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Le Yoga bien résumé , avec des dessins clairs pour les positions ; comme s'initier sans prétention !
Voila notre vieil Alix toujours plus fatigué et lassé de vivre (s'il en marre de faire de la BD, qu'il se retire sur l'Aventin !), parti à nouveau en mission d'espionnage au service d'Auguste, en compagnie de son godiche de fils Titus et du lourdingue et grimaçant Enak (quelle poisse celui-là, il est plus collant que le sparadrap du Capitaine Haddock) : bon, ça ne fait pas un commando de choc, tout ça… Pas étonnant que les Nabatéens se gaussent de cette fine équipe! Cela dit, le scénario s'est un peu amélioré et surtout les dessins de Démarez et les couleurs de Chagnaud sont au top (beaux décors, grandes ambiances)!
Ce livre est totalement illisible: qui a réussi à lire ce mélange de français apprêté à la recherche du bon mot, d'argot, de parler populaire et autres sabirs de corporations, et de langue bretonne (pourtant non parlée à la fin du XIXème siècle)? Et bien sûr pas d'action, mais que de la parlote, un mal qui se répand de plus en plus dans no chères BD. Aucun intérêt -sauf la reconstitution du Montmartre de Lautrec.
Bravo à Aegidius, qui dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas! Quel navet que ce tome 36 , qui reprend toujours la même intrigue que le tome 1 , 2 … 35, 36... Hermann a dû déjà démarrer le tome 37, afin que Kurdy et Jeremiah se fassent prendre par une méchante secte dont ils réussiront à s'échapper vers la page 40, pour revivre encore et encore la même aventure au tome 38 … C'est un peu le "Groundhog Day" ("une journée sans fin" ) de la BD, ce Jeremiah! En moins drôle et en sacrément vulgaire !
Cela devient de plus en plus difficile de lire ces espèces de récits aux dialogues en "broken French", sans queue ni tête: franchement je n' ai pas accroché, c'est trop mal écrit ! Et on ne rentre pas dans l'histoire … Sans compter qu'il faut s'envoyer tous les détails de la cérémonie de mariage chez les extra-terrestres étalés sur 20 pages … De plus le dessin est un peu froid, avec un côté mal fini qui fait penser à certains comics indépendants US. Une question : mais que fait donc Blanchard dans ce trio, si ce n'est porter le café aux deux autres ?
Gomont est un vrai auteur: dessin efficace qui va à l'essentiel, histoire bien menée, découpage magistral .. Quel bel ouvrage ! Et en plus des "petits trucs" qui pimentent l'affaire : par exemple, la flamme incandescente au lieu d'une simple fumée qui s'échappe de sa cigarette symbolise la soif de vivre et les excès du personnage principal!
C'est un scénario sans queue ni tête - ridicule et prétentieux en plus ; à ne pas acheter à mon avis
Le plagiat est plus courant dans la littérature que dans la BD ; cette anomalie est réparée ici. Ce livre est un plagiat éhonté de Moebius : la ville, et les scènes pseudo-mystiques sont copiées sur l'Incal, les dinosaures volants c'est Arzach, les randonnées dans le désert, c'est Le Garage hermétique...Le tout au service d'une histoire mal construite et sans surprise … C'est dommage car ce dessinateur a un vrai potentiel, comme le montre bien ses généreuses scènes de foule urbaine.
Qu'est-ce que c'est mal écrit ! Comment tous ces grands éditeurs acceptent-ils de publier des albums non relus, non corrigés ? C'est tellement mal écrit que la lecture est très pénible . C'est dommage pour les beaux dessins de Genêt.
Quelles belles aquarelles! Mais qu'est-ce qu'on s'y ennuie! Ne serait-ce qu'une succession de planches à vendre, avec la complicité d'un galeriste parisien-parisianiste bien connu ?
Dessins magistraux - il faut acheter ne serait-ce que pour eux ! Bon scénario , très intrigant, au début, mais ça cafouille un peu à partir du milieu; les dialogues eux, sont catastrophiques, mais c'est un lieu commun dans la BD d'aujourd'hui
Suite et fin de ce récit en huis clos qui donne des frissons dans le dos. Mais la fin du criminel n'est pas décrite ! Quelle frustration !
A partir d'une idée séduisante, Marazano accouche d'une histoire sans intérêt : des révoltés qui finissent par gagner la guerre. Comme toujours chez les fonctionnaires du scénario de chez Dargaud, le scénariste oublie de mettre en scène "les méchants" et ne parle que des "gentils" : du coup, le suspens est proche de zéro. Dialogues vulgaires et sans intérêt. Le tout saupoudré de considérations politico-marxisantes qui ont au moins le mérite de faire rigoler! C'est dommage pour le dessinateur , dont le talent est gâché!
Sexe et violence gratuits ou comment le vieux routier Dufaux cherche à se renouveler par la vulgarité la plus basse. Le talent indéniable de G.March est vraiment gâché ici. De plus cette BD n 'a rien à faire dans la collection "grand public" .
Reconstitution étonnante du Macao d'aujourd'hui par un scénariste qui sait de quoi il parle, et par un dessinateur qui a bien su saisir l'ambiance de cette île fascinante !
Dessins bâclés , histoire embrouillée, mélange entre une histoire de golem et une histoire de corbeau-maître chanteur: à trop vouloir en faire, on fait accoucher une souris d'une montagne.
Catastrophique scénario, mal écrit, et perclus de fautes de syntaxe et de fautes d'orthographe; c'est honteux de la part d'un éditeur comme Glénat de ne pas se payer les services d'un correcteur! Sinon , les dessins sont magnifiques.
Encore un album du groupe Media Participations qui bénéficie de commentaires de complaisance alors qu'il n'est pas encore sorti
"Marazzano développe en finesse etc" ... Qu'est ce qu'il ne faut pas lire ! Marazzano, c'est tout ce qu'on veut, mais certainement pas de la finesse! La seule qualité de Marazzano, c'est de savoir choisir ses dessinateurs.... Quant aux dessinateurs, comment peuvent-ils accepter de voir leur talent gâché de la sorte ?
Enfin un scénariste à la hauteur de son dessinateur : drôle, enlevé, passionnant! Dessins en adéquation totale avec la truculence des personnages!
Encore un vieil auteur incapable de se renouveler. Quel manque de considération envers soi-même, que de faire la même chose qu'il y a 30 ans dans Métal Hurlant! Quand on ne se pas se renouveler, il vaut mieux se mettre à la retraite...
Aussi déprimant qu'un concert des vieilles canailles !
Et j'ajoute une chose : je voudrais bien poster ici un extrait de ces merveilleux dialogues marazanesques, mais la décence m'en empêche..........
Le scénariste s'est surpassé dans la vulgarité et la grossièreté; quel dommage pour le dessin virtuose de Ponzio ; j'interpelle Ponzio : comment fait- il pour accepter de coller ses dessins et son merveilleux univers sur un scénario aussi poussif, et surtout, sur des dialogues aussi grossiers ? Comment peut-il supporter cela ? Mystère...
Excellents dessins.
Mais que dire du scénario et des dialogues ?
Le scénario tourne en rond autour d'une cage d'escalier : comme le dessinateur a dû s'ennuyer! De plus, l'histoire, qui ne décolle pas, paraît fabriquée...
Les dialogues sont mal écrits, et une espèce d'agressivité gratuite sourdre en permanence.
Un bel objet à placer dans sa bibliothèque, grâce à la fantastique couverture ; mais ça s'arrête là