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Une BD sympa pour ceux qui aime l'égyptologie.
Par contre, il y a un détail étrange : Thomas Reilly est brun dans la partie qui se passe à notre époque, et blond dans le flashback.
On retrouve cette narration inutile qui était apparue dans le tome 9. C'est à croire que Trondheim et Sfar ont oublié qu'ils écrivaient une BD.
L'humour tombe à plat, surtout cette référence à Captain America. Pourtant on sent que certaines idées étaient bonnes, comme l'humour absurde se moquant de la religion, mais l'exécution est mauvaise.
Il y a beaucoup de narration inutile dans ce tome, ce qui est curieux parce que les précédents ne faisaient pas cette erreur.
"Personne n'attrape une rivière," dit quelqu'un qui apparemment n'a jamais entendu parler du concept de barrage.
Ca se veut intelligent et philosophe, mais c'est stupide. Ce qui est vrai de cette BD d'une façon générale.
L'imitation est presque parfaite, que ce soit au niveau du dessin, des gags ou des dialogues. Le seul bémol : des références au monde actuel.
Pour ce qui est du débat sur le fait que quelqu'un reprenne Gaston, je rappelle que Franquin a fait ses débuts en reprenant Spirou et Fantasio.
Arleston se prend pour Joe Abercrombie mais n'en a pas la subtilité : on a ici du grimdark avec des méchants caricaturaux et en guise de scénario, des coïncidences trop faciles et des clichés.
Le seul point positif est le dessin.
Un scénario absurde et raconté dans un désordre déroutant, une planète absurde qui est essentiellement les Etats-Unis au 19e siècle, des antagonistes caricaturaux... LEO n'a jamais été parfait, mais d'habitude il se rachète avec des mystères intéressants, de jolis paysages, et surtout un bestiaire créatif. Dans Bellatrix, non.
Une histoire brouillon qui finit en queue de poisson, un pseudo-triangle amoureux qui n'a pas sa place dans Spirou. C'est simplement nul.
Les auteurs changent complètement les personnalités des personnages pour faire du féminisme aux gros sabots.