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Après avoir eu affaire avec les créatures créées par H.R. Giger dans un premier volet, Batman a de nouveau affaire avec ces créatures cultes du cinéma. J’avais été assez déçu de la première aventure, que je trouvais mal écrite. Le look des Aliens n’était pas non plus celui espéré. Dans les films, les Aliens sont noirs, alors que dans le premier opus de Batman / Aliens, ils étaient bruns. Bref, le premier opus était très décevant, mais pas mauvais.
Lorsque j’ai découvert qu’une suite avait été donnée, je me la suis procurée, sans en attendre grand-chose. Je craignais que cette suite soit aussi décevante que le premier épisode. Je dois dire que je me suis bien trompé. Cette suite est bien meilleure que la première histoire. Déjà, les Aliens ne sont plus bruns, mais bel et bien noirs (à l’exception d’un Alien, qui est blanc). C’est déjà ça ! Ensuite, l’histoire ne se situe plus dans une jungle tropicale, mais dans les rues de Gotham City. C’est ce qu'on attendait avec le premier opus. Les dessins sont bien meilleurs, et l’histoire beaucoup plus intéressante. Ceux qui ont faits cette bande dessinée ont aussi très bien respecté l’univers des films. On se croirait presque dans un film d’Alien, mais avec Batman dedans.
J’ai simplement été déçu de la fin, qui, disons-le franchement, est bien ratée, et ne ressemble plus à rien de ce qu’on peut voir dans les long-métrages. Tous ceux à qui j’ai fait lire cette histoire ont accroché au début, mais n’ont pas aimé la fin. Il faut dire que la fin fait plus bourrin qu’autre chose. Le début est plus réaliste que la fin, qui part en sucette. C’est dommage, ca si la fin était réussie, j’aurais octroyé la note de 8/10 à cette bande dessinée, ce qui est rare, vu que je suis plutôt sévère.
En espérant que si suite il y aura, elle sera tout de même un peu plus réussie. En tout cas, la qualité du premier opus est battue à platte couture par cette suite !
Cette BD est réservée aux plus jeunes qui ont bien aimé le film et qui veulent découvrir l’univers d’Iron Man en bande dessinée. Les histoires sont assez enfantines. Il y a trois histoires dans cet album.
La première, L’Ombre d’une Chance, a pour méchant un autre personnage de l’univers Marvel que les jeunes connaissent probablement grâce aux films ‘Les 4 Fantastiques’. Il s’agit du docteur Fatalis Von Doom. L’homme d’acier combat donc un autre homme d’acier dans cette aventure. Enfin, lorsque je dis combat, c’est de combat verbal que je parle, car les deux personnages populaires n’en viennent pas une seule fois aux mains. Dommage, car ça aurait donné un joli petit combat. Des trois aventures présentes sur cette bande dessinée, c’est celle que j’ai le moins aimé. J’ai trouvé l’histoire trop simple, sans réel suspense.
La deuxième histoire s’intitule Une Vie Simple. Lors d’un combat dans les airs, Iron Man fait une chute et se retrouve blessé dans un village qui n’utilise aucune technologie. L’armure de Tony Stark est détruite, mais il en aura besoin pour combattre la vilaine qui l’a mis dans cet état. Cette histoire est celle que j’ai le plus apprécié dans cet album de bande dessinée. J’ai trouvé les dessins mieux faits et l’histoire mieux écrite, bien que cela reste une histoire assez facile.
La troisième et dernière histoire a pour titre Le Bunker. Un gosse qui joue sur la plage tombe dans un gouffre. Iron Man même son enquête et découvre qu’il y a d’autres robots dans cette grotte. Cette histoire est assez sympathique et un peu plus chargée concernant les émotions. Cette histoire nous narre un peu la relation père/fils de Tony Stark et Howard Stark. La fin est assez triste, bien que pas très originale.
Étant fan de comics, je me suis procuré cette bande dessinée par soif d’histoires de l’homme d’acier. Je ne m’attendais pas à de grands récits comme j’ai déjà pu en lire, mais je suis assez satisfait du résultat. Je ne relirai pas cette BD une deuxième fois, mais je ne regrette pas de l’avoir lue. Cet album est idéal pour les jeunes fans d’Iron Man trop jeunes pour lire un récit normal. Sans être trop cul-cul, cette compilation d’histoires plaira certainement aux plus jeunes.
Cet Astonishing X-Men était le numéro que j’attedais le plus, car l’aventure des Exilés, en particulier de Hypérion, prend fin dans ce numéro. Mais pour commencer, je vais d’abord discuter des autres histoires de ce numéro d’Astonishing X-Men, car la conclusion avec Hypérion est la dernière histoire de ce numéro.
La première histoire, Surdoués, vaut surtout la peine pour ses dialogues entre les X-Men et le SHIELD. Voir Wolverine et Nick Fury se balancer des vannes, ça fait toujours plaisir. Les dialogues sont tout simplement savoureux. Ensuite, le Fastball Special fait son grand retour dans cette aventure ! Pour être franc, ça m’avait bien manqué ! Et puis, je suis content que ce soit toujours le même dessinateur qui officie sur cette aventure. Ces dessins, ainsi que le travail du coloriste, sont vraiment réussis.
La Loi du Plus Fort est le titre de la seconde histoire de ce numéro d’Astonishing X-Men. On suit donc toujours le professeur Xavier, Magneto et quelques jeunes mutants qui se sont fait enlever par des pirates. D’ailleurs, le leader de ces pirates ressemble assez fort à Jack Sparrow. Je n’arrive vraiment pas à accrocher à cette histoire. Les histoires de la saga Excalibur sont toujours celles que je trouve les moins intéressantes dans la revue d’Astonishing X-Men. Seul l’apparition dans cette histoire d’un X-Men connu donne envie de lire la suite.
La troisième histoire est le dénouement tant attendu des Exilés avec Hypérion. Nous avons enfin le dénouement de cette aventure. Je suis juste un peu déçu de la façon dont ça se termine. J em’attendais à quelque chose de plus complexe pour la fin. J’ai largement préféré l’histoire des Exilés qu’il y avait dans le précédent numéro. Néanmoins, je n’ai pas boudé mon plaisir. Je me suis même marré, avec notamment Morph, qui ose même se déguiser en Superman pour combattre Hypérion. C’est drôle, quand on sait que le personnage d’Hypérion est une réponse de la part de Marvel à DC pour leur montrer que Marvel a aussi un personnage aussi puissant que Superman.
La dernière histoire s’intitule Gagnez vos Ailes. Au début, ça parait une histoire plutôt drôle, mais ça devient plus sérieux vers la fin. On se retrouve toujours avec les Exilés, qui se retrouvent dans une autre dimension, où les Twin Towers ont disparues, où les USA font peur aux autres et où Terminator est élu gouverneur de Californie. Vous êtes sur que c’est une autre dimension ? Dans cette histoire, on retrouve de nouveaux personnages, comme Namora, le double de Namor version femme bleue. En parlant de Namor, il est aussi de la partie, ainsi que les Quatre Fantastiques. Barnel, dis Blanc-Bec, et Angel, les X-Men anciens élèves de ‘M. Xorn’, sont aussi introduits dans cette histoire. Le clin d’œil à ce Xorn m’a aussi fait plaisir, car j’appréciais beaucoup ce personnage.
Bref, ce sixième numéro d’Astonishing X-Men m’a assez bien plu, même si j’en attendais bien plus. Mais bon, à trop attendre de quelque chose, on finit souvent par être déçu. Ça reste tout de même un bon numéro.
Ce cinquième numéro d’Astonishing X-Men est divisé en quatre histoires, comme dans chaque numéro de cette revue.
Dans la première histoire, Surdoués, on redécouvre quelqu’un qui avait disparu depuis des années des pages X-Men. On le voit d’ailleurs sur la couverture, ce n’est donc pas un spoiler si j’en parle. Mais je ne le ferais pas, pour que vous découvriez vraiment ce qui se passe avec ce personnage. L’histoire semble enfin décoller. Les X-Men sont confrontés à quelques ennemis. Ce qui me marque le plus dans les histoires de Surdoués, ce sont les dessins et les couleurs. C’est un excellent travail, rien que de ce côté-là. L’histoire est intéressante, elle aussi, mais certaines choses ont tendance à déstabiliser le lecteur, comme le retour du personnage culte.
La seconde histoire, intitulée Les Trolls, fait suite aux chapitres L’Épée sur l’Enclume, de la saga Excalibur. On y retrouve donc le professeur Charles Xavier et Magneto ainsi que tous ces nouveaux mutant qu’on a découvert dans les précédentes histoires. Pour être franc, je n’accrochais pas à L’Épée sur l’Enclume, et je n’accroche toujours pas à cette histoire. J’ai l’impression que ça tourne en rond.
Dans la troisième et quatrième histoire, Croisée de Chemins, nous ne suivons pas une mais deux équipes des Exilés. En effet, l’équipe qui se trouvait quelques numéros précédents dans la dimension des Quatre Fantastiques se retrouve maintenant dans la même dimension que l’équipe de Gambit et Hypérion. Bref, ce cross-over prend de l’aile. Comme je le disais dans ma critique d’un des précédents numéros, les tensions et disputes entre les membres de l’équipe ne sont pas bien mises en valeur et paraissent presque ridicules. On nage en plein dans le cliché, là ! La plupart des dialogues entre les Exilés de la première équipe, celle qui était avec les Quatre Fantastiques, sont guimauve. Par contre, Gambit qui nous raconte ce qu’il s’est passé avec Hypérion, c’est déjà mieux. En parlant d’Hypérion, ce gars a pété une durite et veux tuer tous les super-héros de la terre. Et lorsque l’on voit les corps de nos héros préférés gisant pas terre, ça ne laisse pas indifférent. On voit même certains héros qu’on adore avec un bras en moins. Tout simplement terrible. Spider, le méchant Spider-Man, est quand même drôle. Il incarne la parti comique à lui tout seul. Rien que le ‘yeeaaahh’ qu’il dit à la fin est hilarant. Ceux qui ont lu cette histoire sauront de quoi je veux parler.
Ce cinquième numéro d’Astonishing X-Men est donc une réussite, en particulier dans la dernière histoire, Exilés, qui est tout simplement géniale. Cette aventure prendra fin dans le prochain numéro d’Astonishing X-Men. Je suis donc impatient de voir ce que nous réservent ces Exilés.
Quatrième numéro d’Astonishing X-Men, on a comme toujours droit à quatre histoires, dont la troisième et la quatrième sont une suite.
Dans la première histoire, on suit les X-Men qui tentent de percer à jour le mystère d’un antidote. Il ne se passe pas grand-chose dans cette histoire, à part à la fin, qui est simplement énorme. Enfin, ça dépend. J’ai été assez divisé. Je vais dire pourquoi sans trop dévoiler des moments-clés. Tout d’abord, quelque chose fait son retour. On est content de ce retour, mais on se dit que si ça continue comme ça, ça va tourner en rond et ça n’aura pas trop de crédibilité. Voilà, ceux qui ont lu cette histoire sauront de quoi je veux parler. Les autres pas, mais au moins, mon message est passé sans que je spoile quoi que ce soit.
La deuxième histoire est la quatrième et dernière partie de l’histoire l’Épée sur l’Enclume. Je dois dire ne pas avoir vraiment été emballé par cette histoire, et je suis content qu’elle prenne fin. Je trouve les personnages de la saga Excalibur vraiment pas attachants, à part Magneto et Charles Xavier, qui sont vraiment intéressants lorsqu’ils sont ensembles.
La troisième et quatrième histoire, Nocturne Raconte, m’a assez déçu. En fait, j’ai dû la lire une seconde fois pour y trouver un quelconque intérêt. Au départ, je trouvais nulle l’idée de ce monde parallèle de l’univers des X-Men. Le fait que Cyclope soit le bad guy de cette histoire m’a quelque peu déstabilisé. Cyclope était un de mes X-Men préférés, et lorsque je le vois en méchant, ça me fait quand même bizarre. Par contre, un des points forts de cette histoire est Wolverine, qui est devenu paralysé des jambes après avoir tué le professeur Xavier. Ne vous inquiétez pas, je ne vous spoile rien, c’est expliqué ainsi dans l’histoire par un des personnages. Bref, Nocturne Raconte n’est pas la meilleure histoire qui ait été faite sur les X-Men. Néanmoins, c’est assez intéressant de voir ce qu’il se passe dans cet univers parallèle.
Bilan de ce quatrième numéro d’Astonishing X-Men : une petite déception à noter, comparé aux précédents volumes. Je trouve cela dommage qu’il n’y ait pas la suite d’Exilés. Ils auraient pu mettre l’histoire Nocturne Raconte dans les prochains numéros, après la fin d’Exilés. Mais bon, ce comics n’est pas non plus mauvais. Juste un poil moins réussi que les précédents.
Cet ouvrage est divisé en quatre histoires, qui font suite au précédent numéro d’Astonishing X-Men.
La première histoire, Surdoués, nous montre le nouveau groupe des X-Men en pleine action. Les combats sont assez simples, mais valent tout de même le coup d’œil. Je trouve les couleurs bien intégrées à cette histoire. Ça rend les dessins un peu plus artistiques. On dirait parfois de la peinture. J’aime beaucoup cet effet. Ce n’est pas de l’Alex Ross, mais c’est quand même bien utilisé.
Dans la seconde histoire, L’Épée sur l’Enclume, nous suivons toujours le professeur Xavier sur Génosha. Et il n’est pas seul. En effet, Magneto lui tient compagnie. Leurs dialogues sont bien écrits. J’ai toujours aimé les dialogues entre Magneto et Xavier. J’adore lorsque ces deux personnages si proches mais si différents se font face. Leur relation fait partie des plus intéressantes dans l’univers des comics. Bien sur, il n’y a pas qu’eux dans cette histoire. Callisto est aussi de la partie, et je trouve que son nouveau look est tout simplement affreux. C’est quoi ces tentacules vertes qu’on lui a mises ? C’est affreux et ça rend le personnage quasi ridicule. Il en est de même avec les lignes de dialogues qu’elle dit. Sa façon de parler n’est vraiment pas terrible, comparé aux dialogues de Xavier et Magneto. Et l’histoire prend quand même du temps à décoller. Maintenant qu’on a presque tous les personnages, il serait temps de passer un peu à l’action.
La troisième histoire est la suite des Exilés et se situe toujours dans la dimension des Quatre Fantastiques. Rien d’étonnant, donc, que cette histoire s’intitule Un Voyage Fantastique. Il y a pas mal d’action dans ce chapitre. J’ai simplement trouvé la fin un peu décevante. On part dans le gros cliché de l’équipe qui part en vrille. C’est dommage, car cette histoire a un réel potentiel.
La quatrième et dernière histoire est intitulée Le Roi Hypérion. Dans cette histoire qui fait partie de la saga Exilés, on suit un groupe de super-héros plus connus. Cette équipe est composée des X-Men Colossus et Gambit, de Miss Marvel, de l’Araignée (un genre de Spider-Man en plus méchant mais toujours aussi drôle) et de Vision, un androïde capable de contrôler sa densité. Ils seront très vite rejoints pas un autre personnage : Hypérion, un alien super-puissant. Mais cet Hypérion s’avère être quelqu’un de dangereux pour notre équipe.
Ce deuxième numéro d’Astonishing X-Men est un peu plus intéressant que le premier, car on voit que ça commence vraiment à décoller. C’est surtout l’histoire des Exilés, avec Hypérion, que j’ai apprécié.
Ce premier numéro d’Astonishing X-Men nous propose trois histoires des célèbres mutants.
La première, Surdoués, est une sorte de nouveau départ pour l’équipe des X-Men. On à l’impression qu’une nouvelle équipé est formée. Cette équipe est constituée d’Emma Frost, Wolverine, Cyclope, Kitty Pride et le Fauve. L’histoire est pas mal, assez bien construite pour ceux qui commencent avec les X-Men. Certains moments sont un peu cliché et déjà-vu, mais ça passe.
La seconde histoire à pour titre L’Épée sur l’Enclume et fais partie de l’ouvrage Excalibur. Cette histoire se situe à Genosha, après la destruction de cette énorme cité. Le professeur Charles Xavier s’y trouve et à l’air d’avoir quelque chose derrière la tête. Ça n’est pas non plus l’histoire que j’ai le plus apprécié, mais j’ai l’impression que lorsque ça va prendre forme, ça sera intéressant. En tout cas, la dernière case de cette histoire nous met l’eau à la bouche.
Enfin, la troisième histoire, qui à droit à deux chapitres, s’intitule Un Voyage Fantastique, et raconte l’histoire des Exilés. C’est l’aventure que j’ai le plus apprécié dans cet ouvrage. J’aime le mélange des univers, et assister au début des Quatre Fantastiques dans un univers parallèle avec quelques X-Men qui y assistent, j’ai trouvé ça vraiment pas mal. Je pense que l’histoire des Exilés aura de bonnes suites.
Bilan pour ce premier numéro : les histoires sont assez bien choisies. J’attends impatiemment la suite pour me faire une idée de ce Astonishing X-Men.
Tous comme les deux premiers numéros d’Astonishing X-Men, ce troisième ouvrage comporte quatre histoires.
La première, qui est la troisième partie de Surdoués, nous en montre un peu plus concernant les tensions entre les super-héros. Wolverine et le Fléau sont en désaccord, Kitty Pride et Emma Frost ne s’entendent pas à merveille et Cyclope et Nick Fury se clashent à tour de rôle. En parlant de Nick Fury, c’est sympa et assez inattendu de le voir dans cette histoire. On n’a pas souvent droit à des crossovers avec les X-Men. Ici, c’est court et subtil. C’est tout ce que j’aime. La fin laisse présager quelque chose de pas mal pour le prochain numéro.
La seconde histoire, L’Épée sur l’Enclume, est aussi la troisième partie de la saga Excalibur. L’histoire n’est pas trop mal, mais je n’accroche pas vraiment à cette saga. Je trouve les personnages pas très attachants. Mis à part Xavier et Magneto, les autres personnages ne sont pas les plus intéressants.
La troisième et la quatrième histoire est intitulée Le Roi Hypérion et fait suite à l’histoire éponyme paru dans le précédent Astonishing X-Men. Je dois dire que cette suite est excellente. Il n’y a pas que les X-Men, dans cette histoire, mais un tas d’autres super-héros de l’univers Marvel. Les histoires des Exilés, en aprticulier avec Hypérion, sont les meilleures des ces numéros d’Astonishing X-Men. On est impatient de lire la suite de ces aventures. Je noterais quand même une petite déception : le look de Hulk. On dirait qu’il a fusionné avec Pocahontas.
Bref, ce troisième numéro est vraiment bon. Astonishing X-Men est un comics qui devient à chaque numéro meilleur. Vivement la suite !
Le Guide du Zizi Sexuel est une sorte de bande dessinée hors-série de Titeuf. Dans cet ouvrage, Zep explique ce qu’est la sexualité avec des dessins drôles de Titeuf et des petits jeux sympathiques. Dans les BD de Titeuf, on avait parfois déjà droit à un petit cours d’éducation sexuelle. Dans cet ouvrage, c’est un cours entier auquel on a droit. Ce guide est normalement pour les plus jeunes, mais les adultes en apprécieront aussi la lecture. Les explications sont parfois enrichies d’un dessin humoristique. Cet ouvrage, c’est apprendre en s’amusant. C’est idéal si votre enfant vous pose beaucoup de questions et que vous ne savez pas y répondre. Ce livre lui apprendra les choses essentielles sur le sexe. Et si vous hésitez à le lui faire lire, vous n’avez qu’à le lire vous-même, vous verrez que c’est parfaitement adapté pour eux. Vous vous délecterez même de cette lecture ! Zep a eu une très bonne idée en faisant ce guide.
Le Grand Livre de Dragon Ball est un recueil regroupant la plupart des illustrations et dessins d’Akira Toriyama concernant son manga le plus célèbre : Dragon Ball. On y retrouve des tas de dessins regroupés par année, mais aussi les autoportraits de l’auteur, les couvertures des magazines WJ et une interview de Toriyama.
Bref, cet ouvrage est indispensable pour les fans de Dragon Ball. Je suis moi-même fan des mangas de Dragon Ball, et je dois dire que cet ouvrage, je l’ai feuilleté des tas de fois. Les dessins sont vraiment réussis. Je me suis beaucoup amusé à les recréer. J’aime beaucoup dessiner, et c’était un vrai challenge pour moi de reproduire ces illustrations de Toriyama. Le plus dur a été de faire Shenron, le dragon sur la couverture.
Ces illustrations sont vraiment magnifiques. On y découvre de ces détails parfois extraordinaires. L’interview de Toriyama est intéressante, car on en apprend un peu plus sur l’univers de Dragon Ball et sur la façon dont il a crée certains personnages.
Si vous êtes fan de Dragon Ball, cet ouvrage est un must pour vous ! N’hésitez pas à l’acquérir, vous ne serez vraiment pas déçus ! Ce grand livre s’ajoutera parfaitement à votre collection de mangas de Dragon Ball.
La couverture de ce comic est assez ... troublante. En effet, on y voit deux jeunes filles en maillot de bain, avec des lunettes de soleil et un regard assez provoquant. Rien ne laisse penser que ce comic raconte l’histoire d’un des plus célèbres super-héros de chez Marvel : Spider-Man. Enfin, plutôt indirectement, car Peter Parker / Spider-Man n’y apparait pas vraiment. Trouble raconte comment les parents de Peter Parker se sont rencontrés, ainsi que l’oncle Ben et la tante May. Tout ce passe pendant les vacances, ce qui éclaire un peu les deux jeunes filles en maillot de bain sur la couverture.
Mais pourquoi ont-elles un regard provoquant ? Tout simplement parce que cette histoire se concentre sur les amours de ces personnages, ainsi que sur leurs ébats sexuels, assez mis en avant. Ce comic n’est pas vraiment un comic comme on a l’habitude d’en lire. D’habitude, on a droit à des combats et du suspense dans les comics. Dans Trouble, il n’y a pas une seule once d’action. C’est une sorte d’histoire à l’eau de rose, mise en images en bande dessinée.
Bien sur, quand je dis eau de rose, j’exagère un peu. C’est une histoire romantique, qui nous en fait enfin savoir un peu plus sur les parents de Peter Parker. Ces personnages ont toujours été un mystère dans les comics de l’homme-araignée. On ne savait presque rien d’eux, mis à part qu’ils sont morts dans un accident de voiture et que l’oncle Ben et la tante May se sont occupés de leur enfant.
En lisant ce comic, j’ai été assez étonné de la fin, à laquelle je ne m’attendais vraiment pas. Je n’en dirais pas plus pour ne pas gâcher le plaisir de lecteurs qui ne l’ont pas encore lu. Je peux simplement vous dire que vous serez dérangés de la fin. En tout cas, cette histoire est considérée comme non-officielle, et je comprends pourquoi. Après avoir lu ce comic, vous ne lirez plus aucune histoire de Spider-Man de la même manière. Je déconseillerais presque la lecture de ce récit à ceux qui sont fans de l’homme-araignée. Ils risqueraient de crier au scandale.
Lorsqu’un comic de Batman sort, c’est souvent un évènement. Lorsqu’on apprend que c’est le génial Alan Moore qui scénarise l’histoire, on explose de joie. En effet, Alan Moore est un des plus grands scénaristes de comics qui existe, et il nous démontre son talent avec cette histoire de l’homme chauve-souris.
Cette histoire est surtout centrée sur le pire ennemi de Batman, le Joker. Ce vilain à l’esprit dérangé est le point central de cette histoire. On a droit à des flashbacks sur le Joker, et sur comment il est devenu ce monstre au rire qui fait froid dans le dos. Cette histoire est sombre, très sombre. C’est une des meilleures histoires de Batman que j’ai pu lire. Quand on compare The Killing Joke aux premières histoires de Batman (ou même à la série télé avec Adam West), on remarque que ce personnage a pris une toute autre tournure, beaucoup plus sombre et sérieuse. Et c’est très bien comme ça !
Marvel Secret Wars est la première histoire dans l’univers Marvel à mélanger tous les super-héros de la maison. On y retrouve donc Spider-Man, Hulk, les X-Men, Captain America, Iron Man, les 4 Fantastiques et autres super-héros populaires chez Marvel.
Dans cette histoire, nos héros sont tous projetés sur une planète spéciale, où ils devront survivre et apprendre à se connaitre. Bien sur, il n’y a pas que les gentils qui sont envoyés sur cette planète. Les super-vilains s’y retrouvent aussi. Nos héros devront donc faire face à Galactus, Octopus et quelques ennemis un peu moins connus.
C’est un réel bonheur de découvrir tous ces héros ensemble dans une même histoire. C’est la première aventure à mélanger plusieurs super-héros, et c’est une réussite tout de même à la limite de la déception.
Déception, tel est le premier mot qui m’est venu à l’esprit après la lecture de cet ouvrage. Les super-héros sont presque tous là, et c’est tant mieux. Mais l’histoire aurait pu être beaucoup mieux écrite. Trop d’invraisemblances font de Marvel Secret Wars un comic qui donne l’impression d’être bâclé. À chaque situation critique, nos héros s’en sortent trop facilement. Le scénario n’est pas très fouillé et donne une impression d’inachevé. J’ai aussi été déçu de la fin, car elle donne l’impression que cette histoire ne sert à rien.
Bref, j’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce récit, mais je pense qu’il aurait été bien meilleur si l’histoire avait été mieux écrite.
Leonard est un inventeur du 15ème siècle qui fait subir les tests de ses inventions à son disciple, qui s’en prend plein la tronche. Coup de Génie est l’album qui m’a fait découvrir ces personnages loufoques. J’ai été assez déçu du résultat. On m’avait dit que cette bande dessinée était hilarante, je m’attendais donc à quelque chose de drôle. Je me suis trompé.
Je ne suis pas très friand de l’humour de Turk et De Groot, que je trouve trop facile. Les gags font parfois sourire, mais rarement rire. Je trouve qu’il n’y a pas énormément d’inventivité, ce qui est un comble pour une BD ayant comme personnage principal un inventeur. Il manque de folie à ces histoires. De plus, cette bande dessinée se lit trop vite. Je ne suis pas fan de Léonard, mais ça n’est pas une mauvaise bande dessinée. Ce genre d’humour a beaucoup d’amateurs, et cette bande dessinée beaucoup de succès. Tout dépend des goûts des lecteurs.
Cet album de Titeuf est un album spécial. Ça n’est pas un album avec des planches de gags comme les autres. C’est une sorte de calendrier géant avec des planches et dessins de Titeuf entre les différents mois.
On peut craindre que les gags ne soient pas aussi travaillés que dans une bande dessinée normale de Titeuf, il n’en est rien. Les planches sont aussi hilarantes que les albums normaux. On se marre de la première à la dernière page. De plus, c’est un excellent calendrier. Bien sur, il faut vouloir écrire dedans. Moi, je ne le ferais jamais, car je suis très soigneux avec mes affaires et que j’aime les laisser en état d’origine. Ça me ferait mal d’écrire dans ce magnifique ouvrage.
La reliure est aussi très solide. Si on veut, on peut taper quelqu’un sur la tête et l'assommer avec ce livre, un peu comme Jean-Claude qui s’en prend plein la tronche dans la première planche de gags.
Cette petite poésie des saisons est à posséder de toute urgence si vous êtes fan de Titeuf. Les ouvrages spéciaux de Zep sont toujours intéressants. Le Guide du Zizi Sexuel l’a démontré aussi.
Pour les 40 ans de Boule et Bill, de célèbres dessinateurs et auteurs de BD nous offrent leur hommage à Roba, créateur de ces deux personnages cultes. Au rayon de cette bande dessinée, des tas de petits dessins faits par Morris, le studio Peyo, Uderzo, Tome et Janry, et j’en passe des meilleurs sont compilés. À côté de ces dessins, nous retrouvons parfois des témoignages de ces artistes. Certains de ces témoignages sont assez émouvants.
Cet album est un bel hommage à Roba. On y ressent tout l’amour que les plus grands artistes de bande dessinée avaient pour le créateur de Boule et Bill. Les petits dessins sont tantôt drôles, tantôt sympathiques, et ne déçoivent jamais. Certains sont vraiment magnifiques et originaux. En bonus, on a droit à des dessins inédits de Boule et Bill, parus autrefois dans les magazines Spirou, la plupart du temps pour des unes. En plus de ces inédits, on a droit à d’autres histoires créées par Roba, bien avant Boule et Bill. Cet ouvrage est un must que tout fan de Boule et Bill se doit d’avoir dans sa bédétheque.
La première chose qui frappe lors de la lecture de ce comic, c’est le style graphique. En effet, c’est la première fois que je lis un comic avec de tels dessins. Ils ne sont pas moches, mais pas très détaillés. Les personnages ont un air très cartoon. Lois Lane est par exemple méconnaissable. Heureusement qu’il était marqué que c’était elle, car je ne l’aurais pas tout de suite deviné. Par contre, les décors sont plutôt réussis. Les couleurs utilisées sont très douces et bien utilisées. C’est un style peu habituel pour un comic de Superman.
L’histoire en elle-même n’est pas la meilleure qui soit sur le héros de Metropolis. Il y a pas mal d’imagination, mais ça ne passe pas. Des gens vivant dans une autre dimension, dans laquelle il y a des ptérodactyles et autres créatures hors du temps. Je n’ai pas beaucoup apprécié cette histoire. Je l’ai trouvée presque ennuyeuse. Je me suis forcé de lire ce comic jusqu’au bout, car je n’aime pas interrompre une lecture. J’ai trouvé la fin décevante. En même temps, l’histoire entière est décevante. La fin ne rehausse pas la qualité de ce récit.
Watchmen a été classé numéro 1 dans le classement des meilleurs romans du magazine Time. Il est aussi considéré comme le meilleur roman graphique de tous les temps. Scénarisé par Allan Moore et illustré par Dave Gibbons, Watchmen est une réussite totale. Les sujets qui y sont abordés sont très réalistes. La souffrance, la peur, la haine, ... On connait les super-héros qui n’ont aucuns défauts (Superman, Spider-Man, Les 4 fantastiques, ...). Les Watchmens sont ce que l’on peut appeler des anti-héros. Ils sont tous le contraire des héros qu’on connait. Ils sauvent le monde, mais ne sont pas les gens les plus sympas qui existent. Le Comédien, par exemple, est un vrai salaud. Il n’hésite pas à violer et à tuer de sang-froid. Rorshach est un personnage très violent, mais qui veut faire régner la justice dans un monde entièrement corrompu.
Watchmen est bourré de références. À chaque case, on peut trouver un symbole ou une allusion qui fait référence à une autre case de la BD. Je n’ai jamais lu une histoire aussi détaillée. Cette histoire est aussi très complexe à comprendre. Je l’ai lue en Anglais (comme la plupart des comics), et je dois dire que j’ai parfois dû m’y prendre plusieurs fois avant de comprendre parfaitement de quoi il s’agissait. Watchmen fait partie de mes comics préférés, pour ne pas dire que c’est le meilleur. J’ai rarement été aussi concentré à la lecture d’un roman graphique. Alan Moore est un des plus grands scénaristes de comics qui puisse exister. Watchmen est un chef-d’œuvre littéraire. Chapeau !
Watchmen a été classé numéro 1 dans le classement des meilleurs romans du magazine Time. Il est aussi considéré comme le meilleur roman graphique de tous les temps. Scénarisé par Allan Moore et illustré par Dave Gibbons, Watchmen est une réussite totale. Les sujets qui y sont abordés sont très réalistes. La souffrance, la peur, la haine, ... On connait les super-héros qui n’ont aucuns défauts (Superman, Spider-Man, Les 4 fantastiques, ...). Les Watchmens sont ce que l’on peut appeler des anti-héros. Ils sont tous le contraire des héros qu’on connait. Ils sauvent le monde, mais ne sont pas les gens les plus sympas qui existent. Le Comédien, par exemple, est un vrai salaud. Il n’hésite pas à violer et à tuer de sang-froid. Rorshach est un personnage très violent, mais qui veut faire régner la justice dans un monde entièrement corrompu.
Watchmen est bourré de références. À chaque case, on peut trouver un symbole ou une allusion qui fait référence à une autre case de la BD. Je n’ai jamais lu une histoire aussi détaillée. Cette histoire est aussi très complexe à comprendre. Je l’ai lue en Anglais (comme la plupart des comics), et je dois dire que j’ai parfois dû m’y prendre plusieurs fois avant de comprendre parfaitement de quoi il s’agissait. Watchmen fait partie de mes comics préférés, pour ne pas dire que c’est le meilleur. J’ai rarement été aussi concentré à la lecture d’un roman graphique. Alan Moore est un des plus grands scénaristes de comics qui puisse exister. Watchmen est un chef-d’œuvre littéraire. Chapeau !
Watchmen a été classé numéro 1 dans le classement des meilleurs romans du magazine Time. Il est aussi considéré comme le meilleur roman graphique de tous les temps. Scénarisé par Allan Moore et illustré par Dave Gibbons, Watchmen est une réussite totale. Les sujets qui y sont abordés sont très réalistes. La souffrance, la peur, la haine, ... On connait les super-héros qui n’ont aucuns défauts (Superman, Spider-Man, Les 4 fantastiques, ...). Les Watchmens sont ce que l’on peut appeler des anti-héros. Ils sont tous le contraire des héros qu’on connait. Ils sauvent le monde, mais ne sont pas les gens les plus sympas qui existent. Le Comédien, par exemple, est un vrai salaud. Il n’hésite pas à violer et à tuer de sang-froid. Rorshach est un personnage très violent, mais qui veut faire régner la justice dans un monde entièrement corrompu.
Watchmen est bourré de références. À chaque case, on peut trouver un symbole ou une allusion qui fait référence à une autre case de la BD. Je n’ai jamais lu une histoire aussi détaillée. Cette histoire est aussi très complexe à comprendre. Je l’ai lue en Anglais (comme la plupart des comics), et je dois dire que j’ai parfois dû m’y prendre plusieurs fois avant de comprendre parfaitement de quoi il s’agissait. Watchmen fait partie de mes comics préférés, pour ne pas dire que c’est le meilleur. J’ai rarement été aussi concentré à la lecture d’un roman graphique. Alan Moore est un des plus grands scénaristes de comics qui puisse exister. Watchmen est un chef-d’œuvre littéraire. Chapeau !
J’apprécie beaucoup les comics de Batman, le justicier de Gotham City. J’adore les films de la saga Alien. L’Alien crée par H.R. Giger est selon moi un monument dans l’histoire des monstres au cinéma. Mélanger ces deux univers assez différents était un pari risqué, mais tellement intéressant. Rien que la couverture met l’eau à la bouche. On y voit la moitié du visage de Batman et la moitié du visage d’un Alien, posés l’un contre l’autre. Ça n’est pas ce qu’il y a de plus original, mais c’est tellement efficace.
Au début de la lecture du comic, on a droit à une préface du très bon réalisateur Frank Darabont, qui a réalisé entre autres des films comme ‘les Évadés’ ou ‘La Ligne Verte’. Dans cette préface, il explique toute la passion qu’il a pour le dessinateur Bernie Wrighston. C’est carrément une lettre d’amour ! Sérieusement, il explique que certaines planches faites pour ‘Batman Aliens’ sont vraiment extraordinaires. Ça nous met encore plus d’eau à la bouche.
À la lecture de cette histoire, j’ai quand même été un peu déçu. Tout d’abord, l’histoire démarre trop facilement. On voit Batman parachuté dans une jungle, et il y rencontre des soldats. C’est un peu trop simple pour introduire une histoire, je trouve. Ensuite, les dessins ne sont pas vraiment terribles. En tout cas, ça ne vaut pas la couverture à laquelle on a eu droit. Le problème n’est pas vraiment avec les dessins, mais plutôt avec les couleurs. Les Aliens, par exemple, sont bruns, alors que dans les films, ils sont noirs. Ça m’a un peu gâché le plaisir, car pour moi, un Alien, c’est noir, pas brun. En même temps, s’il était tout noir, ça n’aurait pas facilité la tâche pour faire paraître les ombres et la profondeur des dessins.
J’en attendais vraiment beaucoup plus de ce cross-over. Ils auraient pu situer l’action ailleurs que dans un temple enfoui dans la jungle. C’est à chaque fois pareil. À croire que les Aliens n’existent que sur la jungle. Moi, j’aurais bien vu un Alien dans les rues de Gotham City. Ça aurait été différent.
J’ai donc été déçu de ce comic, même s’il n’est pas si mauvais que ça. On aurait simplement aimé plus d’inventivité.
La couverture de ce comics peut prêter confusion. En effet, le titre de ce one-shot est Superman, et le personnage présent sur la couverture est Batman. Ne vous inquiétez pas, il n’y a aucune erreur. Le personnage que vous voyez sur la couverture est bel et bien Superman. Le Superman que l’on connait a été élevé à Metropolis par deux fermiers : Jonathan et Martha Kent. Celui de cette histoire a été élevé à Gotham City par Thomas et Martha Wayne. Superman Speeding Bullets raconte donc ce qui se serait passé si Superman avait été élevé à la place de Batman. L’idée est originale et il fallait y penser. En même temps, on peut faire des histoires illimitées concernant ce sujet. Superman aurait pu atterrir n’importe où. J’ai tout de même été un peu déçu de ce one-shot. Tout d’abord, il est trop court. On ne laisse pas assez de temps au personnage pour s’installer. Bien sur, on connait Superman sur le bout des doigts, mais ça aurait été intéressant de voir la tournure qu’il prend quand il n’est pas élevé au même endroit. Ils auraient pu faire un Superman plus sérieux, avec un costume qui n’a rien à voir avec celui de Batman. Je trouve le personnage pas assez développé. Cette série aurait du se faire en six volumes. Néanmoins, Superman Speeding Bullets reste une histoire intéressante qui nous donne une nouvelle version du fils de Krypton.
Comme dans toutes les bandes dessinées des Simpsons des albums Jungle, on a droit ici à 3 histoires avec notre famille américaine préférée.
Dans la première, ‘Bidon’s Band’, Homer décide de monter un groupe de boys band, pour empocher un maximum d’argent. Dans ce groupe (composé de Bart, Nelson, Ralph, Rod et Roy, un jeune garçon à la casquette rouge), le seul à savoir chanter est ... Ralph, qui assure les chants sur tous les disques. Cette histoire n’est pas trop mal, mais pas la plus drôle qu’il m’ait été donné d elire concernant les Simpsons. L’histoire est trop téléphonée, on s’attend trop à ce qui s’y passe. La dernière case de cette histoire est hilarante, la plus drôle de ce récit.
Dans la seconde histoire, intitulée ‘L’homme qui avait deux femmes’, Homer et sa bande jouent à un jeu de cartes quand Burns, leur patron, s’incruste dans la partie et mise Smithers, son bras droit. Homer, qui remporte le grand prix, se retrouve avec Smithers sur les bras, qui s’occupe de lui comme sa femme, ce qui a tendance à rendre Marge jalouse. Pas de surprises du côté de cette histoire. Tout comme la plupart des histoires en BD des Simpsons, elle n’est pas terrible. Heureusement, on a déjà vu bien pire.
La troisième histoire, ‘.. si Homer Simpson inventait le golf’, est l’histoire la plus courte de cette bande dessinée. Pas besoin d’expliquer de quoi il s’agit, le titre en dit déjà assez sur le sujet qu’aborde ce mini-récit. Cette histoire de 4 pages n’est pas drôle du tout, en ça nous arrange qu’il n’y ait pas plus de pages.
Les Simpsons en BD, ça n’est pas ce qui s’est fait de mieux dans l’univers des Simpsons. Les histoires ne valent pas les épisodes animés, beaucoup plus drôles.
Dans cette bande dessinée des Simpsons, nous avons droit a 3 histoires, dont une très courte.
La première histoire, ‘Maggie rentre à la maison’, raconte comment Lisa veut intégrer un groupe de baby-sitters. Malheureusement pour elle, Maggie a disparue. Homer, de son côté, a tellement chaud qu’il décide de ne pas porter de chemise, mais de peindre son corps pour donner l’impression d’être vêtu. Cette histoire est plutôt drôle. Les situations font marrer, et ce grâce aux personnages. Bref, ça n’est pas une mauvaise histoire.
La seconde histoire est aussi très courte. ‘Homer contre le papier peint’ est un emini-histoire de 4 pages dans laquelle Homer décide de changer le papier peint de la chambre à coucher de Bart. Inutile de préciser que rien ne va comme il faut. Les dessins de cette histoire ne sont vraiment pas jolis et faits à la va-vite. Je n’ai pas une seule fois rigolé, ni souri. Bref, cette histoire est inutile.
La troisième et dernière histoire s’intitule ‘Les Bières Boys’. Moe ne se sens pas bien et compte fermer son bar pendant une semaine. Ses clients principaux (Homer, Lenny, Carl et Barney) y voient la fin du monde. Ils décident donc de remplacer Moe le temps que celui-ci se remette. Cette histoire ets assez sympathique. Elle est drôle et fait parfois penser à un épisode de la série animée, ce qui est assez rare pour une BD Simpsons.
Comparé aux autres bandes dessinées des Simpsons, ‘Quelle Bidonnade’ ne s’en sort pas trop mal. Cette BD est assez drôle et occupe le temps.
Je suis fan de la série animée ‘Les Simpsons’, mais pas autant des bandes dessinées qui en sont adaptées. Boing Boing Bart nous offre 3 histoires inédites de la famille la plus déjantée des USA.
La première, intitulée ‘Bart Simpson-Agent Secret, Mec’, est divisée en deux parties. Bart Simpson est engagé par des agents secrets et doit retrouver du Macguffium, substance 4 fois plus dangereuse que le plutonium. Cette aventure ne ressemble en rien à un épisode des Simpsons. Les gags tombent tous à l’eau et l’histoire n’est pas du tout intéressante.
La seconde histoire, ‘Tu ne vas pas manger ça’, se situe dans la cantine de l’école. Le congélateur de la cantine est cassé, et il y a trop de nourriture qui risque de pourrir. Skinner, le proviseur de l’école Élémentaire de Springfield, ‘récompense’ les élèves en leur laissant manger ce qu’ils veulent. Bien sur, Bart et ses amis en font un jeu, et celui qui tient le plus longtemps à manger les cochonneries, gagne le jeu. Bref, il n’y a aucune finesse dans cette histoire. Elle est même carrément dégoûtante.
La troisième histoire est ma préférée. Elle s’intitule ‘Massacre à la Caméra’. Étant un grand passionné de cinéma, je ne pouvais passer à côté de cette histoire. Bart et Milhouse décident de réaliser un film d’horreur. Je trouve cette histoire vraiment drôle, avec assez d’inventivité pour plaire. Les idées sont vraiment bonnes. C’est la meilleure histoire de cette bande dessinée.
Vous l’aurez compris, les Simpsons, c’est beaucoup mieux à la télé et au cinéma. Pour les épisodes en bande dessinée, ça ne vaut pas trop la peine.