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C'est très mauvais. Je suis immensément déçu. Alors que le premier album était magistral et le deuxième presqu'aussi génial. Je m'attendais à voir tous les fils de l'intrigue se dénouer, s'ordonner et m'emmener vers la conclusion.
Mais non. Au contraire. Au fur et à mesure, ça se complique, ça s'embrouille, ça s'emmêle. Il faut sans cesse revenir en arrière pour essayer de comprendre et à partir de la moitié de ce troisième tome, ça ne suffit plus.
Manifestement, le dessinateur a le même sentiment que moi, à peu près au même moment. Il commence à bâcler son dessin comme s'il voulait en avoir fini le plus vite possible. Dessin très professionnel par ailleurs, sauf quand un personnage glabre acquiert "miraculeusement" une moustache...
A aucun moment je n'ai compris comment Choc devient "un génie du mal". D'ailleurs, après avoir lu l'album (de plus en plus vite, c'est vrai), j'ai même l'impression qu'il ne devient simplement pas méchant. Et je ne comprends pas non plus comment il acquiert toute sa puissance.
On dirait que le scénariste s'est tellement emmêlé les pinceaux dans son histoire, ses sous-histoires, ses flash-backs, flash-forwards et sa documentation qu'il en a oublié son sujet principal. N'est pas Yann Lepennetier qui veut.
Le fait que Spirou ne le prépublie pas aurait dû me mettre la puce à l'oreille. Quel gâchis !
Album très décevant. L'histoire est confuse. Les personnages se ressemblent entre eux. Il faut sans cesse revenir en arrière pour comprendre qui est qui, qui dit quoi, qui fait quoi et pourquoi il le fait. Le dessin n'est pas mauvais, mais n'égale jamais le modèle qu'il prétend imiter. Les couleurs sont trop sombres, comme si toutes les planches étaient vues à travers un filtre turquoise. A tel point qu'il faut parfois approcher l'album d'une source de lumière pour arriver à lire certains textes en noir sur fond bleu. Ca m'est tombé des mains. Mon libraire m'avait pourtant averti...
C'est une pépite ! Une merveille ! La qualité du récit est à la mesure de l'attente. Vingt ans de patience pour pouvoir la lire cette suite. Cette attente imposée au lecteur lui permet de ressentir celle que vivent les personnages. Probablement ma meilleure lecture BD sur les dix dernières années.
Un achat dont j'aurais dû m'abstenir. Je sais, c'est dur. Pourtant, l'ambiance d'hiver rude, de froid piquant, d'humidité pénétrante est parfaitement rendue. Mais je cale sur les visages des personnages et surtout sur le scénario. Il débute pourtant bien, avec un fait divers sordide, mais il continue par une simple poursuite et un vague complot qui embrouille l'histoire sans la rendre plus intéressante. Il y a mieux à faire sur ce thème et les auteurs en sont probablement capables. Dommage.
le dessin est fantastique de fidélité à celui d'Hugo Pratt (époque les celtiques). L'ambiance est bien celle d'un album de Corto. A la première lecture, l'histoire semble décousue comme peut l'être un feuilleton de Milton Caniff. A la deuxième lecture, les événements se clarifient, les personnages se mettent en place et on perçoit beaucoup mieux la trame du récit. Exactement comme dans un "vrai" Corto Maltese.
Je suis très déçu.
Je suis un inconditionnel du travail de Jean-Pierre Gibrat. Le sursis fait partie de mon top 3 en BD.
Le dessin de ce Matteo 3 reste magnifique, mais le reste ! Non seulement, comme le dit mimassa, c'est une accumulation de poncifs à la gloire des gentils communistes, mais le scénario est à ce point décousu qu'il en devient difficile à suivre, défaut accentué par le fait que plusieurs personnages se ressemblent et qu'on ne comprend pas toujours qui est qui. A la page trente, je me suis étonné que le récit n'ait pas encore commencé. Je me suis encore forcé pendant trois pages, puis je suis allé lire la fin qui était, hélas, sans intérêt.
Ca ne doit pas être facile pour Jean-Pierre Gibrat de voir tous ses nouveaux albums comparés au chef d'oeuvre qu'est le sursis. S'il me lit, qu'il sache que je continue à le considérer comme un génie du dessin !
Pour moi : aucun intérêt cette série. Je suis déçu, déçu, déçu. Je me suis laissé influencer par tous vos commentaires émerveillés. J'ai acheté les trois tomes d'un coup et j'ai essayé de les lire. Bon, c'est vrai que ça commence bien. Le vieux village russe est très crédible et le dessin splendide. Mais après, c'est eau de boudin ! La psyhologie des personnages est ultra-simpliste et les circonstances de l'histoire ridicules. ATTENTION SPOILER Comment croire qu'une paysanne du fin fond de la steppe puisse apprendre le français, les manières bourgeoises et la comptabilité en si peu de temps ? L'héroïne adolescente révoltée qui se fait b... par le sculpteur, quel âge elle a ? Un peu jeune pour de telles scènes non ? Ou un peu simplette. Et le vieux médecin est mobilisé alors que le jeune sculpteur ne l'est pas ? Comment ce fait-ce ? FIN DU SPOILER Au fil des pages, l'histoire est de moins en moins prenante et de plus en plus prévisible. Le troisième tome, je n'ai pu le lire qu'en diagonale. Même le dessin de Frank m'a déçu. Ou pour être précis : ses couleurs, qui finissent par se perdre dans la mièvrerie et dans le kitsch. Pourtant, à mon sens, Frank est un tout grand dessinateur. C'est aussi pour ça que j'avais acheté en toute confiance. Bon. Heureusement, mon libraire accepte les échanges. Pour le même prix, j'ai maintenant sur ma table de nuit un énorme recueil des reportages d'Albert Londres. Mais que ceux qui n'aiment pas ça n'en dégoûtent pas les autres...