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Pour moi le meilleur Baru avec "Quequette Blues".
En surface c'est une guerre des boutons version 50's.
Et en-dessous l'univers merveilleux et solidaire autant que rude et brutal des villages ouvriers, communistes, immigrés et pauvres de la France de l'ère Spoutnik
Bouleversant.
Le plus marrant des bédéistes d'aujourd'hui possède une chatte, c'est Anouk Ricard.
Elle me fait pleurer de rire.
Elle m'a guérit de ce qui me restait de machisme diffus.
Absurde bien comme il faut et méchant quand il faut bien. Le dessin maximinimaliste fait le job.
M'a fait péter de rire plusieurs fois.
"Petit" était extraordinaire, "Demi-Sang" était honorable, "Le Grand homme" m'a réellement déçu à la première lecture: Qu'est ce que je m'en tape de Lours et de ses histoires de coeur ! Où sont les géants ? C'est toujours superbement dessiné, bien écrit, solidement scénarisé mais c'est le plus faible de la série.
"Petit" était extraordinaire. "Demi-Sang" est une suite honorable mais souffre de la comparaison.
Dessin toujours au top.
Version européenne de "l'Attaque des titans", avec ces mêmes cauchemars primordiaux d'ogres et de chair humaine. L'univers est dense, le dessin est prodigieux, l'angoisse est réelle, l'émerveillement aussi.
Ecoeurant et magnifique.
Une esthétique pointue et perverse, un scénar' qui ne l'est pas moins.
L'album qui a définitivement rangé Donjon au rayon adulte.
Autobiographie romancée, le chef d'oeuvre en cours de Riad Sattouf s'étale sur des centaines de pages : comme toujours avec Sattouf on prend des coups de poing tout le temps : personne n'est innocent, personne n'est adulte, c'est lui, c'est eux, c'est nous, et on prend tous cher.