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J'adore le style "vulgarisant" de Marion Montaigne. Aussi bien au niveau dessin, qui relève du croquis et mais aussi au niveau du texte qui mélange humour, précision et théorie. On apprend beaucoup de chose, on balaie les idées reçues, on perçoit les émotions. C'est tellement simple et à la fois palpitant de lire ce livre . Au final Marion Montaigne a aiguisé ma curiosité, m'a incité à en savoir plus encore.
Connaissant Delisle depuis "chroniques Birmanes" et ayant lu ses périples asiatiques j'attendais beaucoup de "chroniques de Jérusalem".
1. parce que c'est casse gueule comme sujet
2. parce que je n'ai jamais vraiment compris le conflit Israëlien-palestinien
et il a réussi :
1. par sa neutralité (texte et dessin) à retranscrire une ambiance perceptible pour le lecteur sans prendre parti et le laisse seul à ses interprétations : il a "croqué" les faits rien que des faits, de l'incroyable à l'absurde.
2. Il m'a donné les clés pour mieux comprendre le conflit et mieux il m'a donné envie d'en savoir plus. Un VRAI documentaire
bravo Mr Delisle
Quelle déception ...
A la lecture du 1er tome je m'attendais à une bonne série de type "La quête de l'oiseau du temps". Un mystère, une quête, des peuplades différentes, un p'tit humour léger mais bien placé, un bon rythme. Même si le dessin me plaisait guère, je comptais sur l'originalité du scénario. Le 1er tome annonçait un petit chef d’œuvre.
Puis je lus le 2nd tome, le 3ème et 4ème dans la foulée ... pfff quelle galère à lire. Certes c'est original, trop ? Difficile à suivre et à comprendre en première lecture. Il est clairement conseillé de lire les 4 tomes à la suite.
Beaucoup de planches pour pas grand chose.
Un diptyque aurait suffit. J'ai eu comme l'impression (désagréable) que certaines planches n'étaient là que pour combler, pour faire tenir le tout en 4 tomes. Du coup c'est lent. Même l'humour du 1er tome s'est détérioré au fil des tomes. Les dialogues qui n'apportent rien à l'histoire sonnent creux et plombent le rythme.
Bref, moyen.
Comme j'ai pu l'attendre cet album ... Bon, j'ai trouvé cet album moins drôle que le 1er. Peut-être que j'en attendais trop.
Cependant le dessin est excellent, la couleur aussi (même si les couleurs de la savane sont intrinsèquement plus chaudes que celles de la jungle), de ce côté là on n'est pas déçu.
De plus le fond est bcp plus abouti, le scénario repose sur une idée solide et à débattre avec nos chérubins.
On retrouve l'humour cocasse du 1er album grâce à Bob (ce personnage est indispensable). Sam en revanche est absent, de même que Michel.
Finalement un album plus axé vers la jeunesse qui reste globalement une très bonne lecture pour les adultes.
Le premier cycle est à lire ne serait-ce que pour la virtuosité au dessin de Ledroit. C'est tout bonnement bluffant. L'ambiance rendue nous plonge dans ce New York crasseux, puant et flippant du début du XXème siècle. D'emblée on n'est pas à l'aise, la couleur nous glacent malgré une prédominance du rouge et du jaune, c'est dire ! Le découpage très cinématographique rend la lecture pas si évidente que ça. D'autant plus qu'il faut suivre le dessin de prêt pour comprendre l'histoire concoctée par Mosdi. En somme, il faut découvrir cet album pour le dessin, c'est un régal.
Simple, Authentique, Emouvant. Ajouter à cela un dessin admirable, une belle couleur et vous aurez la recette de cette superbe BD. Il s'agit avant tout d'un récit alliant avec finesse le réalisme et le conte. La simplicité du thème (l'altruisme, la tolérance, l'amitié, le rêve d'un monde meilleur) en est sa force mais aussi sa faiblesse. Certains pourraient y voir de la mièvrerie au mieux de la bonne intention : "moui c'est gentil ...". Les méchants étant assez caricaturés. L'écueil est selon moi évité par une fin d'histoire plus rapide, en suspens, avec un découpage en flash-back très réussi. Enfin l'émotion prend le relais (sans tomber dans le larmoyant) pour finir sur une très belle note de positivité. Je pense que vous le lirez, oui ... "ça se passe", comprenne qui lira.
J'ai longtemps ignoré cette BD, le dessin me rebutait, je ne savais même pas de quoi il était question, bref aux oubliettes. Puis ayant fait l'effort de lire "Chroniques Birmanes" malgré un dessin "faussement" simple en N&B je me devais de faire de même pour " Persepolis".
Là aussi j'ai été conquis. Quelle histoire, quelle émotion, quel voyage ! On rit du ridicule, on pleure de la bêtise humaine. On s'instruit aussi, pas de meilleur moyen de connaître un pays que par un témoignage de l'intérieur sans le regard truqué des médias. Un histoire captivante, dépaysante et si poignante.
Au final, le dessin et le N&B sonnent comme une évidence. Il ne faut pas passer à travers ce témoignage, il faut le lire et le faire lire !
Je ne connaissais pas Delisle. Pire, "Chroniques Birmanes" dans les mains je n'osais le feuilleter : pas la peine, pensais-je, j'aime pas le dessin je ne rentrerai jamais dans l'histoire. Hé puis bon, zut, les gens en disent du bien quand même.De plus je sortais de "Rural" de Davodeau, j'étais dans ma période "BD documentaire", alors zou je me suis lancé dans l'aventure.
Et quel voyage ! J'étais là bas, parmi ces gens si loin de chez nous par la distance et par leur encloisonnement. Par des petites anecdotes cocasses , des passages de vie brefs mais pour autant extraordinaires ou plutôt extra-"notre"-ordinaire, j'ai plus appris de ce pays, de ces gens, des ONG que par n'importe quel autre vecteur d'information.
J'ai eu de la peine à la fin de cette BD, comme quand on reviens d'un long voyage, je quittai ce pays comme Delisle le quittai.
Voilà clairement une BD pédagogique et sociale destinée aux enfants de moins de 10 ans. Tout y est fait pour attirer leur attention, le dessin qui tire sur le Manga et surtout les couleurs vives mais pas surchargées laissant finalement un dessin léger. Le scénario aussi nourrit leur appétit de distraction : sur les 30 pages on joue on s'amuse et surtout on apprend à mieux comprendre la différence d'un camarade. A hauteur d'enfant, le sujet est jovial, à hauteur d'homme l'émotion est là indiscutablement. Rien de larmoyant mais tout parent ne pourra pas s'empêcher de se mettre à la place de la maman au "sourire triste". Le tout étant que le message est positif et qu'on ressort de la lecture avec un grand et vrai sourire.
A lire en famille !
Voilà bien un "one shot" que je n'aurai pas acheté sans avoir lu avis et critiques. En somme je m'attendais à ça :
- Histoire dingue mêlant la SF avec le sexe qui rythme non seulement notre monde mais aussi tout l'univers (et pourquoi pas ?). Mais qu'on se rassure, le sexe leitmotiv n'est pas pour autant ostensible, les "scènes" étant dédramatisée, soit par l'humour soit par le dessin (on devine plus que l'on voit)
- Un dessin difficile à appréhender mais finalement tellement en adéquation avec la loufoquerie générale. Loufoquerie exacerbée avec des scènes "nan_mais_keskil_fout_là" montrant Schumacher ou Chirac.
- Une mise en scène terrible qui fait mal aux yeux et nécessite une relecture (pour plus de plaisir donc). La technique m'a fait penser à "Universal War" et "XXè ciel.com"
Bref, une BD qui ne laisse pas indifférent ni dans le fond (et si le sexe n'existait pas ...) ni dans la forme (et si le photoshop n'existait pas ...)
Voilà bien un auteur à découvrir et "L'enragé" me semble être le diptyque idéal.
"L'enragé" ou comment se faire une vie malgré une position sociale difficile, la non-reconnaissance de ses proches, l'orgueil et les trahisons. Hé bien il faut se battre, boxer la vie pour qu'enfin on y trouve sa place. Une belle histoire, vraiment.
Les dessins et couleurs sont superbes, ils servent parfaitement l'expression des personnages. Il faut peut-être s'y habituer mais ne passer pas à côté de "L'enragé".
Malgré un début en fanfare, avec courses poursuites, histoires parallèles et action, on sent une baisse de rythme (et d'idées innovantes) à partir du 4ème tome.
Le scénario débute bien donc, perso je sens l'influence de Tarantino ou de Stone. On est scotché dans les 2 1ers tomes.
Pas grand chose à dire sur le dessin qui ne rebute pas mais n'enthousiasme pas non plus. A lire.
Un PUR chef d'oeuvre.
Il s'agit ici d'une formidable quête : la quête de soi, trouver un sens à sa vie en repousssant ses limites. Habu se cherche et force à la fois l'admiration et l'incompréhension.
Le "Sommet des dieux" ou comment le fond et la forme ne font qu'un. Par son dessin d'une incroyable précision, qui a du demander une somme colossale de travail, Tanigushi est Habu.
Aux détracteurs qui houspillent les passages vides, je dis : vous les considérez vides parce que vous n'arrivez pas à les remplir utilement. Une BD comme ça, ça se savoure, ça se digère, ça émeut, ça se respecte.
Prenez le temps de ne pas sortir indemne de cette lecture.
S'il faut découvrir l'Heroic Fantasy, il faut lire ce qui est pour moi cette référence majeure. Tout y est, la quête, les personnages, l'intrigue, tout ça servi avec un dessin remarquable. J'ai lu ça et là des avis négatifs en particulier à cause du dessin, mais comment peut-on être aussi dur devant ces planches qui sont autant d'aquarelles mêlant précision et couleurs magnifiques. Ici plus que partout ailleurs, le dessin et la couleur sert le récit. A lire immanquablement.
Comment ça ? pas un seul avis sur cette fantastique série ? Hé bien qu'à cela tienne, il faut bien commencer. Cette série a 2 intérêts majeurs :
- C'est très drôle, un humour fin dans les dialogues, des scènes désopilantes par l'absurdité d'un personnage ...
- Une approche démarginalisée des plus grandes énigmes de notre monde (relativité, le génome, l'évolution humaine, la mort ...)
Les jeunes lecteurs y trouveront leur compte par les personnages de leur âge, la cocasserie des gags, et les plus âgés par les sujets traités.
Jules : ou comment joindre l'utile à l'agréable.
Prenez un savant mélange d'Héroïc Fantasy, de fantastique et d'ésotérisme et vous obtenez la BD inclassable et intemporelle qu'est "la quête .." C'est bien simple, cette BD est indémodable par son style, sa dramaturgie (merci Le Tendre) et son incroyable coup de pinceau. Loisel et Le Tendre nous ont concocté un univers fascinant et intriguant, des personnages attachants ayant leur importance capitale au moment venu. Le final est somptueux, tombant à pic et très émouvant. Vraiment indispensable.
Venez découvrir Léo et Lu ! N'hésitez pas à vous balader sur leur site dans un 1er temps pour tomber sous le charme d'un humour au goût du jour ! Vous ne résisterez pas ensuite à donner un p'tit coup d'pouce à cet éditeur indépendant en commençant la série.
Moi je suis fan et les enfants adorent, tout simplement parce que l'humour de GEG ne prend pas les enfants pour des gamins et les parents pour des arriérés.
Certes destinée à nos chers chérubins, cette BD est aussi très plaisante pour les parents qui la leur lisent !
Pour nos bambins, le dessin est facilement assimilable (mimique, gestuelle ...), la couleur est accrochante, l'histoire est simple.
Pour les adultes, l'intérêt réside dans les dialogues délirants et quelques petites ironies bien à propos (Bob qui bouffe tout, même ses potes ...). Que dire du rap des Hyenes ? Hilarant, chapeau bas pour le "je ricanne" .... pfff... j'en pouffe de rire encore.
Faire une BD pour nos petits tout en faisant rire les parents était l'objectif de DAV (je l'ai rencontré au festival de LAVAL dernièrement). Pour moi c'est réussi !!
La couleur est sublime, mais à priori DAV aura une autre coloriste, tout aussi talentueuse, pour le 2nd tome que l'on attend avec effervescence (pas avant la fin de l'année semble-t'il)
Voilà bien une série plus que plaisante. On passe franchement de bons moments en lisant Leo Loden, sorte de BD "pop corn" : on ne se prend pas la tête, on est là pour lire un p'tit polar, un verre de pastis à la main. C'est du "SODA" populaire en quelque sorte.
Le dessin convient tout à fait à ce genre d'aventure, un peu à la "Spirou", de plus les auteurs nous font balader dans les belles villes de France avec en bonus des avis éclairés sur le tourisme local.
Le côté suréaliste des scénars (mais comment diable Leo arrive à se faire fournir de tels matos) prend part aussi à l'humour décalé qui ressort à chaque planche. Un humour provenant presque exclusivement du "tonton" personnage secondaire indispensable.
Seul Bémol peut-être : Marlène, un personnage pas assez développé je trouve. Les gags machos sont trop évidents et éculés.
Bonne lecture
Bien que inégaux, les gags sont aux 3/4 très drôles. Tout tourne autour des paradoxes de la langue française, du calembour de hauts étages en quelque sorte. C'est du "Le chat" mais avec un effet visuel comique beaucoup plus recherché. Dommage qu'il n'y ait pas de suite !