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Dans un Paris du début du XXe siècle, l’intrigue s’articule autour de la lutte des classes et d’une histoire de revanche suite à des événements s’étant déroulés lors de la Commune. Les points forts se trouvent dans le dessin de très belle facture (quoi qu’un peu dense), l’histoire intense et le style narratif. L’Enfer pour Aube présente tous les critères d’une œuvre travaillée et bien construite, mais attention, il s’agit d’une bande dessinée à lire avec un certain niveau de concentration.
Dans un “Far West” de toc et de mises en scène, nous suivons l’histoire d’un quadra passionné de la conquête de l’Ouest, mais peu adapté au XXIe siècle, qui perd son emploi de shérif dans un parc d’attractions thématique et qui se retrouve embarqué dans un voyage organisé peu vraisemblable. Si l’intrigue initiale est intéressante et le dessin franchement agréable, les messages de l’histoire se perdent dans une critique confuse et générale des États-Unis faite au travers de personnages ultra-caricaturaux. En refermant le livre, j’étais déçu, car un poil de nuance aurait beaucoup apporté à cette BD dont l’histoire se révèle finalement un peu trop superficielle.
Dans un futur proche dans lequel le réchauffement climatique a mené à l'inhabitabilité de nombreuses régions du monde, un jeune Parisien se retrouve contraint d’héberger une vieille dame espagnole avec toutes les intrigues qu’une telle cohabitation peut engendrer. L’intelligence de cette histoire réside dans le fait de pousser le lecteur à se projeter dans ce monde anticipé dans lequel la catastrophe écologique apporte son lot de bouleversements ordinaires. Les personnages et les situations possèdent le côté attachant de ces histoires ancrées dans le réel et le dessin classique et efficace font de ce premier tome une belle réussite.
Une jolie histoire d’un chien-guide qui perd lui-même la vue, et par ricochet son maître. Il embarque alors dans un sympathique périple pour le retrouver. Ce livre à dimension poétique s’adresse principalement à un public jeunesse avec des messages positifs et un dessin agréable, à la limite du livre pour enfant. Sans être marquante, cette BD se lit facilement et m’a même appris des choses sur la réalité des personnes non voyantes.
Critique pour l’ensemble de la série : L’histoire se concentre autour de quatre personnages majeurs dans un inquiétant manoir dans lequel la magie et les faux semblants règnent. Malgré un dessin époustouflant et une véritable atmosphère qui se dégage de celui-ci, que l’histoire est précipitée. Il y avait les composantes pour créer une histoire remarquable avec une montée en tension encore plus prononcée. L’impression globale est que l’intrigue est un peu expédiée, et c’est dommage tant l’ambiance du diptyque méritait un scénario des péripéties et une résolution plus poussée. Le Manoir Sheridan reste une lecture agréable.
Critique pour l’ensemble de la série : À travers l’histoire d’un jeune Italien qui subit le fonctionnement d’un système d’immigration injuste et celui de la mafia des deux côtés de l’Atlantique, nous en apprenons un peu plus sur Ellis Island, lieu majeur de l’histoire américaine. Ce diptyque bien narré et au dessin agréable n’apporte pas de révolution majeure au récit d’aventures. Dans l’ensemble, cela se révèle une lecture agréable (avec une mention spéciale au cahier historique de la fin du premier tome), dont les moments forts peuvent éventuellement rester en mémoire sans que l’histoire au complet ne soit particulièrement marquante.