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Un sujet plutôt atypique, les odeurs.
Pas évident de mettre sur papier et en bande dessinée un sujet qui ne compte ni histoire, ni aventure mais juste des impressions et des moments très courts de la vie.
C'est plutôt un exercice réussi ici. Je suis tombé sur la BD par hasard mais je sais déjà que je peux la faire tourner dans un cercle d'amis peu interressé par la bande dessinée qui n'y voit qu'un support pour des aventures Héroïques.
Le dessin est simple mais complet, dans le sens où l'auteur a travaillé ses décors et les détails. Pas une cases vide, sans fond, avec juste quelques traits.
Je conseille a tous ceux qui sont sensibles aux parfums, aux vins, aux cuisiniers, etc...
J'ai entamé la lecture du second album trouvé dans une boîte à livres.
Il faut toujours laisser une seconde chance à un auteur qui commence une série, j'imagine qu'après un premier tome on reçoit des commentaires ou des avis permettant d'améliorer son écriture.
Non, c'est toujours aussi lourd. À chaque bulle, un jeu de mot nul avec "peau" "poil" ou "cromagnon". Si au moins la BD était basée sur une petite aventure ça aurait pu passer (un peu).
Nous sommes à une année lumière des Pierreafeu.
J'ai fait un effort mais je n'ai pas pu dépasser le tiers de l'album.
Et que vois-je sur internet : l'album coute 17€ !!
Les deux albums sont répartis dans la boîte à livre.
J'ai trouvé deux albums dans la boîte à livres de la gare.
Je me suis dit "mais c'est connu ça !".
Je pe suis empressé de commencer la lecture.
J'ai trouvé ça plutôt lourd dès l'ouverture avec l'arbre généalogique, et ça n'a fait qu'empirer au fur et à mesure.
Je me suis dit que le lendemain ça irait sans doute mieux...et non malheureusement.
Les dessins sont vilains, mais ce n'est franchement pas ce qu'on demande à une BD humoristique, mais ce n'est pas drôle. Tout est basé sur des jeux de mots ratés et tout le temps.
Je me suis rarement aussi ennuyé durant une lecture.
Même la lecture des prospectus durant les élections présidentielles est plus drôle.
C'était plutôt sympa, mais comme dit la note "sans plus".
Il y a quelques chutes assez marrantes.
Dommage également que la pochette ne suive pas le style ldes autres albums.
Ma préférée reste "petite semaine", une planche vraiment touchante, dommage qu'il n'y en ai pas eu plus comme celle-ci.
Je ne connaissais pas Daniel Clowes, c'est donc par hasard que j'ai fait l'acquisition et lu cette BD.
Commençons par le livre, c'est qualitatif, 180 pages de beau papier epais et mat, une belle couverture légèrement pailletée et un dos toilé.
Ensuite le dessin, assez surprenant, avec des couleurs qui rappelle Roy Liechtenstein.
Curieusement ce n'est jamais criard ou inutile. Les dessins sont particuliers mais sans erreurs, des décors simples mais complets. Certaines grandes cases invitent même à s'attarder.
Concernant le scenario, c'est plutôt réussi, aussi bien dans l'ambiance que dans la trame.
C'est une BD difficile à faire tourner (prêter) mais que je vais conserver car je sais qu'il y aura de nouveau lecture dans quelques années.
J'ai fait l'aquisition de ce tome qui semble être le seul disponible sur le marché de l'occasion.
Sur les 20 chapitres diffusés dans le magasine PIF Gadget (à partir du 518 de Février 1979), seuls 3 chapitres sont présents dans cette BD.
Il y a bien eu une intégrale en 4 albums de l'éditeur Topinambour en 2008, mais à mon avis la vente a du être très faible.
Déjà le sujet devait trouver des intéressés, et au prix de 100€ le coffret, il était certainement plus difficile encore de trouver des intéressés.
L'histoire est sympa, j'ai trouvé très amusant cette "voix off" décrire l'aventure de nos héros.
Les dessins sont assez chouettes, mêmes si les personnages font vraiment très "saturday night fever" dans un univers très très lointain.
C'est une BD qui aujourd'hui n'interresserait que les anciens, cependant le scénario reste plutôt enfantin. Les gentils sont tellement gentils et les méchants sont si méchants, avec des mots de méchants, une moustache de méchant et des actions de méchants.
D'ailleurs, pourquoi est-il si méchant, que veut-il à part être méchant ? Personne ne le sait vraiment.
Bref, tout cela manque un peu de sensibilité, de réflexion, de passion, de but.
Et après trois chapitre, on ne s'est même pas vraiment attaché aux héros qui ne font qu'aller où ils peuvent. On aurait aimé en savoir un peu plus sur leurs espoirs, leurs passés, leurs doutes, leurs relations...
Je n'ai pour le moment lu que les 4 premiers (un lot d'occasion).
J'ai pensé à la vue des couvertures "des BD pour les gamines, je pourrais toujours les donner", dès le début on se rend compte que ce n'est pas vraiment pour des petites filles.
J'ai accroché, à l'histoire, aux histoires.
Le scénario conserve jusqu'au bout (de ces 4 albums) des surprises et l'envie de connaître la suite.
Je trouve dommage que le fond historique ne soit vraiment pas approfondie, ça tourne un peu trop autour de l'héroïne et de son milieu. L'aspect économique, politique, industriel auraient mérité un peu plus de place.
Les dessins sont réussis, légèrement brouillons mais agréables. Le scénario est bien ficelé, il y a de la lecture et je n'ai pas repéré d'incohérences.
Je vais maintenant me procurer les deux suivants car j'ai vraiment envie de connaître la suite.
On l'a offert l'intégrale (avec énormément d'enthousiasme) et je dois admettre que je n'ai pas été vraiment emballé (je me suis arrêté à la moitié).
Ce sont des petites annectodes un peu amusantes et mignonnes qui defilent les unes après les autres, souvent bien trop longues.
Un strip de 3 images aurait largement suffit, surtout que les dessins sont souvent "copiés/collés".
Edit : en fait en regardant le marque page, j'en suis au tiers...
Comme dit le spectre dans son commentaire, les visages ne sont pas terribles contrairement aux décors et paysages. C'est dommage car BAD a fait une dédicace absolument superbe.
Le sens de lecture des bulles est plutôt raté.
Quand au scénario, l'histoire en général est assez simple mais tout à fait correct.
Par contre il y a beaucoup d'incohérences, dans les dessins, les événements, les éléments.
Peut-être avec quelques relectures et corrections tout cela pouvait aisément être corrigé.
Je viens d'en terminer la lecture.
Indéniablement, c'est une belle histoire.
Une bande dessinée qui pourrait réconcilier ceux et surtout celles qui ont du mal à s'intéresser à ce media.
Le dessin est plutôt brut, l'ambiance est palpable. Parfois beaucoup de cases pour pas grand choses, on passe très vite dessus (ou au dessus).
Mais ce n'est pas une BD à conserver dans sa bibliothèque, je ne m'imagine pas la relire et elle n'invite pas à une relecture ni à s'attarder sur le dessin.
Je pense que la mienne va tourner, de plus elle est dedicacée par l'auteur à mon nom. Il y a une petite chance qu'elle me revienne un jour, pour repartir de plus belle.
Je n'ai lu que le premier opus et je ne ferai l'aquisitions des suivants que si je tombe dessus par hasard.
C'est trop court, beaucoup trop court.
Ce premier album est une simple entrée en matière, la mèche n'est même pas allumée.
C'est dommage car j'apprécie grandement le travail de Gilles Mezzomo.
Un exemple de scénario qui s'appuie trop sur le travail du dessinateur et aligne des plans séquences sans réelle progression. Pour moi une BD est avant tout une histoire qu'il faut réussir à faire tenir en 46 planches.
Les dialogues et les textes sont trop peu présents, les cases sont bien trop grosses pour les dessins de Gilles qui n'est pas assez précis dans son trait pour donner envie de s'attarder sur un paysage, un décors ou un visage.
Par contre j'apprécie le lettrage manuel et la colorisation toujours parfaite de Céline Labriet.
J'ai apprécié cette BD.
Je pense que c'est la première de la Collection Aventures que j'ai lue.
Ce sont deux enquêtes bien distinctes. Dommage qu'il n'y en ait pas eu plus.
La BD commence par une description des personnages et de leur service d'enquête.
Le scénario est bien ficelé et j'ai beaucoup apprécié les dessins de Walter Fahrer, il dessine les femmes à la perfection (Harry Chase, Gato Montes), les décors sont bien fignolés. seule la colorisation pêche un peu, peut-être due à des contraintes techniques ou au coût de production.
Vraiment je regrette qu'il n'y ait pas eu de suite.
J'ai trouvé amusant le duo et leurs dialogues, le côté un peu paternaliste plutôt que la séduction trop classique dans un couple d'enquêteurs.
Avec Gilles Mezzomo aux crayons, je savais que seul le scénario pouvait pécher (pour moi), car j'aime beaucoup son style même s'il est peut-être un peu "ancienne école".
Et toujours, appuyé par le travail fantastique de la coloriste Céline Labriet (de belles couleurs, pas ou peu d'effets numériques).
Je n'ai pas été déçu, je reproche assez souvent (dans ma barbe) aux scénaristes de trop s'appuyer sur le travail des dessinateurs mais une BD est avant tout une histoire, avec de la lecture où une scénette ne doit pas tenir sur trois planches.
Ici, le scénariste a bien dosé, on a une belle histoire (ou triste, ou révoltante, à vous de choisir), nous ne sommes ni assommés de textes ou de long dialogues, ni passés par des planches vides contenant trois mots et deux onomatopée.
Je ne me suis pas ennuyé un instant, et surtout j'ai très envie de connaitre la suite.
Les personnages m'ont touché et c'est bien ce qui compte.
Avec une héroïne "héroïque", la situation pourrait sembler manichéenne au premier abord mais elle ne l'est pas tant que ça, le grand-père et la jeune fille n'ont pas été élevés dans les même conditions.
La jeune fille a grandi durant une période de troubles, de doutes, de changements, il semble presque normal qu'elle fasse preuve de rebellion. Elle et son grand-pêre se comportent exactement comme la société de leur époque respective.
Bref, pour moi la seule lecture du premier opus est un émerveillement.
Je n'ai voulu ni lire autre chose ni regarder un film le soir après la lecture. Je me suis plongé dans quelques articles sur cette période à la place...
J'ai un avis très partagé sur cet album.
C'est le seul de la collection en ma possession, je l'ai acquis car j'apprécie grandement le travail de Gilles Mezzomo.
La BD est agréable à lire, s'il l'on parvient à passer le monologue long et assez mal amené concernant la politique de l'époque (qui tient quand même sur quatre planches).
J'ai du les relire à plusieurs reprises, il m'a fallu faire quelques simples recherches pour me faire comprendre une situation, ce que le scénariste n'a pas réussi.
C'est une BD sur l'histoire, et s'il y a bien quelque chose que je n'accepte pas c'est que l'auteur ne prenne pas le temps en annexe (BD ou roman) d'indiquer ce qui est fictif.
C'était le cas des romans de "l'egyptoloque" Christian Jacq (Que j'ai mis entre Guillemets pour cette raison).
Ici, c'est le personnage feminin qui est totalement foctif, si j'ai bien compris en cherchant sur le net.
En ce qui concerne le dessin, rien à dire, je suis de toutes façons un grand amateur des dessins de Gilles Mezzomo, un brin imparfaits mais toujours bien documentés.
La coloriste Celine Labriet a comme toujours fait un travail remarquable.
Elle a une capacité à travailler sur des BD historiques sans tomber dans la monochromie et surtout sans que l'aspect "numérique" soit dominant.
Regardez cette couverture, n'est-elle pas splendide ?
J'ai absolument adoré cette BD, c'était mon premier album lu de la série Martin Milan et ce fut un véritable surprise, je m'attendais à une aventure assez quelconque d'un aviateur, pécheur, inspecteur ou que sais-je.
Et je me suis retrouvé devant des récits émouvants, l'homme est un baroudeur, il est dans un bar ou dans un champ avec ses camarades, des durs à cuire, il raconte ses histoires et partage ses rencontres avec simplicité et une pointe de poésie.
Superbe !
J'ai apprécié la lecture de cet album, les dessins collent parfaitement à l'ambience d'une société glauque et décadente.
Je ne dirais pas que le scénario est avant-gardiste, cette société à la dérive a déjà été dépeinte à de nombreuse reprises avant 1988 (running man en 82 me vient en tête).
Une BD réussie au niveau scénario, ambience et graphique.
La Corse est ici magnifiquement dépeinte par Walter Fahrer.
Il fait honneur aux paysages et aux Corses.
Gato Montes, l'étranger continue sont aventure qui n'est bien évidemment pas sans encombres.
Les portraits, les paysages, les femmes, la Corse est belle mais sauvage.
Gato Montes fait partie des plus belles séries que j'ai pu lire.
Toujours un plaisir de suivre les aventures de Gato, on profite des paysages des paysages argentins.
L'histoire n'est pas linéaire mais pourtant moins énigmatique.
Les dessins comme les couleurs sont un peu plus précis.
Je recommande vivement cette série.
Comme Kurdy je trouve que le personnage manque un peu de prestance.
Betty blues, ce n'est pas une bd, ni une aventure, ni une histoire, ni un conte, c'est une poésie.
Betty blues nous charme, nous transporte, nous émeut, tant par le récit, les dialogues, le rythme, les personnages que par le dessin.
Ouah ! Quelle superbe bande dessinée.
J'ai rencontré Walter Fahrer au Festival de Lexy (54), il m'a dédicacé les 4 albums de Gato Montes.
Je viens de terminer le premier et ce fut une véritable surprise.
L'histoire est très réussie, elle pourrait se lire seule mais invite à parcourir l'aventure.
On aurait souhaité quelques moments de repos un peu plus d'intimité pour connaître mieux les personnages.
Les dessins sont tout simplement splendides.
Les visages sont bien finis, les regards expressifs, et les décors détaillés.
Les couleurs sont un peu passées du à l'age de l'édition j'imagine, mais restent superbes, en aquarelle.
Je suis vraiment déçu que cette BD n'ai pas rencontré un succès mérité et une réédition en integrale avec un beau papier.
J'avais déjà vu passer des strip du chat, un peu comme tout le monde, et entendu Geluck que j'ai toujours trouvé intéressant et intelligent.
Même si ce n'est pas une BD, mais une livre de petits textes intelligents, amusants et illustrés.
J'ai passé un très bon moment, la BD trone dans les toilettes entre deux Picsou, ce n'est pas que là est sa place mais c'est bien là que mes invités pourront y jeter un œil.
Moi, il m'a beaucoup amusé et même fait rire.
Je n'aurais sans doute jamais mis 20€, mais à présent mes invités peuvent en profiter gratuitement sur une simple petite envie.
Un album intéressant.
Il se lit avec plaisir, je connaissais (mais avait largement oublié) l'œuvre de Zola.
Sur le fond, le rythme de la BD aurait pu être un peu mieux géré, avec des temps de suspens, d'actions, voir d'humour.
Sur la forme, les dialogues manquent cruellement de niveau. Le beau français fait défaut. (Il n'y a qu'à lire les deux premières planches de "Capes et de crocs") par exemple.
Et sur les dessins, rien à dire, ils sont plutôt réussi même si je n'aime pas du tout la colorisation beaucoup trop numérique. Mais on voit bien que le dessinateur ne détaille pas ses dessins et s'appuie sur la colorisation numérique pour donner un aspect propre à l'ensemble. Il faut dire qu'avec en moyenne 2 albums par an soit environ 200 planches, le dessinateur doit faire vite.
J'ai trouvé un nouveau titre à ce livre : "1et prix de fénéantise".
Fainéantise d'écrire, de décrire et travailler sur la forme.
Ce n'est pas le coté décalé et original qui m'a déplut, il existe des oeuvres qui sortent du format classique et c'est toujours intéressant, mais ici même les dialogues sont plats au possible.
1 étoile pour le fond (l'histoire) qui aurait mérité un peu de travail de forme.
Je viens de terminer la lecture.
J'ai grandement apprécié, il n'est pas uniquement question de "l'aventure", tout au long de la lecture on apprend à les connaître et ça compte, on s'attache (ou pas) aux personnages.
Il y a bien des lectures dans cette BD, la vengeance, l'apprentissage, la liberté, la culture, etc...
Les dessins sont réussis, parfois magnifiques, parfois moins détaillés. Mais 220 planches pour seulement 23€, c'est un défi.
C'est dommage que les ciels soient entachés de nomvreux petites bavures qui desservent le dessins (j'ai failli le ramener à la librairie en pensant à un defaut).
Je ne suis pas fan non plus de certains effets visuels numériques (ombres des feuilles, effets de lumière).
Cette BD reste pour moi une véritable réussite, bravo à Neyef et Label 619.
J'ai maintenant très envie de la prêter, puis la ranger dans ma bibliothèque et la laisser reposer quelques années avant de l'ouvrir à nouveau.
Une magnifique bande dessinée.
Je ne vois pas toujours l'interet des BD collectifs, mais ici la diversité des histoires, la vision des scénaristes et des dessinateurs en font un album superbe qui dépeint les horreurs avec poésie à travers de courtes histoires.
Je l'ai donnée, mais je n'hésiterai pas à la racheter si je tombe dessus à nouveau.
J'ai apprécié cette romance sur fond historique.
Les dessins sont plutôt chouettes mais je ne suis pas grand amateur du trait de taille unique, il donne un sentiment d'un outil numérique n'est pas maîtrisé.
La colorisation est plutôt réussie, pour une fois l'utilisation du sépia est pleinement justifiée.
Par contre, je ne suis pas certain de vouloir lire la suite, le personnage principal manque vraiment d'attrait et d'intérêt, s'il se laisse aller ainsi tout au long de la série ça risque d'être un p'tit peu long.
Habitant près des anciennes usines Daewoo en Lorraine j'ai lu avec intérêt le livre de François Bon sur la fermeture des usines Daewoo.
Le scénariste Zilber est parti des mouvements sociaux et de cette fermeture pour créer un roman nommé "vive la farce", qui a été adapté en bande dessinée avec Manolo Prolo.
Sous le trait du dessinateur on ressent la détresse et la fatigue d'un groupe d'ouvriers qui n'est pas résigné à se laisser faire.
Cette bande dessinée est touchante, une de mes préférées.
Le dessin est certes simple mais il y a un véritable lien entre le trait quelque peu brouillon et les actions peu calculées des personnages.
Sincèrement je ne comprends pas, on avait là une belle édition, un beau format et un bon dessinateur, l'histoire existe et est largement documentée. Comment est-il possible de faire un si court résumé, passer sur des passages et des explications importantes.
Encore et toujours je reproche aux scénaristes de bacler le travail pour ne plus faire de la BD mais un alignement de dessins dont les dialogues sont presques accessoires.
Lu en 15 minutes, un gâchis quand on pense au travail de dessin et d'édition et au tarif vendu.
Un effort messieurs dames les scénaristes s'il vous plaît.
Une chance qu'il y ait un petit dossier à la fin pour rattraper un peu.
J'ai bien aimé.
Comme beaucoup de BD modernes, beaucoup d'actions et peu de dialogues.
Mais l'histoire est intéressante quoique un peu peu simpliste sur la définition du bien et du mal, je préfère quand on se rapproche de la frontière.
J'ai passé un agréable moment de lecture et c'est bien ce qui compte.
Le dessin est reussi, même si un peu de travail de finition aurait été bienvenu.
J'ai presque 50 ans, et j'ai découvert Cyprien avec mes enfants à sa grande période sur Youtube.
Il avait également fait une série Audio assez sympathique avec également un robot et une histoire de voyage dans le temps qui s'écoute bien.
J'ai trouvé cette BD assez amusante, elle s'est laissée lire sans ennuie.
Les dessins sont très simples mais assez efficaces, l'histoire est basique mais il a un bon rythme sur les gags.
J'ai bien aimé, un peu moins le second que j'ai trouvé un peu réchauffé.
Je ne suis pas un grand lecteur de Comics mais cet épisode qui correspond au 133 de chez Marvel est un grand moment de l'univers Ultimate.
C'est pour moi une réussite artistique monumentale, tout en silence, tout en émotion.
J'ai adoré.
Je ne possède que les trois premiers albums et j'ai bien peur qu'il soit difficile de "tomber" sur la suite.
Mais je n'hésiterai pas, car j'ai grandement apprécié l'originalité de cette série.
Ne parlons pas des graphismes qui sont tout simplement splendides, les extraits visibles parlent d'eux-mêmes. Le monde est mystérieux, et c'est presque à nous d'imaginer les mœurs et coutumes. C'est en cela que le fantastique est reussi, comme en littérature, trop en dire c'est réduire notre travail d'imagination.
Le scenario est simple, tout comme les dialogues. Habituellement je reproche la simplicité des scénarios (surtout sur un grand nombre de BD récentes pour lesquels les scénaristes sont un peu....fainéants) mais ici aucun reproche, mon imagination fait le reste.
Superbe !
Le seul album de la série que je possède.
Il se lit sans difficultés en "one shot", avec j'imagine une part de mystère que la lecture des autres doit sans doute combler.
Une première partie en noir et blanc est tout à fait splendide.
La seconde partie en couleur est malheureusement entachée par l'édition dont les couleurs sont parfois légèrement décalées.
Les sociétés reinventées sont pour moi le plus merveilleux à lire dans la SF.
Les frères Schuiten ont parfaitement réussi leur oeuvre, tant sur le scenario que sur le graphisme.
C'était mal commencé, les dessins sont très simples (ou simplistes) et ça se lit très très vite, parfois un peu trop. Le scénariste aurait pu travailler un peu plus sur la forme.
Je ne suis pas grand fan de planches complètes avec deux demi-phrases, j'ai toujours le sentiment quele scénariste n'arrive pas à exprimer ce qu'il a à dire alors il laisse faire le dessinateur qui va se débrouiller avec ça.
Sinon, sur le fond l'histoire est plutôt sympa même si les histoires de magies....bon....ok
Je ne remets en cause ni le scénario, ni le dessin.
Cependant la qualité d'impression et la qualité du papier choisie pour cette série des éditions Atlas est catastrophique.
Ces bandes dessinées imprimées en Asie sont de bien piètre qualité en comparaison avec les éditions Européennes.
Je ne sais pas si c'est toujours le cas des editions Atlas (par exemple la série Asterix).
Très agréable lecture.
Je ne suis pourtant très porté sur la croyance féerique ou mythologique, mais celle-ci est amenée délicatement et avec poésie.
Le dessin est tout à fait en accord avec le scénario, doux, sombre, lumineux, mystérieux.
Les flocons noirs omniprésents sont surprenants mais donnent le sentiment d'être derrière un voile, ils sont plutôt désagréables au début cependant ils participent au mystère.
Très difficile de donner un avis sur cet album.
C'est la premier Archie Cash que je lis.
Le dessin est sympa et original. Les décors très réussis, les personnages assez particuliers.
Je trouve par contre le scenario un peu brouillon.
C'est me semble-t-il la première BD de Derib que je lis.
Les dessins sont très réussis, les paysages, les visages et le découpage. C'est même superbe.
Le scénario est intéressant, c'est très manichéen mais c'est quand même touchant.
Pour toute la famille et pour tous les âges.
Je n'ai pas lu de roman, mais comme l'histoire diffère je vais très probablement le rechercher.
L'histoire est intéressante, je ne me suis pas lassé un instant même si j'aurais aimé plus, plus de profondeur, plus de connaissance des personnages, plus de culture des peuples, et plus de rebondissements, c'est un peu trop linéaire et sans surprise.
Les dessins sont superbes, nous sommes totalement plongés dans ces univers fantastique. Laura Zuccheri a superbement créé ou recréé ce monde incroyable. Excepté une (la) scène d'action ratée, mais alors totalement.
Je recommande vivement.
C'est mon premier Ric et première lecture en 2024 donc.
et je dois dire que j'ai apprécié.
L'histoire est plutôt sympathique, certes ça un peu vieillis mais j'ai passé un bon moment.
Il y a de la lecture, quelques revirements de situation et comme décors le France avec quelques mises en valeur légèrement racoleuses.
Les dessins sont réussis, même si à la même époque quelques séries avaient de plus beaux décors, Tibet s'en sort très bien.
Je n'ai pas trouvé cet album si mauvais.
Le dessin est plutôt bon, et l'histoire assez sympas aussi.
Ce que je reproche à la plupart des scénaristes aujourd'hui (et ici il ne fait pas exception) c'est de blacler les dialogues. La BD est bouclée en vingt minutes, des dialogues rapides, des cases sans texte et des bulles quasiment vides. Je ne comprends pas qu'on ne sache plus profiter de 62 planches pour approfondir les intrigues.
Mince! j'ai coulé une larme.
Un superbe album, le livre en lui-même avec une très belle couverture mat et un papier très qualitatif.
Ensuite les dessins, le scenario et l'histoire.
Je crois que c'est la première BD (sur mes 600) que j'ai envie de partager pour montrer que la BD ce n'est pas seulement de l'aventure, qu'on peut aussi raconter de simples et jolies choses avec émotion et humour.
C'était cool, je ne me souvient pas avoir déjà lu des lanfeust ou les trolls.
Il était inutile de connaître pour lire ce double album.
C'était amusant et ça m'a donné envie de connaître un peu plus ces univers.
Je vous que la série Lanfeust tient dans 7 ou 8 albums, c'est une série qu'il sera facile à trouver complete d'occasion.
Le dessin de celui-ci est très réussi, le format et le papier sont vraiment beaux, pas facile à caser dans une bibliothèque par contre.
Je vois bien à travers ce tome que le dessinateur a une préférence pour les personnages plus que les paysages.
Le noir et blanc, c'est bien pour un album mais la couleur est quand même manquante, on se rend vite compte que c'est un élément nécessaire au dessins de Mourier.
Je viens de terminer le second album (je n'ai que les deux premiers) et encore une fois une lecture bien agréable.
Le scénario tient debout et c'est une belle petite aventure dans une époque médiévale (avec un petit mélange de renaissance mais qu'importe), une pointe d'humour.
C'est une BD jeunesse mais accessible à tout publique, d'ailleurs je vois que les couvertures des rééditions ne sont vraiment pas jolies et attirantes.
Si j'en trouve d'autres en occasion, je n'hésiterai pas.
Incroyable, ça semble assez kitsch au premier abord mais l'expérience est vraiment intéressante.
Les deux aventures sont plutôt bonnes (ce sont d'anciennes histoires avec d'anciens dessins et colorisation).
Il faut faire l'impasse sur l'énorme anachronisme hommes/dinosaures.
Les dernières pages sont de très beaux dessins et couvertures en 3D.
Pour les amateurs de Rahan, c'est un indispensable assez facile à trouver en occasion et pas trop cher en plus.
J'ai lu Eagle, que je n'ai pas du tout apprécié pour son scénario très court et très décousu pour n'être qu'une simple introduction à l'aventure.
Celui-ci (Adler) est plus abouti, il y a une meilleur continuité dans l'histoire même si je ne comprends toujours pas pourquoi il faut 46 planches pour une simple mise en situation.
On peut faire des séries complètes avec des cases sans dialogues ou presque.
Au niveau des dessins, ils sont plus agréables que sur Eagle, un peu moins "Numériques", même si ce n'est pas encore ma tasse de thé.
Il y a aussi beaucoup moins de scènes d'aviation.
Que ce soit Eagle ou Adler, pour moi l'aventure s'arrete là.
On m'a offert le volume 1 (dans les deux version Eagle et Adler).
Je n'ai pour le moment lu que Eagle.
Je ne suis pas du tout emballé, le scénario pour ce premier volume est une suite d'événnements sans véritables relations.
J'ai l'impressions que depuis quelques années il faille un albun de 46 planches avec un scénario pauvre pour introduire une histoire et des personnages, là où moins de 10 planches et du talent suffisaient.
Au niveau historique je n'ai aucun avis, puisque aucune compétence.
Concernant le dessin, c'est plus personnel j'en convient, je ne suis vraiment pas fan du numérique visible.
La mise en page n'est pas très jolie avec des vignettes on ne peut plus rectangulaires, c'est d'une tristesse pour un album résolument moderne.
J'ai trouvé excellent l'idée du fond des planches noires lorsque l'action se déroule la nuit.
Les dessins des avions très réussis (toujours sans compétence pour juger), j'ai aussi apprécié les changements de décors et les différents plans.
Le dessin sur toute une planche d'un vol au dessus de l'Espagne est superbe.
Je ne pense pas continuer l'aventure, excepté la lecture de Adler t1, la seconde tête de l'aigle.
C'est une bien agréable et mignone petite aventure.
C'est une BD qui peut être lue par les enfants, mais c'est loin d'être cucul et infantile comme un Disney. La méchanceté des hommes n'est pas édulcorée.
J'ai découvert par hasard, et j'ai apprécié.
Le dessin est excellent, un trait classique à l'époque et vraiment réussi.
Nul, le scenario est totalement absent.
Il n'y a aucune information à retenir de cette BD, ce n'est qu'une succession de planches vides et de plans séquences.
Même si le scénariste voulait raconter cet unique événement de la vie de Guillaumet (tout d'abord pourquoi ? Ce n'est pas comme si Guillaumet était tellement connu qu'il ne soit pas nécessaire d'en parler), mais il y a tout de même moyen d'introduire l'événement, parler de l'aeropostale vers l'Amérique du sud par exemple.
En tout cas, ce fut bref, 15 minutes et aucun noeud au cerveau.
Je ne pourrais même pas frimer à la pause café avec une information historique.
Les dessins, on aime ou pas c'est toujours difficile d'émettre un avis, perso je ne suis pas fan de cette technique trop numérique.
C'est franchement une sympathique histoire, c'est drôle mais c'est avant tout une réelle aventure qu'on suit, certes rapidement, mais sans s'ennuyer un instant.
Le dessin est simple mais réussi, les personnages, les expressions et les décors.
Ce n'est sans doute pas une BD à conserver bien longtemps dans sa bibliothèque mais plutôt à faire tourner chez les amis ou les neveux.
Ça me donne une idée à l'instant : faire un inventaire de BD à prêter "tu me la rendra la prochaine fois", avec un chouette marque page à mon nom pour éviter l'oubli.
Ubu roi est pièce de théâtre bien connue d'Alfred Jarry écrite en 1895.
Daniel Casanave en a fait son interprétation avec brio.
L'absurdité des situations et des personnages est très bien représentée, des dessins brouillons et grossiers. J'ai eu du mal à retrouver le trait qu'on connait de Daniel mais pour une première BD j'ai apprécié le dessin même si parfois il est difficile de s'y retrouver, comprendre une scène ou reconnaitre les personnages. Mais dans un autre sens, l'histoire est tellement absurde qu'un trait propre et défini aurait gâché le plaisir.
J'ai maintenant grande envie d'en lire d'autres...encore, encore, donnez-moi du Casanave !
Au fait, le livre est de belle qualité, le papier est superbe. Peut-être pas une pièce de collection pour certains mais il restera dans ma bibliothèque, pour relire ou prêter, comme un grand classique de la littérature.
Un album pas désagréable à lire.
J'ai bien aimé le principe des doubles pages lorsque chacun raconte son histoire.
Malheureusement l'auteur n'est pas allé en profondeur, il a parlé de ce sujet en surface, telle qu'on la voit quand on a 13 ou 14 ans. Avec quelques gentils contestataires qui se cantonnent à poser des affiches. Le malaise, la méchanceté, les regards, les paroles, les silences ou l'indifférence auraient pu en quelques cases faire la différence.
C'est ce qui rend cette BD assez accessible à tous et à tout age mais sans réflexion du coup.
Au niveau des dessins, ils sont réussis même si ils ne sont pas très travaillé, cependant c'est un assez gros volume. C'est vraiment dommage qu'il n'y ai aucune couleur, il manque une vraie profondeur. Si c'est une contrainte de coût pour la publication je peux alors comprendre, si c'est juste un choix artistique il est raté. La première de couverture par exemple est reussie.
Il faut admettre que n'avoir qu'un album au milieu d'une série n'aide pas beaucoup.
Il ne se passe rien en 44 planches.
C'est dommage car le dessin est très réussi, mais faut-il vraiment 15 planches pour simplement sortir un vaisseau d'un hangar ?
Donc je peux comprendre qu'il faille une dizaine d'albums pour raconter une histoire.
Lu entre 5 et 10 minutes, dommage.
Tout comme le précédent commentaire, 2 albums auraient permis d'avoir une histoire moins brouillon.
Les dessins sont corrects, avec quelques défauts mineurs, mais restent assez agréables pour une BD à petite ambition.
Je ne l'ai pas trouvé si mauvais cet album.
Cela fait très longtemps que je n'ai pas lu d'Asterix.
On m'a offert le dernier dont j'ai oublié le titre, avec les Amazones.
Le dessin du transatlantique n'est pas mal, mais bien moins bon que "le Griffon !".
Par contre il y a trop de calembours durant cette traversée et trop longs (une planche complète sur les cimbres/timbres), idem pour le sponsors garum lupus.
Du coup le scenario est alourdi, dommage car l'histoire n'était pas si mal.
Le dessin est indéniablement réussi, mais j'ai le sentiment que malheureusement cette BD se rapproche plus d'un exercice type artbook que de la bande dessinée.
Après une douzaine de planches, nous en étions au même point qu'à la première "Mais qu'est-ce que je viens faire ici ?" "Vous verrez".
La seconde moitié est plus intéressante et intrigante, mais malheureusement ressemble encore et toujours à un exercice certes réussi à dessiner à la perfection la belle héroïne.
Puis fin...
Si je trouve le second tome en occasion, peut-être me laisserais-je tenter.
C'est vraiment dommage d'avoir bâclé à ce point le scénario, l'idée était là et plutôt bonne, et le dessin comme la couleur sont irréprochables.
Aalehx est un artiste que j'apprecie beaucoup.
Cette BD est plutôt atypique, poétique et musicale.
Plongé dans un univers plus qu'une aventure, à vous d'imaginer l'histoire dans cet univers mystérieux et silencieux.
J'ai trouvé cet album assez sympathique.
C'est la montée en horreur d'un personnage assez méconnu.
Les dessins et les textes sont humoristiques, ce qui allège un peu la monstruosité dépeinte.
Ce me suis un peu perdu au début entre les personnages et les lieux, pour une BD relatant des faits réels une petite carte, un plan de bataille ou un arbre auraient été bienvenus.
C'est surtout une case qui m'a perturbée dans laquelle Vlad Dracula parle de son demi-frère "Vlad".
Je ne sais vraiment pas quoi en penser.
J'ai trouvé l'album sur une brocante.
Au niveau du dessin, peu de chose à redire, les personnages sont vraiment bien faits, les expressions, les visages, les corps. C'est vraiment maîtrisé.
Par contre ça manque de travail, il y a beaucoup de planches avec du décor sur une seule case, c'est du travail rapide. J'ai eu donc l'impression d'avoir entre les mains une BD à lire rapidement comme un titeuf ou des BD de grandes surfaces.
Mais derrière il y a une histoire, une enquête, simple mais pas ridicule.
C'est dommage, en faisant un effort on aurait pu passer d'une BD de grande surface à quelque chose d'un peu sérieux, pour laquelle j'aurais peut-être eu envie de lire la série.
Mais ce n'est pas le cas.
En tous, cas ce n'est pas une BD de gros pervers fan de grosses blagues de comptoir comme aurait pu faire croire la couverture.
Je n'ai pas lu le livre mais après la lecture de cette BD j'ai très envie de m'y plonger.
J'imagine que l'inverse est plus décevant, puisqu'une adaptation est souvent plus romancée, plus courte.
Sans connaitre le sujet à l'avance et donc sans être capable de juger si l'adaptation est bonne, la lecture de cette BD est plaisante, c'est une réussite, nous sommes plongé avec facilité dans l'histoire de ces jeunes garçons.
Le dessin est magnifique, le trait semi-réaliste et l'imperfection de la peinture sont parfaits pour se sentir dans le récit et le souvenir.
Même si on n'est pas habitué aux autobiographies et aux livres d'Histoires, ce roman graphique (comme on dit aujourd'hui) est très accessible, aux grands mais aussi aux plus jeunes.
Mon second Lefranc après "le repaire du loup".
L'intrigue est très sympas, même si il y a quelques légèretés (ça date aussi...) c'est réussi et on ne s'ennuie pas.
Par contre, les dessins...aie aie aie, c'est splendide.
Des paysages et des couleurs magnifiques.
Il mérite un bien plus grand format.
Mon premier Lefranc, Découverte tardive en 2023.
J'ai apprécié l'enquête jusqu'à la fin, pas mal du tout.
Les dessins sont réussis, même si j'ai préféré la finesse et les incroyables couleurs de Gilles Chaillet.
J'ai acquis cette série au hasard d'une brocante.
Le vendeur me l'a fortement conseillé (on y rencontre parfois des passionnés).
Je viens de terminer le premier volet qui m'a fortement emballé, pourtant je ne suis habituellement pas amateur de BD historiques.
Le scénario est bien mené, les dialogues et le vocabulaire sont sans doute loin de celui de l'époque mais pour un néophyte, il semble d'un autre temps, très bien écrit.
Les dessins et les couleurs sont très réussis, même s'ils sont tous les deux trop "numériques" à mon gout, d'où la dernière étoile que je n'ai pas accordé.
Les personnages sont expressifs, on les discerne aisément, les décors sont détaillés, les prises de vues assez variées.
J'ai vite envie de passer au second tome.
Incroyable.
Je n'ai pas lu les undertaker en couleur, Je decouvre directement l'édition Niffle en noir et blanc.
C'est tout simplement une de mes BD préférées.
C'est tout d'abord un très beau livre. Sur la bibliothèque elle est du plus bel effet.
La qualité du papier et le rendu mat sont superbes.
Et le tarif...très attractif, comme quoi quand les éditeurs le souhaitent ils ne son pas obligés de nous facturer 2 fois les prix des albums classiques. Ici c'est même moins cher, BRAVO !
Maintenant l'histoire, les dialogues, les dessins, inutile d'en rajouter les auteurs ont touché la perfection.
Les tomes 9 et 10 ne sont pas mal du tout.
J'avais juste lu le tome 3 jusque là (je n'ai pas accroché du tout) et l'histoire du rapier est vraiment sympa.
Les dialogues tiennent debout pour quelqu'un qui n'y connaît rien, il y a du suspens.
Les dessins sont plutôt réussis.
J'ai acheté à tout hasard et d'occasion deux albums de Buck Dany 'classic' : volume 3 and 9.
Pour info, je n'avais jamais lu de Buck Dany.
La première impression:
- Mis à part la main étrange sur la couverture, je trouve que les dessins sont propres, les avions et les paysages sont plutôt détaillés.
- Il y a quelques belles prises de vues.
- Les personnages sont plutôt bien dessinés pour des visages en 45 degrés. (45° = dessin assez figé avec de rares changements de perspectives)
- Ce qui m'a le plus marqué c'est épaisseur du trait, je ne suis pas fan. ça donne un effet grossier alors que le dessin en réalité ne l'est pas.
En ce qui concerne l'histoire, j'ai compris que les albums de Buck Dany 'classic' allaient par deux.
Je ne saurais dire si l'histoire complète sur les doubles volumes sont réussies car je ne suis pas certains de vouloir en acquérir d'autres (sauf peut-être au hasard d'une brocante ou autre occasion).
Ce que je n'ai pas aimé du tout c'est la façon infantile dont l'histoire est racontée.
Mais peut-être Buck Dany est-il destiné aux enfants de 8-13 ans, dans ce cas c'est assez réussi :
- Le petit rouquin qui fait des pitreries (alors que sur une BD ado/adulte il serait simplement maladroit corporellement ou oralement).
- Ce même clown qui insulte un officier supérieur à plusieurs reprise sans raison et sans conséquences.
- Un sous-officier qui ne tient pas compte des ordres directe du général Mac Arthur.
- Des pilotes chevronés (des deux cotés) qui crashent leurs avions en bout de piste et mettent en péril leur missions prioritaires.
- Des dialogues continus de type "c'est TOP secret mais je vais tout vous dire", même auprès de l'infirmière. Tout le monde est dans la confidence du TOP secret.
Donc, beaucoup trop de passages de j'ai trouvé assez 'bidon' et qu'il était aisé d'éviter pour donner un peu de suspense et d'intelligence.
J'ai maintenant à lire le volume 9 (ainsi que le 10 que Marniquet m'a signé), je verrais si je les trouve aussi enfantins.
Le genre de BD qui se lit en 15 minutes, mais 15 minutes qui passent très vite.
Très amusante, à sortir en soirée (en fin de soirée quand les gamins comatent sur le canapé), ça permet aussi de voir qui est coincé !
C'est grivois mais les plaisanteries ainsi que le dessin de ZEP ne sont pas lourds.
Je ne l'ai pas trouvé si mal cet album.
Le scénario est certes très basique, une ligne droite déjà entamé dès les premières cases et des équipes qui se suivent tranquillement jusqu'à...rien.
Le dessin est plutôt réussi (très même), je trouve juste dommage de ne pas avoir quelques belles grandes cases avec les magnifiques paysages, ça donnerai un petit coup de modernité sans obligatoirement changer le style.
Il y a quelques bonnes vannes, d'autres plutôt lourdes (car répétitives), l'écriture inversée était également désagréable.
--> très bon point pour les dessins, je suis franchement surpris. C'est un album que je ressortirai non pas pour le relire mais pour le regarder.
Je ne saisi pas ce qui est reproché à cet album, c'est un concept intéressant je trouve.
Une page d'introduction et d'anecdotes et quelques planches qui l'accompagnent, j'ai trouvé la lecture agréable.
Dommage, il aurait franchement mérité d'être un peu plus volumineux avec quelques photos ou archives (c'était le moment de faire découvrir au grand publique les auteurs et leur collaboration).
Comme les enfants diraient : le Fabcaro du wish.
Ça y ressemble, dans l'esprit, dans le graphisme mais ça n'en a pas du tout la saveur.
Les gags se voient gros comme une maison dès la première case, qui est copié/collé 4 à 5 fois pour ne vraiment pas s'embêter.
Et c'est lourd. Peut-être si j'avais 15 ans et que je ne voyais pas arriver la chute à 1km (ou que les sketchs des humoristes des années 70 me surprenaient encore).
Je vais la passer à mes enfants et je posterai un second avis "ce que j'en pense à l'âge de 15 et 16 ans".
Les avis BDgest et des visiteurs résument parfaitement ce que j'ai ressenti lors de la lecture.
J'ai le format italien, qui s'est parfaitement bien adapté à cette BD. les couleurs méritaient d'être parfois un tout petit peu plus contrastés.
Concernant l'histoire un peu confuse si on n'a pas déjà l'esprit les différents antagonistes politiques. Je vais me renseigner sur l'Histoire et je recommencerai la lecture un peu plus tard.
C'est un des avantage de la bande dessinée, une relecture est aisée.
J'ai apprécié le travail de Marc Jakubowski. Il nous fait découvrir ici des oeuvres assez peu connues de Jules Vernes.
L'exercice n'est pas aisé.
Le scénario est réussi et nous fait voyager, le dessin est beau, les paysages, les personnages ainsi que les scènes dynamiques.
Et je suis toujours plus tolerant avec les petites éditions qui ont le mérite de proposer des BD originales sans les moyens des grosses éditions, elles prennent plus de risques.
Je n'ai cependant je n'ai pas mis la dernière étoile pour deux raisons: J'ai acheté l'édition noir et blanc et je pense que le trait n'est pas optimal pour le pour est noir blanc surtout dans les scènes complexes, l'édition couleur me parait beaucoup plus réussie.
Et le second reproche concerne la typographie, je trouve dommage qu'elle ne soit pas systématiquement manuscrite (je ne connais pas le terme technique), une typo faite par ordinateur entache le travail graphique, les dialogues perdent leur intensité.
Une excellente série.
2 albums étaient nécessaires et suffisants pour compter cette histoire.
À la fin du premier, on veut vite connaître la suite, l'intrigue est déjà là.
Les dessins de Gilles sont fantastiques, les tenues, les combats, les chevaux, c'est précis mais assez "brouillon" pour laisser une part à l'art.
Et les textes "dessinés" ajoutent beaucoup d'émotions, quand on voit sur certaines BD des textes ajoutés à la machine à écrire, c'est triste., plat, fade.
Les couleurs de Céline Labriet sont (comme toujours) magnifiques. Je regrette que son nom n'apparaisse pas sur la couverture, ce serait mérité.
Je recommande vivement cette série.
Je vais découper mon avis en 4 positions :
(attention je ne suis que simple lecteur de quelques 3 ou 4 BD par an)
le livre en lui-même, le scenario/mise en page, le dessin et la durée de l'histoire.
Le livre est un très bel objet. Les auteurs, l'éditeur et donc l'imprimeur ont fait un très beau travail.
Certes il est un peu plus coûteux qu'une bande dessinée classique mais c'est une réussite.
La couverture est superbe et présente les personnages de l'histoire tout en gardant le mystère.
Le papier est mat, ce qui est très appréciable mais avec texture imprimée.
Le début par contre est un texte qui aurait pu être mieux présenté et illustré sous forme d'articles de journaux par exemple (comme c'est le cas plus tard).
Je trouve toujours dommage les polices d'écritures basiques dans une BD qui est est un art graphique (et la police type Arial fait franchement retomber le niveau).
Les couleurs choisies (deux tons avec des points Benday comme les célèbres dessins de Roy Lichtenstein) donnent encore un effet artistique et original à l'ensemble.
Un véritable anachronisme : le dessin moderne, la mode actuelle du steampunk, l'histoire qui se déroule dans le Paris fin XIX et l'imprimé style pop-art des années 60.
La BD se termine (pour 1/3 du volume) par les travaux des auteurs : des crayonnés, manuscrits, esquisses.
Ainsi qu'une serie de superbes affiches "artistes-fan-art".
C'est un cadeau non négligeable et très appréciable.
Je vais très peu parler du scénario, car ce sera plutôt une fois le quatrième et dernier tome dévoilé qu'il sera aisé d'émettre un avis sur l'histoire.
Sur ce premier tome je peux juste dire que le format scènettes entrecoupées de "mises en situation" sous forme d'articles de journaux est plutôt réussi.
La mise en page des journaux et surtout de l'introduction auraient mérité un meilleur travail graphique je trouve. Un peu plus illustré, Surtout qu'un journal peu foisonner de petites infos connexes.
Pour le côté historique on est assez proche des films d'animation des studios Ghibli (Hayao Miyazaki) à savoir qu'on fait un peu ce qu'on veut :
Il faut arriver à la fin de la seconde page d'introduction pour savoir que ça se passe en France, puisqu'il est fait mention de Paris. l'histoire se situe en 1894 et les révoltes en cours sont fictives puisque les dernières datent de 1870 à Paris, mais surtout l'aventure se passe à l'exposition universelle qui ont eu lieu en 1889 et 1900.
C'est sans grande importance, c'est fictif, c'est steampunk (c'est même science-fictif).
Un point que j'ai trouvé un peu enfantin : il est par exemple inutile que le méchant décrive ses méchancetés, c'est comme raconter pour une blague est drôle...
L'écriture (dialogues, articles) manquent de profondeur et de mystère.
Le dessin de Boris Beuzelin est réussi.
Je n'ai pas trouvé beaucoup de fausses notes (quelques cases avec un plan un peu raté mais juste pour chipoter).
Le trait est agréable, les personnages sont bien identifiables, c'est artistique (c'est ainsi que j'appelle les dessins lorsque ce n'est pas trop réaliste).
Sur wiki, il est précisé qu'il existe : le réalisme et l'humouristique.
Je trouve que dans le realisme, il existe encore le "proche-réalisme" et le dessin plus libre et c'est le cas ici.
Le dessinateur s'est donné beaucoup de liberté avec son crayon, les personnages, les plans.
C'est réussi et agréable.
La durée de l'histoire, c'est ici que je vais être le plus critique.
C'est court, beaucoup trop court.
Nous avons à peine eu le temps de rencontrer les personnages principaux, nous en savons peu, trop peu.
C'est si court que je ne suis pas certain de vouloir connaître la suite, je ne me suis attaché à aucun d'eux.
Même si l'histoire est bien entamée grâce notamment aux articles, il y eu beaucoup trop peu de scènes illustrées : 48 planches.
Même si le livre dans sa totalité comporte des annexes intéressantes, le plus important reste l'histoire et elle aurait pu peut-être se faire en 3 volumes pour nous garder en haleine, quitte à faire un dernier volume artbook si c'était une question de coût.
Je me laisserai tout de même tenter par la suite, j'ai espoir...
Pour conclure :
La BD en elle-même : superbe (couverture, impression, artbook)
Le scenario : histoire pas obligatoirement originale et cette première partie est vraiment trop courte mais j'espère qu'on va découvrir le passé de nos personnages et qu'on va s'y attacher.
La dessin : une belle réussite graphique. Les personnages, Les plans et les décors sont très beaux.
J'adore, je découvre le travail de Jim Woodring avec cet album.
Le papier est épais, légèrement granuleux et vraiment qualitatif.
Dès les première page, on se rend compte de la réelle originalité de l'album. Un travail de fourmi pour donner vie à un monde ou se mêlent folie, malaise, monde féérique et infernal.
Des milliers de petits traits, des petites lignes, des petits détails, et ceci de la première à la dernière image.
L'originalité vient également du fait que la BD est muette, non, en fait c'est certainement un monde silencieux. A nous d'imaginer ce qui se passe, d'où ils viennent, qui, quoi, pourquoi.
Ce qui est certain c'est que c'est une des plus belles merveilles de ma Bédéthèque, vite j'en veut d'autres !
Ne plaira pas à tout le monde, je n'en ferai pas cadeau si aisément.
Et pour terminer, le petit code barre coup de gueule de "l'association" est une merveille, je n'ai pas pu le déchirer comme ils le demandent...désolé.
Zai Zai Zai, du titre à la dernière page, c'est excellent.
Les dessins sont très simples, et c'est dans l'anonymat des personnages qu'on reconnait nos voisins, amis et proches.
C'est drôle, c'est drôle, c'est drôle.
Fabcaro dénonce ce qu'il y a de plus vomissant en chacun de nous.
Bravo. A garder proche du canapé pour régaler nos invités.
Nous avons, ma fille de 8 ans et moi découvert Aponi lors des petits festivals du coin (Moselle). Ce fut un réel plaisir à lire. Le scénario est simple, sans grands rebondissements, mais c'est poétique. Certains personnages auraient mérité d'être un peu plus présents, plus travaillés ou participer un peu plus à l'histoire, ça aurait donné plus de profondeur au scénario. Au niveau du dessin, c'est assez particulier, mais j'apprécie l'originalité lorsque j'ouvre une BD. Ce qui est dommage c'est que tous les visages sont trop ressemblants et manquent de caractère (adultes, enfants, hommes ou femmes). Les couleurs sont très jolies, les effets de profondeur sont assez étranges mais on s'y fait. La couverture est splendide, Certainement la plus belle que je possède. Ma fille a également des cartes postales et poster dans sa chambre. c'est difficile de trouver une BD pour les enfants entre 8 et 12 ans, c'est soit cucul, soit pour les grands. Rare sont les histoires qui les font réellement voyager ou qui sont poétiques. Celle-ci est une vraie leçon d'histoire et de vie. J'aime aussi savoir qu'un auteur a tout fait de bout en bout. Aponi est et reste dans notre Bedetheque.