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Une oeuvre puissante qui rend un hommage de grande qualité au chef d'oeuvre de Victor Hugo. C'est d'abord un bel ouvrage : grand format, papier et couleurs de haut vol, réalisation impeccable des éditions Paquet. Quant au dessin, il semble avoir capturé l'âme de chacun des personnages et convient parfaitement à l'ambiance dramatique.
Bref, un excellent album. Compliments à Chaiko pour son travail admirable.
une merveille ! Réalisation de grande qualité pour cet ouvrage qui fait le job : nous émerveiller du talent mais aussi du travail de Raph Meyer. Les ambiances, les détails, la précision du trait... tout y est ! A noter, la grande variété des supports et outils utilisés, ainsi que la présence de nombreux travaux de recherche qui nous rappellent que le talent n'est pas grand chose sans un immense travail.
Le style graphique de JB Hostache convient parfaitement à cette époque, aidé par des couleurs très douces. Un album riche, avec une histoire bien menée et une réalisation physique de très grande qualité. J'attends la suite, la poursuite de l'aventure cinématographique aux Etats-Unis !
Une dessin saisissant au services d'histoires qu'on ne présente plus ! Quel talent ! Chaque détail est soigné. Le travail sur les ombres et les expressions est particulièrement méticuleux.
C'est d'abord le dessin d'Antoine Aubin qui retient mon attention. Aussi méticuleux que Jacobs, Aubin remonte nettement le niveau, surtout comparé à celui, désastreux, du cri du Moloch.
Le scénario est certes parcouru d'invraisemblances mais son rythme dense me rappelle les meilleurs opus de la série.
L'ensemble se tient donc d'une façon cohérente et agréable. Un bon album et une équipe qui me semble tout à fait fidèle à l'esprit de la série.
La rencontre d'un excellent scénariste et d'un dessinateur de grand talent peut engendrer un chef d'oeuvre... ou pas. Le résultat, ici, est une franche réussite avec deux auteurs qui ont pris leur temps, sans contrainte éditoriale précise, d'aboutir à un dialogue parfait entre l'histoire et sa transcription en images. La postface à elle seule vaut la peine d'être lue, et nous permet de comprendre que le scénariste sait de quoi il parle. Brüno est fidèle à ses dernières réalisations. Le rythme laisse place à la réflexion, aux non-dits. Cette histoire africaine a été réfléchie, méditée, pensée, et cela se voit, cela se ressent. Enfin, la couleur tient une place de premier plan. et contribue de façon notable aux ambiances africaines qui changent radicalement d'une page à l'autre.
Mon album préféré, sans aucun doute ! Quel travail de nos deux auteurs pour parvenir à ce résultat inoubliable ! L'humour est fin, ommi-présent, servi par un dessin fantastique. Bref, si la perfection existe, elle est ici !
Ce Détritus est vraiment une horrible fripouille ! En tout cas un personnage capable de "tenir" un scénario complet, riche et qu'on relit à tout âge! Goscinny est ici au top de sa forme, Uderzo lui est parfaitement associé... quelle équipe !!! Tout fonctionne, s'imbrique, coule tout seul ! une merveille !
Le dessin est prenant est totalement en adéquation avec le scénario, au sujet duquel je reste quand même sur ma faim., ne sachant pas trop bien que conclure. Même si cette fin en forme du point de suspension est voulue par le scénariste, elle ne correspond pas trop à l'idée que je m'en faisais. Je ne garderai donc pas un souvenir impérissable de cette histoire originale mais à l'ambiance trop enfantine pour moi
Il est très difficile de quitter ce one shot une fois commencé ! Un grand talent de dessinateur associé à un scénario efficace, même si le "grand pardon" final apporte son lot de bons sentiments. Mais c'est là un détail dans cette oeuvre dense, longue et profonde dans les nombreux thèmes abordés.
Un regard original, qui pourrait paraître anecdotique, sur la Grande Guerre et sa barbarie quotidienne. Un regard porté d'abord par un marchand sans scrupule, puis par ceux des tranchées.
Le scénario militant est très justement servi par le dessin de Francis Porcel.
Un album à lire et à découvrir.
J'ai A-DO-RE ce diptyque éblouissant, qui est à découvrir, à posséder, à manipuler... absolument. Le dessin est unique, la disposition et la mise en page ne ressemblent à rien d'autre, le tout formant une histoire addictive qu'il faut terminer de toute urgence. Le personnage principal est aussi brillant et vaniteux que le scénario est réussi, et digne de l'immortel ACD. Les mille et un détails sont formidables, l'humour est distillé juste comme il faut, parfois là où on l'attend le moins.
Un ouvrage qui ne peut laisser insensible. Impossible de le refermer sans se dire "Et moi ? Est-ce que cela aurait pu m'arriver ? Avec le boulot, j'en suis où ?" Evidemment, le graphisme est simple mais il accompagne parfaitement le scénario dont on aurait aimé qu'il ne soit qu'imaginaire. La tension est palpable et progressive, l'issue, connue d'avance, se rapproche en même temps que la tension s'accentue. Bref, un duo scénario/dessin qui fonctionne pour un ouvrage bénéficiant d'une édition de qualité.
Ah ! quel dessin d'Olivier Schwartz ! Nous voici plongés dans la France des années 50, ses couleurs, ses bistrots, Paris, Marseille... Superbes couleurs également de Hubert, tout à fait en accord avec les dessin. Mais il y a aussi le scénario et les dialogues. De même que trop d'impôt tue l'impôt, Yann devrait quand même parvenir à modérer son appétit pour la caricature. Et, du point de vue du langage, tant marseillais que pour l'argot parisien, tout n'est que caricature ! PERSONNE ne s'est jamais exprimé comme le garagiste marseillais ou comme les héros de l'histoire ! A vouloir remplir tous ses dialogues d'un vocabulaire spécifique, Yann décrédibilise son travail qui ne devient que caricature. Il devient alors pénible de lire ses dialogues et de rester attaché à l'histoire. Pour moi, ces verbiages faussement argotiques gâchent le travail d'ensemble, même si l'album peut se montrer agréable. Je ne poursuivrai pas la série.
j'ai retrouvé dans cet album l'esprit propre à... Goscinny avec ses Astérix et leurs doubles ou triples niveaux de lecture. Beaucoup de clins d'oeil culturels tout en privilégiant une histoire efficace, tout comme les dessins. Les codes de Spirou & Fantasio sont repris mais sans basculer dans la succession de clichés. Un très bon cru.
J'ai commencé par ne pas accrocher... C'est quoi ce truc que TOUT LE MONDE trouve génial ? Effet de mode ? Véritable chef d'oeuvre ? Alors je m'y suis plongé avec grand grand mal... Ah ce trait qui semble laborieux, maladroit, trop simple. Et, au bout d'une quarantaine de pages, j'ai perçu que ce dépouillement servait une histoire douloureuse, dont LA force est de raconter, de façon plate, des événements perçus par un enfant, avec une innocence qui laisse une vraie place au lecteur. C'est en effet ce dernier qui fait le boulot d'interprétation, qui évalue, qui analyse, qui se fait son opinion. Et c'est cette rencontre entre l'enfant, l'Histoire et le lecteur qui fait le truc et laisse une empreinte durable à cette lecture. Pour moi, cette série trouve une place très particulière dans l'abondante offre de BD francophone. Mais je conçois parfaitement qu'on puisse détester ou ne pas accrocher. Un conseil ? Empruntez-le, essayez, et voyez par vous même.
Quelle claque mes amis ! Je découvre Emile Bravo avec ce double (pour l'instant) opus et je suis sonné par cet album incroyable par sa maturité et son humanité. Scénario d'une extrême richesse et plus que réaliste ! Avec ces albums de 88 planches, Emile Bravo a tant de choses à partager. Nos deux héros sont mis en présence d'humains balayant tout le spectre, depuis la générosité et l'amour jusqu'au racisme et à la bêtise collective. Une merveille !
J'ai retrouvé dans cet album les mêmes recettes que dans Un cow-boy à Paris (Lucky Luke) : un assemblage de clichés plus ou moins gros, une absence de scénario et une intrigue dénuée du moindre intérêt. "Série du patrimoine de la BD cherche scénariste de toute urgence". J'ai trouvé le dessin de Conrad très bon, avec des couleur dignes du célèbre Gaulois. Mais c'est bien insuffisant.
Vous aimez la BD ? Tyler Cross, c'est autre chose. Le dessin est magique, les 90 planches permettent de créer une véritable ambiance, hyper prenante. Quant au scénario, il est à la BD ce que le road movie est au cinéma, un genre à part. Pour une fois, il n'y a pas les méchants d'un côté mais quasiment que des méchants, ou tout au moins des personnages louches, ambivalents. La présence du narrateur ajoute un recul absolument savoureux.
je n'arrive pas à comprendre que Morris ait commis cette série nullissime! Il devait avoir 40° de fièvre !
Ce très bon dBD présente des approches originales du mythe jacobsien, y compris pour les histoires des repreneurs. A lire absolument
un travail remarquable de Monsieur Lerman, passionné parmi les passionnés, qui partages avec nous le fruit de ses recherches. Ultra complet, cet ouvrage donne envie de se replonger pour la millième fois dans les détails des histoires de Jacobs et de ses repreneurs.
Au bout d'une dizaine de pages, j'ai ressenti une désagréable impression d'usure, comme si on en était au 150è opus d'une série très ancienne... Mais non! Le concept est juste rincé dès son commencement, vide dès le premier tiers du premier album. Très très étonnant qu'il y en ait eu d'autres.
une daube scénaristique pour un dessin tout juste correct. Jul nous sert un mélange de clichés et de lieux communs glanés au fil des aventures du cow-boy... Et tout cela est censé faire une histoire? Eh bien non, juste une accumulation de gagas plus ou moins drôles dont j'ai attendu la fin avec impatience. L'éditeur a donc épuisé tous les autres scénariste pour accepter une histoire aussi nulle ??