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Réédition de qualité d'une "série de Papa". A l'ère de l'intégrale, dommage que l'éditeur s'acharne à faire des albums d'une trentaine de pages. Les petits dessins numérotés, non signés, collés aux pages de garde sont vraiment sans intérêt.
Des personnages caricaturaux vus et revus. Un scénario sans originalité: Betty, riche anglaise, part à la recherche de son père, scientifique poursuivi par les Allemands à la veille de la Seconde guerre mondiale. Woaw, ça c'est une super idée... vue au moins 300 fois. Ne parlons pas du trait. La différence entre Dodge et le petit ami de Betty est minime. Bref, sans grand intérêt.
Première impression: nettement en-dessous du premier cycle. Les événements s'enchaînent rapidement, sans doute un peu trop. De la même manière, les personnages restent très superficiels, manquent de profondeur.
Le dessin sauve l'album. Le scénario n'est pas sans intérêt mais reste toutefois classique: un polard. La déception vient plus du "Bruxelles Metropole", un titre qui n'a finalement que peu de lien avec le récit qui pourrait se situer dans n'importe quelle grande ville. En résumé: peu ou pas d'ambiance bruxelloise, certes quelques très beaux décors, mais est-ce suffisant pour baptiser le récit d'un tel nom?
Le manque de progression du récit laisse penser que la série n'est que du sous Golden City. A peine quelques pages d'intéressantes, c'est fort peu.
Un dessin exceptionnel allié à un scénario finalement sans grande originalité. Le récit n'est finalement qu'une histoire d'amour sans grand développement et dans réelle profondeur. Dommage, c'était tellement bien parti...
Rien de très nouveau mais pas mal non plus. Un début de nouveau cycle qui commence très correctement même si de nombreux éléments sentent le "déjà vu".
Se laisse lire sans voir le temps passer. Les ambiances d'Ecosse, la profondeur des personnages... de bons ingrédients dans un bon diptyque. Dommage que ce ne soit pas une série plus longue.
Série très gentille, pour les jeunes enfants. Mais aussi, simplement, pour se replonger dans une époque où ce qui était proposé aux petits, était simple et poétique.
Pas indispensable mais les amateurs de patrimoine apprécieront sûrement.
Une fin convenue, sans originalité. Ne vaut que pour l'excellence de son dessin et parce qu'il est appréciable d'avoir la fin de l'histoire, même si, telle qu'elle est, on aurait pu l'imaginer soi même.
Seul le premier tome était digne d'intérêt. Ce dernier opus est vide, quelques flash-backs qui concluent mais sans réel apport.
Mon commentaire est sans doute assez vide mais en cela, il rejoint l'album.
Le Quick & Flupke de Bob de Moor. A redécouvir surtout pour sa belle ligne claire. On pourrait rencontrer Tintin au détour d'une case tellement le dessin est similaire.
Dommage qu'avec cinq albums de 32 pages, l'éditeur soit à contre courant des rééditions de classiques. Un seul beau volume aurait été parfait mais peut-être moins rentable.
Ca y est, Buck Danny s'essoufle vraiment. Aucun combat aérien ou alors vraiment à peine, aucune prise d'otage.. Pourtant, si l'idée de départ, devoir retrouver un agent de la CIA disparu en Afghanistan, n'était pas spécialement originale, elle aurait pu suffire à éllaborer quelqu'intrigue valable. Il n'en est rien, les indices s'enchaînent comme des poupées russes. Bof. C'est juste pour dire: "je les ai tous".
Pas trop mal. Même si cela reste de la science-fiction de série B, l'album est cohérent et se laisse lire. Les ingrédients sont stéréotypés: le héros au mauvais caractère cachant un bon fond entraîné par une jolie femme qui ne peut le supporter, du moins ça s'améliore. A noter un gros effort sur les couleurs par rapport au tome 1.