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A l'instar de Larcenet Karabulut sait tout dessiner. La forme et le fond. Une œuvre intelligente et sensible, sans être prétentieuse ou ennuyeuse. Une lecture enrichissante.
Une bd au top mais quelle erreur de l'editeur en découvrant que l'intégrale etait en noir et blanc. Les couleurs sont indissociables du reste. Elles sont une composante essentielles de l'ambiance si singulière de cette oeuvre. Absurde. Incompréhensible.
Ma chronique sera simple et coutes. Mais comme elle doit faire au minimum 100 caractères, j'en rajoute un peu. Donc voici ma critique : révolutionnaire + celle de Yovo qui a parfaitement résumé ce que je pense de ce tome 2.
Sur le papier comme on dit en langage sportif, il n'y a pas de discussions : jamais, tu ne me fais lire ce genre d'histoire, mélange de western à l'eau de rose, récit yankee gnian-gnian. Mais ça c'est parce que je suis un c.. en manque d'humilité. L’œuvre est évidemment beaucoup plus profonde. Je n'ai pas lu le roman et j'ai dû voir des bouts du film mais je comprends grâce à l'adaptation de Pierre Alary que je me suis fait berner par mes préjugés.
Mais depuis "Mon traitre", je suis conquis par cet auteur. La qualité de son adaptation du roman de Sorj Chalandon était bluffante. Alary avait su retranscrire la puissance tout en y ajoutant sa patte et ses choix artistiques.
Donc j'ai suivi Alary sur "Autant en emporte le vent". Et bien m'en a pris. Une des meilleures bébé de 2023 certainement.
Sensible. Comme d'habitude. J'aime beaucoup Panaccione. L'artiste, l'oeuvre et la personne. Ce n'est pas son meilleur album mais c'est une lecture très plaisante.
Du grand art. Nury, meilleur scénariste BD depuis déjà un bon nombre d'années. Mathieu Bonhomme, dessinateur hors paire d'une élégance rare. La combinaison fait des merveilles. Pourtant, j'y allais à reculons. "Charlotte", l'aristocratie en costumes, mouais, pas ma tasse de thé. Mais bon, Nury quoi. On y va. Et ça déchire. Ca déchire même de plus en plus. Ce tome 3 m'a scotché. High level.
Du grand art. Nury, meilleur scénariste BD depuis déjà un bon nombre d'année. Mathieu Bonhomme, dessinateur hors paire d'une élégance rare. La combinaison fait des merveilles. Pourtant, j'y allais à reculons. "Charlotte", l'aristocratie en costumes, mouais, pas ma tasse de thé. Mais bon, Nury quoi. On y va. Et ça déchire. Ca déchire même de plus en plus. Ce tome 3 m'a scotché. High level.
Bof, bof, bof. J'avoue ne pas bien comprendre l'engouement autour de cette bédé que je regrette un peu d'avoir achetée.
Faisant confiance au label 619 et les critiques élogieuses, j'y suis allé les yeux fermés mais force est de constater que Frontier n'est pas du niveau des oeuvres de Bablet ou Neyef. Ce n'est pas vraiment mauvais, c'est juste fade. L'histoire ne t'emporte pas, les personnages sont convenus et pour ne rien arranger, je n'ai pas accroché avec le dessin. Il y a un style graphique, certes. C'est a peu près tout. Non je ne recommande pas.