Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 24/11/2024 à 00:14:34 en 0.0197 sec
J'apprécie en particulier les séquences de fantaisie et auquel point elles sont justifiées. Les couleurs, les formes, la composition des planches sont comme il faut.
J'ai remarqué également qu'avec l'adoption de la vision animaliste, les yeux des personnages de Jérémie Moreau sont devenus complètement noires.
Il est intéressant que, dès sa première scène d'introduction, la jeune Célestine soit en train d'écrire, ce qui établit immédiatement son lien avec un autre grand écrivain. Elle ne le fait pas souvent par album, deux si je dois être précis, mais à chaque fois, il s'agit d'une lettre, d'une conversation, d'une interaction avec l'autre.
Les écritures de Marcel Proust occupent plus d'espace et sont toujours liés aux fantasmes et contemplations.
Le noir de l'encre est préservé dans le noir du dessin, qui contraste fortement avec les aquarelles, mettant en valeur les gestes et les expressions de Marcel Proust.
Un excellent album qui illustre parfaitement l'idée que pour créer quelque chose de vraiment drôle, il faut être extrêmement sérieux. Chaque information, présentée d'abord sous forme de blague, finit par jouer un rôle clé pour faire avancer l'histoire.
Il est fou auquel point la BD qui s'inspire d'Indiana Jones a pu prédire le Cadran de la destinée
L'approche à la narration m'a fait penser à Guido Crépax mais avec beaucoup plus de couleurs. Les corps allongés sont toujours en mouvement perpétuel, l'histoire avance sans brancher, mais elle ne connait pas sa destination. Tout est renversé, les dogmes ainsi que le bon sens des choses : la moto est littéralement une panthère, l'héroïne ne porte pas de pantalons mais juste une ceinture et les symboles de capitalisme sont repris comme faucille et marteau.
• L'aveugle reconnait l'amnésique, comme c'est poétique
• XIII finalement met un bonnet
• C'est quoi, cette fameuse « intuition masculine » dont tous les hommes se servent ici ?
• l'évasion de la prison est tellement dynamique
• un livre qui arrête une balle — classique
• une bonne page muette, très efficace pour monter le dédain des habitants
— une femme au destin tragique se bat pour sa vie tout en étant presque nue sur 3 pages d'affilée (13 cases au total)
— il fait hiver et le XIII ne porte pas de chaperon !
— jolie scène de téléphone qui sonne dans un appartement rempli de neige
— nombre total de femmes à poil : 3
— XIII ne se déshabille pas
— hilarant quand le chef du XIII lui parle du ciel comme Mufasa juste pour dire « tu sais bien faire du ski, fiston »
Faire un zoom sur une cassette enregistré par une caméra amateur — classique !
J'ai apprécié les cases où le sol occupe la moitié de l'espace lecteur.
Un mec à poitrine nue, c'est bien ! J'espère en voir encore plus dans les volumes à suivre
La Mangouste ressemble au méchant de Breccia
Je n'ai pas trouvé la justification de l'approche du scénariste. D'où vient cette envie d'occulter des informations afin de mieux garder l'image de la protagoniste ? Le scénariste l'admet et se dit ensorcelé par l'héroïne, mais à quel fin ?
Par contre, l'approche artistique du dessinateur est une merveille sémantique. Utiliser deux techniques pour distinguer l'objectif et subjectif est une bonne trouvaille et je ne suis pas sûr que mon interprétation soit bonne.