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Iris nous présente ses carnets de voyage, ses angoisses et son syndrome de l'impostrice. (! ou imposteure... à moins que ce soit impostifère?) Elle décrit ses différentes rencontres pendant ses résidences d'auteure. (! autrice? Non, mais.. Ça va pas recommencer!) Des récits en dents de scie (si, si)
La rigueur ou les contraintes imposées (une page par jour) viennent souvent bousculer un punch qui aurait pu être mieux ficelé. Par contre, l'ensemble se lit bien et est agrémenté de jolies vignettes aux personnages d'oiseaux qui résument le moment fort des pages précédentes.
Ces oiseaux sont dignes, à eux seuls, d'une publication. Je verrais bien les aventures philosophiques des oiseaux iris et Zviane analysant de courtes saynètes illustrant des tics relationnels. Ce serait un duo d'analystes qui commenterait les travers de drôles d'oiseaux. (Voilà le titre...C'est gratuit!)
Mais revenons à notre lecture qui est pour le moins inspirante et enthousiasmante. Un plaidoyer pour les nomades qui ont besoin d'isolement tout en étant ouverts à la rencontre des autres...mais pas trop.
Cette seconde partie de ce que l'on nous promet être un triptyque, frappe une poche d'air, mais reprend son équilibre en plein vol.
La quête du Studio Delta se poursuit. Jug et ses musiciens étirent le trajet avec quelques péripéties. Malgré tout, ce passage obligé vers le troisième volume est fort agréable grâce à l'humour de l'auteure et son style graphique qui me charme à chaque fois. On y passe un bon moment en espérant que le troisième volume ajoutera une valeur de rattrapage à ce pont nécessaire entre les volumes un et trois.
LES PROS DES AIRS
Un récit bien découpé qui ne perd jamais son lecteur dans les nuages. Ce dernier tome issu de la main d'Uderzo est brillamment au service du scénario de Charlier qui fait dans le pirate de l'air.
Les vilains veulent faire dérailler une entente bipartite en canardant l'avion qui transporte un des signataires. Par hasard, les héros de l'aventure découvrent la manoeuvre et élaborent un piège pour déjouer les méchants et faire régner le bon sens commun. Vont-ils réussir?
Tout est en place pour votre bon plaisir. Des cases spectaculaires, l'humour et l'humeur des pilotes avec une touche de suspense et de bravoure de la part de notre duo téméraires favoris. Attachez vos ceintures!
Quel magnifique personnage que ce savant fou qui enregistre le tonnerre. Un avatar de rêve avec un équipement mystérieux qui stimule notre imagination. On veut en savoir plus. On veut le voir plus. On espère la naissance d'un mythe puissant dans le corpus de la BD québécoise.
Malheureusement, il n'en sera rien. Le récit se noie dans le conseil des douze divinités qui transforme une excellente idée en un drame inintéressant. Le coup de crayon qui nous faisait crier "Au génie" dans les premières pages se perd rapidement en chemin. Au final, c'est une lecture qui ne ressortira pas du lot malgré une couverture excitante.
Bien sûr que je suis en retard dans mes lectures. Pour expliquer cela, il y a le flot astronomique des nouveautés, la (ou le?) COVID, l'argent disponible qui n'est pas toujours au rendez-vous...Etc ...Etc..Etc. Toujours est-il que ma collection des Paul par Michel Rabagliati est un peu trouée. Je m'affaire donc à colmater ces brèches avec le rythme tranquille de celui qui sait qu'il n'y aura pas de pénurie. Après tout, nous avons affaire ici au chouchou de la BD fait au Québec (Avec Jean-Paul Eid qui a lui aussi un trou dont il a fait un album).
L'album "Paul à Québec" ne fera pas d'entorse à la qualité de la collection. Ce sixième album de la série qui a été adapté en film, constitue un nouveau sommet dans la chaine himalayenne des succès concocté par ce graphiste de formation. Les silences parlent, la sensibilité se sent, et le récit coule de la source douce et tranquille d'un cours d'eau. ...même si le fond de la rivière bouillonne d'émotion. La série des "Paul" est un monument aussi solide et immuable que celle de "Tintin". Le personnage de "Paul" est un reporter du quotidien qui décrit une vie qui nous ressemble avec finesse, justesse et tendresse. Les relectures suivront comme autant de madeleines de Proust dégusté avec plaisir.
Holàlà! il y avait longtemps que je n'avais pas lu un album d'Iznogoud. Je m'ennuyais justement de ses jeux de mots rigolos, de son humour absurde et de l'univers déjanté de ce Bagdad réinventé. Hé bien, tout y est pour mon plus grand bonheur. Sauf que cette fois, j'ai eu l'impression qu'on étirait un peu la sauce. La quête tourne en rond pour faire des pages facilement. Il manque quelques ressorts qui auraient été salvateurs pour l'intérêt du lecteur. Mais n'allez pas penser que c'est un album à éviter. On ne boude pas son plaisir avec un classique de la B.D.
Un dessin, deux bulles, il n'en faut pas plus à Yoh pour démontrer l'absurde de notre quotidien. En fin observateur de notre société, l'auteur vise juste à tous les coups et décrit avec acuité les forces et les travers des Québécois. Cette lecture a toutefois besoin d'aération pour ne pas devenir superficielle. Je me suis donc limité à un thème par jours pour éviter le piège d'une surconsommation rapide qui ne nous laisserait pas le temps d'apprécier chaque tableau. Ce travail mérite cette précaution et votre attention.
Dans ces temps reculés, on se foutait un peu du nom des artistes qui avaient sué sang et eau pour notre plaisir. Ainsi "L'enfer de glace" est attribué à Russ Manning. Pourtant à la lecture du second récit, on découvre sur deux cases la signature de Hogarth. Probablement Burne Hogarth...
Le troisième récit proposé a pour Héros principale Korak. Aucun indice sur ses auteurs n'est disponible.
Les trois scénarios sont attribués à Edgar.... J'en doute! Au fil des ans, plusieurs scriptes ont fait vivre le roi de la jungle dans tous les médias qui ont été exploités.
Devrait-on développer la base de données pour permettre la gestion des histoires multiples? Chaque récit même sur deux pages possède parfois ses propres auteurs. En explosant ainsi nos renseignements, aurions-nous besoin d'AI qui croiserait les renseignements de deux récits identiques inclus dans deux volumes différents?
Je m'égare et m'épuise!
Le Capitaine Bonhomme est un personnage d'une série-télé qui racontait ses aventures parsemées d'exagération et d'incongruités historiques. Il agrémentait ses récits avec des illustrations dont la facture et le style sont repris dans cette bande dessinée. L'histoire simplette et parsemée d'invraisemblances est fidèle au genre de cet exercice. L'album s'adresse maintenant aux collectionneurs nostalgiques ou aux historiens qui ont trop de place dans leur corpus. Personnellement. Je place l'album parmi mes trésors de jeunesse et je me dis, qu'un jour, les septiques seront confondus.
Les comic's des éditions Héritage sont prisés par les collectionneurs du Québec et je me suis dit que je pourrais m'y mettre, moi aussi. Pour mon plaisir, je me suis procuré ce premier numéro de Capitaine America... en mauvaise condition et au rabais. L'important, pour le moment est de posséder une copie de ce légendaire numéro même si tous les collectionneurs sérieux lèveront le nez sur ce torchon. Dans ses pages on retrouve en plus d'une aventure du Capitaine, deux histoires de Conan et un fait divers pour meubler les pages restantes. La notoriété de cette publication surpasse facilement sa qualité. Malgré tout, je me transforme maintenant en collectionneur et je vous annonce que la chasse est ouverte. Je traque maintenant le no.2
Holàlà! La facture graphique de cette série est à couper le souffle. L'action spatiale déboule les marches quatre par quatre. Le souffle coupé, je n'ai pas toujours bien saisi les enjeux et la mission. Les dialogues bourrés de sous-entendus et tapissés d'humour désarmant m'ont souvent laissé de côté dans le rythme de lecture que suggèrent les cases. Mais je m'accroche et m'imposerai une deuxième lecture pour bien saisir ce qui promet être une série héroïque et épique. Une fois les enjeux bien cernés et le principe des caissons d'hibernation/rêves bien intégrés, je suis sûr de trouver dans cette lecture un terrain de jeux fertile et enlevant.
Si je tiens à me farcir ce travail pour bien comprendre cette série, c'est parce que je décèle les bases de ce qui me semble être une aventure bien fondée.
"La petite Russie" est un d'hommage aux grands-parents de l'auteur et un témoignage de ce que fut une certaine idée de la colonisation dans la paroisse de Guyenne. Curieusement, cette lecture a débuté au même moment que mon visionnement du film Maria-Chapdelaine. Les deux expriment le courage des colons face aux obstacles nombreux qui se dressent entre eux et leur terre. Dans le cas du témoignage de Francis Desharnais, il y a aussi l'organisation sociale qui vient teinter l'opération. L'histoire de Guyenne est exceptionnelle. La façon dont les habitants appréhendent le développement de leur paroisse est loin des préceptes en vigueur à l'époque et leur mode de fonctionnement coopératif détonne aux yeux des autres paroisses.
Dans l'ensemble, c'est un bon récit qui joue à fond son rôle de témoignage. Mais une certaine distance avec le sujet m'a empêché d'avoir un lien émotif avec les personnages. La langueur du film Maria-Chapdelaine a peut-être eu une mauvaise influence sur ma lecture.
Dans cette biographie de Jean-Paul EID, Jeand-Dominique fait un travail monumental et nous fait découvrir avec force et détails la carrière de EID. Un résumé exceptionnel qui met en valeur tout le travail que produit Jean-Dom à titre d'historien de la BD Québécoise et libraire passionné. Sans avoir vu l'exposition qui fut le prétexte à la publication de cet ouvrage, vous y découvrirez tout le cheminement artistique de Jean-Paul Eid et vous serez, vous aussi curieux de l'explorer en tenant dans vos mains une de ses merveilleuse création... disponible à la Librairie Z
Dans la librairie Z de Jean-Dominique Leduc, il y a des expositions qui sont le prétexte pour Jean-Dom à prendre son chapeau d'historien de la BD et de nous concocter une biographie sur l'exposant. Ce travail nous permet de survoler la carrière du bédéiste. Dans ce cas-ci, les pages sont souvent meublées de connaissances un peu éloignées du sujet. Dans l'ensemble, on en apprend plus sur la démarche de Rémillard et sur le chemin fait qui lui a trouvé sa place parmi les grands auteurs de BD du Québec.
Huitième étape de notre balade dans la jungle, "Yoyolalala" est aussi un prétexte à la prépublication de Football Fantaisie. Les pages qui précèdent la suite de cette fresque sont dédiées à une expérience de travail au camp Papillon. Dans ces inédits de 2009-2012 on retrouve notre Zviane des belles années. Un peu philosophe, un peu débrouillarde, beaucoup champs gauche, mais toujours avec le désir de bien faire et de communiquer. Avec cette clientèle, chaque petite victoire est un petit miracle. Des pages de bonheur à déguster. J'aimais bien cette période plus introspective et moins fictive du travail de Zviane. Pour cette raison, ce sera le volume de la jungle que j'aurai le plus aimé. Ceci étant dit. Je ne me passerais pas des sept numéros précédents ni du génie inventif et éclaté qui meuble les pages de Football Fantaisie.
Avec cet album, je complète ma collection officielle d'Astérix. Une belle série avec des suppléments intéressants. C'était un bon moyen pour ajouter ces aventures à ma bibliothèque. Pour ce qui est du "Menhir d'OR", c'est une bienheureuse récupération d'un rare 33 tours qui s'ajoute aux aventures illustrées.
Mais rien ne remplacera un nouvel album d'Astérix... Il me reste encore de la place dans ma bibliothèque.
Guy Delisle qui nous a fait voyager avec ses chroniques Birmanes et chroniques de Jérusalem est de retour avec un voyage dans le temps. Il revisite son premier emploi d'été et son adolescence à l'usine de papier de sa région. C'est un récit sympathique qui raconte bien ce qui fut ses premiers pas dans le monde du travail. Je suis sorti de cette lecture en me disant que toutes les premières expériences de travail sont un peu identiques. On vit tous un peu les mêmes contraintes au snack-bar ou au garage. On découvre des personnages bizarres et plus grands que nature. Notre salaire devient vite notre meilleur ami, jusqu'à ce qu'on trouve sa place dans le monde des adultes. Il y a quelque chose de triste et nostalgique dans ce récit. Comme si tous les bouts orange étaient destinés à devenir gris.
Pardonnez mon négativisme. Je devrais arrêter de lire cette série qui ne m'impressionne pas. Le graphisme est... les récits ne sont pas... les personnages sont trop ou pas... Mais, bon... je persiste encore.
Jean-Paul Eid frappe encore un grand coup avec "Le petit astronaute" et se positionne au sommet du classement des auteurs québécois de BD. Le maître caméléon du crayon nous plonge dans un récit personnel émotionnel, poétique et juste comme la musique qui accompagne cette lecture.
L'évolution et l'adaptation de cette famille qui accompagnent la venue d'un enfant pas ordinaire dans notre monde difficile sont prenantes et captivantes du début à la fin. Les angles choisis pour élaborer le récit démontrent, de la part de l'auteur, un savoir-faire digne des plus grands romanciers de notre époque. La lecture vous en est donc fortement suggérée deux fois plutôt qu'une.
Pour moi, c'est l'avant-dernier album de cette série. Je l'ai dégusté dans mon lit, comme quand j'étais petit. Une habitude de lecture avant le dodo qui ne m'a jamais quitté depuis. Ce moment de lecture est devenu ma Madeleine de Proust qui me ramène à un temps béni... même si la production est plutôt récente, je sombre dans le bonheur.
Les multiples coups de plumeau du duo Ferri / Conrad sur cette série n'enlèvent rien à mon plaisir. La section des suppléments regorge, cette fois, d'éléments graphiques inédits. Un beau travail qui est sans doute dû à la générosité des auteurs.
Le plaisir s'achève, mais je peux le faire renaitre à volonté lors de mes relectures.
Fascinant!
Plusieurs cases seraient transformables en affiche meublant des murs entiers. Des affiches à la beauté et à l'esthétique hors-norme. Ces images forment un récit graphique éclatant et lumineux qui hypnotise et charme le regard du lecteur.
L'ensemble baigne dans un scénario assemblant des thèmes incontournables de la sci-fi sans jamais souffrir de la redite. Des effluves de passage classique d'œuvres majeurs traînent au détour des pages pour notre plus grand bonheur.
Ce pavé est aussi un recueil philosophique qui pose les problèmes du racisme, du contrôle des masses et de la surconsommation avec un sens aigu de la dérision. Comme si cela ne nous concernait pas... nous... ici, aujourd'hui.
Voilà une œuvre majeure qui figurera dans les premiers rangs de ma prochaine liste des meilleurs BD de tous les temps.
L'inspiration est de retour dans ce nouveau numéro de "La Jungle". Zviane est en forme et cela se sent. Le graphisme complexe et varié saura plaire à l'amateur d'absurde. L'ajout de texte est la bienvenue. J'apprécie grandement les descriptions anecdotiques qui nous sont présentées et je pense que cela pourrait être une voie à explorer dans le futur. Le texte "Dans un CHSLD" est un témoin important de la période pandémique qui nomme l'innommable et les sentiments qui nous ont habités.
"Football fantaisie" poursuit sa course avec son lot d'incongruité qui la caractérise. C'est un BD-roman captivant qui mérite largement sa lecture et relecture.
Mais commencez par le numéro 1 si vous ne voulez pas être... comme on se retrouve parfois...de toute façon. Complètement subjugué!
Cet ouvrage de Zviane nommé la playa est le sixième numéro de "la jungle". Un projet ambitieux qui sert de prétexte à la prépublication de l'épique "football fantasie". Dans ce type d'exercices, le cerveau de l'auteure peut parfois se liquéfier en débordant du vase. Il peut aussi se mettre en boule comme le whisky du Capitaine Hadock dans la fusée X-FLR 6. Les codes de la BD sont passés à la déchiqueteuse et résistent mal au gros bon sens.
Le phénomène est inégal et nécessaire comme un coup de marteau sur un poil de bras. Subitement tout peut devenir plus placer flasque jazz scaphandre scrotum?!! Difficile d'y résister. Toutefois, dans ce numéro on sent une petite baisse d'énergie. Le meilleur est à venir?
Astérix est tombé bien bas. Faire des pirouettes avec les fondements historiques des années cinquante av. J.-C., je veux bien. Mais pas un délire uchronique temporel trop fort en café avec Superman, Goldorak et autre OVNI. Non, Monsieur!
Cette collection se veut d'être un bon moyen pour entreprendre son immersion dans le monde de DC.
Dans ce numéro, on appréciera particulièrement le graphisme impeccable d'Alex Ross.
Par contre, le scénario manque de repères pour les débutants qui souffriront beaucoup tout au long de ce récit tortueux. On peine à comprendre les changements fréquents(Trop!) de lieux, de contexte et de combattants. Au final, les dialogues grandiloquents et moralisateurs de certains personnages feront plonger votre appréciation globale bien plus bas que ne le mériterait le visuel.
Les albums adaptés des films adaptés des albums originaux ne sont pas mes favoris. Les dessins sont un peu moins bien faits et le texte souffre un peu. Mais, cet album fait partie de la collection; alors, pas question de s'en passer. Il vaut mieux relire "Astérix et les Normands", comme cela votre plaisir sera intact.
Le livre "Silence" de la collection: Le meilleur du comics, est un prétexte parfait pour faire le tour des personnages de l'univers de Batman et mettre à jour notre savoir à ce sujet. Grâce cette aventure, les retardataires peuvent en profiter pour sauter à bord du train en marche (depuis plus de 80 ans) de cette franchise emballante. Mystère, enquête, humour, ironie font partie des registres de ce récit qui vous captivera. Pour moi, Batman est une valeur sure chez DC et cela ne se dément pas dans cette production.
Au fil des ans, les créateurs du plus célèbre des Gaulois ont produit plusieurs textes, mini-histoires et illustrations qui sont assemblées ici.
Ajoutez à cela, les amis qui pastichent nos héros comme on ne les a jamais vus.
Cette compilation est donc la bienvenue autant pour les collectionneurs avides que pour les débutants qui ne pensent qu'à se divertir et rigoler.
Un exercice très réussi qui s'avère un ajout essentiel à ma collection.
Bravo!
Oeuvre à mains multiples qui expose trois offrandes au temple de la chauve souris.
Soit : L'excellente "Terreurs nocturnes" qui nous laisse malheureusement sur notre faim. Signe indéniable de l'intérêt que j'ai porté au récit et au lapin blanc qui commande un retour, une suite et un approfondissement.
C'est suivi de : " En pleine folie" Un soubresaut plus ou moins nécessaire.
Puis, l'inquiétant "Cycles de violence" qui nous aspire dans son délire avec un graphisme impressionnant et son scénario en bouche cousu fait main.
Finalement, ces histoires sont un peu hors du temps. La chronologie Batmanique ( Héhé!) n'est pas respectée, mais offre quand même quelque chose qui se tient bien.
Les différents styles graphiques nuisent à la cohésion de l'ensemble, mais cela ne semble pas être la cible visée. On y prend un certain plaisir et plus.
J'ai eu le plaisir de lire "le deuil de la famille" dans sa version originale anglaise en 2015. Il va sans dire que cette relecture n'a rien perdu de son efficacité. Cette histoire cerne bien la folie du Joker, les doutes de Batman et la détresse du commissaire Gordon. Pas étonnant quand Scott Snyder est au scénario. La brièveté du récit ne gâche en rien notre plaisir. Les dessins de Greg Capullo et Jock sont splendides et à la hauteur de leur réputation. Ce titre est presque un incontournable qui mérite pleinement sa place dans cette compilation du meilleur du comics de DC.
C'est un secret pour personne, que ce livre est issu du film d'Alexandre Astier et Louis Clichy portant le même titre. Contrairement à cette superproduction qui était en 3D, les illustrations de l'ouvrage qui nous intéresse sont en 2D. Fabrice Tarrin nous présente des dessins magnifiques dans la tradition des albums d'Astérix sans dénaturer l'esprit du film. Les textes bien ficelés par Olivier Gay sont efficaces. Il évite d'en faire trop et concentre son tir sur l'action. Cette aventure originale avec une quête gauloise à la clé, aurait tout ce qu'il faut pour nous faire plaisir. Alors, pourquoi on termine notre lecture avec un sentiment de vide? Je n'en ai aucune idée. Pour une des rares fois, je ne suis pas tombé dedans.
Comme finale de cette collection de dix livres présentant le meilleur du comics d'Urban Comics, voici; Injustice année un. Un collectif de sept dessinateurs qui tentent de rendre justice au scénario de Tom Taylor. Malheureusement, la cohérence artistique et graphique n'est pas toujours au rendez-vous. Les cheveux de Wonder Woman passent du noir au bleu, quand ce n'est pas au châtain clair sans avertissement, au point que j'ai dû faire marche arrière pour m'assurer que c'était bien le même personnage. La cohérence physionomique est aussi malmenée et provoquerait de fausses arrestations s'il s'agissait de portrait-robot. Pendant ce temps le scénario s'étire et tourne en rond pour trouver un dénouement forcé à cette catastrophe volumineuse. Passez passant et qu'on ne vous y reprenne plus.
C'est un secret pour personne, que ce livre est issu du film d'Alexandre Astier et Louis Clichy portant le même titre. Contrairement à cette superproduction qui était en 3D, les illustrations de l'ouvrage qui nous intéresse sont en 2D. Fabrice Tarrin nous présente des dessins magnifiques dans la tradition des albums d'Astérix sans dénaturer l'esprit du film. Les textes bien ficelés par Olivier Gay sont efficaces. Il évite d'en faire trop et concentre son tir sur l'action. Cette aventure originale avec une quête gauloise à la clé, aurait tout ce qu'il faut pour nous faire plaisir. Alors, pourquoi on termine notre lecture avec un sentiment de vide? Je n'en ai aucune idée. Pour une des rares fois, je ne suis pas tombé dedans.
J'ai eu le plaisir de lire "le deuil de la famille" dans sa version originale anglaise en 2015. Il va sans dire que cette relecture n'a rien perdu de son efficacité. Cette histoire cerne bien la folie du Joker, les doutes de Batman et la détresse du commissaire Gordon. Pas étonnant quand Scott Snyder est au scénario. La brièveté du récit ne gâche en rien notre plaisir. Les dessins de Greg Capullo et Jock sont splendides et à la hauteur de leur réputation. Ce titre est presque un incontournable qui mérite pleinement sa place dans cette compilation du meilleur du comics de DC.
Oeuvre à mains multiples qui expose trois offrandes au temple de la chauve souris.
Soit : L'excellente "Terreurs nocturnes" qui nous laisse malheureusement sur notre faim. Signe indéniable de l'intérêt que j'ai porté au récit et au lapin blanc qui commande un retour, une suite et un approfondissement.
C'est suivi de : " En pleine folie" Un soubresaut plus ou moins nécessaire.
Puis, l'inquiétant "Cycles de violence" qui nous aspire dans son délire avec un graphisme impressionnant et son scénario en bouche cousu fait main.
Finalement, ces histoires sont un peu hors du temps. La chronologie Batmanique ( Héhé!) n'est pas respectée, mais offre quand même quelque chose qui se tient bien.
Les différents styles graphiques nuisent à la cohésion de l'ensemble, mais cela ne semble pas être la cible visée. On y prend un certain plaisir et plus.
Au fil des ans, les créateurs du plus célèbre des Gaulois ont produit plusieurs textes, mini-histoires et illustrations qui sont assemblées ici.
Ajoutez à cela, les amis qui pastichent nos héros comme on ne les a jamais vus.
Cette compilation est donc la bienvenue autant pour les collectionneurs avides que pour les débutants qui ne pensent qu'à se divertir et rigoler.
Un exercice très réussi qui s'avère un ajout essentiel à ma collection.
Bravo!
Le livre "Silence" de la collection: Le meilleur du comics, est un prétexte parfait pour faire le tour des personnages de l'univers de Batman et mettre à jour notre savoir à ce sujet. Grâce cette aventure, les retardataires peuvent en profiter pour sauter à bord du train en marche (depuis plus de 80 ans) de cette franchise emballante. Mystère, enquête, humour, ironie font partie des registres de ce récit qui vous captivera. Pour moi, Batman est une valeur sure chez DC et cela ne se dément pas dans cette production.
Comme vous, les albums d'Astérix, je les ai tous lus et relus. Ils sont devenus des p'tites madeleines temporelles qui nous replongent dans nos souvenirs d'époques. Je m'adresse ici aux hypercritiques qui souhaitent figer les choses dans l'idéal de leur passé presque parfait. J'ai des petites nouvelles pour vous! Ce nouvel album d'Astérix est bien une nouvelle aventure d'Astérix. Malgré ces nouvelles couleurs qui font évoluer le panorama des cases. Malgré le dessin plus nerveux de Conrad qui embrouille parfois l'action. Malgré le rythme du récit de Ferri qui déboule les cases quatre par quatre. Tout cela n’est que les signes d'une saine appropriation et d'une adaptation des codes qui ont été dictés par les créateurs originaux. L'évolution nous amènera peut-être à récupérer une case du passage obligé des pirates au profit du récit qui s'en trouvera que mieux.
Pour le reste, tout y est. Le rire, les jeux de mots et les références pour ceux qui comprennent les références. Une bonne aventure qui passe un peu trop vite comme les bonnes aventures ont la fâcheuse manie de le faire. À nous maintenant d'être réceptifs à ce que l'on appellera la deuxième époque des aventures d'Astérix.
Les albums adaptés des films adaptés des albums originaux ne sont pas mes favoris. Les dessins sont un peu moins bien faits et le texte souffre un peu. Mais, cet album fait partie de la collection; alors, pas question de s'en passer. Il vaut mieux relire "Astérix et les Normands", comme cela votre plaisir sera intact.
Ce livre figurera longtemps parmi la sélection des meilleurs albums de bandes dessinées. C'est une référence au chapitre de la recherche historique, de la fluidité narrative et du graphisme exemplaire. Cette genèse de la bombe atomique nous fait connaitre les principaux acteurs de ce drame atroce qui a marqué le monde. À lire et à relire sans modération.
Cette collection se veut d'être un bon moyen pour entreprendre son immersion dans le monde de DC.
Dans ce numéro, on appréciera particulièrement le graphisme impeccable d'Alex Ross.
Par contre, le scénario manque de repères pour les débutants qui souffriront beaucoup tout au long de ce récit tortueux. On peine à comprendre les changements fréquents(Trop!) de lieux, de contexte et de combattants. Au final, les dialogues grandiloquents et moralisateurs de certains personnages feront plonger votre appréciation globale bien plus bas que ne le mériterait le visuel.
Astérix est tombé bien bas. Faire des pirouettes avec les fondements historiques des années cinquante av. J.-C., je veux bien. Mais pas un délire uchronique temporel trop fort en café avec Superman, Goldorak et autre OVNI. Non, Monsieur!