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Yovo, je comprends votre déception de ne pas retrouver le même charme dans "Un destin de Trouveur" que dans "La malédiction de Gustave Babel", mais, dans ce dernier opus, le ton et le thème sont portés sur la colère, l'injustice et l'humanité. J'ai abordé ce récit sous un autre angle que Babel, vous pouvez ne pas y trouver votre compte, je comprends, mais c'est ma façon de gérer ces récits. Je ne pouvais pas raconter cette histoire sans y aller frontalement. Babel était écrit sous l'auspice de Baudelaire et du sleen de Paris et la mise en couleur va avec (à la fin de l'album, quand il est en Argentine, la couleur apparaît, : le spleen est passé), Trouveur l'a été sous celle de J.J. Rousseau, donc l'homme libre, la nature, c'est pour cette raison que la couleur est plus présente car la vie se devait d'être éclatante, tout comme l'histoire de la Bête me paraissait évidente, d'une part pour expliquer se personnage et d'autre part car c'est l'homme libre, nu, rousseauiste, tout comme la couleur verte, vision subjective d'Émile, tienté par le même Rousseau... au contraire du flash-back rouge de Léonie à la fin du récit...Coriace... Le suivant sera sans doute écrit différent des deux premiers, pour les raisons précédemment évoquées