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Un léger ton en dessous du reste de la série, le thème abordé cette fois (l'exploitation du sexe dit faible) est un peu plus simpliste que d'habitude.
Mais l'ensemble est toujours très bien dessiné, et le mélange politique / SF n'a toujours pas d'équivalent dans la BD.
L'exemple type de l'album qu'on a déjà lu avant de le lire, et déjà oublié 2 heures après l'avoir lu.
Bien dessiné, avec un scénario sans aucune créativité, l'apport de Cailleteau n'ayant rien changé à l'affaire.
On replonge avec volupté dans cet univers graphique qui avit fait du tome 1 l'un des albums phares de 2002.
C'est incontestablement la force de la deuxième partie, l'histoire passant quant à elle au second plan.
En effet, à dessein, les auteurs ne délivrent que des bribes de leur histoire qui laissent la part belle à l'interprétation... et à la confusion.
C'est sans importance : les légendes comportent toujours leur part d'ombre, ce qui les rend attachantes.
Cette première histoire en deux volumes pose donc les bases de l'univers d'Algernon Woodcock, qu'on aura incontestablement du plaisir à retourver dans d'autres aventures.
Voilà un album original, hors normes et qui mérite bien d'appartenir à la collection Terres de légendes.
L'ambiance graphique est splendide, faite de jeux de couleurs subtils, de plans audacieux et de découpages non conformistes. Certaines planches sont tellement réussies qu'on les parcourt pour le plaisir, avant mêm de s'attacher à l'histoire.
Celle-ci est justement à la mesure de l'époque : l'Ecosse du début de siècle, avec ses légendes et ses mystères. Deux jeunes médecins dont un nain sont lâchés dans une contrée reculée et obscurantiste, et confrontés aux limites de leur science.
Beaucoup d'interrogations qui ne trouveront leur réponse que dans la suite, et une narration volontairement obscure, décourageront peut etre le lecteur inattentif.
Les autres, passionnés, savoureront -c'est vraiment le terme- cet album pas comme les autres.
Quel pari audacieux que de donner une suite à une telle histoire !
En fait de suite, c'est plutôt un retour en arrière, qui nous permet de découvrir la jeunesse de ce formidable personnage qu'est Bragon.
Lidwine reprend le dessin de façon magistrale, et ce tome 5 lance le nouveau cycle sur d'excellentes bases.
Il faut absolument tout lire de cette série avant de s'en faire une idée, mais à l'issue, qui prétendra encore être hermétique à l'héroïc fantasy ? Qui trouvera à redire sur tel ou tel aspect du dessin ou du scenario ? Cette histoire est tellement extraordinaire, et racontée avec une telle virtuosité, que les petits défauts sont oubliés grâce à la fin en apothéose.
Tout simplement la meilleure BD que j'ai jamais lue.
Une très belle réussite sur un sujet très casse gueule : l'histoire d'un klaniste (comprenez : membre du Ku Kulx Klan, d'où le titre), depusi sont initiation jusqu'à son inévitable chute.
Le traitement est différent des autres oeuvres sur ce thème : les traditionnelles exactions sont en toile de fond, et c'est le cheminement intérieur du personnage central qu'on découvre.
Le dessin n'est pas classique et peut dérouter, mais colle magistralement au scenario et certains passages sont magnifiques : au final, même pour les bdphiles qui ne sont pas clients de ce style graphique, ce serait dommage de passer à côté à cause de ça.
On sort ébranlé d'une telle lecture, mais de tels albums sont indispensables.
Cette BD est un fantasme en 78 planches !
Heureusement, Van Hamme pour son tout premier scenario a l'intelligence de ne jamais sombrer dans la vulgarité, de même que Cuvelier reste du bon côté de la frontière entre érotisme et porrnographie.
Un album sympathique donc, surtout dans cette édition avec un supplément très intéressant sur les auteurs.
La suite attendue du premier tome qui présentait histoire et personnages.
A l'issue de celui-ci, on en comprend plus trop qui est qui et qui fait quoi !
Mais l'ensemble est animé et le dessin ne déçoit pas.
Il manque juste un petit quelque chose pour en faire une très bonne BD... Peut être au tome 3 ?
Mystère à l'époque des premiers grands paquebots.
Un ingénieur a disparu tandis que sa soeur, qui prétend diriger un navire, engage un drôle de détective, boiteux et naîf.
Intéressant à défaut d'être passionant, avec un dessin relativement agréable.
Plus long, plus complexe, toujours aussi spectaculaire, mais un peu en deça des deux précédents.
C'est le sentiment qui ressort à la lecture ce cet album, au scenario qui s'embourbe un peu au moment ou Alice vient y particpier.
Mais on a tellement aimé le début qu'on est sans doute très (trop ?) exigeant...
Indispensable dans toute bonne BD thèque
Un tout petit moins d'audace graphique empêche cet album de faire aussi bien que le premier. L'effet de surprise ne joue plus non plus...
Mais l'histoire exceptionnelle reste là, et c'est encore mieux avec les esquisses du coffret Canal BD. Un must !
Décors somptueux, cadrages fantastisques, scenario à couper le souffle, les superlatifs manquent pour décrire cet album, tout simplement le meilleur du genre.
On lira et relira sans cesse ces planches exceptionnelles avec délectation.
Attention, chef d'oeuvre !
Il y a six ans (déjà ? que l'attente fut longue...), Xavier Dorison et Alexandre Alice nous gratifiaient d'un album exceptionnel : Marc ou le réveil du Lion, premier tome d'une saga au nom évocateur : le Troisième Testament.
Les tomes 2 et 3 arrivèrent assez rapidement, et sans atteindre le niveau de réussite du premier, ont permis de faire de la série une des plus convaicantes de ces dernières années.
C'est dire si ce tome 4 est attendu, et les nombreuses rumeurs qui ont couru (retards, réalisation d'un cinquième tome..) ont alimenté le mythe.
D'emblée, on retrouve l'univers graphique qui a fait une partie de ce succès : planches immenses faisant la part belle aux décors, couleurs somptueuses et aux dominantes différentes selon les lieus, angles de vue spectaculaires. Toutes les conditions climatiques sont d'ailleurs réunies dans cet album pour permettre à Alice d'exploiter son talent. Les personnages secondaires sont plus rares ici (fin de l'histoire oblige) et le défaut habituellement reproché, c'est à dire une identification difficile des personnages, est donc moins évident.
Côté scénario, depuis le premier tome et son côté précurseur, de nombreux confrères se sont engagés dans la brêche (triangle secret, décalogue...) et les surprises sont moins efficaces. D'ailleurs, alors que le tome 1 se pose en successeur du Nom de la Rose d'Umberto Eco pour le neuvième art, c'est beaucoup moins évident à partir du tome 3, et la référence s'éloigne définitvement pour le tome 4. Coïncidence, ce sont les tomes auxquels Alice a participé pour le scenario, mais on retrouve aussi le goût du fantastique de Dorison, présent de la même façon dans Prophet et Sanctuaire. Cette façon de lancer une histoire sur des bases tout à fait réalistes et de la relancer sur le plan fantastique est caractéristique de son travail et déroute certains lecteurs.
Au delà de ces considérations, l'histoire reste remarquable et les quelques planches supplémentaires permettent de l'apprécier un peu plus longtemps, même si le final est moins limpide que le reste de la série.
Dans l'ensemble, même si le premier tome restera le chef d'oeuvre de la série, Jean ou le Jour du Corbeau conclut en beauté le Troisième Testament, en faisant ainsi l'une des mailleures séries de ces dix dernières années.
Comme la plupart des tomes précédents : on sourit beaucoup, on rit parfois franchement, on regrette la fraîcheur des gags du début, et on n'achetera le tome suivant les yeux fermés.
Mention spéciale à la petite histoire d'introduction, dans la veine de Franquin.
Encore une histoire qui porte sur la fatrie cachée du Christ.
Heureusement, conscients de l'absence d'originalité actuelle du thème, les auteurs jouent plutôt la carte de l'action.
Pas de longue digression, ou d'explication de texte sur la franc-maçonnerie donc. Le héros-prêtre est un ancien des services secrets et ça se voit dans ses manières !
Graphiquement, le style de Mig (Sam Lawry) se reconnaît tout de suite et colle bien à l'ambiance.
Ce premier tome d'une trilogie est prometteur, pour peu que l'histoire ne sombre pas dans la banalité d'un imbroglio politico-religieux.
Un très bon album qui ravira les cinéphiles amateurs de Martin Scorsese.
La comparaison vaut bien sûr pour le sujet (la naissance de la mafia) que pour le style narratif avec cette façon d'aborder une m^me histoire par plusieurs personnages secondaires.
Graphiquement, c'est sobre et réussi, avec notamment des vues de New York au début du siècle très jolies.
L'histoire vaut plus par la description des personnages que pour le synopsis lui même, mais l'ensemble est très réussi.
Un regret : le titre, pas très parlant ni flatteur, même si on a droit à l'explication à la fin.
Un bon petit polar pour mettre en place une nouvelle série sur des superflics européens.
Le dessin est à l'image de la couverture : bon mais manquant cruellement de détails, d'ambiance.
L'histoire elle même est intéressante, l'intensité monte peu à peu et puis le soufflé retombe un peu vite.
Il faudra revoir l'ensemble avec un peu plus d'action.
Déjà le troisième tome, mais on a l'impression qu'il a été réalisé en même temps que les deux premiers tant l'identité est forte.
Quelque soit la planche, on reconnait que c'est du Leo et que c'est du Bételgeuse.
Et comme les deux premiers étaient très bon, on se régale encore avec celui-ci.
Un deuxième tome dans la continuité directe du premier : magnifique !
L'histoire est toujours aussi prenante et le style graphique faussement désuet lui sied à merveille.
Vivement recommandable !
Cette album fait suite à la série Aldebran mais peut se lire sans connaitre le premier cycle.
En apparence très simple, le dessin est envoûtant par sa poésie, par les édécors magnifiques et les animaux fabuleux.
L'histoire est fascinante et comme Leo sait très bien terminer un album, on n'a qu'une envie : lire la suite.
Très très prometteur !
La critique de la "real TV" et la dénonciation de ses probables dérives est à la mode. Mais au fond, des films comme le Prix du Danger d'Yves Boisset ou encore "Running Man" de Stephen King, ne disaient pas autre chose il y a 20 ans.
Morvan s'attaque donc au sujet, et enfonce le clou. Mais c'est fait avec une certaine subtilité, sans marteler un message moralisateur, et le prétexte d'une enquête policière (secondaire) permet de rendre la narration plus agréable. On peut aussi saluer encore une fois la volonté de Morvan de ne pas placer cette histoire à New York ou LA. Après Marseille dans "Trop de Bonheur", c'est cette fois Barcelone qui est le théâtre de ces évènements.
Les personnages sont largement stréotypés, mais c'est indispensable au propos ci dessus, et on entrevoit un comportement différent peu à peu, "hors champ" de la caméra.
Côté dessin, c'est bien fait, typé Manga mais le sujet s'y prête bien... les couleurs en revanche sont un peu sombres.
Un bon album, mais la série va beaucoup dépendre de la tournure des évènements, notamment concernant l'ennemi des héros.
Mention spéciale au making of, une bonne idée pour changer des carnets de croquis.
L'histoire de base est assez classique : un seigneur beau et courageux, jalousé par son cousin vilain et cupide, entretient des relations ambigües avec une jolie jeune femme des bois, vite qualifiée de sorcière. Sa femme n'apprécie pas ça, et son fils qui semble souffrir d'une malédiction peut etre liée à un phénomène étrange survenu le jour de sa naissance, c'est là la seule apparition du fantastique dans cet album.
Tout cela est mis en valeur par un dessin simple sans fioritures, et des couleurs assez réussies.
L'ensemble est donc assez bien fait mais manque d'une étincelle qui rendrait le tout un peu plus passionnant, cxe qui se produit peut être en fin d'album avec l'arrivée d'un personnage différent, plus énigmatique, représantant de l'Inquisition. Le quatrième de couverture fait la part belle à ce personnage, ce qui laisse présager une évolution plus musclée de la série.
Peut être un bon album de mise en place donc, si la série décolle ensuite.
Déjà le cinquième tome d'une série agréable mais qui, il faut bien le dire, n'a jamais déchaîné les passions. Certes, le dessin est élégant mais sa sobriété peut être rebutante, et ses couleurs sont souvent glaciales. Mais surtout, on a à chaque album toujours la même difficulté à se faire à l'idée d'un inspecteur des impôts qui se balade avec un calibre 9mm pour ses enquêtes, et qui se comporte comme un crack de la NSA. La faute a une culture européenne différente des standards américains ?
Finalement, ces particularités graphiques et scenaristiques donnent son indentité à la série, et même au personnage principal, Larry B Max, lisse tant dans ses traits que dans sa personnalité. On le connaît finalement très peu, et justement le scenario de ce 5e tome se focalise beaucoup plus sur son histoire personnelle. Révélations étonnantes à la clé, sur fond d'une histoire quant à elle assez classique de corruption !
Parrallèlement les choix narratifs sont un peu plus audacieux, notamment dans les premières planches où le mélange de deux histoires apparemment complètement distinctes est parfois confus mais donne un rythme inédit dans cette série. Dommage que les couleurs n'aient pas marqué un peu plus la différence, car on était dans l'idée pas loin de l'excellent film Trafic de Steven Soderbergh.
En insistant moins sur les personnages secondaires ultra stéréotypés, Desberg le scénariste à la mode (Tosca, Le Scorpion), réussit ici son meilleur scenario pour IR$, et ramènera peut être à la série les déçus des premiers tomes.
Graphiquement c'est sans surprise mais toujours aussi réussi pour les amateurs du style "troisième vague". La couverture annonce tout de ce style, et la posture de la fille, qui rappelle celle de la tueuse borgne de XIII, en dit déjà long.
Finalement, dans ce genre prépondérant de la BD qu'est le polar sophistiqué, Silicia Inc ne décevra pas et conquerra pourquoi pas des lecteurs plus généralistes
Pour se changer des agents secrets tatoués, des héros roux un peu bénêts aux pouvoirs absolus ou des millardaires en basket, rien de tel qu’un bon vieux détective londonien irascible et prétentieux.
S’attaquer au détective le plus célèbre de Londres et en faire le héros d’un album de gags, il fallait oser. Aucun problème pour Barral et Veys, qui non contents de dépoussièrer ainsi le mythe, réussissent même un excellent pastiche, au point qu’on se demande quelle est la version la plus intéressante.
Les personnages sont désopilants à travers leur prétention et leur préciosité, y compris les personnages secondaires (mention spéciale à la cuisinière alcoolique).
Les intrigues sont d’abord là pour amener les situations comiques mais les auteurs s’amusent à y introduire le suspense et on se surprend à se prendre au jeu en plus de se régaler des crises entre Watson et Holmes.
Le dessin manque peut-être un peu d’assurance, mais l’ensemble, visiblement sans prétention au départ, est finalement réussi.
Le format gags en quelques planches est parfois frustrant, mais il a cet avantage qu’on peut en lire un peu tous les jours. On demande à voir sur une histoire plus longue, mais c’est pour l’instant une bonne série.
Dans la foulée du premier, un scenario toujours aussi bon et le dessin qui s'améliore (à moins que je m'habitue ?)
On plonge totalement dans cet univers vertigineux, en découvrant peu à peu que tous les personnages ne sont pas forcéement ce qu'ils disent être.
La narration est réussie, il n'y aucun temps mort, c'est vraiment du grand art !
Une des meilleurs séries du genre à coup sûr !
Dérouté par le dessin, je me suis résolu à me lancer dans cette BD grâce à son excellente réputation.
Et je n'ai pas été déçu : le mélange des genres de violence (urbaine, guerrière, politique...) est très réussi, notamment grâce à des personnages particulièrement travaillés.
On s'habitue bien au dessin, grâce à une mise en scène excellente.
Tout ça donne un tome 1 haletant, à la fin réussie : vite, le tome 2 !
Cet album corrige habilement les quelques petits défauts du premier tome : personnages plus complexes et dé&cors et parsonnages plus travaillés.
On est dans le futur, mais pas de doute, c'est bien une grande histoire de pirates, d'aventure, d'amour et d'action.
Manque un soupçon d'originalité, mais dans ce registre, c'est incontestablement réussi.
Une sympathique histoire de corsaires du futur, qui adapte le concept du steampunk à l'époque des galions et des pirates.
Beaucoup de choses à présenter dans cet album : les événèments, le contexte, les personnages et au final, il ne se passe pas grand chose, même si on a bien compris qui étaient les méchants et les gentils.
Le dessin est agréable, mais les personnages gagneraient à être plus détaillés et les décors plus fournis.
Un album finalement réussi car sans prétention et surtout on nous promet la grande aventure, avec de l'amour et des batailles pour les albums suivants.
Moussaillon ! On embarque !!
La couverture m'a toujours beaucoup plu mais ça ne fait pas tout...
Ce n'est que le second Spirou de Tome et Janry que je lis, (l'autre étant New York), et même si j'aime assez leur style, qui donne un coup de jeune à la série, je dois reconnaître que le scenario dans l'ensemble m'a bien ennuyé.
J'ai surtout aimé.. les décors, un comble dans ce genre de BD, parce que le reste est bien banal, bien politiquement correct, calibré très jeune lectorat.
Si la première partie (la mine de l'allemand perdu) est un album formidable, celui-ci est carrément un chef d'oeuvre.
Les dessins sont fantastiques, chaque case mérite qu'on s'y arrête et pourtant le scenario est tellement prenant qu'on dévore cettte histoire.
Les couleurs sont extraordinaires, elles confèrent une atmosphère tantot écrasante de chaleur dans le désert, tantôt glaciale et iunquiétante, dans le canyon la nuit.
Et encore une fois, les personnages sont formidables, notamment Prosit Luckner et le Spectre, qui nous accompagnent encore longtemps après avoir refermé l'album.
Incontestablement, le meilleur Western en BD, et en ce qui me concerne, le meilleur album que j'aie jamais lu.
Epoustouflant !
Après un démarrage classique pour un Blueberry, et un dessin encore timoré dans les dix premières pages, tous les canons habituels du registre explosent pour nous donner une histoire haletante et magistralement dessinée.
Les personnages sont fascinants, surtout Prosit Luckner, un des plus beaux salauds que j'ai rencontrés en BD.
Les décors sont sublimes, et confèrent un caractère de plus en plus oppressant à l'histoire.
Si ce n'était pas suffisant, le rythme est mené de main de maître par Charlier.
On referme cet album la gorge sèche avec l'impression d'avoir accompagné ces cow boys dans le désert
et aussi parce qu'on n'a pas repris sa respiration depuis le début.
Et ce n'est que la première partie, la deuxième étant peut être encore meilleure.
Une histoire sympathique mélangeant brigandage, poésie et amour sur fond d'Inquisition.
C'est sans prétention mais ça manque de souffle et les personnages manquent de profondeur (sauf les deux héros).
Le dessin n'est pas extraodinaire...
A réserver aux fans de Marc-Renier !
Quelle déception ! Jijé est pourtant un dessinateur mythique, mais c'est sur le plan du dessin assez quelconque, persos stéréotypés, se ressemblant, et dans des postures parfois caricaturales. Au plan scenario, c'est triste... sans être méchant. A des kilomètres des Blueberry les plus moyens.
L'histoire s'étant bien installée dans le tome 1, l'action peut démarrer beaucoup plus rapidement cette fois.
Du fantastique, du suspense, des jeux de rôles, de la violence, le mélange des genres est dangereux mais finalement bien géré.
Le dessin est toujours aussi bon, ce qui donne un excellent résultat.
A réserver toutefois aux amateurs du genre.
L'histoire semble originale mais la narration est assez confuse, on sent que c'est un tome pour mettre une histoire en place.
Les dessins et couleurs sont très réussis, et très personnel, on reconnait "le style" de G Charlet.
Album intéressant, mais il faut lire rapidement la suite, car l'histoire ne progresse quasiment pas.
Après un très bon tome 1, la suite ne dépare pas ! Le dessin est même sans doute mielleur, tandis que le scenario reste excellent.
Sans grande originalité, mais le sujet est magnifiquement exploité, avec toujours des personnages travaillés.
Une des grandes séries de la décennie, si les tomes suivants sont du même tonneau.
On se coule dans cette BD avec le plaisir de revoir ou de relire un classique... et pourtant ça ne ressemble à rien d'autre !
Des dessins léchés et un scénario épuré mais passionnant, on se régale.
C'est aussi un plaisir d'avoir des personnages un peu moins stéréotypés que d'habitude, malgré les apprences.
Excellent !
Une BD qui à coup sûr ne laissera pas indifférent !
Même si je n'ai pas adoré sur le plan graphique, il faut saluer un travail très poussé de Liberge et un résultat très original.
Côté scénario, c'est une histoire de fantômes, assez bien faite, mais qui semblera bien fade pour qui a lu "les Hauts de Hurlevent"
Globalement, si on ne tombe pas sous le charme du dessin, il faudra quand même s'accrocher pour tout lire.
L'album est visuellement très réussi, presque classique ce qui n'est plus si fréquent en SF. Par contre l'histoire souffre de la lourdeur du sujet : les voix off, les explications indispensabkles prennent beaucoup de place et du coup, la partie "action" est réduite au minimum.
On peut espèrer que le deuxième tome développe un peu plus certaines idées intéressantes.
ça sent les fonds de tiroir, du coup il y a de tout dans cet album, du bon et du moins bon, du vieux et du plus récent.
Au final quelques bons gags, la poésie de Franquin qui revient surtout dans les gags de Noël, mais on est quand mêm bien loin de certains albums de Spirou avec le marsu.
Pas indispensable, mais agréable.
Je suis bluffé !!!!
Franchement, pour moi les BD animalières ct Walt Disney donc l'horreur absolue.
Finalement grâce à vos critiques j'ai consenti à me lancer et... j'adore.
Le scenario est bon sans être exceptionnel, mais je trouve le dessin éblouissant. Alors même qu'a priori je ne voyais pas l'intérêt de mettre une tête de chat à un type, là je me dis que ce serait vraiment dommage de ne pas l'avoir fait.
Un vrai régal, je veux 25 tomes dans cette série !!!!
Un très bon thriller !
Scenario bien ficelé, avec un soupçon de paranormal et dessin classique et sobre...
L'ambiance est parfaitement rendue et les héros ont une personnalité plus subtile que d'habitude dans ce style de BD.
La fin est très (trop ?) classique mais on reste sur une excellente impression.
Pourvu que ça dure...
C'est rare de voir une BD où les dialogues sont plsu importants que le dessin ou le scenario.
Ici, chaque bulle a été travaillée à la Audiard. Et c'est quelquefois très réussi.
A côté de ça, ça mitraille et ça castagne à tout va mais juste pour pouvoir avoir un support aux bons mots.
Les dessins sont bons mais pas extraordinaires.
Distrayant car original donc mais vite oublié.
Les amateurs du dessin particulier de Griffo y trouveront leur compte, les autres... devront s'accrocher à un scénario violent peuplé de personnages stéréotypés.
Le début est donc loin d'être exceptionnel mais il reste suffisamment de suspense à la fin pour vouloir lire la suite.
Decevant, donc, mais à revoir...
AVIS SUR LA SERIE COMPLETE
Une histoire qui se veut inspirée des grands polars noirs américains : un couple qui ne s'aime plus et où chacun ne pense qu'à éliminer l'autre.
Le dessin de Ralph Meyer est magnifique, à la fois par le trait et surtout par la mise en scène, et l'utilisation des couleurs.
Les deux premiers tomes montrent la même histoire vue par chacun des protagonistes, et le 3e par un oeil nouveau, et différent.
Un few shot au final très réussi, qui ravira les amateurs gu genre
Une très jolie couverture qui donne déjà envie de se saisir de cet album...
A l'intérieur, même si le trait n'est pas toujours parfait, la mise en scene est remarquable et souligne le propos principal : la violence de notre société.
Thème sulfureux mais l'histoire est bien menée, avec des personnages qui sonnent juste, et au niveau des dialogues, les silences sont parfaitement utilisés.
Le scenario évite tous les pièges, notamment les idées préconçues ou l'utopisme, et se recntre peu à peu sur la question de l'engagement individuel (dans sa propre vie ou pour las ociété).
Passionnant et bien fait, vivement la suite.
Je déconseille cet album a ceux qui n'ont pas adoré le Triangle Secret. Il n'apporte rien d'autre à l'histoire qu'un autre regard sur l'affaire, à la façon de XIII mystery "l'Enquête".
Rien de très original, sinon les crossovers (Qumran, Decalogue, Indiana Jones) et surtout on ne croit jamais vraiment à cette enquête, à la différence de XIII justement.
Bien moins bon que l'autre HS (Dans le secret du Triangle) dont l'aspect documentaire pouvait interesser.
Je me suis régalé, peut etre plus que pour les derniers Lanfeust d'ailleurs.
Le dessin est vraiment réjouissant, surtout dans sa puissance comique. La psychologie des personnages est un régal surtout Lanfeust Hebus et Cixi.
Et l'histoire a tous les ingrédients d'une bonne quête d'Heroic Fantasy. Hélas, il n'y a plus l'originalité du début mais comment pourrait il en être autrement après 10 tomes ?
Toujours passionnant, avec des dessins magnifiques et des thèmes éculés (pouvoir, amour, amitié, racisme) revisités dans un contexte SF original.
La fin vient trop vite, un petit regret, on aurait bien pris 10 pages de plus.
Original, superbement dessiné, couleurs magnifiques, héroïne attachante, émouvant, et un scnéario rudement bon.
Vous ne l'avez pas encore ? Foncez !!!
Une suite qui revient un peu plus sur des pans laissés de côté au tome 1.
Ca avance à toute vitesse, il se passe des tas de choses et on peut regretter que certains passages ne soient pas plus développés.
Comme d'habitude, ce tome se finit sur un coup de théâtre et on va se ruer sur le suivant.
Perfectible en tout cas au niveau graphique même si déjà très bon.
On a attendu si longtemps, et la fin s'avere très différente de la direction prise au fil des albums.
Celui ci est donc différent (pas au plan graphique, même si l'absence de planches du moyen age est regrettable)
Une BD qu'on n'oublie pas en tout cas !
Pfouiiiiiiiiiiiiiii
C'est ENORME
Bajram n'a reculé devant rien, graphiquement, scenaristiquement pour nous offrir le meilleur album de la série.
Courez l'acheter !!!!
Jubilatoire !!!
Quand les amis de Franquin revisitent Gaston... des gags en pagaille dans plein de styles différents, de Hermann à Cosey, en passant par Berthet, Ttome et Janry...
Presque aussi bien qu'un Gaston... et à lire pour percevoir le génie de Franquin et l'admiration de ses confrères.
Exceptionnel ! On referme ce livre en ayant déconnecté complètement le temps de sa lecture, avec l'impression d'avoir été frappé par un boomerang.
Un coup de théâtre initial qui secoue d'emblée, et on est ensuite ballotté au gré de théories sur les paradoxes temporels jusqu'à la fin qui renverse tout à nouveau.
Tout y est : planches superbes, personnages expressifs et pris dans la tourmente de décisions qui les dépassent, scénario haletant, c'est magistral.
Un seul bémol : il faut s'accrocher au niveau compréhension... pas question de le lire en 3 fois.
4e tome et toujours le même avis ou presque : très bien , dommage que les héros manquent de caractère sur le plan physique.
Le scénario réussit à ne jamais décevoir tout en partant d'une base très classique.
Bref, on se régale.
Toujours aussi agréable à lire et à regarder... sauf les personnages et principalement Banks le héros.
La série progresse malgré tout, et les persos sont de plus en plus intéressants.
Cet album ne peut pas laisser indifférent !
L'histoire se déroule à un rythme extrêmement soutenu, et la violence y est omniprésente.
La forte impression laissée par le premier tome se confirme, d'autant plus que la partie graphique est encoire plus réussie, avec des couleurs plus brillantes et des planches toujours splendides.
Vivement la suite !
Un scenario qui mélange habilement classique (gentils cambrioleurs contre méchants policiers) et moderne (snuff movies), le tout à la Belle Epoque.
C'est donc original et de plus en plus intéressant au fil de la progression de l'album.
C'est également relativement violent, moralement surtout, ce qui n'est pas courant en BD.
Côté graphisme, les personnages sont des "gueules", qu'on peut ne pas aimer, mais les planches des toits de Paris sont splendides. Les couleurs sont également réussies, même si on peut regretter le côté surchargé.
La fin en coup de théâtre donne envie de se jeter sur la suite.
Dans la lignée directe du tome 1...
Même ambiance visuelle, un scénario toujours aussi rythmé, mais toujours ces personnages qui manquent de profondeur et de charisme.
Malgré tout, c'est au dessus du lot dans le style SF, et on a envie de continuer, ce qui est bon signe...
Au bout de deux planches, on est déjà dans l'ambiance au niveau graphique... mais le scénar est un peu plus long à décoller... ensuite, c'est plutôt pas mal du tout, du suspense, des planches réussies (surtout les couleurs, les visages sont parfois peu expressifs) et une histoire qui accroche.
Bref, un bon 7/10, mais pas le choc espéré vu la réputation de cet album.
Ce n'est pas une BD mais ça intéressera beaucoup les amateurs surtout de Van Hamme et en particulier de Western.
Paradoxalement, on se rend compte de l'ampleur du travail... de Rosinski, quand on voit ce que lui donne JVH.
L'histoire reste bien sur tres bonne et interessante à lire sous cette forme.
A voir aussi pour les corrections de Rosinski, et les notions de mise en page de Van Hamme.
Très belle présentation pour couronner le tout.
Le tome 1 nous avait laissé sur un suspense haletant et avait placé la barre haut.
Le second est de la même veine !
Illustrations de l'Afrique toujours aussi chaudes, personnages réussis (dessin et caractere) et l'intrigue esrt excellente : un coin du mystère est levé pour nous plonger encore plus dans l'attente de la suite des événements.
C'est donc un excellent album, vivement le suivant !
La présentation laisse présager un clone de XIII ou autres Largo Winch, mais cette série a une véritable personnalité.
Le dessin est réussi, grâce à des décors travaillés et de belles couleurs, et les personnages sont expressifs. Le scénario est bon malgré un thème lu et relu et donne envie de connaître la suite.
Bref, une bonne surprise et une bonne série en perspective.
Une suite sans surprise par rapport au tome 1 paru simultanément.
Graphismes du même tonneau, et surtout scenario prévisible qui a tendance à ne pas s'encombrer des personnages secondaires.
Une BD pop corn : on sait ce qu'on lit, on sait où on va, et on se distrait malgré tout.
On n'est pas en présence d'un chef d'oeuvre.
Une fois ce fait accepté, on peut passer un moment distrayant.
Les graphismes sont corrects snas plus, et mis en valeur par la couleur.
Le scenario pêche par des ficelles parfois lourdes mais l'ensemble reste finalement suffisamment bien construiit pour qu'on ait envie de lire la suite.
Un scenario classique mais pas ennuyeux de SF : 2 garçons et une fille s'ennuient à mourir sur une planete oubliée, sur laquelle s'écrase un héros et un monstre...
Le dessin est typé manga mais sans excès, et le coté rétro des machines donne un style.
Un peu plus d'originalité par la suite, surtout au niveau des personnages, rendront cette série très agréable.
A suivre...
Le premier tome avait placé la barre très haut.
Le second est peut etre encore plus réussi, car il tient ses promesses dans tous les domaines en faisant avancer cette belle histoire, et il apporte en plus ce supplément d'émotion qui permet à l'histoire d'être encore plus prenante.
La guerre, les difficultés financières, rendent la situation du zoo encore moins évidente, et c'est à l'heure des choix que les personnages se révèlent et se montrent encore plus attachants.On referme encore une fois l'album avec le sentiment d'avoir lu un petit bijou, et maintenant on attend la suite avec impatience
Amateurs d'action pure, de super héros tatoués et increvables, ou de pouvoirs magiques extarterrestres, passez votre chemin.Ici, deux maîtres mots guident le lecteur par le dessin, les couleurs et le scenario : POESIE et EMOTION.
L'accroche n'est pas facile mais on se laisse peu à peu porter par cette histoire qui a pour contexte l'entretien d'un zoo au prélude de la Grande Guerre. Pas un zoo public, mais plutôt une ménagerie héritée et entretenue avec amour par des personnages originaux et attachants : le vieux médecin, le sculpteur et l'ingénue, auquel s'ajoute l'étrange jeune russe qui n'a plus de nez.
L'amour, le respect des animaux et des autres, l'art, avec la guerre en toile de fond sont propices à un style graphique accompli, chatoyant avec de superbes couleurs.
On referme l'abum avec la sensation qu'il va rester longuement présent en nous.
Sur la lancée du premier tome, on replonge sans temps mort dans une histoire époustouflante.
Sur le plan graphique, c'est la confirmation de ce qui a été entrevu au premier tome : brillant !
Cette fois l'histoire vaut surtout par l'intrigue, le développement sur les personnages étant un peu plus "déjà vu".
Mais le suspense est distillé à merveille et de nouveau on referme l'album sans avoir repris son souffle et on attend la suite avec impatience.
Presque un indispensable au bout de deux albums !
Au premier album, un album tres typé SF, avec pleins de scenes de combat dans l'espace dans tous les sens.
Et très vite, le scenario nous emporte, parfaitement relayé par les variations de couleurs, dans une histoire de mecs, plutot style "films de guerre".
L'ensemble tient carrément la route, et est réjouissant : on a envie de continuer tout de suite avec le tome 2, tout en savourant encore certaines planches magnifiques.
A tout les coups, si la suite est à la hauteur, un futur "classique" !
Celui ci a un caractère plus historique que les autres.
Giroud s'aventure là sur un terrain miné et s'en sort par une pirouette somme juste assez convaincante pour s'éviter des ennuis.
La tournure que prend le scenario à ce moment me fait m'interroger sur la pertinence de la relecture dans l'autre sens.
Question dessin je noterai simplement qu'il n'est pas le meilleur loin de là de la série ni le plus mauvais.
Disons que l'unité graphique est respectée.
Disons le tout net : c'est mon préféré de la série. La qualité du dessin de Faure m'a donné envie de relire son cycle de la Balade au bout du monde. Son trait mais surtout les couleurs lourdes et chaudes correspondent tout à fait à l'ambiance moite de cet épisode.
Le scénario est du niveau de l'ensemble de l'oeuvre, riche, original et classique en même temps : c'est une tragédie. La fin est réussie si bien qu'on en vient à envisager l'album suivant comme l'épilogue et non pas le chapître suivant.
Autant j'avais adoré le tome 1, autant je suis déçu par ce second tome, dont le scénario parait s'enfoncer dans une direction complexe.
En revanche rien à dire sur le dessin, toujours aussi magnifique.
Peut etre le troisieme tome viendra donner un sens à ce second opus que je recommande malgré tout.
Le précédent album était lu il y a six mois et on replonge avec délectation dans cet univers.
Avec appréhension aussi, au fur et à mesure que la fin approche : le dénouement sera t'il à la hauteur ?
Graphiquement sans surprise : les différents dessinateurs sont rodés et l'ensemble est de très bonne facture.
Le scénario tient ses promesses mais le lecteur doit faire un effort de concentration pour absorber toute sa complexité.
Pour les amateurs en tout cas, un must !
Giroud nous apprend en préambule que cet opus est en fait un one shot à l'origine, qui lui a donné envie d'initier la série.
Beaucoup de clés sont données pour nous aider à comprendre l'histoire de "Nahik" mais paradoxalement le coté "malediction" est ici moins présent.
L'histoire est tout à fait remarquable et magistralement dessinée. La mise en couleurs est encore une fois sublime.
Avec le 7e, probablement le meilleur de la série.
Le cycle continue donc à rebours avec ce 7e opus, qui se déroule dans un Paris agité par la contestation de la Monarchie au XiXe.
Le dessin est remarquable, et la mise en couleurs une des plus belles de la série jusqu'à présent, notamment pour les différentes ambiances.
Le livre "Nahik" a cette fois un rôle secondaire, mais sa malediction rattrappe bel et bien les personnages.
L'histoire est passionnante dans un contexte original, peu fréquent en BD.
Un des meilleurs "Decalogue" donc...
Grosse inquiétude au départ car le dessin est d'Alain Mounier, qui avait déjà sévi avec Exit
Heureusement, son style s'est bien adapté et sans être le meilleur de la série au plan graphique, cet album est agréable.
Le scénario est pour une fois assez classique et convenu mais reste largement au dessus de la moyenne.
Il était loin d'être facile de mettre un point final à ce cycle exceptionnel des 7vies...
Cet album y parvient de façon magistrale.
Le dessin de Juillard est superbe et abouti, on sent sa plénitude, tandis que le scénario a été particulièrement soigné par Cothias.
Il y a de grands moments de suspense et surtout d'émotion, et la fin est magnifique.
Vraiment superbe !
La série progresse toujours, et cette fois, surtout au niveau du scénario.
Plus complexe, personnages moins stéréotypés, et un fin en coup de théâtre.
Le dessin progresse également, mais avec toujours le défaut d'être un peu
impersonnel sur certaines planches. Couleurs agréables.
Le meilleur album de la série, à suivre.
Scénario assez classique d'un agent secret aux prises avec des extremistes écolos.
Bien fait mais sans grande originalité.
Dessin précis et agréable et surtout belles couleurs pour le désert.
La série progresse régulièrement.