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Mon commentaire du 15 novembre 2019 ….. la suite des aventures du professeur et de sa jolie et très platonique collaboratrice ne démérite pas ……. Et à défaut de créer un ennemi longue durée à la Axel Borg ou Olrik, l’auteur préfère puiser dans le stock des supers méchants: hier les nazis, ici le KKK et la mafia et demain, vu l’époque, les vilains communistes (?) ... on verra. On verra car je compte bien suivre cette série qui a le mérite de raviver d’anciens plaisirs.
Malheureusement, ce troisième opus ne réalise qu’un seul exploit: confirmer ma prédiction, car il faut admettre qu’il n’est pas à la hauteur des deux premiers. La première planche donne de l’espoir, les 45 autres prouvent qu’il est difficile de maintenir le niveau, même quand on met 4 ans pour pondre son oeuvre.
Qui seront les gros méchants pour le #4?…. les vilains Chinois? les ancêtres des terroristes barbus? les Cubains? ….. les Flamands???
Si l’histoire est bonne on pardonnera. Ou pas.
Alors ça c’est de la bonne BD. Enfin un auteur qui arrive dès les premières cases à faire apprécier son héros (un peu à la manière de Russel Crowe dans LA Confidential - comment ça vous ne voyez pas le lien? … mais si, c’est évident. Pour moi en tout cas). Et pas que le héros d’ailleurs, tous les personnages ont un petit quelque chose en plus. A chaque page ça sent le René Fallet, le Michel Audiard, le Clouzot. Je veux une suite. Je l’exige.
Quelle confusion. La dernière case est à l’image de la lecture des trois tomes, incohérente. Il y a des morceaux intéressants ici et là, mais on ne sait jamais à quel personnage s’attacher, ça part dans tous les sens mais ça ne revient jamais pour voir si un lecteur se serait perdu en route. Quant aux dialogues …. je ne savais pas qu’ « enfoiré » était d’usage il y a 2000 ans. Les trois tomes sont finalement du même acabit, un dessin parfois sobre, souvent brouillon, des dialogues décalés, des personnages sans âme et inintéressants, le tout servi par un récit déconstruit. Et elles coûtent la peau des noix ces bd en plus. Non, pas bon en fait, vraiment pas bon. Le 2/5 c’est pour l’aspect historique.
La fin est complètement loupée, le scénario est loin d’être parfait et la violence est exagérée pour ce type de BD. Pourquoi 3/5 alors? Parce que l’ensemble est ce qui se rapproche le plus de la narration des albums du maître Jacobs. Mais si l’opus 29 ne devait jamais voir le jour, ce ne serait peut-être pas un mal.
Entre 300 avis d’Erik67, je me permets d’en placer une pour dire tout le bien que je pense de cette trilogie aventureuse. Certes le dessin est taillé à la serpe mais l’histoire tient sacrément la route et le découpage est tout simplement parfait. Pour un film, le story-board est déjà fait.
M’enfin. C’est quoi ce truc? Que les personnages ne correspondent pas à ce qu’ils étaient dans la vie, soit. Que l’histoire emprunte des raccourcis parfois fulgurants, passons. Que le découpage ait été fait à la tronçonneuse, aïe. Que le discours de l’auteur soit à cent lieues de ce qu’il a couché sur papier, mouais. Mais la règle de base avec un tel matériel c’est d’être drôle, non? Cette BD est un non sens du début à la fin.
Pas terrible tout ça. D’abord il y a le propos de fonds, bien dans l’air du temps, bien benêt, bien bobo (si si). Les auteurs ont un message à faire passer! Ensuite il y a l’histoire qui, il faut être honnête, n’a aucun intérêt. Et puis il y a le dessin depuis le tome 9 .... techniquement bon mais sans rien qui s’en dégage. Bragon les yeux exorbités toutes les 2 cases, à la longue c’est fatigant. 10 c’est un bon chiffre pour arrêter une série.
Une fois le tome 22 lu, j’arrêterai de suivre la série. D’abord parce que la mécanique ne se renouvelle pas, c’est un peu toujours la même histoire, bien dessinée (même si je me mélange parfois les pinceaux avec certains visages), bien construite, mais tellement prévisible. Et puis, quitte à être pédagogue en matière de haute finance, ils pourraient s’éviter certains simplismes du genre « les méchants russes qui nous veulent du mal ».
Bon ben désolé mais je ne m’associerai pas au concert de louanges. Superbe dessin, belle construction (mais ça se lit très vite quand même), ...., quant au reste, bof. Pousser le cynisme à l’extrême n’est pas preuve d’imagination, surtout avec des personnages aussi plats ne suscitant aucune empathie. N’est pas David Webb Peoples qui veut, au cas où l’auteur voudrait un exemple de cynisme (réussi) dans le western.
Le Sydney Bruce de l’Indien bleu n’avait pas la tenue de Victor Sackville mais se laissait lire avec plaisir, d’autant que l’aventure suivante était de bonne facture. 30 ans plus tard, Carin nous offre toujours un dessin très personnel ayant bien évolué et maintient ce goût de la précision pour faire vivre les lieux et les décors. Par contre le scénario n’a ni queue ni tête et les dialogues de Rivière sont mièvres et indignes d’un tel auteur. Décevant.
Je n’avais pas été enthousiaste à la lecture du tome 1, regrettant surtout le dessin torturé, à la limite du brouillon. Le tome 2 est encore pire. Bonne chance pour reconnaître les personnages. C’est presque ridicule. Les transitions sont visiblement d’un niveau de créativité qui dépasse mes modestes moyens intellectuels. Les dialogues sont caricaturaux et le suspense inexistant. Ils annoncent un tome3 avec un autre dessinateur. Manquerait plus que çà.
Adeptes de ligne claire et d’aventure, cette BD est pour vous. Le dessin est un chouia rigide et le traducteur devrait s’offrir un Bescherelle, mais l’ensemble tient vraiment la route et ramène les moins jeunes d’entre nous aux plaisirs simples de notre enfance. Un périodique un peu connu avait fait des 7 à 77 ans le coeur de ses lecteurs. Cette chasse à l’orchidée remplit toutes les conditions pour revendiquer ce lectorat.
Cà c’est de la bonne BD! Et il ne faut pas être un furieux de western pour l’apprécier. C’est fluide, bien écrit, bien dessiné, .... c’est bien quoi.
L’exemple type de BD qui ne cadre pas avec la notation à 5 niveaux.
Ce n’est pas une histoire à lire absolument, mais c’est une bonne histoire. Le dessin est léché, vif et inspiré. Quant à la structuration, elle m’avait contrarié en parcourant le livre en librairie mais s’avère brillante et originale. Une belle BD en plus, les plus jeunes devraient adorer.
Allez, je change mon 3/5 en 4/5 mais pense 7/10.
Que voilà donc une belle entrée en matière. Il y a bien sûr quelques défauts (des personnages qui se ressemblent un peu trop -a priori- et qui nécessitent un retour en amont, quelques cases trop sombres) mais rien qui ne soit rédhibitoire. Les choses se mettent en place proprement, le rythme est impeccable et le potentiel est énorme. Par contre, je sais déjà que chaque nouvel album demandera une relecture des précédents ... il y a pire comme punition.
Je n’irai pas plus loin que ce premier opus. Le N&B ne se justifie pas et ajoute de la froideur à un dessin superbe mais austère. Détail sans doute mais les lettres manuscrites sont « difficiles » à lire et ajoutent à la difficulté d’immersion, alors que c’était probablement la volonté inverse. Quant au postulat de départ, il ne manque pas d’intérêt et permettra à l’intrigue de se poser, mais faute d’un je-ne-sais-quoi de pétillant ce sera sans moi.
Ouf. Après la grosse déception du tome 6, je craignais le pire. Et bien non. Le récit tient la route et ouvre de belles perspectives, se payant même le luxe d’oublier les expressions pseudo-moyenâgeuses, un peu lourdes il est vrai, des numéros précédents. Le dessin est un peu plus torturé mais plaisant. Seul bémol, cette tendance à starifier certains personnages (Brad Pitt, Iggy Pop, ... ), mais j’en connais qui aiment. Donc! Bref, une belle reprise par les nouveaux auteurs.
Allez savoir comment, j’avais oublié de lire le tome 6 et m’en suis rendu compte à l’achat du 7, ce qui explique cet avis tardif et désappointé. Je viens de relire les 5 premiers d’une traite avec beaucoup de plaisir, plaisir justifié par la qualité du travail de Swolfs. Et puis patatra, Tristan fait un rêve, agité pour lui mais terriblement ennuyeux pour le lecteur. Si le 7 ne rétablit pas la Légende, je pense que le 8 ne trouvera jamais place dans mes de plus en plus étroites bibliothèques. A suivre.
Ces derniers temps, rares sont les séries qui passent correctement le cap du n°3. Une malédiction sans doute. Et bien ce n’est pas le cas pour nos deux amis S&F. Bien sûr l’intrigue est assez facile à démêler, bien sûr l’auteur a cru nécessaire d’ajouter une petite note antiraciste de bon aloi, mais le tout reste agréable et de qualité. Un dessin appliqué du début à la fin, un humour rondouillard et des personnages vraiment sympathiques font de cette série un bon étalon pour juger les autres productions. Un bon album.
J’ai a-d-o-r-é le premier tome, j’ai beaucoup aimé le deuxième et j’ai vraiment déchanté avec ce troisième opus. Quel blabla!!! Insupportable et généralement inutile. Ajoutons-y une franche fainéantise dans certains dessins et quelques dialogues « modernes » totalement décalés et oui, la déception s’installe. Heureusement les histoires gardent un gros potentiel (mais attention à ne pas multiplier les récits à l’infini) et les personnages sont intéressants. Mouais, on verra.
Même si ce tome 2 m’a paru mieux balancé et, d’une manière générale, plus accrocheur que le 1, le traitement final de l’intrigue laisse sur sa faim.
Mais bon, avec l’âge, on devient de plus en plus difficile cher monsieur.
Autant je me plains parfois du strict respect des 46 planches et de la course au rythme à tout prix, autant là j’en aurais bien retiré une dizaine de ces planches. J’avoue m’être ennuyé alors qu’en apparence tout est bon: le dessin, la mise en page, la doc, les dialogues, ... Mais y’a un truc qui prend pas. Je ne suis pas arrivé à entrer dans le récit. A lire une deuxième fois.
la suite des aventures du professeur et de sa jolie et très platonique collaboratrice ne démérite pas. Même si, à l’instar du ciné d’action d’aujourd’hui, la course poursuite fait office un peu trop souvent de gage rythmique à la narration. Et à défaut de créer un ennemi longue durée à la Axel Borg ou Olrik, l’auteur préfère puiser dans le stock des supers méchants: hier les nazis, ici le KKK et la mafia et demain, vu l’époque, les vilains communistes (?) ... on verra. On verra car je compte bien suivre cette série qui a le mérite de raviver d’anciens plaisirs.
Pas mal du tout le Mac Bride. Ligne claire, narration tendue comme un arc, vintage en diable. Allan MacBride est un Tintin version Blake&Mortimer; mais avec les défauts de Lefranc, un peu terne sur les bords. Il faudrait peut-être développer son côté personnel, ses origines, son château en Ecosse, pour l’apprécier pleinement.
1. L'uchronie tendance steampunk se prête à merveille à l'univers de Sherlock.
2. L'incursion genre "crossover" d'un Dr Jekyll aux abords du 221b est moins inspirante.
3. Le dessin faussement torturé et en total décalage avec la couverture n'a aucun intérêt, ce qui marche avec Eddie Campbell ne fonctionne pas ici, c'est même gênant.
4. L'histoire est plutôt bien construite.
5. J'achète le 2 ou pas?
Même si la fin est un peu abrupte, l’ensemble se laisse lire avec pas mal de plaisir. En tout cas pour ceux qui, comme moi, ont des nostalgies franco-belges à assouvir. Reste cette difficulté qu’ont bon nombre d’auteurs à rendre leurs personnages attractifs, surtout lorsqu’ils sont en solo comme ce Brian Bones. L’humour un peu forcé ne change rien (Tintin ou B&M n’en ont pas). Ici, tous les personnages sont sympas: le mécano indien, sa fille, le boss de la compagnie, mais pas vraiment le héros. Pas mécontent de la lecture pour autant, j’achèterai le tome 2.
Encore une découverte sur le tard. J’avais apprécié le tome 1 que je trouvais prometteur et je trouve que ce deuxième opus est meilleur, moins linéaire, plus touffu. Plaisant.
Découverte tardive mais découverte plaisante. S’il n’y avait cette facilité narrative bien d’aujourd’hui qui consiste à nazifier le moindre méchant pour montrer qu'il est vraiment très très méchant, on pourrait presque croire que le Professeur Baltimont sort directement de l’imagination des pères de la franco-belge. J’aurais aussi préféré une héroïne plus .... joviale, qui aurait apporté une petite note humoristique. Mais je commande quand même le tome 2.
A trop vouloir en faire dans la déconstruction narrative, ce troisième album finit par lasser. Et le constat est le même en ce qui concerne les métaphores, trop nombreuses pour être appréciées. Dommage.
Cette histoire à huis-clos a toujours été ma préférée, sans raison vraiment objective. Tintin n’y est qu’un faire valoir pour accompagner le défilé au château, mais quel plaisir de redécouvrir tous ces personnages. Et aprés 40 ans de lecture, je viens seulement de penser à « écouter » les carabistouilles de notre assureur préféré avec l’accent bruxellois. J’ai honte.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas autant accroché à une BD, scrutant chaque case, revenant en arrière pour retarder la fin. Le dessin est magnifique et même si ce tome 1 n’est finalement qu’une énorme mise en place des lieux et des personnages, c’est du tout bon.
Je découvre la série tadivement et j’avoue ne pas avoir étê déçu. Le dessin est bien maîtrisé dans un style que j’aime beaucoup, et si la mythologie est connue, le scenario est particulièrement créatif. Allez hop, ajout sur la wichelitz.
Une bonne BD ce n’est pas si compliqué en fait. Des personnages sympathiques, de bons enchaînements, des dialogues bien pesés, de beaux décors, des expressions crédibles et une bonne histoire. Oui finalement, c’est quand même beaucoup. Et bien, le camarade Lamontagne y est arrivé. Le tome 1 donnait envie, le tome 2 confirme et j’espère qu’il y en aura beaucoup d’autres de ce niveau.
Prétentieux. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit. Le deuxième c’est quatorze, le nombre d’euros perdus lors de l’achat de cette histoire sans queue ni tête, exagérément compliquée - genre mystérieux avec plein de surprises et tout et tout - et totalement chaotique (mais là c’est involontaire de la part des auteurs). Je regarde à l’instant la fiche .... ils s'y sont mis à 6 pour créer cette mixture? Vite un Franquin pour faire passer!
Excellente reprise appréciée à sa juste valeur. Moi qui ai découvert la BD avec Buck Danny, j’ai longtemps hésité à mettre un de ces nouveaux Classic dans le panier et puis j’ai craqué. Et bien je suis heureux de l’avoir fait, mais quel dommage que les auteurs aient gardé ce manichéisme d’époque difficilement acceptable si l’on pratique un peu l’Histoire. Malgré cela, ce fut un plaisir.
Certes le dessin me plaît un peu moins que sur les autres cycles (parfois on dirait du Servais), mais il reste de très bon niveau avec une lecture très fluide. Le tout est très équilibré et donne envie de connaître le destin de tout ce joli monde.
L’esprit Starfix est toujours vivant. La BD est à l’image de ses héros, décalée, passionnée et vraiment sympathique.
Que c’est mauvais. On change la forme d’un sourcil, la couleur de cheveux et hop, une nouvelle hôtesse (la première case de la page 8 est à pleurer, p6 ci-dessus); quant aux expressions de visage en complet décalage avec le dialogue gnan gnan..... on dirait du Alix. Le scénario? Ok, je m’arrête. Une qualité quand même: les décors sont magnifiques.
Enfin un dessin maîtrisé et un bon enchaînement des vignettes, cela faisait longtemps. Le scénario, si l’on fait abstraction d’un certain simplisme consensuel, est bien ficelé. Pourvu que cela doure.
Sentiment mitigé. Le dessin tient la route mais verse parfois dans la simplicité. Il faut dire que donner de l’expression aux personnages de Martin n’est pas facile. Le scénario est tout à fait correct avec, comme souvent chez Lefranc, des transitions très ... transitives. Le plus ennuyeux, ce sont les fautes d’orthographe, ça m’a gêné.
Le monde de l’édition est certes incompréhensible pour le commun des lecteurs, mais le bon sens et une certaine forme de satisfaction de la belle ouvrage devraient suffire à empêcher la sortie de ..... çà!
Aïe, premier faux pas. Ayant relu toute la série avant d’attaquer cet opus, j’ai eu un peu de mal à m’adapter au dessin 70´s de Théo, très beau au demeurant, mais plus dur, plus pessimiste. Reste le scénario qui fait de ce numéro un épisode intermédiaire, franchement peu enthousiasmant. Le coup de l’amnésie ... bof bof. Croisons les doigts pour la suite.
J’ai commis une erreur : lire cette bd après avoir enchaîné les cinq Aigles de Rome de Marini. C’est comme partir en berline et rentrer en camionnette, ça fait le job comme on dit au Québec, mais il manque un petit plus. Plusieurs même. Le dessin est correct, le scenario ouvre des perspectives, mais j’ai peu apprécié certaines vignettes de transition. Cela dit, j’achèterai probablement le tome 2 et je ne serais pas étonné de l’apprécier différemment.
Une histoire qui n’en est pas une, arrosée de bienpensance faussement politiquement incorrecte et tellement bête. De quoi faire oublier en quelques planches (je ne l’ai même pas terminée cette bd) tout le plaisir que m’avaient procuré les premiers tomes. Tant pis. PS: le titre a du sens.