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Série largement surcotée en raison de la couleur de peau de son héros. Comme dans toutes les productions de Kordey, les dessins sont horribles. Et les scénarios sont peu transcendants...
Bel album même si dans ce cycle j'ai préféré les deux précédents. Le Gall continue de creuser son héros. J'ai adoré la traque dans cette forêt oppressante. Le seul bémol va aux couleurs que je trouve un peu fades.
Un diptyque remarquable, le plus moderne de nos deux héros. Contemporaine de sa première parution, cette aventure démontre le souhait de Jacobs de faire évoluer sa série avec son époque. Olrik passe ainsi du service de Basam-Damdu à celui d'un groupe secret d'élites intellectuelles mondiales. Jacobs puis de Moor réalisent des scènes robotiques admirables et très marquantes, avec le ryu, les robots ratés de Sharkey ou encore le Samuraï. La scène de bataille finale est remarquable. Deux albums véritablement et malheureusement sous-cotés.
Une BD assez nulle et vite torchée qui ne vaut ni qu'on s'y attarde ni l'inquisition que son auteur subit.
Meilleure édition de la série, à mon avis. On a les gags dans l'ordre chronologique comme pour l'édition du quarantième anniversaire, sauf que cette fois en couverture et quatrième couverture on a de beaux dessins "pleine page" signés Franquin, dont plusieurs couvertures des éditions d'origine.
Un album d'une densité remarquable. L'intrigue aurait sans nul doute été étalée sur trois ou quatre tomes par d'autres auteurs aujourd'hui. Jacobs fait tout tenir en 62 pages.
L'histoire s'apparente à un "rayon U" très amélioré. Je trouve que la BD la plus créative de Jacobs. Cette Atlantide m'a fait rêver et continue de le faire. L'univers décrit est bien complet, les séquences marquantes se succèdent. Culte.
Une idée toute simple (le village des Schtroumpfs enseveli sous la neige) qui donne un très bel album. Retour très appréciable d'Alain Maury au dessin, vingt-et-un ans après la Menace Schtroumpf, notamment via une superbe double planche.
La facilité qu'a Vivès à retranscrire les relations et les sentiments humains de manière parfaitement juste et fluide est toujours aussi impressionnante. Un vrai bon moment de lecture (mais un peu trop court) !
Dessins très inégaux, certains visages sont complètement loupés. L'histoire est incohérente au possible par rapport au mystère de la grande pyramide, et la violence est inutilement mise en avant. Un fond de tiroir du sieur Van Hamme qui confirme pour la troisième fois que, sans Ted Benoît, sur Blake et Mortimer il ne vaut pas grand-chose...
Un tout petit rôle pour Olrik et une seconde partie qui fait montre d'invraisemblances. Cet album, c'est Voronov en moins bien.
Saluons le travail graphique toutefois.
C'est sympa (très bon graphisme), malheureusement l'histoire est vite oubliée.
Le dessin transporte vraiment en Corse, en revanche. Dommage qu'il y ait un chapitre sur le continent.
C'est une de ces BD très grand format à forte pagination que l'on voit fleurir depuis quelques années maintenant à l'approche de Noël, packagé par l'éditeur pour être le cadeau idéal pour le fan de BD au portefeuille bien garni.
Malheureusement, force est de constater que bien souvent malgré les intentions des artistes aux commandes, ces BD-ci sont loin d'être leurs meilleures. Et c'est hélas encore une fois le cas ici.
Le graphisme est magnifique. Du Georges Bess, quoi. Mais l'adaptation n'est pas du tout transcendante, le récit ne reste pas en mémoire. Bref, c'est une déception. S'il n'y avait pas les dessins, ma note serait plus sévère encore.
Une très bonne fin, distrayante et cohérente.
Cela ne vaut pas les tomes 1 et 3 (surtout le 3) mais on retrouve la folie de la première moitié de la série. Ce tome remonte bien la pente amorcée au tome 4, suivi d'un tome 5 très faible.
Je pense que le long laps de temps entre les tomes 3 et 4 dû au film a été préjudiciable à la série, mais cette conclusion digne de ses meilleurs moments fait qu'elle est in fine digne d'intérêt, de lecture et même d'achat. L'auteur a bien fait le tour de son univers. Je ne crois pas que je serai d'une éventuelle suite ou série dérivée s'il devait y en avoir un jour.
Une vision de l'Inde tout à fait envoûtante pour un avant-dernier round passionnant. Cette seconde partie de la série (tomes 11 à 15) atteint des sommets qu'à mon sens seuls les tomes 6 et 7 avaient égalés dans la première partie. Dufaux et Grenson maîtrisent parfaitement leur univers et signent ici le meilleur tome de leur série.
Ce tome et le suivant constituent l'une des meilleures aventures de la série. On retrouve l'aspect "magie" des deux premiers tomes, qui ne quittera plus la série, pour une intrigue bien ficelée, et les personnages ont un charisme dingue (notamment celle sur les deux couvertures), grâce au dessin de plus en plus beau de Grenson.
Le scénario tient sur un timbre-poste, Astérix tue carrément des Romains... Bref, ça dérive, ça dérive. Cette reprise n'a jusqu'ici délivré AUCUN album marquant. Sur le plan de l'humour, seule la Transitalique m'a semblé réussie. Et le présent album réussit tout de même à se hisser comme le deuxième meilleur tome de cette reprise grâce à la prestation graphique de Conrad qui livre là sa meilleure, avec un trait qui s'est affiné et beaucoup plus de détails que dans les quatre tomes précédents. Le cadre est assez réussi. On y ressent un début d'ambiance anxiogène qui n'est malheureusement pas développé. Ç'aurait pu être un bon album voire un très bon si l'histoire avait été au diapason du dessin.
Peu convaincu donc par cette reprise qui jusque-là n'a transformé aucun essai, et au bout de cinq tomes on peut légitimement craindre que ce ne sera jamais le cas. Heureusement que je les lis chez un proche et ne les achète pas...
Fabuleux. Cette préquelle sous forme de diptyque clôt parfaitement la série, et ce de très intelligente manière.
On retrouve notre lapin favori Eusèbe dans de beaux draps, dans une intrigue où les références aux dix premiers tomes sont nombreuses mais jamais forcées.
Le scénario de ce tome 12 s'impose comme un des tout meilleurs de la série avec ceux des tomes 2 et 7. Même son titre est génial.
Le meilleur tome de la reprise, jusqu'à présent. C'est un peu plus sombre que d'habitude mais c'est très prenant.
Très beau dessin de Maury, pilier du studio et à mon humble avis le meilleur repreneur graphique jusqu'à présent (même si la reprise a depuis toujours été assez irréprochable sur ce point).
L'album le plus drôle de la série, pour moi. Trois histoires très très drôles et très marquantes alors qu'elles sont en apparence très légères. C'est un tome purement comique qui remplit parfaitement son office. Le dessin est d'une beauté et d'une clarté incontestables.
Mon tome favori avec le Schtroumpfissime et le Cosmoschtroumpf.
Beaucoup de monde sur ce dernier album signé Peyo, avec un retour à une grande aventure après plusieurs albums de petites histoires. La première équipe de la reprise (son fils Thierry co-scénariste, Alain Maury co-dessinateur et Luc Parthoens crédité ici au dessin qui passera ensuite au scénario) est déjà là, en tout cas c'est la première fois qu'elle est créditée pour un album. Celui-ci est une franche réussite. Peyo a terminé en beauté.
Une histoire un peu plus sombre qu'à l'accoutumée, avec un air d'Oliver Twist, pour une reprise toujours de qualité.
Excellent dessin de Diaz Vizoso, dans la lignée de ses prédécesseurs Maury, Borecki, De Coninck et Garray.
Bof bof... Je reconnais que c'est jusqu'à présent le meilleur scénario de Jul sur cette série mais c'est très relatif tant les trois premiers (tomes 7 à 9 de cette série) étaient mauvais, et ce de plus en plus. Ce n'est donc toujours pas un bon album.
La séquence émotion dans les dernières pages est assez gratuite et injustifiée mais au moins elle fait son petit effet.
Effectivement, il eût sans doute été plus avisé de consacrer cet album au fondateur de la SPA qui y est tout juste évoqué, comme remarqué dans de précédents avis.
Je croyais avoir eu une bonne idée en découvrant cette série via ce tome, one-shot vanté comme un des meilleurs albums de cette série, eh bien c'est une sacrée déception.
On est très très loin du grand Dufaux de la fin des années 90 à aujourd'hui, pour moi.
On ne comprend pas très bien en quoi consiste cette "degradia" que le scénariste se garde bien de développer, peut-être parce qu'il ne le sait pas très bien non plus ? L'intrigue est résolue en deux temps trois mouvements en référence à un personnage mort qui n'est pas celui assassiné au début et que l'on n'a en fait jamais vu. Ce secret semblait décidément bien partagé.
Bref c'est une déception, et le dessin assez quelconque en l'occurrence ne m'aidera pas à tenter ma chance sur un autre tome.
Les auteurs avaient retrouvé la recette des huit fabuleux premiers tomes dans ce très bel album. C'est bien dommage qu'ils l'aient à nouveau perdue ensuite. Parmi les albums après le 8, je conseille uniquement celui-ci. Le seul qui fasse rêver comme les huit premiers.
Magnifique diptyque polynésien, qui nous transporte dans les îles de telle manière qu'on n'a surtout pas envie d'en revenir. Un régal. Je conseille fortement.
Une grande claque graphique pour une très belle histoire. Ce dessinateur est à mille crans au-dessus de la production actuelle. Le plus étonnant dans ce tome 2 est de se rendre compte que le premier ne dévoilait que 10% maximum du potentiel de ce diptyque, qui se révèle finalement de très très haute volée. Incroyable.
Le dernier grand tome. Ce n'est peut-être pas le meilleur au niveau du scénario (certains des huit premiers tomes lui sont supérieurs sur ce point, comme le 1 et le 5) mais c'est graphiquement le plus abouti. Il n'y a qu'à voir la superbe couverture.
Belle conclusion, avec une mise en abyme assez amusante (les grincheux diront que c'est du marketing mais ce ne me semble pas lourd).
L'autre aspect amusant de ce diptyque final est que c'est finalement le personnage très charismatique de Jessica Martin qui prend toute la lumière dans cette fin de série. XIII, Jones, Carrington, etc sont un peu transparents. C'est assez étrange. Les fans de ce personnage (dont je suis) apprécieront donc sans nul doute plus que les autres. En ce qui me concerne, je suis ravi.
Étonnant album. 3D très réussie. On retrouve bien le style de dessin de Jeronaton derrière ce "gadget" ainsi que le type d'histoire propre à cet auteur. C'est donc une BD très plaisante, particulièrement pour les fans, mais les novices adoreront également, je pense.
Le dessin ne colle pas du tout à cette série mais ce n'est pas le point le plus gênant.
Le scénario est mièvre et digne de collégiens. L'âne du bon et grand journaliste (enfin soi-disant car il est somme toute parfaitement inutile dans l'histoire) serait selon les auteurs un renvoi au parti démocrate. C'est à pouffer de rire. Visiblement ils ne savent pas que c'était le parti politique des confédérés.
À fuir sous peine de perdre son temps.
Scénario très drôle et sans nul doute le plus touffu depuis Émeutes à New York. De plus, au vu du pitch sur le site éditeur, on pouvait craindre un remake des Cousins d'en face mais ce n'est absolument pas le cas. Les deux albums sont finalement très distincts. Belle originalité, donc.
On est très loin du scénario catastrophique du tome 65.
Bravo au nouveau scénariste et merci à Dupuis d'avoir corrigé le tir.
+ Un hommage assez inattendu à Franz via le titre, ce qui est très plaisant pour un fan et de cet auteur et des tuniques bleues comme moi :)