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Quand on referme un bouquin avec la gorge aussi serrée, on prend conscience qu'on tient une oeuvre qui sort largement de l'ordinaire. Album encore plus fort que le premier tome, qui était déjà marquant et fort réussi. Ca devient quasiment un cour d'Histoire, sinon une leçon de citoyenneté.
Pour la forme, quelle leçon de dessin et de narration !
Pour le fond, quelle leçon de vie !
Wouaw !
Inconditionnel de l'auteur, j'attendais ce livre avec une impatience à peine supportable. :-)
C'est peu dire que sa lecture a comblé mes attentes !
Joli pavé, entretien très complet, planches et anecdotes inédites, auteur simple, humble et généreux.
LE PIED ! Un indispensable si on aime l'univers développé dans la série des "Paul".
Quelle déception par rapport au 1er tome, "Metal vortex" !
Sans parler de chef d'oeuvre, l'album précédent optait pour une approche décalée, des calembours souvent drôles et, pour supplément d'âme, quasiment une tendresse pour les personnages caricaturés puisqu'ils étaient pris tellement à rebrousse poil qu'il y avait un aspect taquinerie très présent au fil des pages, dans l'esprit qui aime bien "charrie" bien. Un joli galop d'essai donc et un album potache à lire et relire sans déplaisir.
Autant vous dire que si le premier tome avait été de la teneur de ce "Metal Love", je ne suis pas sûr que les ventes et la réception du public en auraient permis un deuxième. Je n'ai rien à reprocher au graphisme de Pixel Vengeur, personnel, très identifiable, habile à sa manière et chaleureux. J'aime beaucoup son trait et me suis d'ailleurs procuré pas mal de ses albums pour retrouver son esprit. Mais bon sang ! QUI s'est chargé du scénar et des dialogues dans ce nouvel opus ??? Accrochez-vous au bastingage : ici le vulgaire le dispute au grossier, on a affaire à un humour de caserne b*te/ n*chon/cou*lle, des jeux de mots dignes des Grosses Têtes, le pire de l'humour franchouillard quand il tape sous la ceinture... et croyez-moi l'album s'y vautre avec délectation. Page après page, face à un scénar sans la moindre intelligence, prétexte à une pantalonnade grasse, je me suis enfoncé dans mon fauteuil en n'ayant plus qu'une hâte, refermer au plus vite cette purge, sortir de cette ornière. C'est peu dire que j'ai achevé ma lecture déçu, presque en colère, en me demandant comment on pouvait passer d'une BD attachante à un accident industriel pareil.
Alors passez votre chemin ou penchez-vous uniquement sur le 1er tome, qui était tellement sympa qu'il appelait une suite, c'est vrai. Mais parfois le meilleur des pâtissiers vous sort une catastrophe qui, par respect pour sa réputation comme pour le client, n'aurait jamais dû franchir le stade de son arrière boutique.
Mélangez "la Vie des Jeunes" de Sattouf, du Boulet pour le côté "détails", et peut-être un soupçon de Backderf, vous obtiendrez ce genre de BD. Réjouissante !
Pour moi c'était une sorte d'achat coup de coeur, fondé sur quelques cases qui semblaient assez savoureuses et drôles, un peu un quitte ou double mais qui a très vite tenu toutes ses promesses. Quelle découverte !!
Ok, on sent que cette auteure a encore une gentille marge de progression, notamment dans les décors et les véhicules (pas son point fort), mais c'est compensé par le talent et la gourmandise avec lesquels elle dessine ces pauvres gens ! Quelle galerie de personnages !! Dans ce quartier populaire, on voit s'agiter tout un panel de mères vulgos, d'enfants livrés à eux mêmes (avec toute la palette : les gentils, les couards, les méchants, les beaux, les laids, les très laids, et le petit frère autiste, dans sa bulle, absent, drôle et même touchant, tel un succulent fil rouge...) et jouant dans des squats, de toxicos, d'alcoolos...
C'est une symphonie des bas quartiers qui sonne totalement juste ! Une espèce de nectar que l'auteure a tiré de l'observation de son propre quartier.
Complètement hameçonné, je vais suivre de près cette dessinatrice et j'ai grand hâte de voir sa prochaine offrande !
En tout cas je fais le pari qu'on tient là une personne dont la popularité devrait grandir. Si elle parvient à transformer ce premier essai archi-croustillant, on en reparlera.