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Page générée le 21/11/2024 à 09:42:21 en 0.4201 sec
Franchement, Largo ne méritait pas cette pseudo saga assez médiocre, dont le scénario et le dessin sont aussi simplistes que mollassons. Tout sonne le vieillot et le réchauffé. Quelle déception !
Ce tome 5 est excellent : le dessin est précis et dépayse efficacement, la colorisation ajoute à la dramaturgie et Tango reste toujours aussi mystérieux. Il y a du Largo Winch dans cet univers et ce n'est pas une mince référence ! Le seul petit reproche que je ferai est que c'est presque trop court et frustrant du coup (contrairement au premier tome qui reste le meilleur de la série à mon avis). Cela mériterait plus de densité : une prochaine aventure sur deux albums serait peut être un meilleur format.
Série achetée sur site à la vue de notes correctes publiées sur bédéthèque et lue d'une traite. Hélas les dialogues sont plats, le scénario est creux et les dessins, bien que de bonne qualité, sont assez convenus. Bref, Rose provoque de l'ennui. On n'y croit pas.
Je partage les avis positifs déjà exprimés.
J'ajoute que le côté vieillot du dessin donne une force au récit rendant l'histoire intemporelle. Nous sommes projetés dans un décor fantasmé à la Tarzan particulièrement bien traité. Les couleurs choisies sont remarquables. Le lecteur est vite mal à l'aise car ce fameux conte Zaroff est détestable tout en étant charismatique, du coup chaque marque d'empathie à son égard devient coupable. Le final, assez inattendu, rappellera à l'ordre ceux qui succomberont... heureusement !
Un très bel ouvrage donc, bien construit et dessiné, dont la couverture ne cesse de me fasciner : le regard de Zaroff glace toujours mon sang à chaque fois que je croise l'album !
Les démons boursiers... mais c'est de notre bourse dont il s'agit ! Que diable fallait-il pour que j'achète ce dernier opus ? Cette série chute comme un crack boursier et je partage les avis précédents : il y a de la suffisance narrative, du train train psychologique à deux balles et des dessins qui sont incohérents quand ils ne sont pas fades. Bref, Max ne gagne pas en densité avec l'âge et il devient ennuyeux. Cela manque de travail graphique et de nerf dans le scénario trop convenu. C'est bien dommage.
Belle plongée dans le Paris et sa banlieue des années 70 avec des personnages noirs et errants jamais sympathiques. Les dessins et les couleurs sont remarquables. L'histoire est un peu cousue de fil blanc et date un peu quand même, mais l'atmosphère générale captive le lecteur.
Ce second tome n'est pas à la hauteur du premier et m'a laissé sur ma faim. Le rythme est trop lent et l'intrigue tarde à être posée et manque d'originalité. Un air de déjà lu donc, même si les dessins restent percutants et réalistes. Le troisième tome devra être plus dense !
Avec les romans de San Antonio, la question a toujours été de savoir s'il s'agissait de littérature ou pas. Je n'ai jamais accroché aux romans, malgré le succès et les bons mots qui truffent les pages. Pour le passage en BD, il était certain que les fans des romans n'y trouveraient pas leurs comptes et qu'ils jugeraient la démarche bien audacieuse ! Pour le coup, Michaël Sanlaville ne déçoit pas et fait le buzz ! Il a fait plutôt du bon boulot avec cette BD truculente, pleine de personnages bigarrés, hauts en couleurs, comme le dessin dynamique de l'auteur lui-même. C'est plaisant à regarder et à lire, légèrement "scandaleux" (Béru fait boire du vin rouge aux enfants, des "vieux machins" partouzent dans une villa cossue...). Le lecteur se dit alors que ce n'est pas vraiment de la bonne BD mais il se marre quand même et ne perd pas une bulle ! C'est bien ce qu'on attend d'une BD non ? Passer un bon moment ! Pour le lecteur attentif (et Lyonnais), il pourra reconnaître les inspirations locales du dessinateur: les contours de Poleymieux au Mont d'Or, la Mairie de Saint Germain au Mont d'Or... Se cachent aussi sous les traits de certains personnages, Zemmour, DSK ou encore Gérard Depardieu... Alors disons que c'est une BD de plage (ce qui est respectable) et qu'on y trouve ce qu'on peut y attendre : rires, bons mots et détente. Ce n'est déjà pas si mal !
L'idée de découvrir une histoire policière dans la Catalogne des années 70 était excitante. Hélas, passées les dix premières pages qui sont les meilleures de l'album, l'histoire se complique et perd le lecteur. Plus embêtant, le personnage central laisse indifférent. Pepe aime bien manger, ce qui est sympathique, mais il n'hésite pas à mettre des torgnoles pour avoir des réponses à ses questions, y compris à sa compagne qui fait la tapin. Pas très élégant le monsieur ! Le dessin n'est pas agréable non plus, à cause de couleurs entre deux teintes, souvent grisâtres ou maronnasses. Les dialogues souffrent d'avoir été traduits sans doute, du coup certaines répliques ou réflexions des personnages sont d'une banalité déconcertante.
Les ingrédients d'une bonne BD sont réunis. Le scénario est original. Le dessin efficace et réaliste nous plonge (c'est le cas de le dire) dans un univers profond, glacial et vertigineux. Seul bémol:, le personnage central est un peu trop ténébreux à mon goût. Je m'attendais également à une enquête un plus complexe, mais ce premier album devait faire une bonne place à la présentation de ce nouveau héros génie civiliste. Le prochain volume à paraître nous permettra de voir si une saga à la IRS peut se dégager.