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C'est le meilleur arc que j'ai lu sur l'univers de Superman (peut être parcequ'on le voit trés peu) ... l'histoire est trés bonne avec un Sup' super vénère ;) et un dessin de Lee Bermejo à tomber par terre ... trés bon !
Actioner souvent bien bourrin, The Creech narre les histoires d'une grosse bébête créer par l'homme via quelques manipulations génomiques.
Des histoires certe un peu simplette mais qui ne promettait pas plus de chose ... Capullo, en toute modéstie, signe une mini série (avortée je crois ... sur 6 épisodes, 4 ont étés produits) efficace et fichtrement bien dessiné (publié chez Image ... so).
Ambiance bien huileuse et craspec, dessin magnifique (il a tout de même tenu le cap pendant un bon bout de temps sur la série régulière de Spawn - le Spawn avec les ailes d'ange c'est lui !!!) et scénar de série B ... un petit comics comme il fait bon d'en lire parfois ...
Bon ben encore une déception ... certe l'histoire est interressante, les dessin agréable mais le tout ne prend pas vraiment.
Superman est ici confronté à sa mort. Pitch certe prométteur mais l'intrigue s'éssoufle trés rapidement et il n'y a que le tourment qui donne de l'intêret à cette histoire.
Sympa, sans plus.
Une méchante météorite contenant un méchant virus se crash en afrique et contamine les gentils africains. Heureusement que les super gentils de la JLA arrivent à la rescousse, avec Green Lantern qui peut matèrialiser un microscope géant et Batman créer un anti virus avec son kit de Le Petit Chimiste.
Passez votre chemin ... le scénar est d'une qualité inversement proportionnel à la qualité graphique de Ross.
Une sublime croute ... mais alors trés sublime ... heureusement que chaque page dessinée par Ross en met pleins la vue, ça aide à tenir.
Je vous ai dis que j'avais trouvé ça beau ?
Déçu ... non pas que ce volume soit mauvais, mais comme je m'attendais à un polar, je fus légèrement disappointed.
Il faut juste savoir que cela se passe dans l'univers de Dc tout de même.
L'hisoire est agréable et les planches de McKean dans les bayous sont superbes.
Bien, sans plus.
Postulat de départ bien simple … un peu trop même. Si vous avez vu 28 Days Later, l’excellent, de ce cher Dany Boyle, et bien vous connaissez le début.
Au moins vous ne serez pas perdu. Remarquez nous ne le sommes à aucun instant avec cette histoire d’une linéarité absolu … c’est comme le Nutella. On sait ce que c’est, on sait quel goût ça a … mais on aime ça et on est prêt en manger un bon gros pot familial à la cuillère à soupe.
Rien de bien révolutionnaire, mais ça fonctionne et ça se lit très facilement … et ça serait même agréable dit-donc.
Reste à savoir à quelle sauce la suite sera servie … si elle est servie.
Album bien plus proche de la bd européenne que du comics (bien que les super héros y tiennent une « petite » place) Yossel nous projette dans l’enfer des Ghettos polonais pendant la WWII.
Yossel est une projection qu’à fait Kubert Sr sur ce qu’il aurait pu lui arriver si sa famille n’avait pu déserter à temps la pologne.
La mise en image de cette histoire touchante est bien loin des productions classiques, avec un enchaînement de croquis comme seul support visuel. Le tout est parfaitement bien intégré et se lit très agréablement.
Une bien beau livre (papier épais et petit format typé comics) et une histoire que beaucoup ont déjà raconté mais pas avec ce talent ... loin du remplissage communautaire Maussien.
Grosse déconvenue ... moi qui pensait me retrouver avec les origines de Wolvie (comme on dit dans le milieu :mrgreen: ) ... et bien ce sont des origines et non les origines.
Avec ma grosse culture Marvelienne digne de celui qui n'a vu que les films, et bien j'ai du mal à faire le rapprochement avec mon Wolverine à moi (celui qui a un squelette en adamantium et qui est le fruit d'expèriences militaires).
Reste le récit, bien foutu et agréable et le dessin de Kubert Jr toujours aussi plaisant (vu dans 1602).
Un album à consomer sans modération ... qui pose des bases mais pas forcément celles auquelles je m'attendais.
Tome 2 de la série déja culte, si Powell empreinte toujours autant le visuel Mignolesque (avec moins de talent mais plus de maitrise technique), il n'a pas encore trouver (à mon avis) un rythme de narration interressant.
Le problème avec The Goon, c'est que les histoires sont trés inégales et que les récits vraiment interressant ne sont pas plus mis en valeurs ... noyé dans un gros bordel qui ne prête que trop rarement à sourire (ça arricve ... mais sur 150 pages, c'est légeos).
The Goon c'est sympa, parfois frais et souvent inutile ... en gros indispensable pour certains.
Recis venant s'insérer dans le cycle Dark Victory (temporellement tout du moins), Catwoman à Rome narre tout simplement la quête identitaire de Selyna Kyle aka Catwoman.
Le duo Loeb & Sale fonctionne toujours et nous livres ici un récit agréable et plutôt bien ficelé (même si Loeb recycle toujours autant ses intrigues).
Suite direct du Long Halloween, je dois dire que le style de Loeb et Sale sied parfaitement à l'homme masqué de Gotham.
La trait de Sale est certe assez rude mais cela à tendance à renforcer la noirceur et la puissance de certaines planches (bien que je dois dire que d'autre ne me plaisent pas des masses) et Loeb maitrise trés bien les chassés/croisés des différents intervenants.
Un trés bon run sur Batman !!!
Hé bien ... je dois dire que la fin de cet arc est vraiment trés réussis. La tension monte crescendo pour une fin de toute beauté.
Du trés bon Batman et du trés bon Loeb.
Surement le meilleur arc sur Batman que j'ai lu :) .
Comme quoi tout n'est pas rose et bleu ciel au pays d'Alex Ross.
Voici une excellente série signée chez vertigo avec un Ross en forme (comme d'habitude en gros :) ).
Ce récit retrace quelques-unes des grandes bléssures que les Usa se sont infligées, au fur et à mesure de leur si courte existance, avec un cynisme édifiant.
De superbes planches, parfois assez chocs, et une mise en situation de l'Oncle Sam trés interressante (même si on peut reprocher quelques facillitées narratives).
Une bd trés plaisante.
On est pas passé loin de l'excellence ... pourquoi Miller se perd dans un n'importe quoi incompréhensible (sur 3 chapitres sur 7 tout de même) ...
Par contre le reste est de trés haute volée, la narration est excellente et Sienkievicz toujours aussi inventif et expressif.
Une grande bd pour laquelle il faudra perséverer parfois, au risque de ne rien comprendre sur l'instant (mais il y a des résumés réguliers) ... mais la fin vous donnera toute satisfaction.
Cette fable complètement déjantée nous distille au fil des pages et des aventures des gags parfaitement orchestrés servis par des calembours succulents (bien que parfois limite) et des mises en situations burlesques.
Grâce à son rythme haletant et à son excellent aspect graphique (Matt Groening n’aurait pas renié certains personnages), le premier tome de Ratafia se révèle d’un efficacité redoutable.
Mine de rien, les frères Salsedo et Nicolas Pothier viennent tout simplement de nous proposer une des lectures les plus rafraîchissantes de l’année 2005, avec l’incontournable Salvatore de Nicolas De Crecy chez Dupuis.
Là où flics et truands se confondent, un homme, devant composer avec ses propres démons et sa conscience d’homme de loi, tente de résister à la déviance du système judiciaire.
Après une longue absence dans le milieu de la BD, surtout dans notre cher pays où peu de ses séries ont été éditées, le génial dessinateur de V Pour Vendetta, avec Alan Moore au scénario, nous revient en forme aux commandes de ce polar nerveux.
Son style graphique n’ayant guère changé, les fans ne s’en offusqueront évidement pas, les personnes habituées à la production franco-belge classique risquent d’être choquées. Avec son trait gras, ses blancs brûlés et ses couleurs délavées, cette série laissera pas mal de lecteurs non avertis sur le carreau au premier abord.
Les plus persévérants auront la primeur de découvrir une mise en scène très cinématographique et d’une efficacité absolue… Lloyd n’ayant plus rien à prouver à quiconque dans ce domaine.
Efficace et loin des clichés habituels, ce tome 1 esquisse le portrait d’un inspecteur de police tourmenté, devant stopper une guérilla urbaine déclenchée par des vrai/faux flics … L’enquête étant en réalité le support au développement psychologique de cet anti-héros. Il ne reste plus qu’à espérer que la densité narrative augmente pour que cette fresque urbaine esthétisante (malgré des inserts informatiques manquant de finition) tienne en haleine le lecteur au fil des tomes à venir.
Un polar sans concession (au niveau éthique), agréable et stylisé.
Je viens de lire ce One-shot et je dois dire que je le trouve trés réussis.
La partie technique est vraiment à la hauteur (une belle mise en couleur et un excellent character design) et l'histoire entrainante.
Une jolie anticipation réaliste, constatation de la dégénérescence de nos systèmes politiques et médiatiques.
Le format est définitivement un peu exigüe pour un one-shot mais cela permet une densification des situations ... bien qu'il crée des trous scénaristiques (la plupart du temps, suffisement suggestif).
Définitivement réussis ... parfois un peu bancale (sur la fin) mais trés plaisant.
La découvrir aujourd'hui (comme moi), lui fait évidement perdre un peu de son charme mais elle reste trés plaisante à lire ... le premier tome est passable, il faudra attendre la fin du deuxième pour vraiment comprendre l'engouement qu'à pu susciter cette série.
Une série agréable au finale.
Dans cette histoire, mélant background 50's réaliste et esprit démoniaque, tout est plutôt bien foutu (de jolis dessins/couleur, une belle mise en scène, un héro charismatique) mais l'histoire est un peu courte sur patte.
Ce one shot ressemble à un tome 2 d'un trilogie. On ne connait rien du passé et rien sur l'avenir du personnage ... déroutant ... une bd plaisante à lire mais qui aurait mérité plus de pages.
Je suis (comme la plupart des personnes du forum) tout à fait sous le charmes la dernière production de De Crecy.
Le dessin est trés plaisant, les dialogues d'une efficacité redoutable et l'histoire est magnifiquement racontée ... de plus il y a pleins de petites trouvailles de mise en scène ...
Je crois que je n'ai jamais pris autant de plaisir en lisant une bd ... vite la suite ...
[i]- Jamais ! La démocratie n'est pas démontable, monsieur ...
- Tout est démontable, madame, il suffit d'avoir les bons outils.[/i]
NB : j'ai plus de 16 ans ;).
Malgrès une solide réputation acquise grace à ses production aux cotés de Frank Miller, Geof Darrow s'est à mon sens complètement planté avec cet album (album reprennant en fait des mini "hitsoires" parrues dans des mensuels si je ne m'abuse).
Il y a bien toujours cette densité visuelle propre à Darrow mais il prouve que sans Frank Miller pour tisser un minimum le scénario, il n'est pas capable de grand chose. Dommage car la première histoire aurait pu être sympa.
Une BD remplis de vide.