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Très belle surprise que cet album. Rémi Farnos offre une aventure de piraterie au scénario solide, riche en rebondissements, bien servi par un dessin expressif et dynamique. Les personnages secondaires sont légions et se disputent la vedette sans jamais que l'intrigue principale en pâtisse. Cet album est un digne successeur d'Isaac le pirate qui ne renierait certainement pas ces aventuriers de l'Urraca. On ne peut qu'espérer une suite!
Un album malin... une réappropriation inattendue des "croumpfs" pas uniquement pour les grands nostalgiques.
Le dessin fluide et dynamique de Blutch qui, sans chercher à singer l'inimitable Will, respecte parfaitement l'esprit de la série et constitue une savoureuse réinvention. Blutch est plus qu'un digne héritier de l'école de Marcinelle : il s'y inscrit tout en imposant son style. Signalons aussi les merveilleuses couvertures des différentes éditions qui nous plongent directement dans un univers à la frontière de la rêverie.
Enfin ! On avait renoncé à voir un jour un album digne de l’héritage Goscinny. Après un "Astérix chez les Pictes" encore parasité de scories de la période précédente (Monstres ridicules, calembours téléguidés, scénario linéaire…) , le "Papyrus de César" est plus qu’une confirmation : l’affirmation d’un duo d’auteurs. La barre est désormais au niveau des premiers albums (on se serait quand même passé des licornes!). Sauront-ils atteindre celui d’un "Asterix en Corse" ? Ferri et Conrad méritent d’être suivis.
En attendant bravo et merci d’avoir rappeler à notre souvenir ce que pouvait être là découverte d’un nouvel Asterix. Il aura fallu attendre 35 ans.
C'est un premier album à découvrir d'urgence.
Un univers déjà très riche et foisonnant. Un scénario dense, dont il est préférable de ne rien dévoiler, servi par un dessin inventif, plein de charme et très aboutit.
Si vous avez la chance de croiser les auteurs sur un salon, courrez vous faire dédicacer l'album... vous serez gratifiez d'une magnifique aquarelle!
J'attends le deuxième tome avec impatience !
Pour faire écho à Mercutio, effectivement, entre Philémon et Théodore Poussin...
On aime ou on n'aime pas mais si on aime, il vous sera alors ensuite difficile de communiquer avec l'autre camps!
Le génie des alpages est réservé à ceux qui parle second degré couramment et ne sont pas troublé de ne rien y comprendre. Cette série devra rester votre jardin secret ou votre pêché inavouable.
De la pataphysique en altitude et sans parachute...
Deux séries proches à signaler: "le baron noir" de Petillon et "dans les villages" de Cabanes (tout au moins les albums 2 à 5).
Un avis ! c'est tout ? pour un classique de la BD! bon, je me lance pour réparer cette injustice.
Le Baron noir n'a pas pris une ride, c'est l'une des séries que je relis le plus souvent. Ce ne sont jamais le mêmes gags qui retiennent mon attention, en fonction des préoccupation du moment et du temps. La marque des grandes séries dont la pertinence et l'impertinence traversent les décennies : l'art d'aller à l'essentiel sans en avoir l'air ou plutôt l'aire .
À mettre au niveau d'un REISER...et du génie des alpages
On imagine la jubilation qu'ont pu éprouver Franquin Delporte Macherot et Will en réalisant ensemble cette merveilleuse série.
Tout l'univers de l'enfance capté avec tendresse.
Ah! les maléfice de l'oncle Hermès !
Du Harry Potter avant l'heure.
Et puis enfin une véritable héroïne ... une des premières séries où les femmes n'ont pas les seconds rôles.
Et puis la poésie de Will au dessin...
Et puis l'humour de Franquin, la fantaisie de Delporte, l'élégance de Macherot,
à moins que ce ne soit l'inverse !
Un rare exemple de collaboration réussie entre autant de monstres sacrés.
Comment peut on passer à coté?
Une série qui mérite toutes les éloges tant elle capte parfaitement l'univers de l'enfance et les angoisses de son époque. Servi par un trait efficace qui va à l'essentiel, les aventure de Jules échappent au simple pittoresque par un propos plus subtile qu'il n'y parait.
Par l'auteur de "Ma maman est en Amérique, elle a rencontré Buffalo Bill", d'album en album, cette série ne perd en rien de son intérêt et semble même se bonifier depuis "la question du père".
à mettre aux cotés des "Isabelle" (Will, Franquin, Macherot...) et "Seuls" dans votre bibliothèque ou celle de vos enfants.