Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 21/11/2024 à 18:10:51 en 0.0177 sec
Avec ce sixième album, Walthéry a la chance d'être servi par un scénario bien meilleur que les précédents, cette fois-ci signé Tillieux, au lieu de Mittéi alias Hao alias Mariette. Tillieux y apporte à la fois son expertise du polar, avec un récit bien mené, qui a une véritable progression, avec un suspens qui va croissant, et en même temps beaucoup d'humour - parfois un peu trop : Walter est représenté de manière plus puéril que dans les histoires précédentes, et on se demande ce que Natacha peut trouver à ce compagnon qui n'arrête pas de se plaindre et de la critiquer. Mais à part ce bémol, c'est un bon récit, parfaitement servi par le graphisme dynamique de Walthéry, avec de beaux décors et, comme toujours, des scènes d'action très bien découpées et menées.
Ce premier opus est une parfaite réussite, ce qui n'est pas toujours le cas des "numéro un". Excellent scénario, servi par un découpage et un dessin à l'unisson, le tout donne un parfait exemple de SF années 60, entre hippie et Barbarella. De l'humour, un graphisme pseudo-réaliste plein de trouvailles, et un début sur le mode space-opéra, même si ensuite on ira plus vers la quête et l'initiation. A lire absolument pour découvrir la SF de cette période.
Ce troisième album de Fournier est bien plus réussi que les deux précédents. Fournier trouve enfin son rythme, avec un récit qui a un bon tempo, et qui va croissant dans la fantaisie. Ce faisant, il trouve aussi "son" univers : plus fantasque, souvent absurde, parfois puéril.
Je suis d'accord avec ce que disent certaines critiques qui précèdent la mienne : on n'y retrouve plus le Spirou de Franquin, qui était plus déterminé, plus perspicace, et quelque part plus "intelligent", si le terme a du sens, que celui que commence à poser ici Fournier. Mais pourquoi pas : il faut juste y voir une nouvelle proposition, tant scénaristique que graphique, et on prend ou on laisse. Personnellement, cet album, dans son genre et son style, m'amuse et me paraît bien maîtrisé. Ce n'était pas le cas des deux précédents, et ce ne sera pas toujours le cas de ceux à suivre.
Cet album est vraiment excellent, le meilleur de la série depuis sa création - celui-ci étant le cinquième.
Les 20 premières pages sont construites comme une enquête policière, puis, avec le départ pour le continent africain, on part pour une belle aventure, qui mêle au récit de voyage des trouvailles inspirées de l'univers de Tarzan. Martin ne s'est pas encore départi de certaines influences hergéennes (Rafa évoque le fakir des Cigares du pharaon, on retrouve l'homme-fauve de Tintin au Congo, la paralysie des Sept boules de cristal, etc.), mais il s'approprie ces références et il créé un monde antique parfaitement cohérent.
Les planches les plus originales et les plus réussies sont à mon sens celles de l'épisode africain : superbes décors, récit très rythmé, story telling quasiment impeccable.
Du grand Jacques Martin.
L'argument du 'Faiseur d'or' est intéressant, entre autres avec le lien établi avec Nicolas Flamel, un alchimiste qui a vraiment existé. Mais la manière dont le scénario est développé, avec un rythme mal maîtrisé et, surtout, un découpage parfois hasardeux, en fond une histoire plutôt décevante, qui ne "tient" pas comme tiennent celles de Franquin/Greg dans les albums précédents.
Je partage pleinement la critique d'hervé26 : cet album est le fruit d'une collaboration réussie entre de vrais passionnés de l'univers de Buck Danny, et on ne saurait que le conseiller aux amateurs de la série. Le scénario est bien pensé, avec un arrière-plan historique crédible, et le dessin à la hauteur des créateurs du titre.
Une excellente note, aussi, à la qualité de l'album : le choix d'un grand format, entre autres, s'il est en rupture avec celui des petits albums cartonnés des débuts, valorisent admirablement les planches, et contribuent à n'en pas douter à en mettre plein les yeux.
A lire absolument, si on aime Buck Danny.