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Je suis tombé des nues en fermant ce livre.
Barroux n'a fait qu'illustrer ce récit et pourtant on le dirait écrit par un auteur moderne. Mais il s'agit bien là du carnet de guerre d'un pauvre gars, lancé dans la Grande Guerre sans l'avoir voulue. Difficile alors de dire que le scénario est bien bouclé, que l'histoire est touchante… Elle est vrai. Alors que dire de plus. Que les images de Barroux soulignent à la perfection la dureté de l'instant. Que le choix graphique est plus que pertinent. Que pour tous les passionnés de la Der' des Ders' et de BD c'est pour moi un indispensable.
Après n'avoir lu que de bonnes critiques sur ce livre, je ne m'attendais pas à moins de beauté.
C'est une superbe histoire napée de mystères et d'amours. Et pour une fois, un amour nouveau. Du moins pas l’amour traditionnel du conte. Basé sur la trame du conte des Mille et une nuits, le récit est tellement bien amené que finalement on ne sait plus trop ce qui tient du conte ou de la narration, rendent encore plus fort le mythe.
Je suis tombé sous le charme de ce roman graphique. Les histoires dans l'histoire sont un bon moyen de tenir en haleine le lecteur jusqu'au dénouement final. Une belle découverte pour ma part.
J’ai du mal à cerner le juste fond de ce récit. Le côté révélation spirituel, limite moralisateur, d’un ado hippie fumeur de joints ne me touche pas du tout. En lisant la quatrième de couverture et feuilletant rapidement chez mon libraire, je ne m’attendais vraiment pas à ce genre de sujet. Je trouve que cela ressemble trop à un prêche évangélisateur, laissant de côté les éléments qui pourraient être drôle et en les rendant sans intérêts.
Cela n’enlève en rien à la qualité du dessin de Max de Radiguès, que j’avais déjà apprécié dans son « Weegee » parue en 2016. À noter également, la qualité de réalisation du livre en lui-même, qui donne vraiment l’impression de parcourir un roman (rapport évidant au thème de l’édition).
Pour conclure, malgré un scénario un peu bancale et que je trouve pour ma part trop orienté « catho », c’est une petite lecture sympa tant pour la qualité du livre que pour le dessin. L’ensemble rendant malgré tout la lecture agréable. Idéale pour une lecture sur le balcon, par un beau dimanche après-midi.
C'est une belle déclaration d'amour, à son père malade, que Marion Fayolle nous sert ici. Un fin dessin mit en avant par une belle coloration pour un ouvrage plus proche du récit illustratif que de la bande dessinée "classique".
Découvert pour ma part avec "L'Homme en pièce" -Ed. Magnani 2016-, je découvre, avec émotion, une part plus intime de l'autrice.
C’est un beau livre, dont le sujet, amené simplement et délicatement et plutôt orienté pour un publique d’adultes, peut malgré tout être utilisé avec des enfants, pour parler de cette choses compliqué qu’est la maladie.
Indispensable à qui aime les polars.
Une pépite du roman noir mise en image et en couleur par un des maitre du genre.
Un superbe album, tant graphiquement (l’alternance des styles, et la qualité du coup de crayon) que du point de vue scénaristique.
J'ai dévoré l'histoire en moins d'une heure et je ne m'en suis pas moins attaché aux personnages. Si bien que sur les dernières planches, j'ai eu un petit pincement et la gorge serrée, les larmes au bord des yeux.
Je n'osais pas lire ce livre tant la critique était bonne, me disant : "je ne veux pas lire la même chose que tout le monde", j'aurais eu tort de ne pas le faire.
Lecture chaudement recommandé à tous les amoureux de la bonne lecture…