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Un vrai reportage en immersion. Magnifique.
On y découvre Depardieu exactement tel qu’on peut l’imaginer. Qu’on l’aime ou le déteste.
On devine sans problème au fur et à mesure qu’on avance dans le récit que Mathieu Sapin n’a forcé aucun trait. Et il parvient, un peu comme sait le faire Riad Sattouf, à nous faire vivre l’aventure par procuration. On est entièrement avec eux, à tel point qu’on entend Depardieu sans effort.
Il décrit parfaitement cet homme qui a, on imagine, tellement exulté et souffert, et qui n’a surtout tellement plus rien à prouver qu’il assume aujourd’hui son corps et ses paroles sans aucun filtre ni complexe.
Cet homme qui peut se permettre de décider en une seconde s’il vous aime ou vous déteste sans justification. Un luxe que la société ne peut accorder qu’à ce genre de personne hors du commun des mortels, pour le meilleur et pour le pire.
Le style du dessin, naïf et mal griffonné, aux proportions aléatoires n’ai pas gênant.
Depardieu finit même par paraître aussi bien croqué qu’il est décrit.
BD, paradoxalement à son style graphique, ultra réaliste. Aussi fascinante qu’un excellent épisode de Strip Tease.
Cela fait longtemps que je n’avais pas autant ri. L’humour de moustache et d’entreprise, à la « Message à caractère informatif » est hyper efficace pourvu qu’on y soit sensible.
Les graphismes très geek, très « 8 BIT » sont parfaitement adaptés et matchent immédiatement.
À des années lumières de l’horrible « George Clooney » du même auteur (dont le prétexte du 3ème degré cache surtout une flemme et une niaiserie rarement atteinte), ce Jean Doux n’est pas loin du chef-d’œuvre !
Le sens du rythme et du cadrage, très proche du cinéma, donne une impression de montage et une dimension trop rare en BD pour être signalé.
Et ça regorge de bonnes idées absurdes et hilarantes (la longueur des cravates comme autant de récompenses aux employés modèles par exemple).
On demanderait carrément une suite à ce personnage qui mérite vraiment d’exister.