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Un très grand et beau diptyque sur le crépuscule de la présence française en Amérique au dix-huitième siècle. Le dessin est magnifique et l'histoire parfaitement documentée est un vibrant hommage à ces colons et à ces sauvages qui ont vécu ensemble pendant plus d'un siècle en se mélangeant et en enrichissant leurs cultures respectives.
Par ailleurs, on remarquera le fort contraste entre l'expérience coloniale sous la monarchie et celle que la république fera plus tard sous d'autres cieux...
Une œuvre à lire et à posséder.
Delaby était un dessinateur incroyable. Ce tome 9 est tout bonnement époustouflant ! Il avait encore progressé à un point tel que je n'ose imaginer ce qu'il aurait pu faire par la suite. C'est brillant. Voir notamment ici les mises en scène de la belle Claudia. Je n'avais jamais vu visage de femme aussi réussi (et ce sous toutes les coutures !^^) depuis la couverture de Chihuahua Pearl. Delaby avait un trait a priori classique dotée d'une grande puissance et d'une extrême sensibilité, qui servait ici une trame passionnante. Un Grand de la BD, assurément.
Indispensable. Un "peplum" du niveau de Murena, rien que ça ! C'est parfaitement documenté et captivant. A lire absolument !
Une très belle BD avec une ambiance inoubliable. Pour moi la meilleure BD d'Auclair avec "Celui-là".
Une BD épique comme on n'en fait plus (voir les fins des deux tomes). Chaque planche est un bijou. L'histoire est certes classique, mais elle est bien narrée et superbement mise en image. Jean-Claude Gal était un tueur au dessin. Quelle tristesse qu'il soit parti si tôt !
Pour moi, LA BD sur l'Égypte antique. La magie, les tombeaux, les princesses, les palais, les courtisans, les paysans, les rives du Nil, les guerres, la passion, tout y est magnifiquement retranscrit. Et quelle plume ! Suivez donc vous aussi l'odyssée de Kaemhat le poète et bâtisseur à la recherche de sa belle perdue. Elle vous envoûtera et restera gravée en votre mémoire encore longtemps après votre lecture.
Une série méconnue au cachet très particulier. Ici, le grand Jeronaton a encore fait évoluer son style pour nous conter cette très belle histoire. Dommage qu'on n'en ait jamais vu la fin. La série devait encore compter au moins un troisième tome.
Un auteur à part, et ce tome 4 de Vic Voyage est selon moi son chef-d'œuvre. C'est magnifique. Et quelles couleurs ! A Macedo, il faut accrocher, mais si on accroche c'est complètement ! Je ne peux que recommander ses albums, même s'ils sont difficilement trouvables.
ps : Je ne sais pas pourquoi mais dans cet album je me suis par moments cru dans Vito la Déveine, sorti cinq ans plus tard, à cause du cadre commun et de certains éléments de l'intrigue eux aussi communs (les pirates par exemple). C'était très amusant.
L'une des meilleures bandes dessinées qu'il m'ait été donné de lire. La première partie est passionnante et la seconde tout simplement haletante, oppressante, inoubliable. Un tome 3 qui installe définitivement cette épopée comme une série majeure parmi les actuelles, et peut-être même dans la Bande Dessinée tout court si la suite se révèle du même acabit que ce chef-d'œuvre.
Belle réussite de la part de Bess, au sommet de son art. Toutes les planches sont époustouflantes, notamment celles dans les Carpates.
Cette rencontre entre Ayroles, scénariste entre autres de De Cape et de Crocs et de Garulfo, et Guarnido, dessinateur surtout connu pour Blacksad, était attendue par beaucoup quand les premières infos sur ce projet sont sorties. Personnellement, j'attendais principalement cette BD pour lire un nouvel album d'Ayroles, dont les livres antérieurs m'ont majoritairement enchanté. Je n'ai en revanche jamais été béat d'admiration devant le style de Guarnido. Ici, force est de constater qu'il fait le boulot, il maîtrise bien sa peinture, mais voilà, pas de quoi sauter au plafond non plus, d'autant plus qu'il y a quelques ratés, comme la couverture, par exemple.
Venons-en donc à l'histoire. Elle m'a déçu. Le livre est découpé en trois parties, avec deux "rebondissements" majeurs au début de la deuxième et à la fin de la troisième. Je parle de rebondissements entre guillemets car j'ai vu venir les deux. À dix pages de la fin de la première partie pour le premier et dès le début du livre pour le second. Il faut dire que les indices sont quand même énormes. C'est déjà un mauvais point. Le problème est que toute l'histoire repose entièrement sur ces deux rebondissements et qu'au-delà de cela, il n'y a quasiment rien à se mettre sous la dent, à part le verbe du scénariste que l'on a connu plus truculent. De plus, la première partie est vraiment trop longue vu son utilité réelle et la troisième est franchement tordue et alambiquée : l'auteur a voulu faire mine que son intrigue est à tiroirs sauf que c'est trop gros, on n'y croit pas, ce n'est même pas un tantinet drôle et les allers-retours à faire pour recoller les morceaux deviennent franchement pénibles une fois que l'ennui a pris le dessus. On attend désespérément une étincelle qui ferait qu'on se dise soudain que cette BD est géniale mais jamais elle ne jaillit.
Bref, c'est un véritable ratage de la part d'Ayroles, et même son plus gros, vu que de ratés dans son œuvre jusqu'à présent il n'y avait à mon sens que les tomes 5 et 6 de De Cape et de Crocs. Une vraie débâcle.