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Un troisième tome assez didactique pour le sujet traité (ça fera du bien à plein de lecteurs) - bien dans la lignée des 2 premiers tomes en fait, avec plein de sensibilité ici et là, et de l'action aussi.
Le sujet principal est dur et son traitement ne tombe pas dans la lourdeur à laquelle on pourrait s'attendre. C'est bien fichu, et j’ai franchement beaucoup aimé.
Formidable BD sur la vie du journaliste pakistanais Taha Siddiqui, prix Albert Londres 2014.
Il y raconte son enfance, ses études, la radicalisation de sa famille, la vie dans un pays géré par des malades mentaux.
Instructif, sidérant, brillant.
Un livre à mettre aux côtés de L’Odyssée d’Hakim, de Fabien Toulmé, histoire de comprendre un peu mieux le chaos dans lequel on élève nos enfants.
Une BD plutôt très prenante pendant les trois quarts du bouquin (donne 7/10), et puis la fin tombe comme un cheveu sur la soupe sans réelle "explication".
Je suis un peu déçu au final.
Note : 2/5 (correct, sans plus).
Un hommage plutôt sympa, très agréable graphiquement (limite beau dans son ensemble), mais qui n’apporte vraiment rien à la « saga ». Ça traîne même un peu en longueur à certains moments.
Était-ce bien utile ?
Sympathique, sans plus (j’en attendais peut-être trop aussi).
2/5 ("correct, sans plus" selon les critères de BDGest).
J'ai découvert le manga "L'attaque des titans" il y a peu (juste curieux du tapage qu'il y a autour), et j'ai finalement abandonné après 4 tomes : le dessin est (très) moche, trop brouillon trop fréquemment, c'est gore juste pour le plaisir d'être gore ; l'histoire est certes originale mais le traitement est relativement plat et basique.
Même si je suis curieux de savoir où veut aller l'auteur (c'est tellement n'importe quoi que je n'en ai pas vraiment idée), je n'ai pas la patience de lire ces péripéties à la limite du supportable pour moi.
Bref, je n'ai pas aimé du tout.
Un dernier tome qui ne vole pas bien haut. Si le premier tome de la série m'avait fait levé un sourcil (ça changeait _un peu_ de Jeremiah), force est de constater que les auteurs n'ont pas su m'intéresser avec le reste de la série, et tout finit très platement. Bref, un belle déception que cette série au final.
Je ne suis pas un grand fan du dessin de Rochette, et ce depuis toujours : j'ai toujours cette impression de tableau pas fini qui me chagrine un peu. Mais l'histoire est tellement bien racontée, et le propos tellement puissant, que j'ai été happé dans la ma lecture et que c'est pour moi l'une des meilleures BD de cette année 2022. Une ode à la nature magistrale.
Un objet vraiment (très) beau.
Après, l'histoire est ce qu'elle est : une histoire de mutinerie et de naufrage. On est dans le classique.
C'est bien raconté, les dessins sont très beaux, mais ça manque un peu de souffle épique.
Je n'ai pas été subjugué.
Et 35€, ça reste cher, trop cher pour 130 pages, le vernis sélectif et le toilage de la couverture ne peuvent pas tout excuser.
Note selon les critères du site : 3,5/5.
Un très sympathique tome, absolument pas catastrophique comme certains intégristes de la BD le crient sur les forums. De chouettes dessins, plein de petits gags et jeux de mots, quelques surprises. J’ai vraiment passé un bon moment.
Magistral de bout en bout : dessins impressionnants, histoire captivante, émotions à gogo.
L’édition est de plus de toute beauté pour un prix très correct.
C’est une BD de « zombies » super originale : la Mort a été vaincue et tout ce qui vit est condamné à pourrir ad vitam eternam ou à vivre éternellement dans le corps de celui qui lui coupe la tête (une même personne peut donc être l’ôte de plein d’âmes à la fois). Seuls deux enfants, Zorn et Dirna, semblent pouvoir donner une _vraie_ mort à ceux qu’ils touchent simultanément. Ils sont donc convoités.
Un pitch super étonnant, une BD très violente malgré un dessin tout en rondeur, émouvante aussi. Et tout le temps surprenante par son inventivité.
C’est une des rares BD (6 tomes ou une intégrale) que je relis au moins une fois par an tellement elle me fait vibrer.
J’ai rencontré l’auteur Jérôme Alquié il y a plus de 20 ans à un festival Cartoonist de Toulon (il ne doit pas se souvenir de moi mais on avait pas mal parlé ensemble sur son stand). J’en étais reparti avec des illustrations, des « cellulos » et deux Artbooks officieux sur Saint Seiya et Goldorak (officieux, mais tellement beaux).
Je ne suis guère surpris aujourd’hui de le voir aux commandes de deux séries phares qu’il a toujours adorées : Albator (que j’ai apprécié, même si je n’ai jamais été un grand fan des séries TV) et Les Chevaliers du Zodiaque.
La maîtrise graphique est impressionnante : quelle joie de retrouver le design si beau du dessin animé.
L’histoire n’est pas en reste : le travail est formidable, et on y apprend enfin tant de chose laissées dans l’ombre des histoires originales. Les nouveaux méchants sont top, la side story de fin de tome (j’ai acheté la version collector) est poignante à souhait.
J’ai lu ce premier tome avec la BO du dessin animé en fond : quelle nostalgie, quelle magie, quelle émotion.
C’est simple, à mes yeux le travail est tout aussi magistral que la BD de Goldorak de Bajram/Dorison parue il y a un an.
Bravo Jérôme (et bravo à ton compère aussi), vivement la suite.
Ça en devient un peu long et un peu ennuyeux. J'adore toujours le dessin, même si sur ce tome Etien n'a pas donné son maximum, notamment sur les persos et les décors.
Vivement la fin, qu'on puisse passer à autre chose et qu'Etien puisse enfin se consacrer à ses deux séries phare.
Autant, j'ai beaucoup aimé cette série jusqu'au tome 5, autant le niveau baisse avec des intrigues annexes qui trainent en longueurs et où on n'avance plus trop dans l'histoire (malgré des tentatives grossières de raccourcis ici et là, c'est dire).
Une BD – un livre – d’utilité publique sur le réchauffement climatique, comment on en est arrivé là, ce qu’on pourrait (vraiment) faire pour changer la donne.
C’est absolument indispensable pour comprendre où on va (les 4/5 du bouquin) et ce vers quoi il faudrait essayer d’aller (le dernier 1/5, qui découle de l’énoncé des 4/5 précédents).
À lire de toute urgence :
- c’est didactique
- c’est dense (chaud à lire en une seule fois, il y a énormément d’infos)
- le narration humoristique est inventive et salutaire
- c’est factuel
- c’est super intéressant
- ce n’est clairement pas réjouissant
- tout est bien plus compliqué que ça en a l’air
- ça reste accessible et compréhensible.
J’ai beaucoup aimé le dessin de Guérineau, mais le scénario, bien que touffu et très bien mené, trouvé une fin trop rapidement menée (tout est bouclé en 3 pages, sur 109 au total). Je regrette vraiment qu’on n’ait pas eu de petits indices tout au long de l’histoire : là, tout arrive un peu un peu comme un cheveu sur la soupe et c’est au final… décevant.
Qu’est-ce que c’est bon !
Une explication détaillée de la création des contes au fil des âges, de leur évolution, de leur modernisation, du massacre qu’en a pu faire Disney, etc.
C’est instructif, super drôle, et très documenté (la biblio conséquente de fin de volume est étonnante pour une BD).
Un must de cette année 2021 et un must de la BD tout court.
J'aime bien (sans être ultra enthousiaste non plus) les histoires de cet auteur, même si je place sa toute première au dessus de lot.
Cette histoire , du moins sa première partie, est dense, curieuse, étonnante à bien des égards, mais parfois un peu trop longue aussi.
De plus, j'ai toujours beaucoup de mal avec la colorisation de ses œuvres : elle est très froide, très fade, très photoshop de base. Et je n'aime pas ça du tout.
Ma grosse claque de cette fin d’année.
C’est fun, bien fichu, très instructif et pour ne rien gâcher, l’édition est ultra quali (avec en plus une interaction bien fichue en réalité augmentée grâce a l’appli « Delcourt Soleil + »).
L'histoire est bien, très documentée.
Ce n'est clairement pas la meilleure BD de l'auteur, mais c'est très plaisant, et le dessin est en parfaite adéquation avec l'histoire, et il y a même quelques trouvailles graphiques très bien fichues.
La postface par un historien est ultra instructive et montre le gros travail de Lupano (même s'il semble avoir pris quelques libertés).
Et la fin est...
Je suis un fan de la première heure de Lupin Sansei (cf. mon pseudo). Il me tarde puis près de 30 ans de voir cette oeuvre traduite en français. Quelle déception que ce soit ce recueil d'histoires qui ait été choisi pour tester le marché français. Ce livre n'est destiné qu'à ceux qui connaissent très bien l'oeuvre originale, et qui ne seront donc pas rebutés par les différents styles graphiques distillés au fil des pages (entre moche et correct, rarement très bon). Les histoires sont totalement inégales, arbitrairement choisies par une seule personne (le dernier éditeur de l'auteur), et qui ne parleront donc pas à grand monde, si ce n'est à elle.
En bref, c'était le meilleur moyen pour être certain que le succès ne soit pas au rendez-vous et que la série intégrale n'arrive jamais dans son intégralité en France. Un peu écoeuré je suis.
À voir avec le second tome, si l'histoire s'envole et flirte avec l'exceptionnel histoire de rattraper ce premier opus très classique, bien trop classique. Ça se lit et ça s'oublie très vite en l'état.
Reste un dessin très beau, mais avec les défauts habituels de Marini : les personnages qui ne sont pas au premiers plan sont trop souvent esquissés plus que dessinés. J'ai beaucoup aimé les couleurs aussi.
Je n'accroche plus à l'histoire. Si le 2ème tome était un poil meilleur que le premier, celui-ci enterre définitivement mon intérêt pour la série. Les dessins sont plutôt bons, même s'il est parfois difficile de différencier certains personnages. Et ce côté mystique dans l'histoire, n'apporte pas grand chose si ce n'est quelques facilités scénaristiques qui font perdre de l'intérêt à la trame générale. Dommage, j'attendais beaucoup de cette série.
Et ben ma foi, ce fut une lecture très plaisante : bon rythme, plein de bons jeux de mots (sans que ce soit trop comme dans leurs premiers tomes), de très jolis paysages enneigés.
C’est pour moi le meilleur album du « nouveau » duo d’auteurs, avec le précédent (La fille de Vercingétorix).
Une BD faite par des "vieux" fans, tous fabuleusement talentueux (les auteurs de Universal War One et du 3ème testament en tête), pour des "vieux" fans nostalgiques et ayant vibré dans leur enfance par le plus iconique des robots géants (du moins en France).
Cette histoire est un hommage à toute une enfance comme j'en ai rarement vu : l'histoire est vraiment chouette, les dessins et la colorisation sont à tomber, le respect de l'oeuvre originale animée est incroyable, le respect des enfants qui ont tous pris 40 ans et qui se souviennent avec tendresse et nostalgie de leurs goûters après l'école devant la télévision est absolu.
C'est vibrant, poignant, très émouvant pour moi qui ai grandi avec Goldorak.
En bref, c'est une réussite absolument magistrale et totale.
Sachez que ce 5/5 est une "petite" note à mes yeux, cette BD méritant clairement bien plus que ça.
En refermant le livre, j'ai eu une petite pensée pour Ségo : tu as toujours été à côté de la plaque, aujourd'hui (toujours) comme il y a 40 ans quand tu parlais de "japoniaiserie" et que tu fustigeais Goldorak.
J'avais tellement été déçu par le tome 5 que j'y suis allé ci un peu à reculons dans ma lecture du tome 6. C'est clairement bien plus réussi graphiquement que le précédent opus (pas difficile). Je ne trouve pas qu'on retourne le charme des premiers tomes, mais c'est vraiment très beau (même si je trouve encore un peu bâclés certains décors à l'aquarelle).
Concernant l'histoire, c'est là que ça pêche : c'est un pur tome d'introduction et il ne s'y passe finalement pas grand chose. Le rythme est lent, très lent, à la limite de la mollesse.
Bref, je me suis bien ennuyé à ma lecture et ce sera le premier tome de Blacksad que je n'achète pas (j'ai acheté le tome 5 il y a des années, et je le regrette toujours amèrement).
En bref : très beau, très plat.
"2/5, correct sans plus"
Je ne suis pas fan à la base de Corto, ni de Pratt d'ailleurs. J'aime bien, certaines de ses aventures, mais sans enthousiasme débordant.
Le dessin de cet reprise est dans la veine de tout ce qu'a fait Vives jusqu'à présent : plantureux, beau par moment, à peine esquissé à d'autres.
L'histoire n'a pas grand intérêt en soi, et la transposition de l'époque à aujourd'hui n'apporte pas grand chose (pour ne pas dire "rien"), comme l'introduction des attentas du 11 septembre 2001 qui arrivent comme une cheveu sur la soupe.
A lire avant d'acheter.
Un dessin sensuel, très féminin, et de jolies couleurs aquarelles. L’histoire en elle-même est ultra classique (très Hugo-esque), se laisse lire sans déplaisir, mais ne se démarque pas suffisamment pour rester dans les mémoires (même à l’époque de sa parution). Sympathique.
Énorme coup de cœur 2021 que ce one shot, sur un phénomène que je ne connaissais absolument pas. C'est beau, c'est bien raconté, et même si le rythme est lent et assez contemplatif, ma lecture ne m'a jamais donné l'impression d'un roman graphique long et ennuyeux (comme il y en a trop souvent à mes yeux depuis quelques années).
C'est, à ce stade de l'année (mi-juillet), la meilleure BD parue en 2021.
Bien bien bien. Voilà, voilà, voilà. Comment dire... heu...
Une fenêtre pop up me dit qu'il faut au moins 100 caractères pour rédiger un avis, mais là, c'est super difficile...
Auteur inconnu (pour moi), album qui ne sort d’on ne pas où (pas une once de pub pour ce Lucky Luke), et intérêt plus que limité au final. Il ne (me) laissera aucun souvenir.
Il y a plein de propos racistes partout (et caricaturaux, qui plus est) : c’est certes pour se moquer des racistes, mais il y a plein de propos désagréables disséminés partout dans le bouquin. Ad nauseam.
Je n’ai pas pu finir la BD tellement c’est indigeste.
Les auteurs ont parfaitement compris la vision des deux auteurs mythiques et ont su y introduire leurs propres sensations. Le dessin est de plus vraiment très réussi. Un excellent moment de lecture pour une excellente reprise.
Ce tome, bien que très bien, est légèrement en dessous du premier opus (du même auteur) :
- les couleurs sont moins sympas, plus monotones,
- il ne se passe finalement pas grand chose
J’ai beaucoup aimé ce semblant de relations du j’étais avec les femmes : le côté solitaire n’en ressort qu’encore plus renforcé, finalement.
Un Van Hamme totalement quelconque, sans grand rapport dans la narration avec tout ce qui a fait le charme de la série mère. Et le dessin de Berthet est trop lisse, trop plat, sans profondeur ni mouvement, et ne colle pas du tout avec l’histoire. En bref : très bof.
Dans la droite lignée du premier tome : un dessin toujours aussi beau et un scénario aux petits oignons. Du grand Art.
C'est aussi barré que dans mon souvenir. Ne nous leurrons pas : c'est complètement stupide, amoral et vulgaire. Bref, c'est une curiosité devenue un classique, mais qui ne casse quand même pas trois pattes à un canard. À lire avant d'acheter.
Le dessin est très beau, tout en délicatesse. L’histoire est prenante dès le départ, mais je ne me suis jamais senti happé par l’histoire, ce qui m’a un peu déçu de la part de Lupano.
Je ne regrette pas ma lecture, mais je n’en conseille pas pour autant l’achat.
Clairement bien en dessous de tous les autres, ce tomes est totalement anecdotique (il ne se passe rien). Même le dessin est plus brouillon, plus sale, moins agréable. Cette non histoire reste néanmoins bien racontée (Lupano oblige), mais est-ce que ça valait le coup de raconter ce "rien" ?
Avec son dessin très « Sfarrien » (dessin tremblotant, aucun trait droit- même pour les cases), que je n’apprécie pas du tout, et son histoire complètement barrée, je n’ai pas pu aller au bout de la lecture : j’ai lâchement abandonné ces aventures au goût de grand n’importe quoi.
C’est le moins bon tome de la série pour moi. On est totalement déconnecté du fil rouge de la série, et la thématique n’intéressera à mon avis qu’une petite partie des lecteurs.
J’avais peur à la fin du tome précédent, et j’avais raison. J’ai souri une ou deux fois, pas plus, alors que j’ai eu plusieurs éclats de rire sur les autres tomes (sauf l’avant dernier qui était aussi moins drôle). Bref, plutôt 2/5 pour ce tome.
J’ai beaucoup aimé l’intrigue, le gamin étant touchant et le Marsupilami particulièrement réussi car très sauvage, très sombre.
En revanche, et ça fait bien baisser ma note, je ne supporte pas ce mélange de langues, avec des astérisques partout : ça m’a gâché une bonne partie du plaisir de lecture. C’est certes moins pire sur dans l’insupportable dernier tome des Passagers du vent de Bourgeon, mais ça ne m’a pas plu.
J’étais parti pour l’acheter et ne le ferai finalement pas.
Je suis resté sur ma faim : les planches pleine page sont magnifiques, la colorisation est splendide, mais j’ai un problème avec les visages que je ne trouve pas beaux du tout et avec les quelques scènes d’action que je trouve ultra statiques avec des positions des personnages parfois très fantaisistes et improbables (ces derniers points ne me font pas rentrer totalement dans l’histoire). Concernant l’histoire, je n’ai pour le coup pas été enthousiasmé non plus. C’est exactement le même ressenti que j’ai eu pour Buffalo Runner.
Mais je garde ces deux BD car la composition et la colorisation sont au top.
A mes yeux, il s’agit tout simplement du meilleur manga paru ces dernières années. À la croisée du shonen et du seinen, la narration est palpitante, le dessin ultra fouillé et le rythme de parution en France est tout bonnement incroyable (4 tome tous les 2 mois).
À lire et posséder d’urgence !
Un tome introductif, en hommage (autorisé) au héros de comics Photonik. C'est clairement un tome introductif, très Brunschwigien : je ne suis pas ultra fan, ayant la tête plein de souvenirs de ce héros très atypique, mais ça se laisse lire.
J’aime fait d’habitude ce que font les deux auteurs. Mais cette docu-BD n’a pas fonctionné sur moi.
J’avais déjà trouvé le film de Clint Eastwood sur ce même personnage totalement inintéressant (dans la forme, mais aussi le fond), et cette BD ne rend ni les faits ni la personne plus intéressants.
J’ai essayé plusieurs fois de m’y remettre, mais j’ai finalement abandonné.
Le dessin reste sympa (bien que trop copié-collé par moments), mais ça ne rattrape pas « l’histoire » qui m’a laissé de marbre.
Je possède tout Gen d'Hiroshima, mais je n'ai jamais pu dépasser les 2 premiers volumes (le dessin est en total décalage avec l'histoire à mes yeux, et ça me rebute un peu - il faudrait que je lui redonne sa chance, surtout après avoir lu La Bombe).
Cette BD était l'occasion de rentrer un peu plus dans l'Histoire, mais pas du côté des victimes de Little Boy, plutôt du côté de tous ceux qui ont oeuvré pour créer cette première bombe atomique.
C'est finement raconté, prenant de bout en bout, totalement extraordinaire, à la limite de l'invraisemblable... et pourtant.
Une histoire dingue et véridique, pour raconter ce qui a fait basculé l'Histoire.
Une BD totalement indispensable, à lire et à prêter.
Très joli (Willem oblige), ce premier tome se révèle relativement anecdotique : l'histoire est ultra classique, le mélange des deux mondes laisse à peine entrevoir toutes les possibilités futures.
Au final, c'est bien raconté, mais ça reste trop basique pour moi pour l'instant.
Un premier tiers vraiment très bon (original sur tous les plans), puis un deuxième tiers où on espère ne pas déjà deviner la fin, et enfin le dernier tiers qui tombe dans la niaiserie.
Au final, j’ai un avis très mitigé et c’est le début de l’histoire qui me reste en tête, heureusement (d’où la note).
Comme d’hab avec le scénariste, le pitch est alléchant, mais _rien_ ne fonctionne vraiment au final : c’est tiré par les cheveux, il y a trop de coïncidences et de facilités scénaristiques, voire d’incohérences sur la fin du dyptique.
J’en ai même eu mal pour Griffo pendant ma lecture : qu’a-t-il donc été faire dans cette galère ?
C’est pas mal, sans plus. Malgré un pitch original, on reste dans du très classique concernant la lutte entre petits groupes de survivants (cf. toutes les histoires de zombie).
On verra ce que l’originalité du pitch apportera vraiment à l’histoire par la suite, mais pour l’instant rien d’extraordinaire.
La nostalgie marche à fond, mais il faut quand même avouer que c'est très creux, c'est ultra-prévisible de bout en bout, et c'est surtout très loooooooooonnnnnnnng. S'il n'y avait pas la nostalgie, je luis mettrais 2 ou 3 sur 10.
Dire que j'ai failli l'acheter sans le lire avant...
Si le premier tome avait un petit goût de frais (pour qui n'a pas lu du Tarquin depuis 15 ans, comme moi), celui-ci s'enlise jusqu'à en devenir ennuyeux : j'ai survolé les dernières pages tellement cela n'avait que peu d'intérêt.
Une BD Soleil pur jus de la mauvaise époque (ha non, on me dit dans l'oreillette que c'est du Glénat, tout se perd ma bonne dame...).
Un tome ultra soporifique, avec des raccourcis neuneus et des coïncidences extra-ordinaires en veux-tu en voilà. Je ne me souviens même pas avoir lu les 10 dernières pages, peut-être survolées (je ne sais plus, je m'en fiche).
Un album très mauvais à mes yeux, de loin le plus mauvais de la série (l'abandon de la cohérence scénaristique est juste incompréhensible).
Une série humoristique par l’auteur de « Animal lecteur », entre autres.
Cette série cible clairement les enfants : elle met en scène trois enfants de primaire un peu stupides qui réalisent des bêtises plus grosses les unes que les autres. Les situations sont cocasses, et c’est plutôt amusant.
Il n’y a certes pas à tomber à la renverse, mais la lecture est plaisante (mais pas au point d’adhérer au sticker coller sur la couverture : « la BD la plus drôle de l’année » - il ne faut pas pousser, hein...).
Une histoire originale certes (des parties de « balle au prisonnier » comme résolution de conflits), mais finalement plutôt creuse.
La colorisation est douce et plutôt agréable, mais le dessin des personnages est très inégal : ils sont tantôt sensuels, tantôt méconnaissables (surtout celui de l’héroïne qui vire régulièrement au disgracieux).
Bref, une lecture pas indispensable à mes yeux : le dessin des persos m’a un peu gâché ma lecture par moments et le manque de profondeur de l’intrigue ne m'ont jamais fait rentrer dans l'histoire.
Autant j'avais trouvé très moyens les trois premiers opus du duo d'auteurs (avec un 3ème tome particulièrement désastreux que je n'avais pas acheté), autant je trouve qu'ils ont vachement progressé dans ce 4ème tome : les gags me semblent beaucoup moins forcés, l'histoire est plus limpide, certaines références m'ont vraiment fait marrer.
J’allais oublier : la carte de Gaule est revenue en début d’album. Preuve indiscutable de l’énorme bourde du (mauvais) album précédent.
Autant les 4 premiers tomes sont extraordinaires, autant la série baisse graduellement par la suite : le tome 5 est un cran en dessous, le tome 6 amorce une grosse baisse de niveau, très largement confirmée par ce tome 7 sans intérêt : je n'ai jamais éclaté de rire, et ai à peine souri à 3 ou 4 endroits.
Je ne lirai même pas les suivants (s'il y en a).
Louisiana est une BD qui rappellera la thématique et la dureté de "La couleur pourpre" (film de Spielberg du milieu des années 1980), même si un siècle sépare ces deux histoires.
Cette BD est inspirée d'une (ou plusieurs) histoire vraie - même s'il y a un peu de vaudou dedans et c'est d'autant plus glaçant, même si on sait depuis longtemps ce que l'homme est capable d'infligé à ses semblables.
La narration est classique mais totalement maîtrisée, le dessin est quant à lui très beau et colle parfaitement à l'ambiance.
Une lecture qui m'a beaucoup plu, malgré cette thématique classique, maintes fois vue et revue.
Vivement les 2 prochains volume pour la fin de l'histoire.
Il y a deux ans, je découvrais avec ma fille de 14 ans "La brigade des cauchemars", qu'elle avait bien aimé (plus que moi).
Le dessinateur revient avec "109 rue des soupirs" pour illustrer une histoire toujours destinée aux ados : si l'histoire est ultra classique, le dessin (que je n'apprécie toujours pas) rend le tout très dynamique, légèrement amusant, et la lecture est finalement plutôt plaisante, même si ce bouquin ne restera pas dans les annales.
Rien de transcendant, mais lecture sympathique.
En tant que fan nostalgique, j'ai relu durant l'été 2019 tous les Dragon Ball (dans la version Perfect Edition). Cela reste toujours une de mes BD préférées à ce jour.
Dans la foulée, j'ai décidé de lire les Dragon Ball Super (rassurez-vous, je les lis dans le coin lecture de mon libraire préféré), bien que je n'ai pas du tout accrochés aux premiers épisodes de la série télé que j'ai vu à l'époque de leur diffusion.
Mon dieu, mon dieu, mon dieu... que c'est mauvais : malgré un dessin qui rend plutôt hommage à Toriyama, l'histoire est insipide, remplie d'ellipses très mal fichues et soporifique au possible.
Bred, que c'est nââââââze !!!!
Le scénariste de Sykes nous pond une BD sur fond historique, globalement très bourrine, où se mêlent un peu de fantastique et de romance. Je trouve les dessins trop chargés et l'encrage trop prononcé ce qui donne une impression fouillie et sans profondeur (ça manque de volume, de relief).
Ça se lit sans déplaisir, mais ça ne restera pas dans les annales.
Une police illisible (trop fine, trop serrée) a rendu la lecture de ce premier tome plutôt pénible. Je ne comprends pas ce choix éditorial plus que discutable.
L'histoire est quant à elle ultra classique et franchement moyenne (mais j'ai été surpris qu'il n'y ait pas les travers habituels des histoires de SF de Bec : va-et-vient incessants entre diverses époques rendant les lectures hachées - ouf, ici, c'est beaucoup plus fluide).
Le dessin de Rouge est très sympa et m'a rappelé les derniers tomes de Comanche.
Très joli... mais je me suis un peu ennuyé : la deuxième partie, malgré les révélations fait un peu trop redite par rapport à la première moitié.
Et je ne suis pas fan non plus de la façon dont c’est raconté : c’est un peu le reproche que je fais aussi à De capes et de crocs, du même scénariste. C’est très théâtral, tellement théâtral que les péripéties s’enchaînent à une allure folle et qu’on attend de toutes façons toujours quelque chose de plus gros encore. Et puis cette voix off constante met trop de distance entre moi et l'histoire qu'on essaye de me raconter.
A lire avant d’acheter, donc (surtout au prix où le livre est proposé).
Magistralement dessiné par un fan français de la première heure, cette BD ravira les yeux de tous les nostalgiques de la série TV de 1984.
L’histoire est certes très classique, mais on en prend plein les mirettes !
Dans ce comics, on suit le quotidien d’une jeune clerc dans une grande firme, dont le travail monopolise sa vie. Sa vie n’est pas joyeuse, elle est à la limite de la dépression, et son avenir n’a rien d’enthousiasmant.
Il ne se passe pas grand-chose dans cette bande dessinée, et l’histoire ne restera certainement pas dans mes souvenirs très longtemps. Rien ne m’a permis de m’attacher aux personnages principaux.
Cela n’empêche pas d’avoir lu la BD d’une traite, sans m’ennuyer réellement, mais tout ça n’est quand même guère passionnant.
Le dessin de ce comics est passe-partout, mais « joli » et travaillé.
Une série moyenne en ce qui me concerne.
Le premier tome était sympa (sans plus), celui-ci est un peu moins bon, trop farfelu.
Le dessin est toujours très chouette (c'est avant tout pour ça que je les ai lus), mais le scénario historico-mystique un peu trop échevelé, surtout dans la résolution de l'énigme.
Je n'ai jamais été un fan de Schuiten, mais ses BD ont toujours quelque chose d'hypnotique.
Je n'ai jamais aimé Blake & Mortimer : narration dédoublée (texte expliquant sans arrêt les dessins), histoires abracadabrantesques, dessin ultra figé.
Ces deux points posés, vous vous doutez que je n'ai pas du tout aimé ce nouvel opus hors-série de Blake & Mortimer. Alors certes, c'est meilleur que les dernières reprises (que j'ai trouvées plus bas que terre), mais ça ne vole pas bien haut : scénario indigeste, narration confuse (oui, on est bien en présence d'un Blake & Mortimer, c'est certain).
Heureusement il reste le dessin des structures, de la ville, du monde crée, mais les perses sont quasiment tous ratés.
Mais quand cela cessera-t-il ?
L’intrigue est déroutante et vraiment bien ficelée, rendant la lecture passionnante. Je suis pas fan du dessin, un peu trop « roman graphique » (je sais, ça ne veut rien dire) : j’ai eu notamment un peu de mal à différencier certaines personnages. Ce dernier point ne me fera pas acheter la BD, mais j’en recommande néanmoins la lecture.
Il s'agit du genre de livre qu'on ne lit qu'une fois, puis qu'on passe à d'autres en les forçant à le lire. Ou qu'en emprunte en bibliothèque. Parce qu'il _faut_ absolument le lire, c'est indispensable.
On y découvre les dégâts que la société Texaco (aujourd'hui Chevron) a fait en Amazonie lorsqu'ils ont foré partout pour y extraire du pétrole. S'en suivent depuis plus de 30 ans aujourd'hui la lutte et les poursuites judiciaires par les peuples autochtones et leurs avocats (dont le principal est le scénariste du livre). Et grâce au pouvoir du grand capital, rien n'est encore réglé, la multinationale n'ayant jamais payé son amende de 9 milliards de dollars, grâce à d'ingénieuses magouilles.
C'est tout bonnement incroyable et révoltant.
Vive la mondialisation, le mépris de la terre et des petites gens à exploiter.
PS : je ne suis pas du tout fan du dessin, mais le livre est à prendre comme un documentaire où le dessin ne vient qu'appuyer (sans être totalement indispensable) les propos.
Présenté comme encore meilleur "Ces jours qui disparaissent", cette BD possède un traitement beaucoup plus classique, bien moins surprenant, et je me suis au final plutôt ennuyé.
Après la relecture des 2 premiers, j'ai pu dans la foulée découvrir ce troisième opus.
Et ce dernier tome est narrativement moins bon que le 2ème, qui lui même était moins bon que le premier (qui reste à mes yeux tout bonnement exceptionnel) : les transitions entre époques sont notamment bien moins travaillées, moins subtiles, plus brouillones. C'est simple, si le premier tome avait été du niveau du 2ème ou 3ème tome, je n'aurais simplement jamais acheté la série.
Je suis donc un peu déçu, même s'il faut reconnaître que c'est largement au dessus de la moyenne de ce qui se fait.
Tome 1 : 9/10
Tome 2 : 8/10 (voire 7/10)
Tome 3 : 7/10 (voire 6/10)
Un tome dans la lignée des 5 précédents : c'est toujours aussi frais et je suis content de relire Larcenet sur ce genre d'ouvrage (je suis beaucoup moins fan de ses BD plus noires).
Mais, quelques années après (bien trop longues), ça reste au final plutôt léger, et malgré ma lecture plaisante, je ne pense pas acheter ce tome (et donc continuer la série).
Les dessins sont assez jolis, mais les personnages se ressemblent tous trop (masculins et féminins) et je me suis parfois senti perdu pendant ma lecture, ce qui est très gênant.
Quant à l’intrigue, elle est bien (trop) tirée par les cheveux.
Une intrigue prenante... mais au début seulement. Quand tout commence à s'accélérer et à se démêler, psshhhiitttt, tout s'arrête brutalement et on a une fin bâclée. Bref, tout ça pour ça...
Les dessins sont assez joli,s, assez délicats, mais les persos se ressemblent tous trop (masculins et féminins) et je me suis trop souvent senti perdus pendant ma lecture.
Quant à l’intrigue, c’est bien (trop) tiré par les cheveux.
Mon avis est basé sur les 50 premières pages seulement : en effet, je n'ai pas pu aller plus loin, tellement j'ai trouvé ça ennuyeux. J'écris ces quelques lignes uniquement car ce livre a été couronné du Fauve d'Or (prix du meilleur album) au festival d'Angoulême 2019, et je ne trouve pas ça du tout justifié.
En effet, pour moi, ce livre n'est pas une BD : ce n'est pas parce qu'il n'est composé que de de dessins que cela en fait une BD (tout au plus, ici, avons nous un carnet de croquis où sont couchées pêle-mêle les pensées de l'auteur). C'est un livre à part, clairement plus proche d'un artbook (un "beau livre") que d'une BD.
Ça m'a un peu rappelé les BDs de Bec à ses débuts : pas de va-et-vient temporels incessants, et une histoire de suite plus efficace.
Après, je n'ai pas trouvé le scénario transcendant (c'est un peu gras par moment, un peu vulgaire aussi, et ça n'apporte rien à l'histoire). On est loin de "Sarah" ou "Pandémonium" (le meilleur de Bec selon moi).
Avec Streamliner, Fane avait passé la barre très haut. Je l'attendais donc au tournant.
Hope One est une BD de SF, au dessin et à la narration totalement différents de Streamliner. C'est déroutant au début, surtout pour le dessin, beaucoup moins léché, plus "brouillon" (mais on s'y fait vite).
L'histoire est quant à elle minimaliste : il ne s'y passe pas grand chose et quand arrive la fin, on n'a strictement aucune idée de ce que sera la suite et in de l'histoire.
Bref, il ne se passe pas grand chose dans ce tome 1, mais la narration est parfaitement fluide et maîtrisée et on enchaine les 70 pages comme si de rien n'était. Ce qui en fait une BD quand même réussie, même si elle nous laisse carrément sur notre faim.
C'est la "fameuse" histoire de Turing qui nous est racontée ici, par les yeux de Pacôme de Champignac.
J'ai trouvé "intéressante" l'explication des codages (qui est absente de l'excellent film "Imitation game", mais elle brise le rythme de lecture, et c'est dommage (et n'est pas vraiment accessible aux plus jeunes, à mon avis).
Pour ceux qui ont vu le film (issu lui-même du livre plus difficile à lire et dont j'avais abandonné la lecture en cours), il y a clairement une redite par rapport au film, et je pense que je n'achèterai pas la BD pour ça (même si j'adore le dessin).
Il n'est pas facile d'intéresser les lecteurs sur un domaine assez technique, et cette BD sera j'espère un pas dans ce domaine (même si c'est avant tout cette histoire méconnue qui à elle seule vaut le détour).
C'est une BD qui fait parler d'elle en ce moment, car le scénariste (chroniqueur connu de France Inter) a été invité notamment dans l'émission à succès Quotidien juste avant Noël 2018.
L'histoire (presque) véridique raconte l'enrôlement forcé des "malgré nous", ces alsaciens engagés dans la Wafen SS.
Cette période très sombre de l'Histoire est plutôt bien racontée, joliment dessinée, mais il y manque quelques ingrédients pour en faire une grande BD (une narration plus dynamique, un côté moins documentaire). Elle est "sympathique", n'a pas vraiment vocation à être relue (au contraire d'un Maus, par exemple), et ne mérite sans doute pas l'engouement soudain (et vraisemblablement éphémère) qu'elle suscite.
L’album le moins bon de la série, de loin. Après un film d’animatqu’on (très) décevant, ce 4ème opus ne vaut guère mieux : totalement anecdotique, il ne semble semble là que pour meubler en attendant un peu plus d’inspiration. Je lirai le prochain avant d’acheter, c’est sûr.
Posez votre cerveau, c'est l'heure la baston !
Un tome un peu décevant par rapport aux quelques précédents : de la baston pure et dure, très classique, dans la lignée des shonen, avec en prime un petit cliffhanger plutôt attendu en fin de tome. Je ne suis pas un grand fan de la série, mais il n'y jamais vraiment eu de montée en puissance, dommage.
Une deuxième tome dans la droite ligné du premier : le dessin est toujours aussi beau et maîtrisé, le scénario est très correct (même s'il manque un peu d'originalité). Une série que je recommande très fortement.
Entre BD et conte, ce livre est à conseiller à tous les enfants à partir de 5/6 ans.
C'est mignon, rigolo, avec des lectures à différents niveaux. Les 2 dernières pages sont spécialement réalisées pour les parentes c'est très drôle.
Lupano m'épate toujours autant !!!
Joliment dessinée, l’histoire est correcte, sans plus. Moi qui relis les Gosciny/Morris de la France époque (à partir du tome 12), ce nouveau tome ne leur arrive pas à la cheville.
Un dessin très ligne claire, mais pas vraiment réussi dans l'ensemble : il y a plein d'erreurs de proportions, des dessins ultra figés et bien trop statiques dans les scènes "d'action". Quand à l'histoire, hébé... il n'y a pas grand chose au final à en retenir. Tout ça est bien mou, et plutôt vain.
Après le formidable et très sombre "Sykes", voici son préquel/spin off.
Toujours aussi beau graphiquement (la version couleur est pour le coup plus réussi que le tirage de tête en noir et blanc), cette histoire dramatique de plus de 120 pages est dans la lignée du premier opus : très sombre, avec son lot de bravoure et de scènes épiques.
Un très bon moment de lecture centré sur un personnage central dépassé par les événements, héros malgré lui.
Texas Jack, tout comme "Sykes", est une BD à classer parmi les meilleurs western dessinés.
Les 15 premières pages sont vraiment laborieuses : les passages en bretons traduits uniquement en fin de volume rendent la lecture compliquée (et cela n'apporte en plus strictement rien à l'histoire).
Un premier tome un peu décevant à mes yeux, même si c'est largement au dessus de la moyenne actuelle de la BD franco-belge.
L'histoire désole un peu dans le dernier quart du volume, et donne enfin envie d'en connaître un peu plus sur le passé de Zabo.
Concernant le dessin : les décors sont toujours incroyables, mais les expressions des visages sont souvent ratées (mais c'est une habitude chez l'auteur).
En bref, le plus pénalisant reste quand même les 3 pages de notes toutes en fin de volume et sans aucune astérisque pour les renvois : on passe son temps à jonglé entre la page de lecture et les notes, sans savoir s'il y a bien une note. Un choix éditorial très douteux, que l'auteur a sans doute imposé (si qui expliquerait les changements d'éditeurs trop nombreux au sein d'une même série).
Le premier tome m'avait laissé une impression mitigée : un dessin de qualité pour une histoire qui avance à pas de tortue (le titre n'est justifié en partie qu'à la toute fin du livre et il ne se passe pas grand chose pour le 50 pages précédentes).
Ce deuxième tome est curieusement sur le même modèle : à la fermeture du livre, on a certes eu quelques révélations, mais on a l'impression que tout ça aurait pu être raconté avec 2 fois moins de pages et qu'on aurait pu nous raconter quelque chose de plus dense.
Cette série est donc pour l'instant une déception à mes yeux : il manque vraiment quelque chose pour rendre le tout passionnant. En l'état, ça le lit mais ça ne laisse pas de grands souvenirs. Le troisième et dernier tome me fera peut-être mentir, qui sait ?
Étonnamment, ce tome est bien meilleur que le premier opus.
Humour moins neuneu, quelques situations cocasses, pas d'ennui. C'est loin d'être l'abus du siècle, mais le seul fait que je ne me sois pas ennuyé est un bon point à mes yeux.
Le début est plutôt pas mal, et puis ça devient petit à petit soporifique. C'est une sorte de sous Ready Player One (déjà pas très fameux), avec trop de fan-service (on se croirait retourné 20 ans en arrière). Le dessin a quelque chose de vieillot, plutôt agréable (un peu à la Otomo, mais très simplifié).
Dans la veine de L’arabe du futur, cette BD raconte la vie d’un homme et de sa famille en Syrie, mais en se focalisant sur les régimes post 1990 (Assad père dans ce premier tome, puis viendra le régime du fils dans les 2 tomes suivants). C’est donc le témoignage poignant d’un migrant ayant fui la Syrie pour venir en France. C’est dur, sans pathos, raconté tel quel (avec très peu de mise en scène scénaristique).
Une BD indispensable à mettre entre toutes les mains, y compris celles des décérébrés qui ne comprennent rien au « problème » actuel des migrants.
Et accessoirement, un conseil de lecture pour tous les collégiens et lycéens, dont cette sombre période n'est que peu ou pas abordée par l'éducation nationale.
C’est du Vives que je déteste : du cul pour du cul.
Là où « la décharge mentale » était fait pour le fun (certes très crétin, mais plutôt drôle au final si on ne le prend pas au premier degré - et j’en connais qui l’ont pris comme ça, si si), ici on a droit à une histoire sérieuse, simpliste, sans grand intérêt (comme le titre, en fait). Pas de second degré, juste une histoire de cul faite pour placer quelques scènes glauques (et sans intérêt toujours), des fantasmes qu’on raconterait à son psy (pour s’exorciser ?) - mais ici plutôt que de coûter de l’argent ça en rapporte.
Seul point positif en ce qui me concerne : je commence à me faire au dessin de l’auteur, toujours sensuel, même si j’avoue avoir encore un peu de mal avec le manque de finition (c’est toujours trop stylisé pour moi par moments).
Je ne suis pas fan du dessin de l’auteur (les « erreurs » de proportions et de perspectives à chaque page, certes voulues - du moins j'ose l'espérer -, me piquent les yeux), mais le travail sur les couleurs est phénoménal.
Le scénario est quant à lui assez classique, mais la narration est très bien faite (j’adore notamment le déroulement d’une scène sur un même décor avec la répétition des personnages sur la même case : c’est visuellement superbe).
Un bon 7/10 que je n’achèterai en revanche pas à cause du prix (je ne mets plus autant d’argent dans un livre).
Excellente première moitié, puis un gros vide scénaristique rend la deuxième moitié curieuse et inintéressante. Dommage, c'eut pu être bien, et ça tombe finalement à plat.
Graphiquement, c'est en revanche très beau.
Une intrigue fourre-tout (même pas originale), un dessin où il est difficile de reconnaitre les personnages d'une page à l'autre et une BD au final qui s'oublie très vite.
C'est pas mal.
Le dessin est bon, mais pas du tout transcendant (en fait, c'est même assez quelconque, mais il y a une rondeur dans les visages qui fait que ça sort un peu du lot). J'ai préféré le travail du dessinateur sur Lucky Luke.
L'histoire ne me parle absolument pas, cette période n'étant absolument pas abordée dans notre cursus scolaire (et ne m'intéressant que peu à l'Histoire de manière générale).
Donc, ça se lit bien, vite aussi (même pas une demie-heure pour finir le livre), mais j'aurai vite oublié l'histoire. On est très loin des hits de Nury quand même.
Passé le dessin des personnages féminins qui fait très enfantin, l'histoire (tirée d'une histoire vraie) est plutôt bien racontée et permet de partir à la découverte du Japon de la fin du 19ème siècle. On y apprend vraiment plein de choses sur les us et coutumes, c'est très bien amené.
Quel dommage que le dessin n'est pas la grâce de celui de Kaoru Mori (l'auteure de Emma, Bride stories, etc.), on aurait pu flirter avec la note maximale.
La première œuvre de Trondheim, la plus conséquente et pas celle ayant le plus d’intérêt. On passera allègrement son chemin, d’autant que le dessin est vraiment très très moche.
En un mot : ennuyeux.
Très peu d’intérêt pour la fin de ce dyptique. L’histoire est ultra basique et même si les dessins sont relativement bons (je pense que l’auteur a fait bien mieux dans le temps, moins brouillon), ça s’oublie tout de suite.
Beaucoup de bruit pour pas grand chose, en somme.