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Indispensable pour qui n'a pas la collec' entière des 36 albums du Prodige d'Heliopolis, du Petit Prince du Caire, à qui il était grand temps de rendre un hommage appuyé. Si Geluck nous tanne en effet depuis des lustres avec son chat impassible et pénible, Edika a le mérite de la discrétion, et son Clark Gaybeul, bien plus expressif et rigolo, n'a rien à envier au belge. La poilade façon Edika, cousin d'Egypte des Marx Brothers, donne une idée de l'infini, qu'il en soit remercié.
M. Perroud pour la deuxième fois, "le maitre de Rimini", il n'y en aura jamais qu'un : Federico Fellini. Pratt est certes né par pur accident à Rimini, qu'il a quitté dès le lendemain pour ne plus y remettre les pieds.
Quant à Equatoria, encore une reprise sans âme, comme le volume précédent. Je n'en attendais rien et je suis servi.
Très belle intégrale, grand format (30x37), préface (un peu trop) élogieuse de Tavernier.
Le talent de Pellejero est indéniable, les ambiances sont uniques. Belle histoire "fordienne" de Dufaux, je recommande.
Comment ne pas être déçu par cette reprise qui semble plaquer la "recette" de Pratt, en prenant bien soin d'y incorporer chaque ingrédient, au point de frôler la parodie. Mais si la mayonnaise de Canales ne prend pas, Pellejero s'en sort mieux, car il renonce à singer le trait de Pratt.
Manque l'érudition, manque l'achimie, manque l'ésotérisme, manque l'extraordinaire personnalité d'un homme aux mille expériences, vénitien jusqu'au fond de l'âme.
Au bout du compte, la fadeur l'emporte.
Plongez-vous plutôt dans les albums de Pratt, cent fois plus beaux, poétiques et romantiques que cette pâle copie ibérique.