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Page générée le 21/11/2024 à 17:41:07 en 0.0288 sec
Un très bel album, une belle histoire comme on (je) les aime sur l'Himalaya... Le dessin de Fournier me plaît toujours autant et le scénario sur l'histoire d'amour d'un père pour son fils est très crédible et très émouvant. Vraiment je le conseille.
Je trouve les commentaires sur la série Sillage plutôt sévères. Il est vrai que depuis l'excellent "QHI" (tome 7) et le très bon "Infiltrations" (tome 9), la série avance en dent de scies... mais je trouve que ce onzième tome est de nouveau intéressant.
La chronologie semble enfin avancer un peu plus rapidement, et on retrouve un album qui peut à la fois être lu séparément et apporter un vrai plus au scénario de la série. Pour être honnête j'aimerais que les auteurs fassent d'avantage traîner l'histoire : j'ai beaucoup aimé dans cet album le fait que Nävis soit devenue une paria, mais j'ai l'impression que la parenthèse sera refermée dès le prochain tome.
Et puis c'est une série qu'il faut envisager dans son ensemble. L'héroïne, l'idée de base et la progression nous tiennent en haleine. Enfin, et même si ça ne colle pas à la couleur des albums, Sillage devient de plus en plus noire pour notre plus grand plaisir.
Certains ne comprendront pas que même les séries pour enfants valent parfois la peine d'être lues. J'ai découvert celle-ci dans mon enfance alors c'est vrai que j'ai perdu mon objectivité, mais je la trouvais géniale à l'époque, alors au moins pour les enfants elle vaut le coup d'être connue...
L'histoire est simple au début mais se perd un peu, c'est dommage.
S'il est une série qui a bercé mon enfance, c'est bien celle-ci. Pour compléter ma collection essentiellement européenne, ma tante (bédéphile) m'offrit un soir de décembre 1995 le premier tome de cette fabuleuse série. Dix ans (de traduction...) auront été nécessaires pour que je puisse en connaître la fin. C'est toujours drôle, très touchant et simple. Mais je sais que j'ai perdu toute objectivité pour la commenter !
Un seul défaut, le charme des premiers albums s'estompe avec la fin plus dramatique, du coup pas tout à fait en phase avec le ton de départ. C'est peut-être voulu par l'auteur qui nous fait passer d'un univers d'abord chaleureux (forêt et animaux uniques, auberge et villageois dynamiques, humour omniprésent et moments cultissimes -la course de vaches !!!-) à un autre de plus en plus sombre, où le vide et le désert absorbent l'espace (alors que le caractère si enfantin de la famille Bone reste le même...). Bref, un décalage troublant qui achève de nous plonger dans une profonde mélancolie quand le tome 11 s'achève.
Vraiment : à conseiller et à lire avec son âme d'enfant.