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De l’initiative personnelle au mouvement fédérateur, la résistance forge son réseau dans l’ombre de la répression.
En visionnant l’occupation avec un oeil enfantin, la résistance devient un sujet hautement pédagogique.
Bataille épique au fin fond des forêts, affrontement final entre faux-frères.
La plume aiguisée et les couleurs embrumées offrent à la saga une véritable atmosphère peplumesque.
Le silence qui entoure Ramirez commence à s’éclaircir. On aspire jamais totalement son passé. Un grain de poussière peut faire ressurgir un mouton de problèmes.
Dans une course insensée, les vies s’arrêtent aussi rapidement qu’un bon rock énergique. Star sous couvert pour renouer avec les feux de la rampe, hommage là où tout a basculé.
De la pellicule au papier, des pleines enneigées aux étendus désertiques, il y a du Fargo des frères Coen dans cette histoire.
Savoureux quiproquo dans un pays où les douilles et les tuyaux d’aspirateur rois. Dans le viseur un attachant silencieux.
La satire sociale bien que burlesque dans sa forme s’avère imparable, narcisse d’une société qui existe par sa consommation.
L’innovation s’anime avec innovation, un délicieux QR code qui vous orientera vers une publicité d’une minute. On arrête pas le progrès, pour le reste il y a le vacumizer 2000 !
L’équipage touche au but, l’euphorie galvanise les esprits. Au milieu de terres aussi lointaines, l’angoisse peut vite tout balayer. La vérité se dévoile, la guerre d’égos a masqué le vrai danger.
Les hommes s’épient sur le pont et les esprits s’échauffent dans la cale. Le calme avant la tempête, la mutinerie est à portée de vue. La traversée est taciturne même si l’ambiance reste agréablement inquiétante.
Mise en abime efficace du petit monde de la piraterie. Les histoires qu’on narre dans les tavernes comme prémices de la grande histoire. Prendre la voile pour se confronter à la tempête intérieur.
En superposant les paysages, le jeu de piste s’annonce complexe. Le portrait d’une aventurière mystérieuse se dessine mais laisse présager une intrigue sans fin. Je suis resté à quai, je n’ai pas embarqué dans l’aventure.
L’histoire au présent s’émancipe progressivement du contexte historique. Le dénouement est proche, conjugaison des temps entrelacée. Dernière symphonie heureuse qui fait presque regretter que la fouille historique s’arrête là. Le violon comme transmission, dans les gènes de génération en génération.
Se montrer à la hauteur face à l’immondice, combat contre soi-même pour ne pas tomber à son tour dans la haine.
Preuve parmi tant d’autre que le rejet de son prochain trouve sa genèse dans l’ignorance. Une pudeur émouvante qui contraste sciemment face à l’horreur.
Initialement séduit par l’idée du girl power so british, j’ai plus eu l’impression d’un simple réplica d’association de malfaiteurs conjugué au féminin.
Quant au dessin, c’est très subjectif mais le style très abstrait ne facilite pas la proximité avec les protagonistes.
Pamphlet sur la guerre d’après, celle qui ronge les âmes. Quand le retour salvateur ne rime qu’avec douleur, le sens de la vie devient bien abstrait. Classique dans son développement mais pas consensuel dans l’idée développée lors de l’épilogue. Grand angle nous offre une nouvelle fois un excellent dossier de fin d’ouvrage pour approfondir le sujet et nourrir notre réflexion.
Petit bout de femme haut en couleur au caractère affirmé et aux souvenirs bien ancrés. L’épilogue esquisse des allures philosophiques, l’émotion se fait ressentir en ne tombant pas dans le larmoyant. Ne jamais oublier son passé pour vivre pleinement le présent.
L’union fait la force et la bravoure se conjugue au pluriel. Échappée belle pour des minots au plan audacieux. Fortunes diverses en guise de clap de fin. Une aventure humaine qui traite avant tout de la solidarité comme pour mieux mettre en lumière le destin majeur d’une poignée de mineurs.
Retour à la réalité, on ne s’évade pas du destin que la société vous a collé sur le dos. L’ancrage historique se fait plus ressentir et avec lui les personnalités s’aiguisent. Tout comme les parcours de vie, les tourments sont divers. Écorchés par la vie.
De façon épuré et sans tomber dans le misérabilisme, la lourdeur du quotidien se dessine au rythme d’une solidarité naissante. Les profils des différents protagonistes se complètent efficacement. Comme bien souvent, Grand Angle nous accompagne avec brillo en dehors des sentiers battus.
Quand la petite histoire est étouffée par les enjeux de la grande, le devoir de mémoire demeure une évidence.
Narré aussi simplement que possible, le conflit d’intérêt se dépeint efficacement. Bientôt l’injustice qui se dessine sous nos yeux n’en finira plus de nous tordre les entrailles.
C’est un plaisir de parcourir l’histoire d’une aussi belle manière. Mention spéciale pour le dossier documentaire en fin de bd, l’hommage est brillamment rendu.
Jeu de dupe en haute sphère. Les destins se croisent, les générations aussi. Annonciateur d’une conclusion que l’on imagine épique.
Tome résolument plus adulte, les masques tombent. L’enjeu se complexifie, la guerre s’annonce fratricide. En s’enfonçant dans les contrées germaniques, la série prend de l’épaisseur.
Au crépuscule de l’adolescence, la passion se mêle la fougue. Bientôt les aspirations personnelles coloniseront les têtes.
Une fraternité improbable qui éveille la curiosité. Parfois décalé de par son langage contemporain, le contexte historique semble pour autant justement dépeint. Ébauche prometteuse d’une grande promesse.
Du noir, du blanc et puis c’est tout. Comme pour mieux illustrer la fadeur du quotidien ouvrier.
Un éternel recommencement au milieu d’une étendue de machines, les âmes sont moroses, à chaque jour sa dose.
En prenant le parti de l’extrême simplicité dans son approche graphique et narrative, la lourdeur d’un quotidien sans saveur devient inexorablement pesante au fil des chapitres.
Résolument engagé, le message est livré brut de pomme. Ici bas, le travail ne rend toujours pas libre, résolument enragé.