lecture, au contraire. L’auteur nous fait voyager aussi dans les rêves des personnages et les vieilles légendes celtes ressurgissent au moment où on s’y attend le moins. Rajoutez à cela des thèmes aussi actuels que l’arrogance des puissants, la violence faite aux femmes depuis des temps immémoriaux ou encore la puissance de l’amour et des choses simples et vous devriez vous ruer sur ces trois albums magnifiques.