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On va se passer de commentaire sur cet album, encore un...
L'atmosphère n'est plus que l'ombre d'elle-même, même les scènes d'action ont un goût de réchauffé, alors que c'est pourtant le point fort de la série.
La tribu détentrice de la fameuse bactérie est bidon, et comme par hasard le Swip de l'époque passait par là, Zorro est arrivé, tralala tout va bien...
Alors que la fin retrouve un statut depuis longtemps perdu (environ cinq tomes). Action, suspense, une pointe d'humour, et une intensité impressionnante. Et coup de théatre suprême, ils arrivent en retard (pas vraiment étonnant...), et Lanfeust découvre son fils, qui, soit dit en passant, à son âge...
Voilà qui promet un tome 6 plus intéressant, avec des rapports...difficiles entre les personnages, et 16 ans de conséquences à découvrir.
Ok, on a bien plombé ce grand succès qu'est Lanfeust de Troy avec cette suite totalement inutile. L'idée en elle-même est pas mal, je le répète, et pourrait être même bien, si bien exploitée. Là, il fallait trouver un moyen pour faire aller nos héros sur la planète des gros méchants pas beaux. D'accord. Mais pas délirant please........ Une porte qui est là comme par hasard, le James Bond de la série qui arrive toujours à l'heure pour les aider, et même une pokéball pour la route... Du délire intégral. Au même titre que la gag nul sur "ta iti douche" qui dure, dure, avec une page entière consacrée à cette seule parodie ! Seul plus, on découvre l'origine du fameux Magohamoth du cycle de Troy. On aurait peut-être préféré ne pas la connaître et avoir ub autre album...
Je crois que là on touche le fond...
La série était pourtant pas trop mal partie... Un principe plus ou moins convenable, une histoire qui se tient. Mais là on dérive. Je dirai, plagiat de star wars. Le héros qui a le pouvoir de sauver la galaxie, le grand méchant qui commence à prendre le pouvoir absolu sous des dehors de bienfaiteur, la rébellion, l'assaut à la fin, et la destruction de la base rebelle... Comment? Star Wars IV?
Et puis quelle idée que celle du voyage dans le temps. Ca embrouille un scénario déjà chargé, entre les noms dot on n'a pas encore l'habitude, les gentils, les méchants, les méchants qui sont des gentils en vrai, mais qui en fait sont des méchants qui ont leur apparence et tout... Avec toujours les références plus ou moins évidentes à Star Wars, ici Moby Dick, et des jeux de mot vaseux...
Regain d'interêt. La trame de base apparaît au moins plus précise, mais l'humour n'est vraiment plus aussi subtil et bien dosé qu'avant; je dirai même franchement lourd, et de moins en moins discret. Les personnages principaux se détachent, le prince Delhuu, pas encore tout à fait démoniaque, Glace, bien qu'absente, dont on devine qu'elle va jouer un rôle, et toujours notre petite équipe, avec le Nicolède version Crustacé, en la personne de l'orgnobi Swip, l'érudit du groupe. A noter que certains que l'on pensait importants ne le sont pas vraiment, je parle évidemment de Blongo, qui disparaît avec un peu de légéreté à mon goût.
Bon, ça va encore; on comprend à peu près tout, et le niveau remonte un peu.
Hum, hum
Bon, on va rien dire de vraiment méchant, parce qu'on est civilisés, et que Lanfeust de Troy est vraiment sympa, mais pourquoi avoir continué la série?
Et comme ça en plus? Pas glop... Début poussif, avec un joli petit vaisseau qui débarque d'on ne sait où... Je sais qu'il ne peut pas y avoir d'action quand il faut présenter un tas de nouvelles données, mais on s'ennuie un peu. Beaucoup... Mais les décors, comme généralement dans l'univers de Tarquin, valent la peine de lire l'album. D'autant plus que l'espace offre de nouvelles possibilités, pas forcément bien exploitées par le scénario...
Enfin bon, ce tome de transition est très lent, et le scénario, bien que moins bon que ceux du cycle de Troy, ne laisse pas encore présager de la calamité des suivants. Autant ne pas commencer pour ne pas tomber de haut, très haut, ensuite.