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N’étant ni fan, ni connaisseur de l’univers de Spirou, j’ai lu cet album sans grandes références à l’original. Et j’ai beaucoup aimé.
Je dois reconnaître que ce Spirou « adulte » en jean, t-shirt et lunettes me parle d’avantage que le petit groom traditionnel.
Cote dessin, rien à dire, c’est parfait.
Côté scénario, cette histoire ne laisse pas insensible et appelle à la réflexion tant elle est ponctuée de symboles ou de paraboles.
Dommage que certains n’aient pas saisi le lien entre l’histoire principale et l’histoire des champignons noirs.
Un petit indice ? Méditez sur le dessin de l’okapi blanc que Fauvette offre à Spirou...
En tant que fan de Valerian et, à condition de ne pas chercher à révolutionner l’univers créé par Christin et Mézières, c’est une excellente reprise. La modernisation est parfaite tant au niveau scénario que dessin. L’aficionado de la série d’origine y retrouvera tous les ingrédients de base: humour, personnages pittoresques déjà connus, scénario à implications spatio-temporelles où l’existence de la Terre est en jeu, une Laureline aussi craquante que l’originale et un Valerian parfois dépassé par les contingences matérielles.
Pour un one-shot « hommage », c’est parfait.
Lucky Luke ne faisant pas partie de mes lectures favorites, il me manque peut-être un élément me permettant de comprendre l’enthousiasme pour cet album.
Le dessin et la mise en scène sont sans conteste de qualité mais pas non plus exceptionnels à mon goût.
Le scénario est visiblement très inspiré des westerns classiques avec beaucoup de références aux films avec J. Wayne, K. Douglas etc... Il y a même un soupçon de Clint Eastwood période post Leone. Pour les connaisseurs cela est presque amusant de les retrouver au fil de l’album.
Sympathique mais cela enlève tout de même un peu d’originalité à l’ensemble.
En revanche, il me semble, ayant lu au moins un Lucky Luke dans ma vie, que le côté comique voire burlesque a totalement été éradiqué. Je pensais que c’était un point clé des albums de Morris et Goscinny mais cela n’a visiblement pas heurté les aficionados.
Personnellement, je préfère cette approche plus « Blueberrienne ».
Au final, un bon album mais qui ne rentre pas dans mon top 5 des meilleures BD western.
Un album hors du temps et des tendances, bien fait à tous points de vue. Du grand art !
J’espère qu’un éditeur de beaux tirages aura la bonne idée de s’emparer de cette petite perle.
Cet ouvrage mérite une édition grand format mettant en valeur autant la couleur que le N&B, indissociables dans ce cas.
Tout a déjà été dit dans les avis précédents sur le récit et les dessins.
Il est simplement dommage que cette édition luxe soit d'un format un peu juste et d'une impression N&B un peu terne pour rendre totalement hommage aux fantastiques planches à l'encre de chine de F. Ferniani.
Les quelques pages couleur bénéficient en revanche d'un beau rendu.
Je reste personnellement un peu sur ma faim tellement cette intégrale le méritait, d'autant plus que "Les sculpteurs" savent faire. Cependant la critique est facile, l'art est difficile...
Mon avis concerne uniquement le tirage par L. Hennebelle de cet ouvrage maintes fois plébiscité.
Certes cher mais réellement magnifique. Chaque page est une sérigraphie de la planche originale correspondante. Les dessins et les couleurs de J-P Gibrat sont mis en valeur comme jamais. Du grand art ! Et quand on voit le prix d’une simple sérigraphie de l’auteur, ramené au nombre de pages de l’ouvrage en version 2, ce n’est finalement pas si déraisonnable. Sans parler de la qualité des matériaux et de fabrication qui est de haut niveau.
Conseil personnel: à découvrir si l’occasion de présente.
Pour ma part, je suis totalement conquis. Enfin le Dracula en BD que j’attendais. La mise en scène de G. Bess respecte l’essence du roman de B. Stoker que je recommande de découvrir ou redécouvrir dans sa version « Pléiade » de Gallimard, sortie également cette année (décidément Dracula gagne ses lettres de noblesse en 2019...).
D’autres l’ont certes déjà fait avec des aménagements plus ou moins heureux.
L’intérêt de cette version est (toujours amha...) dans la magnifique retranscription en dessins de G. Bess. Etant un fan de son coup de crayon, mon avis est totalement partial, je l’avoue ! Ses planches en N&B sont magnifiques et imprégnées de l'âme du roman . Je rejoins l’avis de bd.otaku, l'édition luxe est incontournable pour profiter d’un visuel épuré (absence des fonds décoratifs de la version normale) et d’un format se rapprochant des planches originales.
Au niveau de la réalisation par Glénat, j’ai été agréablement surpris par la couverture de cette version luxe qui s’avère très réussie. Savant mélange d’encres dorées, bronze et noires, satinées, brillantes et mattes avec une touche un peu rétro. L'intérieur n’est pas en reste avec des pages plutôt satinées que brillantes mettant en valeur les planches N&B de l’artiste.
Au final, je mettrai 5/5 à l'édition Luxe et 4,5/5 à l'édition normale.