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Difficile de dire lequel est le meilleur "Alix", entre "Le dernier Spartiate" et celui-ci. Peut-être qu'affectivement, je préfère celui-ci parce que c'est le premier que j'ai lu vers 7 ans et j'ai joué au "Tombeau étrusque" avec ma soeur et mes amis pendant toute mon enfance, on était pourchassés par les Molochistes. Pour en revenir à l'album proprement dit, l'intrigue est géniale, le dessin le sommet de l'art de J. Martin, les personnages passionnants, y compris Brutus. Après l'apparition - enfin - de la gent féminine à l'épisode précédent, on a un des personnages les plus intéressants de la série: Lidia, qui réussit le tour de force de ne pas se jeter au cou d'Alix et, du coup, on ne sait pas très bien jusqu'à quel point il en pince pour elle. Cette ambiguïté bénéfique tranche avec la litanie des amoureuses transies qu'Alix dédaigne : à l'heure ou j'écris, Adrea, Héra tout de même un peu, Saïs, Santhô, Malua, Archeloa, Julia, Aurélia (mais là, Alix doit faire gaffe, pas touche à la vestale !) On ne sait pas trop pour Argela. C'est Lidia qui a la bonne tactique, comme la suite va le montrer!
La quintessence du sommet de l'art de J. Martin, l'"Alix'" le plus réussi avec "Le tombeau étrusque" Le génie d'une tragédie grecque, des dessins magnifiques, une intrigue somptueuse. Bien sûr, c'est en grande partie grâce à l'"incomparable Adrea", comme l'appelle Horatius dans "Le Cheval de Troie". Difficile de trouver des superlatifs adéquats pour ce chef d'oeuvre. Ou on découvre aussi le trop rare Héraklion, personnage qui devrait être mieux mis en valeur par la suite (et le trop rare Astyanax).
On entre dans la triade glorieuse des meilleurs albums d'Alix, avec les sommets atteints dans les deux suivants. Excellent album, intéressant dans la plongée historique, des personnages attachants, une intrigue solide, la joie de savoir ce que devient Vanik. Vraiment indispensable.
Un bon album, original dans sa découverte de l'Afrique antique mélangée à la société romaine (et punique...), mais crédible jusque dans sa touche de fantastique. Toujours un peu triste, comme la plupart des épisodes d'Alix.
Très bon album, où J. Martin atteint sa maturité dans le dessin. Le personnage d'Oribal est sympathique, l'intrigue vraiment bien menée, l'exotisme mésopotamien réussi, avec une part de mystère juste comme il faut. Arbacès ressuscité en vizir reste crédible, alors que les différents scénaristes abuseront ensuite du procédé.
La fin du début ? Ce 3e album est le dernier de J. Martin dont le dessin me semble encore rudimentaire. Il s'affirmera ensuite. Il parait que J. Martin détestait cet album mais je le trouve bien sévère. Il est bien mené, la découverte de Carthage est riche, l'intrigue suffisamment étoffée.
Un des meilleurs albums si on excepte le dessin encore rudimentaire. Le scénario est en effet excellent, très rythmé, et jette quelques lumières sur les origines d'Alix. Un bémol : la réaction naïve d'Alix à la reddition de Vercingétorix et le fait qu'il n'ait pas du tout, mais alors pas du tout la même tête que dans "Vercingétorix". Mais enfin, c'est la faute de J. Martin à la production de "Vercingétorix", pas au moment du "Sphinx d'or"...
Le début de la fin ? Cet album est un peu moins bon que les 3 précédents. Après, il n'y en aura plus que quelques uns de temps en temps pour être excellents. On est très contents - et très tristes - de retrouver Adrea et Astyanax et l'intrigue en Lybie est une bonne idée. Mais c'est aussi le premier album avec une part de surnaturel qui ne donnera rien de bon par la suite, en particulier dans les délires d'"Alix Senator". Mention spéciale pour Héra, l'amoureuse de service mais avec beaucoup de personnalité.
Histoire originale, très bien dessinée et bien menée, avec une dramatique qui monte crescendo. Mais que c'est sombre! Un des principaux intérêts reste ce que pense vraiment Alix pour Argela et vice-versa. L'aime, l'aime pas ? Pas clair.
Un très bon album, avec une grande finesse psychologique. Saïs est remarquable de courage et d'intelligence, Qaa est très attachant, la dramatique très efficace et les dessins superbes. On est triste pour Saïs et même Djerkao mais à découvrir!
Très bonne idée de départ (comme plus tard, "Vercingétorix"). Mais quel album sombre! Enfin, ça se laisse bien lire.
J'ai hésité entre 3 et 4 étoiles mais le scénario est tout de même très bien construit, les dessins de Carthage excellents et on est content de savoir ce que devient Brutus et d'avoir une piste sur l"origine de l'orichalque. L'usage qu'en fera Mangin dans "Alix Senator" deviendra du grand n'importe quoi mais là, ça passe bien. Très intéressant. L'archétype de l'amoureuse transie est bien là, en clin d'oeil à Flaubert.
Pas mal et original même si c'est tiré par les cheveux. On voyage loin, sans d'ailleurs qu'on ne sache trop où ces satanés Phéniciens ont réussi à arriver et pourquoi Alix et Enak se retrouvent là. Une fille de plus dans la collection des amoureuse transies d'Alix. Mais pour une fois, elle survit.
Album moyen car inégal. Comme souvent, ça démarre très bien et je trouve le personnage de Numa Sadulus finalement plutôt attachant. Mais l'histoire d'Archeloüs n'est pas crédible, ni la fin. A vouloir trop finir comme une tragédie grecque, la conclusion se révèle faiblarde. A trop abuser du retour de personnage d'épisode précédent aussi. Mais enfin, un bon suspense et un bon rythme, encore dans le "grand" Jacques Martin
Album moyen, et quelle tristesse de voir la dégringolade d'Oribal, si attachant dans "La tiare d'Oribal" ! Ce n'est d'ailleurs guère crédible. L'idée d'introduire Adroclès, en revanche, est bonne, le personnage ne manque pas d'intérêt. Le parcours vers l'Orient jusqu'à Babylone est également distrayant. Et le scenario est quand même plus musclé que dans les albums suivants.
Album moyen même s'il reste nettement au dessus de plusieurs qui suivront. On voyage, les dessins sont beaux, il y a du suspense et des coups de théâtre. C'est intéressant de découvrir cette Chine antique mais, comme souvent, c'est globalement triste et un peu sans relief.
L'idée de départ était excellente et on aurait pu avoir un nouveau magnifique "Légions perdues". Mais ça s'enlise. Donc "correct, sans plus", c'est exactement ça. En plus, J. Martin était encore là, ils auraient quand même pu dessiner un Vercingétorix un minimum ressemblant avec celui aux cheveux noirs du "Sphinx d'or". Pour moi, un 2e tournant de baisse de qualité s'opère après 'L'empereur de Chine". Je n'aurais jamais mis seulement 2 étoiles à un album précédent. Il y aura donc quelques pépites d'albums excellents ou au moins bons, mais trop de "moyens" comme celui-ci, et certains carrément nuls.
Nul, atroce, les personnages sont la plupart laids moralement. Pourtant, ça faisait plaisir de retrouver enfin Héraklion et j'aime bien le personnage d'Adroclès. J'ai mis une étoile car "Le fleuve de Jade" a été encore pire. Un seul point rigolo dans cette histoire hyper violente : c'est la première fois qu'une belle fille célibataire ne s'entiche pas d'Alix. Il faut croire qu'elle pense que c'est trop risqué de courir 2 lièvres à la fois.
Excellent album après plusieurs moyens, voire nul ("Le cheval de Troie"). On retrouve avec plaisir Qaa et Senoris - pas pour son plaisir à lui, il est vrai, c'est triste. Et puis, c'est la première relation amoureuse explicite d'Alix, non ? Perd-il sa virginité avec la belle Cléopâtre, qui est ici plutôt touchante ?
Oui, "quelconque", c'est bien le mot. Le début était pourtant bon et la destination exotique. Mais l'histoire tourne court, c'est aussi froid que le climat et, surtout, ces "barbares" sont finalement sans relief.
Vraiment un des plus mauvais. Comment J. Martin a pu commettre une histoire aussi indigente ? Qui peut croire à cette pièce de théâtre des pirates ? On en a ras-le-bol de voir Arbacès ressurgir, ça fait réchauffer (tant qu'à faire, il valait mieux capitaliser sur Adroclès, plus ambigüe et plus intéressant). Et montrer le zizi d'Arbacès et les seins de Julia (Enak a bien raison !) ne suffit pas à rendre intéressant un navet. La pauvre, d'ailleurs, ne soutient pas la comparaison avec d'autres qui font du rentre-dedans à Alix: Adrea ou Saïs étaient d'une autre classe... Et même Archeloa le faisait avec plus de brio. Le seul intérêt qui m'a fait mettre une étoile, c'est justement de revoir Archeloa et Numa. Si ce dernier ressort dans "Alix Senator", on aimerait bien en savoir plus sur ce que devient Archeloa.
Je m'en suis débarrassé tellement il est nul. On a touché le fond avec les hommes-lézards. Quel gâchis!
Un soulagement après des albums moyens, mauvais, voire nul comme "Le fleuve de Jade". L'intrigue est bonne, les dessins aussi, on a beaucoup de rebondissements, même si c'est trop alambiqué. Julia bien plus touchante que dans l'album ou elle apparait. Le mariage lui aurait mis du plomb dans la tête ? Un bon cru.
Evidemment, il y a matière à critiquer de voir Alix en satyre poursuivre Enak déguisé en fille. C'est de très mauvais goût. Mais enfin, pour une fois, Alix déclare sa flamme, et même fait du rentre-dedans, à une fille. Est-ce un effet d'avoir été pris en main par Cléopâtre dans un album précédent ? Quand je disais que c'était Lidia qui avait la bonne technique pour "chopper" Alix. Hourra!
Après le plutôt réussi, "Roma Roma", c'est mauvais. Le recyclage d'Arbacès en satrape, ça marchait dans "La tiare d'Oribal", mais là, teint en brun et que personne ne reconnait, c'est n'importe quoi. La 1e partie à la cour du roi parthe est pourtant très bonne avec Surena (le minimum, cependant, aurait été de le faire ressemblant au Surena d' "Alix l'intrépide". La figure du déserteur est aussi intéressante. Mais c'est tout. La recherche de la soeur d'Alix qui s'enlise complètement est une autre déception. Ah si, un point rigolo : pour une fois, une jolie fille en pince pour Enak plutôt qu'Alix.
Album moyen, je ne trouve pas le graphisme très réussi. L'histoire est assez plate et qu'Alix s'installe dans une villa n'est pas crédible. Mais bon, après d'autres épisodes vraiment ratés, ça se laisse lire
Très bon album, un soulagement après plusieurs médiocres, tant au point de vue de l'histoire que du dessin. C'est vrai que le complot est tiré par les cheveux mais on se laisse prendre. Avec grand plaisir. L'Egypte inspire décidemment J. Martin.
Bien sûr, c'est le premier, alors on lui pardonne ses péchés de jeunesse. Le dessin est encore rudimentaire, les copier-coller de "Ben Hur" trop flagrants et le travestissement d'Arbacès... Un peu ridicule. Mais l'histoire est bien et, encore une fois, la série commence en fanfare.
L'idée d'une enquête policière est bonne. Le graphisme n'est pas terrible et l'histoire pas très cohérente, même si elle est très rythmée. Le personnage d'Octave prend du relief. Bref, moyen mais on est content que la relève soit prise après la mort de J. Martin. Un point subsidiaire à noter, cependant : la promesse d'Alix à Aurelia laisse perplexe. Les vestales finissaient leur sacerdoce à 40 ans. Elle a l'air d'avoir plus ou moins l'âge d'Alix. Or, celui-ci a 50 ans dans "Alix Senator". Comment raccrocher les wagons ? Et quid de Lidia dans l'affaire ?
Ma première impression n'était pas très bonne. Faire une intrigue incompréhensible ne fait pas d'une histoire un chef d'oeuvre comme "Le grand sommeil". Car, si on comprend (plus ou moins) les motivations du grand-prêtre, dans le fond, quelle est la stratégie de Cléopâtre dans ce montage abracabrantesque ? Le graphisme n'est pas à la hauteur. La coiffure en queue de cheval de Cléopâtre ne lui va pas du tout, même si c'est plus proche de la réalité historique car elle était grecque. Mais alors, tant qu'à la coiffer à la grecque, il faut lui faire le teient plus clair ! (d'ailleurs, elle ne portera plus cette coiffure par la suite, les lecteurs ont du se plaindre...) Et puis, plaquer dans la bouche de Cléopâtre une réplique de Simon de Monfort pendant la croisade contre les Albigeois 14 siècles plus tard, ce n'est pas sérieux. Et montrer les seins de Cléopâtre pour un oui ou pour un nom, ce n'est pas sérieux du tout du tout dans une BD quand même jeunesse... Comme dirait Enak (cf. sa remarque sur Julia dans "La chute d'Icare").
Mais, à la relecture, les sentiments contradictoires de Cléopâtre sont décrits avec finesse et on retrouve avec plaisir cette ambiance égyptienne qui est le cadre de très bons albums ("Le Sphinx d'or", "Le prince du Nil", "O Alexandrie", "Les démons du Pharos"). On est aussi content de savoir d'où sort Isadora. Et on est donc content pour Enak...
Le début est excellent et le dessin de bonne qualité. Les personnages d'Asham et de Lucterius sont attachants. Mais c'est vrai que ça tourne un peu court quand ils arrivent en Bactriane.
Le côté intrigue politique est pas mal et le dessin de qualité. Mais l'histoire est un peu trop alambiquée (les pirates au grand coeur, pas crédible). Et puis le début est redondant avec "La dernière conquête". Le principal intérêt : l'apparition de Cicéron et Tullia.
Ca démarrait très bien et le dessin est fidèle mais franchement, qui peut croire à une histoire aussi inepte ? Le principal intérêt est de savoir ce que devient Tullia.
J'hésite à l'acheter. Cette géante est grotesque et j'espère qu'elle sera abandonnée dans les prochains épisodes après "Le dieu sans nom". Quelques bonnes idées et du suspense intéressant après le sacrifice du taureau qui ouvre l'histoire. Mais le graphisme n'est pas fidèle à J. Martin, les personnages (la veuve d'Agrippa, par ex) sont superficiels alors qu'ils auraient pu être intéressants
Bof. Cette géante est grotesque et j'espère qu'elle sera abandonnée dans les prochains épisode. Pourtant, cette escapade dans les steppes est une bonne idée.
Bof. Le dessin n'est pas top et Mangin pas convaincante. Quelques bonnes idées mais d'autres trop farfelues (les billes de feu !). C'est toujours mieux que le catastrophique "Antre du Minotaure" d'"Alix Senator"
C'est vrai, le graphisme n'est pas terrible mais c'est une très bonne histoire, tout comme "Les démons du Pharos", après plusieurs épisodes médiocres. Je trouve certains commentaires sévères. C'est original, dépaysant, bien mené. Et puis, c'est le dernier de J. Martin.
Je trouve cet album excellent, tant dans le dessin que le scenario et la sévérité des certains commentateurs étonnante. Retrouver des personnages du topissime "Dernier spartiate" est réjouissant. J'ai toujours estimé dommage qu'Héraklion ne soit pas davantage mis en valeur dans les différents épisodes. En plus, cette incursion en Algérie-Tunisie vraiment réjouissante. C'est beau.
Vraiment un excellent album. Bréda et Jailloux sont fidèles à J. Martin, tant dans le dessin que le scenario. Les dessins de montagnes sont superbes, tout comme celui d'Ithaque dans "Le bouclier d'Achille". Les personnages ont un vrai relief. Pour la première fois, il y a un jeune premier qui est vraiment aussi séduisant qu'Alix et c'est lui qui est bien parti pour emporter le morceau avec la jolie fille. Etonnant, non ?
Album nul, avec tous les poncifs à la mode, très loin de la liberté d'esprit de Jacques Martin. J'ai refusé de l'acheter. Ces Amazones sont caricaturales, tout comme Carbo. Et comme le disent d'autres commentateurs, la révolte finale sans représailles des légionnaires romains est sans queue ni tête.
Le plus grave me semble de montrer dans une BD jeunesse Enak s'acoquiner avec une bande de débauchés bisexuels pour soi-disant faire plus "vraiment romain", puis de le voir participer à ce qui n'est ni plus ni moins qu'une descente machiste pour aller violer des filles.
Je ne comprends pas qu'on laisse Mangin sur cette série alors que d'autres auteurs sont bien meilleurs.
Un seul point un peu amusant : aucune des 3 jolies filles n'en pince vraiment pour Alix. Il baisse de forme...
Cet album est topissime, cela faisait longtemps qu'il n'y en avait pas eu d'aussi bon. Bien sûr, le méchant de service est fatiguant d'être toujours là. Mais l'éditeur devrait capitaliser sur ces auteurs, plutôt que sur les autres équipes Mangin, Venanzi etc. Le dessin est très fidèle à J. Martin, entre des albums qui ne le sont pas du tout. L'image d'Ithaque au début, par exemple, est superbe. Le personnage d'Oratis permet de renouer avec les heures glorieuses d'un des meilleurs albums de la série, si ce n'est le meilleur (Bien sûr, l'histoire de cet épisode-ci étant censée se passer avant, il est incohérent qu'Oratis n'ait pas repris ensuite contact avec Héraklion dans "Par delà le Styx". Les scénaristes devraient cesser de faire des allers-retours dans la chronologie). C'est amusant de voir Oratis ne pas imiter sa soeur et rester de marbre face à Alix, tandis qu'il y a du suspense sur le fait de savoir si Enak a vraiment ses chances ou non avec la plus jeune. Parce que "Nous avons apprécié votre compagnie", ça casse !
A suivre, donc, en espérant que les bons auteurs de cet épisode capitaliseront sur le personnage d'Oratis et les autres.
Donner une suite au "Prince du Nil" était une bonne idée, c'est pourquoi j'ai quand même mis 3/5. Mais l'histoire est presque un copier-coller de "L'ombre de Sarapis" (Cléopâtre devenant de plus en plus retorse à chaque fois). Le dessin n'est pas terrible, les larmes font faux (comme dans "L'ombre de Sarapis") et franchement, Mangin n'est pas à la hauteur, tout comme dans ses "Alix Senator" qui deviennent de plus en plus ésoterico-délirants après les 4 premiers albums qui étaient pourtant très bons. Pourquoi ne pas capitaliser sur Jailloux, Breda ou Seiter ? Leurs albums sont nettement meilleurs.