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Mia Velickovic ne travaille plus dans la police. Elle est recruté par une agence privée, qui à pour mission la protection de l'enfance. Entre Simon, son collègue, Lucy, son amante qui est loin d'elle, Léa et sa fille Manon, va se jouer une partie de cache-cache mêlant trafic d'enfant et vie privée des protagonistes.
Un virage inattendu après les deux premiers tomes qui s'inscrivaient dans une logique et une cohérence bien compréhensible. Certes, nous retrouvons Mia et celle qui est maintenant devenue sa compagne, Lucy. Mais c'est pour jouer un autre chanson, si bien qu'on se demande presque s'il n'eut pas fallu commencer une autre série avec d'autres personnages. En tout cas, le rapport est plus qu'alambiqué avec les deux premiers tomes de l'histoire. On ne retrouve pas le côté sombre qui faisait la force et la singularité de ces nuits écorchés. De plus, le scénario perd un peu en rythme et en originalité. Petite déception, donc.
S'affirme dans ce deuxième tome l'ambiance sombre et particulière qu'avait fait naître le premier. Mais nous sommes ici au cœur de l'intrigue et se révèle tout ce qui avait été amorcé précédemment. La qualité du dessin et de l'organisation des planches sont à souligner. Regis Penet nous livre ici un travail à la fois singulier et attachant.
Mia Velickovic, lieutenant de police, enquête sur le meurtre de Kim, fille de Lothar Wong. Ce dernier, scientifique et trafiquant d'organes, protégé par ses relations en haut-lieu, entraîne la jeune femme dans un jeu de piste nocturne, dont on ne perçoit pas tout à fait les tenants et aboutissants.
Comme souvent, ce premier tome met en place des situations et des personnages. On ressent toutefois très clairement l'ambiance très particulière de cette aventure dès le premier tome. Un univers nocturne, froid et sombre. Ne cherchez pas les sourires sur le visage des personnages, vous ne trouverez que mine patibulaire, ou parfois l'ombre d'un rictus qui n'a rien de bienveillant. La trame du scénario est prometteuse et l'envie est donné au lecteur de se tourner très spontanément vers la suite de l'histoire. Un bel objet car il est à noter que le papier et l'objet-livre sont de qualité, ce qui ne gâche rien.
J'avais mis 5/10 au premier tome, 7/10 au deuxième, et finalement 8/10 à celui-ci. De mieux en mieux donc. Le rythme de l'intrigue, les dialogues, l'organisation des planches...tout est de mieux en mieux. Je partais sceptique sur cette série, j'en arrive à réclamer le quatrième tome avec impatience.
Après un premier tome un peu fouillis, c'est une bonne surprise que de découvrir cette suite de meilleur facture que ce qui précédait. L'histoire est plus limpide, les planches plus aérés et le rapport aux personnages un peu moins alambiqué. Pourvu que ça dure !
Une petite déception à la découverte de cet Opus de Christophe Bec. Quelques belles planches, certes ; une fin de premier tome qui donne envie d'en savoir plus mais cela ne suffit pas à faire de cette introduction à la saga "Bunker" une véritable réussite.
Là où ça flanche, c'est d'abord sur la narration et les dialogues. Narration parfois un peu longue et dialogue quelques peu décalés (exemple : de la bouche du soldat qui s'apprête à mourir face à la créature monstrueuse : "Quelle sale tronche...il est presque aussi laid que ma belle-mère !". Dans le contexte plutôt premier degré de l'histoire, ça colle pas trop.)
Ensuite, la trame est quelque peu fouillis. Certes, on voit que l'auteur tente de ménager les suspens sans donner toutes les clés de lecture, mais bon, on s'y perd un peu quand même.
C'est enfin sur le dessin que je finirais cette critique. D'un autre que Christophe Bec, je n'aurais pas relevé, mais voilà, M. Bec nous à initiés, avec Carthago, à une autre qualité iconographique.
Pour conclure, je reste donc sur une impression mitigée. L'idée directrice et le contexte sont plutôt attrayants et je ne désespère pas, donc, de reviser mon jugement à la lecture du deuxième tome.
Troisième tome à la hauteur des deux premiers. Cette fois-ci, on bascule dans un autre scénario, mais la trame reste de qualité. Quant au dessin, cela reste toujours excellent, notamment le travail sur la perspective et la minutie accordée au détails des cités.
Petit bémol, cependant, tant l'épisode précédenrt était réussi : le travail sur l'organisation et la géométrie des cases ainsi que sur les nuances de couleurs était mieux encore dans ce deuxième tome. C'est tout le problème de hisser la barre si haut, on peut se voir reprocher de faire un peu moins bien. Reste que cette série se classe, selon moi, au panthéon de la BD SF.
Je finissais le tome 1 avec le désir irrépressible d'attaquer le second, mais aussi la peur que le deuxième ne soit pas à la hauteur tant le premier était excellent. Rien du tout ! Le deuxième est même peut être encore mieux. Toujours cette précision du dessin, cet engagement au niveau des couleurs qui donne une identité singulière à Orbital et le jeu avec les thèmes classiques de la SF (l'intelligence artificielle, les civilisations intergalactiques,...) sans pour autant servir du déjà vu. Re10/10 ("re" parce que même forfait pour le premier tome) : faut pas hésiter quand il n'y a rien à redire. Et, dans le genre SF, je n'ai rien à redire. Sauf, que, par bonheur, il me reste un tome à lire.
10/10. S'il est toujours difficile de mettre la note maximum, j'ai eu beau chercher un défaut à ce premier tome de la série, rien à faire, je ne lui en ai pas trouvé. La précision du dessin, le travail des couleurs ( au service de l'impact émotionnel que suscite chaque micro-univers), le scénario captivant : cette BD à tout pour elle. La dernière planche nous invite à l'impatience insupportable de connaître la suite. Ouf! j'ai les deux autres tomes avec moi. J'y retourne de suite.
Si vous voulez vous faire une opinion sur la série, ne commencez pas par ce tome. Scénario sans intérêt et dessin plutôt moyen. Heureusement, d'autres tomes relévent le niveau. Je renvoie donc à sept psychopates ou 7 voleurs, bien mieux orchestrés que ce sept guerrières.