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Je ne puis que rejoindre certains avis exprimés. Grosse déception. La quête d’éternité et de pouvoir passerait-elle par la mutilation, par la castration ? Est-ce là le prix que les dieux font subir aux mortels lorsqu’ils désirent se substituer à eux ? Dans la Bible, le péché de déité se traduit, au contraire, par l’irruption de la sexualité ( Adam et Eve) ou par la diversité des langues (Tour de Babel). Ce qui, finalement, s’avère un plus (que serions-nous sans l’exercice de la sexualité et sans la parole multiple, diverse, diversifiée ?). Dans ce récit, c’est l’amputation, la castration qui constitue le châtiment. Qu’un Jodorowsky (que j’apprécie beaucoup par ailleurs) fasse subir de telles mutilations à ses personnages, ce serait, à la limite, plus compréhensible (son œuvre se nourrit de ces blessures dans les corps et dans les chairs) mais, dans le contexte jadis bien prude d’Alix, ceci paraît bien inadéquat. Je ne poste jamais d'avis mais là, en toute humilité, je souhaitais intervenir...