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Dernier opus réussi d'une série qui promettait beaucoup depuis ses origines (j'exclus quand même la Pyramide Noire, bien raté avec une Théti ridicule aux yeux de shootée sans cervelle, qui annonçait finalement les albums plus que mitigés qui commencent avec l'Obélisque) à l'adolescent féru d'égyptologie, de magie, d'histoire, de fantastique et de beaux dessins que j'étais... les histoires étaient incroyables de recherche et de fantaisie avec toujours cette envie d'épater le lecteur par une imagination débridée, des créations scénaristiques inégalées par la suite (l'Egyptien Blanc, les 4 doigts du Dieu Lune, le Maître des 3 portes... quels chef d'oeuvres !), des dessins qui ont évolué avec le temps, qui ont mûri avec le corps de Théti femme enfant si belle avec ses bras de danseuse sacrée chargées de plumes à damner les Dieux Egyptiens... De Gieter aimait alors ses personnages et ses histoires... il n'était pas encore le marchand de saucisses antiques portant des noms sans invention comme l'Obélisque, le Labyrinthe, l'ïle Cyclope, l'Odyssée de Papyrus... il est à pleurer en fait ce jour où Papyrus s'est contenté d'être un Tintin aux pays des pharaons dans des décors aux couleurs criardes (depuis l'Obélisque).
En mémoire de ses 10 premiers albums qui ont fait date (du 1 au 9, pas le 10 berk et le 11 à la limite parce que c'est le premier que j'ai lu dans le journal de Spirou et que le dessin était encore respectueux du lecteur), je mets 9/10.
Série bien sympa... microcosme peut-être un peu trop parisien ??? mais très crédible dans l'ensemble et émotionnellement efficace... après une petite période d'adaptation au dessin (comment parvient l'auteur pour dessiner à renfort de 3 traits plus ou moins tordus, plus ou moins arrondis, des visages touchants ou expressifs ? mention spéciale pour Jean Bath)... à quand la suite ? les trentenaires ne peuvent-ils vieillir ???
Découvert en fouillant la bibliothèque de poche de mon papa... c'est là que j'ai vraiment compris que la BD était un art (beauté du dessin noir et blanc, sobriété des dialogues, richesse des personnages et ambiguïté des âmes et du scénario)... j'ai adoré, ça a marqué mon adolescence.