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Ma crainte était une nouvelle série à rallonge, me voilà rassurer, 5 très bon
tomes qui clôturent le premier cycle.
Véra travaille pour la croix rouge et nous sommes, dès le premier tome, plongé
au coeur même de l'horreur et de la difficile mission assignée à cette
organisation internationale. J'ai apprécié aussi le côté plus administratif avec la
difficulté pour garder sa place dans des missions à haut risques. La croix rouge
n'envoie pas n'importe qui pour aider les personnes dans des régions en guerre
et cela est heureux. Enfin, Véra, émoussée par sa mission, revient un peu
obligée et à contre-coeur en France. Son père, un tsigane violoniste, est mort
pendant sa mission mais elle n'en avait cure car elle n'avait plus vraiment de
contact avec lui. Son engagement auprès de la croix rouge était une manière de
le fuir. Au cours de sa visite sur la tombe de son père, elel rencontre une
famille tsigane qui lui parle d'un mystérieux Kolya qui ne serait autre que son
frère siamois. De là, Véra commence à enquêter pour retrouver sa trace et
plonge aussi dans les méandre de son passé. Beaucoup de questions la
turlupinent et le fil Kolya n'est pas évident à suivre et nous fait voyager dans
des Régions du monde magnifique mais malheureusement aussi, très pauvre.
Un doux parfum d'aventure servi par un superbe dessin et un scénario très bien
ficelé. Je reprendrai bien un peu du deuxième cycle ;-)
J'ai enfin lu le tome 2 de cette série mais au vu du nombre d'avis et depuis le
temps que celui-ci est sorti, j'ai l'impression de pas avoir été le seul à pas être
trop convaincu par ce diptyque.
J'ai trouvé l'intrigue assez commune et la fin pas vraiment surprenante, cela
avait un air de Paradis perdu, la beauté du dessin en moins.
Concernant ce dernier, il est vraiment très photo, j'ai même regardé deux fois
une case pour voir si on en avait pas mis une pour la faire. En tout cas, il est
très statique.
Il y a une Fin avec un ? mais pour moi, si un tome 3 venait à sortir, je pense
pas que je me laisserai tenter...
Le cycle pour ma part qu'il ne faut pas rater (tome 9 et 10). Dufaux nous
emmène dans l'histoire d'un des monuments de Venise, donnant sur la place
Saint Marc, l'horloge. Un mystère tourne autour, on tente d'assassiner le
réparateur de celle-ci pour des raisons sombres datant de sa conception.
Giacomo se retrouve évidemment dans la partie pour enquêter et c'est un réel
plaisir, surtout que l'histoire a coïncidé avec la réparation fin des années 90 de
cette horloge. Le dossier que nous offre le tome 10 est vraiment très
intéressant car Dufaux a profité de cette réfection pour bien se renseigner sur le
mécanisme la faisant fonctionner. Quand la BD sert l'histoire et rencontre
l'Histoire de Venise...
Cycle en 5 volumes (du tome 4 au tome 8), on se laisse emporter par cette
nouvelle aventure de Giacomo et on prend plaisir à découvrir un personnage
truculent qu'on avait déjà pu observer dans les tomes précédents : Parmeno, le
valet de Giacomo. Le Parmeno qui sert de défouloir à son maître qui ne lui paye
pas ses gages se voit devenir Duc de Totto, héritier d'un des plus riches
personnages de Venise, les Fosca. Il n'en faut pas plus pour que Giacomo
enquête, sentant son valet pris dans un piège, certes soyeux, mais néanmoins
dangereux pour sa vie. Une sombre machination qui prendra suite dans le tome
6 avec la bague des Fosca qui avait été remise à Parmeno. Le tome 7, Angélina
permet d'en découvrir plus sur ce personnage entraperçu dans chaque tome de
Giacomo et qui se trouvait au service de San Vere. Le tome 8, la non-belle voit
se clore les péripécies dans lesquelles s'étaient mises la belle Angélina.
D'autres personnages apparaissent, plus savoureux les uns que les autres
même si le personnage principal avec Giacomo, j'ai nommé Venise, nous
emmène à travers ses ruelles et canaux, c'est tout simplement sublime
Probablement l'un des meilleurs tomes de la série, Dufaux et Griffo nous
plongent dans la Venise des jeux de cartes et d'argents où la sérennissime voit
d'un mauvais oeil un anglais qui ruine les familles les plus en vue et illustre que
compte la ville. Il faut y mettre fin, et de façon définitive. C'est Giacomo qui
s'en chargera. On retrouve notre héros plus malheureux que jamais suite à la
perte d'un être cher qui nous est compté dans le premier cycle de 2 volumes.
Giacomo jouera avec l'argent de la sérennissime mais aussi avec sa vie dnas
une aventure prenante servie par un Griffo de plus en plus à l'aise avec notre
héros et cette vilel de Venise, plus envoûtante que jamais. Une très bonen
histoire
Je pense que cette BD peut-être lu par tous, du moins, tous ceux qui ont été un
jour enfant
Cela commence tristement mais néanmoins de façon assez jolie par la mort du
grand-père qui semble avoir été apprécié. Il lègue à son petit fils, Tyler, une
vieille montre (plutôt bof quand on a 10 ans) et un ours en peluche (plutôt la
honte quand on a 10 ans). Tyler a une petite soeur qui est super craquante
mais à 10 ans, c'est sûr, on voit souvent sa soeur comme un boulet ambulant.
Nouvelle maison, nouvelle école, coup de foudre, coups de baffes... Jusqu'au
moment où la peluche "teddybear" se montre sous un nouveau jour. C'est parti
pour l'aventure, il faudra sans doute attendre le tome 2 pour voir sur quel ton
va évoluer notre jeune héros et ces aventures mais c'est quand même un
album plein de charme
Voilà un album où je serais passé certainement à côté s'il n'avait pas eu son
prix à Angoulème et surtout, à force de voir les demandes de recherches en
EO...
Je ne partais avec aucun a priori (juste peut-être une émission télé où Marjane
était invitée en compagnie de Sfar, Moebius et bien d'autres) mais je n'étais pas
attiré par sa série Persépolis (je devrai peut-être réviser mon jugement et m'y
lancer).
Concernant le dessin, il est assez dépouillé mais efficace.
C'est surtout au niveau de scénario, cet homme voulant mourir car il n'a plus
goût à la vie et en découvrant peu à peu au cours de l'histoire la raison pour
laquelle il en est arrivé là.
De nombreux flash-back dont la plupart m'ont fait rire permettent de retourner
en arrière car tout l'intérêt de l'album ne réside pas dans le fait de savoir si cet
homme va mourir ou pas (il va mourir, on l'apprend dans les première pages),
c'est la raison de cette volonté car Marjane joue avec le lecteur en lui miroitant
une hypothèse du début jusqu'aux dernières pages de l'album où on comprend
la vraie raison...
Je ne sais pas si cet album méritait le prix mais en tout cas, il m'a fait passé un
agréable moment, pleins d'étonnement et de ravissement.
Je l'ai lu et c'est vraiment très chouette à lire, peut-être encore un peu tôt pour
se faire une idée de la qualité réelle de ce dernier car la nostalgie et la passion
de ce manga sont là et l'objectivité un peu moins présente
Mais ce manga ravive les fans et peu même permettre au personne n'ayant
jamais lu les chevaliers du zodiaque car il y a pas mal de répétitions (ce qui
peut être un peu ennuyeux justement pour ceux qui ont déjà lu )
On découvre la vie d'Aiolas et sa douleur vive qu'on avait déjà remarqué dans
Saint Seiya suite à la "trahison" de son frère
Je suis heureux de pouvoir suivre ce cheminement personnel en découvrant les
chevaliers d'or jeune
En effet, l'histoire se passe 6 ans après la trahison du sagittaire et un peu près
10 ans après, se passera les Chevaliers du zodiaque
Au niveau du dessin, cela change mais il est vraiment sympa et on s'y habitue
rapidement
Les premières pages en couleur sont sublimes
Bref, à découvrir pas seulement par nostalgie mais parce que je pense que ce
manga en vaut la peine
Candélabres est une série malheureusement méconnue, trop méconnue.
Pourtant, l'univers créé par Algésiras foisonne d'idée original, nous surprend à
chaque fois avec ses mystères, ses trâmes et ses grands sujets de société
(l'homosexualité, le peu d'intérêt de la société envers les personnes souffrant
d'un handicap (il suffit d'observer les transports en commun et les rampes
d'accès à ceux-ci, ...)).
Candélabres est une série aussi riche (sinon plus?) et digne d'intérêt que le
chant des stryges. On y trouve des "créatures", les Candélabres, être maîtrisant
parfaitement le feu. Ils vivent près de nous mais se cachent en se rendant
intangible. Un garçon, paraplégique, Paul Klarheit, retrouve miraculeusement
l'usage de ses jambes après un accident de cheval. Il rencontre Julien
Solédango, un candélabre, qui le "sauve" du feu qui avait effrayé le cheval. Mais
il y a un prix à payer à tout cela, lequel?
Voilà le début de l'histoire, la suite réserve pleins de suprise, tant l'histoire est
riche. Un scénario 5 étoiles servi par un dessin plein de sensibilité, tel est la
série que je vous convie de posséder dans votre bibliothèque,
INCONTOURNABLE!!!!!!