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Je me suis fait offrir cette BD pour Noël compte tenu des très bonnes critiques que j'avais lues. C'est le premier livre de Gipi que je lis. Je n'ai pas du tout accroché (contrairement, dans un genre similaire, à Blast de Manu Larcenet) et c'est une grosse déception. Le thème du monde post-apocalyptique n' est guère nouveau et de son éventuel après (au gré des imaginations) non plus. Au fil des pages, j'ai attendu, notamment dans le dernier tiers, que quelque chose arrive, un nouvel espoir, un nouveau départ, mais rien. Le cahier du père, qui constitue une quête pour les garçons, restera fermé pour ne pas renouer avec l'ancien monde. la fin reste ouverte mais, semble t-il, sans beaucoup d'espoir.
Je n'ai pas compté le nombre de pages (aucune pagination) mais cette BD aurait pu se faire dans un volume deux fois moins important et faire passer le même message de l'auteur. Les dix (!) pages gribouillées du texte du cahier dans le premier tiers du livre sont-elles nécessaires ?
La recherche chez certains (tant les auteurs que les lecteurs) d'univers glauques, cruels, pessimistes est-il le reflet de notre époque et du mental humain? Le quotidien ne suffit-il pas?
Déprimant.