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Lecture difficile bien sûr mais ô combien indispensable. La lecture de l'entretien avec le scénariste dessinateur apporte un éclairage passionnant sur le travail de mémoire et la reconstitution forcément partielle voire infidèle.
Je n'ajouterai rien de plus à l'avis de "Tourisme-amateur", avec lequel je suis en complet accord.
Dommage.
Une histoire terrible, poignante, et qui rappelle qu'il faut malheureusement ne rien oublier, car le pire est toujours possible.
Un choix de dessin et de couleur déstabilisant, du moins au départ, mais qui sert finalement admirablement le récit. En temps normal, je n'aurai pas aimé le style retenu, mais la preuve est encore faite qu'il faut aller au-delà de son impression première.
Rien à dire pour le scénario, qui respecte fort bien le roman (j'ai toutefois noté une ou deux cases avec des erreurs...). A ce propos j'ai du mal à comprendre la hargne de gregb, dont le pseudo semble avoir été créé pour essayer de démolir les albums scénarisés par P Bresson.
Plutôt d'accord avec les avis exprimés, assez proches les uns des autres : un dessin où l'on trouve le pire et le meilleur, avec un dessin parfois grossier et imprécis. De bonnes idées sur un scénario très classique.
Je ne suis pas sûr du tout d'acheter la suite.
Assez d'accord avec la chronique de BDGest.
Le dessin et la peinture de Prugne sont toujours aussi agréables, mais le scénario est tout de même assez confus et le choix de la narration entre Pamuik et Pitt pas très compréhensible.
Dommage. Peut-être le moins bon de la série sur les amérindiens.
J'ai découvert Chats assez tardivement et j'avoue avoir été emballé. Certes certains points ont vieilli (les jeux de mots sur les années 1980, l'informatique des mêmes années) mais l'ensemble est passionnant, avec toutefois une petite faiblesse dans les 2 derniers tomes, et surtout le 5, inutile.
Le rapprochement avec Neige est parfois évident, jusqu'à une fugace apparition du sosie de Northman dans le tome 4
Avis très mitigé. Le scénario est assez simpliste mais suffisamment prenant pour que l'on ait envie de connaître la suite. La psychologie des personnages est basique, avec des réactions qui relèvent plus de l'époque moderne que du 55eme siècle, il semble en effet que rien n'ait changé en 3000 ans.
Le dessin est brouillon, et serait acceptable si il était le fait d'un débutant ; ce n'est pas le cas et il ne faut donc pas attendre d'améliorations pour le tome 2.
Malgré tout il est tout à fait possible que j'achète le second tome...
Pas trop d'accord avec la chronique BDGest.
Le scénario est au contraire d'une grande cohérence, sans surprise certes, mais un fil conducteur qui nous emmène vers une conclusion pleine de poésie, où réside peut-être le seul effet de surprise de l'album.
Un scénario qui fait parfois penser à Ballard, et aux mers de sable de Vermillion sands, et l'ensemble, avec le dessin délicat de Roman et les couleurs pastels de Béchu, fait également penser, et ce n'est pas le moindre des compliments, aux Cités obscures de Peeters et Schuitten.
Un bel album.
Avis très partagé. Dès le départ (planche 4) une erreur grossière avec un drapeau américain comprenant plus d'étoiles qu'il n'y en avait au départ (13), ce qui, pour une BD à caractère historique, est quelque peu gênant. Un dessin avec beaucoup d'impression (voire d'erreur ?), avec en particulier le personnage principal, dont le visage varie d'une case à l'autre (particulièrement page 32) et la personnalité, ainsi que les motivations, peu charpentée.
J'avais placé beaucoup d'espoir dans cet album, mais beaucoup trop sans doute. Le scénario est compliqué, et non pas complexe, inutilement, n'offrent aucune prise pour une compréhension réelle. Les enjeux pouvaient être intéressants mais restent complètement obscurs. La multiplicité de trames temporelles n'apporte strictement rien.
Le dessin, qui m'avait attiré lors d'un premier feuilletage au moment de l'achat, est gâché par des plans et un découpage qui ne permettent ni de distinguer les personnages exposés ni de comprendre le déroulement des faits et de l'action.
Bref, pour moi qui suis un fan de SF et avec une vase qui pouvait être passionnante, un album ennuyeux et inutile
Assez d'accord avec gavotte sur les qualités et les défauts de cet album. Les qualités, avec le roman d'Ellory comme base et une adaptation de grande qualité, où la suggestion l'emporte souvent sur le descriptif. Un climat très lourd et particulièrement bien rendu.
Les défauts, et la faiblesse, de l'album avec le dessin de Guerineau, où l'on retrouve le trait qui le caractérise, des personnages souvent esquissés, des visages parfois "absents",des perspectives aléatoires (rien de changé depuis les Stryges).
Je suis, ou étais, un inconditionnel de Neige, mais, comme souvent avec toute série, ce qui en faisait l'originalité à peu à peu disparu.
L'impression qu'il fallait à tout prix terminer la série avec cet album, avec des raccourcis parfois surprenant, la question du mur qui reste entière (une suite possible ? Sous un autre nom ?). Jusqu'à la 4ème de couverture, avec un résumé non conforme à l'histoire puisque Neige n'aura jamais à faire face au dilemme évoqué, n'ayant connaissance que plus tard des expériences menées par son père adoptif.
Il n'en reste pas moins que Neige reste une série incontournable, dont on peut regretter qu'elle n'ait pas fait l'objet d'une adaptation télévisuelle, peut-être plutôt en série d'animation.
Je viens de découvrir Loïse et Maillié et j'attends avec impatience d'acheter le tome 2 de cette Intégrale. Tout est parfait dans cette série, les personnages principaux, le petit peuple, le dessin, les couleurs
Cela donne clairement envie de lire je suite qui n'existe donc pas,....et de découvrir Finkel, que je n'ai jamais lu.
La fin est très décevante, pas à la hauteur de l'attente et de ce qui pouvait être imaginé. Le scénariste était-il trop à l'étroit dans un diptyque ?
J'avais apprécié le tome 1, malgré quelques erreurs et exagérations dans les situations où la psychologie des personnages. J'avais donc un a priori favorable pour le tome 2, dans lequel j'ai perdu pied à partir des pages 30/31. Des raccourcis hasardeux, des dialogues parfois à côté du sujet et un dessin un peu brouillon m'ont égaré et surtout, le pire, m'ont ennuyé dans la 2nde moitié de l'album. Je ne crois pas que j'achèterai la suite.
Dernier point :les crayonnés à la fin de chaque album ; c'est un plus lorsqu'il s'agit d'un dessinateur de renom ou bien lorsque cela aide à comprendre le travail et les recherches du créateur. Dans le cas présent cela aide peut-être à justifier le prix de l'album ?
Magnifique et terrifiant, tels les contes de fée. Le dessin de Grenson est égal à lui-même, précis et doux, mais également, paradoxalement, très expressif. Quant à la scénariste, Sylvie Roge, il semble que cela soit sa 1ère œuvre mais j'ai déjà hâte de lire ses prochaines œuvres après ce coup de maître ! Un découpage parfait, une écriture fine et précise, une progression dans la mise en place des éléments qui ne laisse rien au hasard.
Bravo à tous les 2
Complètement d'accord avec A.Perroud, album sympathique mais décevant, avec l'impression de rester à la surface du personnage et de sa personnalité
les caractères et évolutions des personnages féminins, en particulier Laurette et Joséphine, sont trop rapidement esquissés, avec des décisions et des prises de position trop rapidement abordées (je pense en particulier au meurtre des 2 maris, par l'entremise de Marie, dont la motivation n'est pas suffisamment développée.
Dommage, cela nuit à la crédibilité de l'ensemble
Un changement d'optique assez radical, orienté vers le bayou et le vaudou, avec un lien entre les 2 tomes assez distendu. Le plus surprenant est le cahier graphique et son commentaire. Ce dernier est tout entier dédié à chanter les louanges des 2 albums et du scénario, dont la "profondeur est rarement atteinte dans la bande dessinée" (rien que çà !!), avec un retour assez lourd sur les références cinématographiques (pour ceux qui n'auraient pas compris) et la filiation revendiquée vis-à-vis de plusieurs films. Au final des albums et un ton prétentieux, dont on peut se dispenser.
Complètement en accord avec le commentaire d"Erik67.
Cet album m'a immédiatement mis mal à l'aise avec ce soutien implicite, voire explicite, à la cause sudiste, le Nord étant systématiquement décrit comme étant le mal absolu.
Je suis malgré tout allé jusqu'au bout, avec le tome 2 en perspective.
Au crédit de ce 1er tome, un ton, très intéressant et prenant, le dessin bien sûr, malgré quelques imprécisions
Ce n'est effectivement pas le meilleur Cosey.
Agréable à lire, mais vite oublié.
Concernant la 1ère nouvelle, et pour répondre à DamBDfan (en 2013...), il n'y a pas de reniement, mais la volonté de vivre un nouvel amour, et non pas simplement revivre celui de sa jeunesse.
Peut effectivement, comme dit dans la chronique, s'apparenter à une séance de yoga.... cela fait du bien, sans plus.
J'ai hésité à acheter cet album sans texte, aux couleurs incertaines et au dessin que je trouvais, en 1ère vision, brouillon....
Mais.... un livre magique, magnifique, une véritable perle. je n'en dirai pas plus, certains l'ont fait ici même.
A découvrir, à "lire" sans hésiter et à "relire" sans tarder
Excellente série, ce qui n'est pas étonnant avec Matz à la manœuvre, mais également Bedouel, qui s'est illustré depuis avec Darnand et Kersten.
Un grand regret, qu'elle soit restée inachevée, en raison des déboires de 12bis.
Je relis cet album 14 ans après l'avoir acheté ; ses défauts ressortent encore plus vivement. Je ne reprendrai pas les éléments déjà cités dans la critique ou les avis déjà émis : une approche effectivement très, trop, simpliste, … mais tout de même diablement efficace.
un album intéressant, mais une fin ambigüe, avec la mère et la fille qui semblent se réconcilier, mais la 1ère n'a pas renoncé à ses idées et au racisme qui la ronge.
Découvert à l'occasion de l'exposition "l'homme orchestre" à la Philarmonie de Paris. Les biographies, surtout lorsqu'elles sont validées par la famille, sont souvent trop formatées pour être intéressantes. Ce n'est pas le cas avec cet album, passionnant de bout en bout, qui évite le piège du panégyrique tout en étant donc fidèle à la vie de ce génie, en ne cachant pas les aspects moins reluisants de sa personnalité. Le dessin n'offre pas d'attrait particulier mais colle bien au personnage de Charlot.
Rien à ajouter à la critique de Kurdy1207 : une belle occasion ratée, avec un scénario parfois confus et une mise en dessin brouillonne.
Je ne regrette pas d'avoir lu l'ensemble mais ne conserverai pas les albums.
Dommage
J'avais été un peu décontenancé avec le tome 7, par une certaine confusion générée entre autre par le dessin, et des personnages parfois difficile à identifier. Problème toujours présent dans le 8, mais de façon moins notable.
Mais globalement, Airborne reste une excellente série., même si les 2 premiers cycles restent inégalés.
Déçu…. un scénario intéressant, mais finalement mal exploité, avec des personnages souvent caricaturaux (en particulier les membres du gang irlandais), un personnage principal féminin mal exploité et un dessin au trait parfois un peu forcé. Sur ce plan, je ressens la même impression que pour Reconquêtes
Matz nous a habitué à mieux…. le dessin est sympa… mais on attend plus… j'hésite entre 2 et 3, mais je fais confiance pour la suite
Mon avis ne sera pas très original par rapport à ce qui a été écrit jusqu'ici sur Sara Lone et sur ses 2 auteurs.
Je redécouvre Eric Arnoux, dont j'avais apprécié le travail sur Ava Dream et sur l'Aviateur et il va falloir que je relise Celadon Run. Quant à David Morancho c'est une découverte. Mais quel talent !
J'avais un peu perdu pied avec le tome 3, mais il ne m'avait pas oté l'idée de découvrir la suite et je ne suis pas déçu puisque Eric Arnoux retombe parfaitement sur ses pieds, en renouant le fil avec certains indices semés au long des 2 premiers albums.
Tout cela est très bien écrit, enlevé (malgré peut être une certaine surcharge au niveau des commentaires off), et fort bien dessinés. Je regrette tout de même un peu l'atmosphère des 2 premiers tomes, qui laissaient la porte ouverte à de nombreuses suites et détonaient un peu par rapport à l'ambiance de nombreux albums. Mais ce regret est à relativiser au vu de l'excellence des albums 3 et 4.
Une inquiétude, puisque j'appends que Sandawe a mis la clé sous la porte (curieux pour un éditeur qui recourt au crownfunding….), les 2 auteurs vont-ils trouver un éditeur qui leur laisse poursuivre la suite des aventures de Sara.
Pour revenir sur l'avis précédent, c'est vraiment un tout petit bémol qu'il faut mettre sur le dessin, qui colle parfaitement à l'histoire et surtout aux principaux personnages, en particulier Camille, un peu fantasque et presque brouillon par moment mais tellement attachant.
Je reste sur un avis mitigé, à la lecture de ce second album. Un dessin très original, agréable, avec un jeu de couleurs qui en accentue le contraste et le plaisir de la lecture.
Mais... je crois avoir identifié ce qui m'avait gêné dans le 1er album, avec une difficulté pour bien identifier les différents personnages, en particulier masculins. Trop de ressemblances et de similitudes qui créent une certaine confusion dans le scénario.
Un album fort, utile, marquant.
Pas de fioritures, et une qualité trop rare dans ce type d'albums, à la vocation pédagogique et journalistique : on ne s'ennuie pas une seconde. Hélas, pourrait-on dire…
Un scénario simple, mais solide, un dessin réaliste qui aident tout deux à faire passer le message, et envie de se lever.
La chronique de cet album souligne bien un point essentiel de cet album, qui vise, au-delà de ses qualités, à rendre sympathique la reine, et le roi, les méchants révolutionnaires étant montrés comme des bêtes assoiffées de sang…. Ecrire que "Les épisodes les plus marquants sont scrupuleusement revisités" et qu'il s'agit d'une lecture instructive relève d'un parti pris étonnant.
A noter, une difficulté assez fréquente dans certains albums et présente ici dans plus cases : des lettres blanches, floues, sur fond clair, rendant le texte quasiment illisible
Un cran en dessous des 2 premiers tomes, avec quelques facilités scénaristiques et une fin un peu baclée, mais malgré tout une lecture qui reste très agréable, avec un dessin inimitable et une atmosphère comme seul Giardino sait les restituer. Mais quel dommage d'avoir cet album dans une édition aussi médiocre (et pourquoi au format poche tant qu'à faire !)
Assez d'accord avec Kingtoof. La série perd sa spécificité et devient presque banale et, en tout cas, trop bavarde, avec un scénario à la XIII qui l'emporte sur le dessin, ce dernier passant presque au second plan. Correct, sans plus, alors que j'avais adoré les 2 premiers
Oui, sans ambiguïté, une série réussie. Le T2 faisait apparaître une trame narrative mais était un peu en retrait par rapport au 1er. Celui-ci apporte un éclairage nouveau sur les principaux personnages tout en permettant une lecture indépendante. Le dessin et le travail des couleurs sont très agréables et contribuent fortement, de même que le scénario, à plonger dans l'atmosphère de La Nouvelle Orléans et du bayou.
Après une seconde lecture des 3 tomes, je reste partagé...
Dois-je garder ces 3 albums en raison de la grande qualité du dessin, malgré il est vrai quelques imperfections mineures, ou dois-je m'en débarrasser, en raison d'un scénario insipide, confus et d'un ésotérisme mal digéré ?
D'accord avec le texte de la chronique. 2 réserves, fortes, toutefois :
- le titre de l'album "Populations trahies" pouvait laisser supposer une approche plus politique des décisions prises par la classe dirigeante de l'époque. Il y a à cet égard beaucoup trop de scènes d'actions, dont la répétition n'apporte pas grand choses, si ce n'est la mise en évidence de l'état d'impréparation de l'armée française.
- je viens de relire (en septembre) le tome 1 et le changement de dessinateur (pour le diptyque ?) se fait cruellement sentir. Certes le cadrage est intéressant, mais le dessin lui-même donne sérieusement l'impression d'avoir été baclé, avec des personnages à peine esquissés
Ensemble décevant
Je partage l'avis exprimé par la plupart des "visiteurs". Un dessin finalement assez plat, des couleurs neutres, mais c'est assez fréquent chez Hermann, et un scénario....inabouti, où rien n'est dit et finalement peu de choses suggérées.
J'avais hésité à l'acheter et je regrette d'avoir cédé ....
La 1ère lecture, voici une dizaine d'années, m'avait laissé sur ma faim, tant pour le scénario que le dessin.
Une 2nde lecture m'amène à réviser ce jugement, même si l'œuvre n'a pas la maturité des suivantes. De la fantaisie, voire un brin de folie, de la poésie, avec effectivement le sentiment qu'il manque quelques pages ici et là tant les transitions peuvent paraître rapides. Un dessin reconnaissable entre mille, mais là aussi certaines pages qui semblent plus esquissées que terminées.
Cette relecture avait pour objectif de décider si je gardais cet album ou non (je lui avais mis la moyenne...) : c'est décidé, je le conserve.
En d'autres termes, une série sympa, bien enlevée, au dessin efficace, mais ..... il est temps de conclure
Très bon album ; je ne partage pas l'avis du chroniqueur. Les couleurs douces viennent renforcer la tonalité générale de l'histoire et du dessin qui la porte. Le thème de l'éternel recommencement est détourné avec adresse, avec une "morale" peut-être bon-enfant mais finalement assez juste. Bravo
L'album termine plutôt bien un diptyque dont le démarrage était un peu faible, avec la crainte d'un élargissement permanent du terrain de jeu de Larry, à défaut d'un appronfondissement du thème d'origine. Le dessin des 2 albums est en net retrait....
Excellente série, avec toutefois une légère chute de tension dans le dernier volume, due à une accélération et à la volonté de terminer la narration peut-être un peu plus tôt que voulu au départ...... Cela est surtout perceptible dans les dernières planches, avec en particulier la 48, dont on se demande si elle n'est pas "décalée" de 2 ou 3 pages.
Pour autant un final qui, tout en n'étant pas un "happy end" laisse entrevoir des jours meilleurs, .... mais sans aucune garantie
Je n'ai pas lu le livre et serai probablement amené à le faire prochainement. La BD est excellente et il est dommage qu'elle recueille si peu de suffrages parmi les abonnés de BDGest' (6 "votes" à ce jour). Le dessin est remarquable, ainsi que les couleurs qui sont parfaitement adaptées aux situations.
La description des personnages est parfaite, les principaux certes, mais également les "seconds" rôles, tels la femme et le beau-père de Pradelle.
Quelques interrogations pour ceux qui n'ont pas lu le livre : pourquoi Marcel s'éloigne-t-il de Louise et va-t-il au Lutétia sans elle ? son absence est-il la cause de son suicide ? Le père reconnait-il son fils sur le capot de sa voiture ? Il est bien sûr impossible de restituer toutes les situations et les sentiments des personnages mais cela ne peut qu'inciter à découvrir le livre qui a servi de base à la BD.
Cet album ne s'inscrit pas dans la collection "les nouvelles aventures de", qui n'a comporté qu'un seul numéro, mais est bien la réédition, sous le numéro 2, du tome 7 de la collection Carland Cross. Il ne comporte d'ailleurs pas la mention "les nouvelles aventures de", à l'inverse du tome 1 (seul et unique tome donc)
Quel plaisir de retrouver l'atmosphère et les personnages des Rochester.
J'avais compris la colère de Jean Dufaux lors de l'arrêt de la série. Notre plaisir avec ce retour est de même niveau.
Du grand art : le scénario et le dessin sont au même niveau et on a l'impression de lire un livre d'histoire ou l'article d'un journaliste de guerre plongé au cœur de l'évènement. Des personnages forts, mais hélas guère caricaturaux.
Une suite ?
Le tome 2 éclaire plusieurs zones d'ombre du 1er et tire l'ensemble vers le haut. Le dessin, qui peut surprendre finit par s'imposer, même si le choix des couloirs est parfois trop méacanique.